Voici la carte postale d’Hélène V de Topaki. « Je suis retournée à Istanbul en mai dernier. Je n’avais plus visité la ville depuis 10 ans. La dernière fois, au palais de Topkapi le harem était fermé.
MoreVoici la carte postale d’Hélène V de Topaki. « Je suis retournée à Istanbul en mai dernier. Je n’avais plus visité la ville depuis 10 ans. La dernière fois, au palais de Topkapi le harem était fermé.
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Benoite
16 juillet 2022 @ 05:34
Une belle escapade au Sud de l’Europe. Cette année, les cartes postales du site sont nombreuses, et bien nourries de photos et très bons commentaires.
Une façon de voyager cette année, pour moi.
On verra l’an prochain la « saison des échappées belles » –peut être !
Mimine
17 juillet 2022 @ 02:22
Oui…depuis plus de deux ans en raison du COVID puis des difficultés logistiques dans les aéroports, nous voyageons beaucoup moins et surtout moins loin (nous habitons au Canada)…alors ces reportages sont super agréables. Vous êtes tellement chanceux en Europe d’avoir accès facilement à tant de lieux historiques et à tant de chef d’oeuvre artistiques et architecturaux!
ALINE
16 juillet 2022 @ 06:36
Magnifique Topkapi ! Que de bons souvenirs ! Merci bon début de journée .
Charlotte (de Brie)
16 juillet 2022 @ 06:42
Le nom de Topkapi, enfin pour ma part, est porteur de tout ce l’on imagine de la Turquie des Sultans. Les rivalités entre les femmes du harem, la richesse, la puissance, les secrets bien à l’abri derrière les murs.
Et puis pour les cinéphiles c’est Mélina Mercouri, Peter Ustinov et Maximilien Schelll dans cette fameuse salle aux bijoux où vous n’avez pu vous rendre Hélène V….
Un grand merci à vous !
Jean Pierre
16 juillet 2022 @ 09:08
Pour une fois j’aI trouvé le film meilleur que le livre d’Ambler que j’ai lu bien longtemps après sa sortie lors de mon service militaire.
Robespierre
16 juillet 2022 @ 14:23
Cela arrive qu’un film soit meilleur qu’un livre. Un exemple me vient à l’esprit. la mini-série « The Night Manager » de Le Carré. Un livre ennuyeux au possible.
Guizmo
16 juillet 2022 @ 08:21
Il s’agit d’une véritable « ville dans la ville » qui, sur une superficie de 700 000 m², comprend aussi bien des cours et des jardins que des bâtiments administratifs, des appartements privés, des kiosques et des pavillons de plaisance. La visite de cet immense complexe palatial permet de se faire une idée de ce que pouvait être la vie quotidienne à la cour ottomane, de la prise de Constantinople au milieu du XIXe siècle au moins.
Pascal HERVE
16 juillet 2022 @ 10:33
Merci.
Je trouvais un petit côté « cité interdite » .
Beque
16 juillet 2022 @ 09:36
Je ne sais pas si on peut trouver le livre « Trente ans dans les harems d’Orient : souvenirs intimes de Melek-Hanum, femme de S.A. le grand-vizir Kibrizli-Mehemet-Pacha, 1840-1870 » (Dentu, 1875).
Il y a eu aussi Aimée Dubuc de Rivery, Sultane Validé nommée Nakchidil, née au Robert (Martinique), le 4 décembre 1776 et décédée en 1817 au palais de Topkapi. Cette jeune cousine de Rose Tascher de La Pagerie, future impératrice Joséphine, eut un destin étonnant : le vaisseau sur lequel elle s’était embarquée à son retour en France (où elle avait été parfaire son éducation) fut capturée par des corsaires turcs. Vendue comme esclave à Alger, elle fut ensuite offerte par le vieux dey au sultan Sélim III dont elle devint la favorite. Je n’ai pas lu « La nuit du sérail » de Michel de Grèce qui considère que l’histoire d’Aimée Dubuc de Rivery n’est pas une légende mais j’en avais entendu parler, avant la parution de ce livre, par ma famille qui avait des attaches en Martinique.
particule
16 juillet 2022 @ 10:54
Bravo à vous, voyez vous je n’ai pas le courage de retourner en Turquie . car si les monuments demeurent éternels par leur beauté et leur histoire, le gouvernement actuel et son président ne m’inspirent pas un vent de liberté pour goûter à des vacances.
Baboula
16 juillet 2022 @ 14:36
Et cela fait que la Turquie, quelque soit sa position géographique, aura des difficultés à entrer en Europe . J’ai dit: difficultés,commentateurs acerbes .!
Alvise Badoer
16 juillet 2022 @ 11:14
L’on oublie toujours, et c’est fort triste, que cette ville est en fait Constantinople; tragiquement pillée par les latins en 1204 et saccagée par les ottomans en 1453, ces derniers l’appelèrent Stambul qui vient de « Is tím boli(n) » en grec (C’est la ville). Elle n’est Istamboul officiellement que depuis 1928 (décision d’Attaturk). Pour les slaves, il s’agit toujours de Tsarigrad (la ville du César) et pour les varangues (scandinaves) c’était Miklagarðr, « la grande ville ». L’on observe donc que « ville » est l’appellatif commun à divers peuples comme « Urbs » l’est pour Rome. Hélas, les divers apalis byzantins ne sont que souvenirs evanescents: le Palais sacré, le Boucoléon, Grand palais avec ses divers édifices officiels et privés, les Blachernes, et d’autres villas impériales. Tout cela fut détruit et livré à la construction domicilaire. N’oublions pas…
Geoffroy
16 juillet 2022 @ 17:54
Tout à fait, sans compter les attaques récentes contre le peu qu’il restait de l’héritage byzantin : Sainte Sophie et Saint Sauveur in Chora.
Pascal Hervé 🍄
17 juillet 2022 @ 10:21
Et un peu partout en Turquie si j’en crois certaines affirmations , ce qu’il restait de la communauté grecque de la ville a majoritairement fui ces dernières années.
Pascal Hervé 🍄
17 juillet 2022 @ 10:19
Pour moi cela reste Constantinople .
Cosmo
16 juillet 2022 @ 12:18
J’ai eu le bonheur de visiter Topkapi un 1er janvier. Le temps était splendide et le palais était vide de touristes. Être à trois dans le Harem, les jardins, sur les terrasses est une expérience exceptionnelle.
Robespierre
16 juillet 2022 @ 14:25
J’ai bcp aimé aussi. Bizarrement, c’est au restaurant du musée que j’ai fait mon meilleur repas en Turquie, pays que je connais très bien.
Ciboulette
16 juillet 2022 @ 17:00
C’est le genre de nom et d’endroit qui font rêver .Merci à Hélène V. de nous faire voyager loin , c’est vraiment appréciable de voir » en vrai » un endroit où je ne suis jamais allée .
particule
16 juillet 2022 @ 16:34
@cosmo … 3 dans le Harem , lieu qui par définition grouille d’intrigues , de frivolités et de drames : c’est vrai que vous avez vécu une expérience exceptionnelle … j’espère cependant pour vous que vous étiez avant d’y entrer imprégnée des récits des mille et une nuits , sinon quelle solitude !
Cosmo
17 juillet 2022 @ 12:24
J’étais bien accompagné et je savais où je me trouvais et tout ce qui s’y était passé. Mais cette expérience fut aussi étrange qu’exceptionnelle. Le hasard fait parfois bien les choses.
Danielle
16 juillet 2022 @ 19:49
Merci Helen V de me remémorer des souvenirs de cette visite d’il y a au moins 25 ans !
Martine
16 juillet 2022 @ 20:15
Le département des bijoux a des merveilles ; 40 ans après j’ai encore en tête des émeraudes splendides