Cérémonie de remise des prix Nobel 2022 à Stockholm en présence du roi Carl Gustaf, de la reine Silvia, de la princesse héritière Victoria et du prince Daniel de Suède.
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Pascal M
11 décembre 2022 @ 09:52
La Reine et les Princesses ont souvent de belles robes (sans parler des bijoux) pour ce style de ceremonies.
Elles sont « royales »!!
plume
11 décembre 2022 @ 09:52
Quel faste pour cette cérémonie importante. La robe de Sofia est un peu trop chargée de nœuds à mon avis.
Teddy447
11 décembre 2022 @ 12:19
Seule cérémonie fastueuse à la cour de Suède et grand banquet
Et la cérémonie d ouverture du parlement en tenue de ville et carosse
C était mieux l ouverture fastueuse du parlement suédois olof palme a réduit les pouvoirs du roi en un monarque inaugural
Teddy447
11 décembre 2022 @ 12:20
Le roi lors de cette ouverture du parlement monocameral fait un discours en tenue de ville
Marnie
11 décembre 2022 @ 10:03
Victoria toujours superbement royale lors de ces cérémonies : j’adore !
Sofia, que j’aime bien, ne fait, à mes yeux, que des choix malheureux pour ses tenues de gala ces derniers temps… encore un « bel » exemple ici !
Si au début je m’étais réjouie qu’un auteur français gagne le Nobel de littérature, j’ai largement déchanté en prenant connaissance de toutes les déclarations, tous les engagements d’Annie Ernaux… malgré son grand âge, elle fait hélas partie de ce nouveau monde d’idées que je trouve totalitaires…Dernière déclaration en date : elle se réjouit d’avoir eu le Nobel pour que Houellebecq ne l’ait pas car elle le trouve mysogine et réac… lamentable état d’esprit !
https://www.lefigaro.fr/livres/annie-ernaux-ravie-d-etre-nobel-de-litterature-plutot-que-ce-soit-michel-houellebecq-20221209
Sur son oeuvre, je ne peux rien dire puisque je ne l’ai jamais lue, n’ayant jamais été attirée par le sujet de ses livres et par ce que je sais de son style…
j21
11 décembre 2022 @ 10:50
Comme vous je n’apprécie pas Annie Ernaux, ni la personne ni son œuvre. Dans ma jeunesse j’ai lu un de ses livres qui m’a juste donné envie de ne pas en lire d’autres.
Camille
11 décembre 2022 @ 10:56
Même avis que vous concernant le prix de Littérature attribué à Annie Ernaux, mais n’oublions pas que le Prix Nobel de Physique a été attribué au Français Alain Aspect, bien plus respectable et utile et pourtant assez peu mis à l’honneur dans la presse. Les journalistes manquent tellement de culture scientifique !
milou
11 décembre 2022 @ 11:44
Je suis très heureuse de voir Annie Ernaux récompensée!
Dans son œuvre je n’aime pas tout mais certains de ses écrits m’ont marqué!
« La femme gelée « …
francesca
11 décembre 2022 @ 13:29
« bien plus utile » ? Dans les 24 heures d’une journée, il y a un temps pour tout. La culture scientifique (quand on s’intéresse, ou on a la capacité intellectuelle) à la quantique, et la détente devant un bon livre.
Alain Aspect souligne l’importance d’un bon professeur pour s’orienter vers la voie scientifique, et regrette que les nationalisme entravent les travaux scientifiques à l’échelle internationale.
Daphné
11 décembre 2022 @ 15:24
Annie Ernaux a un style d une platitude renversante .. . ce qu’elle raconte , souvent centré sur son nombril , n’a rien de passionnant … de surcroît ses engagements sectaires dans l’air du temps et du wokisme ne méritent ils pas d être traités de la même façon que ce qu elle reproche à Houellbecq ?
Facile de critiquer les autres quand soi même , on succombe à des excès tout aussi ridicules .
ladycat's
11 décembre 2022 @ 16:02
de culture tout simplement
Limaya
12 décembre 2022 @ 06:47
Je vs rejoins Marnie ,J21 , Camille…………et les autres qui pensent de m^m
Robespierre
11 décembre 2022 @ 12:27
Annie Ernaux est une écrivaine française. De ces écrivains qui n’ayant aucune imagination, ne peuvent qu’écrire que sur eux-mêmes et mettent leur vie dans des livres. J’appelle ça la littérature nombril. Ca peut plaire, mais pour moi ce ne sont pas de grands écrivains. Balzac, Proust, Hugo avaient un univers à eux, et leurs personnages sont restés des archétypes. Le Père Grandet, la Cousine Bette, Madame Verdurin, le baron de Charlus, Cosette, ont survécu à leurs auteurs. Qui se souviendra de l’amant décrit dans un livre d’Annie Ernaux ? Le seul livre que j’ai lu d’elle parle d’une liaison torride avec un homme qui dans le fond se fichait bien de la dame qu’il venait voir de temps en temps. C’était intéressant, parce que toute histoire personnelle est intéressante, mais on est loin des Gide et des Mauriac.
milou
12 décembre 2022 @ 12:51
Il ne faut pas confondre les siècles… Annie Ernaux marquera le nôtre comme Proust Zola Balzac et tant d’autres ont marqués le leur!!!!
Camille
21 décembre 2022 @ 12:52
Je doutes quand même qu’on puisse la comparer à Balzac, à Zola et encore moins à Proust que j’idolatre.
Les prix littéraires ne font pas le talent. Quelques années ou décennies après un prix il n’est pas rare qu’on en ait oublié l’auteur et surtout revu l’œuvre avec plus de distance jusqu’à l’oubli.
Romain Gary a donné une bonne leçon au monde des prix littéraires en publiant son nouveau livre sous un pseudonyme, Émile Ajar. Curieusement, la critique qui le boudait a adoré.
Camille
21 décembre 2022 @ 12:58
Outre que ses ouvrages ne m’ont pas du tout marqué, mais c’est subjectif bien entendu, j’ai connu par des amis communs son ancien gigolo. Je ne peux le qualifier autrement. Il est d’une vacuité profonde. Il s’est servi d’elle et de ses relations pour être publié mais la littérature n’en sort pas grandie.
Mini
11 décembre 2022 @ 15:09
A propos de l’attribution à Annie Ernaux, j’adhère aux réactions. L’air du temps, le wokisme et autres tendances, l’ont emporté. Pour avoir lu un seul de ses écrits, « La place », elle écrit dans une langue française très honorable, mais sans plus. Le » je » et » moi » l’emportent, mais rien à voir avec « Les essais » de Montaigne à la sortie de ce type de lecture, on ne retient rien, si ce n’est l’impression d’avoir perdu un peu de temps.
josaint vic
11 décembre 2022 @ 11:37
Je n,apprécie pas du tout madame Ernaux , après avoir critiqué l,institution Nobel , elle «crache» sur un écrivain …j,attend de voir avec quelle organisation caritative elle partagera son chèque ….les petits frères des pauvres peut-être ? Félicitations au très discret nobel de physique
JAusten
11 décembre 2022 @ 11:56
Je suis du même avis que vous Marnie.
francesca
11 décembre 2022 @ 13:20
Les idées d’Annie Ernaux ne sont pas totalitaires. Etre féministe aujourd’hui est nécessaire. Ne scions pas la branche sur laquelle nous sommes assises..
Et une oeuvre, ce n’est pas qu’un contenu. C’est aussi une écriture, ce qui fait la différence avec un article de journal. Ecriture déconcertante, je le reconnais.
Marnie
12 décembre 2022 @ 10:21
Je suis féministe, à la manière d’Elisabeth Badinter, pas du tout à la manière d’Annie Ernaux, Sandrine Rousseau et consorts. Je refuse d’être assimilée à ces personnes à l’esprit totalitaire, je persiste et je signe.
Sur l’oeuvre, la forme et le fond ne m’attirent pas, j’essaierai peut-être d’en lire un tout de même à l’occasion. Dans ce cas, je l’emprunterai à la bibliothèque, aucune envie de donner le moindre sou à cette personne.
Cosmo
12 décembre 2022 @ 14:04
Bien d’accord avec vous. Elisabeth Badinter est une grande intellectuelle et son féminisme n’exclut pas. Femme de gauche elle a consacré deux ouvrages aux femmes de la Maison d’Autriche, l’Infante Isabelle et l’impératrice Marie-Thérèse.
Un de mes amis la connaît et a eu la chance de travailler avec, notamment sur Marie-Thérèse. Il ne tarit pas d’éloges sur elle.
Robespierre
13 décembre 2022 @ 10:25
J’ai lu dans le temps son livre « L’Amour en plus » sur l’amour maternel du 17e au 20e Siècle. Cela m’avait bien plu.
Dans les classes privilégiées, elle dit que cet amour maternel est relativement récent.
Marnie
13 décembre 2022 @ 10:43
Merci Cosmo pour ce témoignage, cela fait plaisir d’apprendre qu’elle est aussi bien en privé.
On peut être féministe sans haïr les hommes ou vouloir les « déconstruire », sans voir les femmes comme d’éternelles victimes…
milou
14 décembre 2022 @ 06:48
Oui Elisabeth Badinter reste aussi pour moi un maître en matière de féminisme et autres!
Camille
21 décembre 2022 @ 12:46
Je suis dans le même état d’esprit que vous Marnie, concernant le féminisme.
Pour une démarche constructive pas pour une guerre stérile et encore moins pour une guerre d’ego avec les hommes en cherchant à les éliminer les uns après les autres pour obtenir leur poste.
YOM
11 décembre 2022 @ 13:55
J’ai toujours beaucoup aimé les livres,d’Annie Ernaux,livres que j’avais découverts jeune ,mais je n’aime pas les positions de cette femme,que je trouve autoritaire,et un peu extrémiste.
Pierre-Yves
11 décembre 2022 @ 14:02
J’ai lu quelques livres d’elle: La Place, les Années, l’Evénement, et ce style sec, dépouillé, presque neutre, m’a assez plu, particluièrement Les Années, que j’ai trouvé très beau.
Mais je conçois qu’on puisse être rebuté par cett écriture, et aussi par le principe de l’auto fiction. Ensuite, Annie Ernaux est une femme de gauche qui ne transige pas sur ses convictions et ne les met pas au fond de son sac. Elle estime avoir une revanche à prendre sur sa condition modeste (celle de ses parents surtout), celle des dominés, et on peut aussi considérer qu’il s’agit d’un beau sujet de littérature.
Quant à Houellebecq, dont j’ai aimé aussi certains livres (mais pas les plus récents) qu’il soit réac n’est pas une chose qu’Ernaux nous apprend.
milou
12 décembre 2022 @ 12:52
Excellent et brillant commentaire, Pierre Yves, comme toujours!
Cosmo
12 décembre 2022 @ 13:57
On peut supposer que la femme de gauche fera don des 740 000€ qu’elle reçoit. Les besoins sont immenses et les œuvres sont nombreuses.
Quant à prendre une revanche, cela dénote un esprit mesquin et étroit. Elle devrait remercier un système qui lui a permis une vie meilleure, ou plus à l’aise, que celle de ses parents.
Dickens ne venait pas d’un milieu fortuné et il a su décrire les milieux défavorisés et être en empathie avec eux, sans pour autant décrier un monde qui le faisait vivre.
Robespierre
13 décembre 2022 @ 10:25
Bien dit !
Philippe H.
12 décembre 2022 @ 08:15
Qu’a du penser Madame Ernaux du faste déroulé pour la remise des Nobel, alors qu’elle pense que c’est une institution trop masculine et que, en substance, « c’est une tradition qui passe par le costume et ainsi une manière de transmettre le pouvoir « ????? Elle a oublié que la première femme à recevoir le Nobel de Littérature a été Salma Lagerlöf en…1909!!!
Son credo est « vouloir venger sa race et son sexe » » ».
Marguerite Yourcenar, qui n’a pas reçu le Nobel de Littérature mais à été la première femme à entrer à l’Académie Française, et qui était une féministe avérée, était autrement mesurée dans ses propos et d’un autre talent littéraire…
Madame Ernaux fait manifestement de cette distinction un instrument de pouvoir … sans renier le faste inhérent à cette cérémonie..
Marinella
12 décembre 2022 @ 12:49
Je partage entièrement les avis précédents .
Cette littérature autocentrée et victimaire connait son heure de gloire sur la vague du wokisme mais est loin de la qualité de Marguerite Yourcenar par exemple , que je vous remercie de rappeler Philippe H , et ne parlons pas de Camus .
Ce dernier , fils d’ une femme de ménage illettrée , avait à la réception de son prix Nobel prononcé un discours magnifique et envoyé une merveilleuse lettre de remerciement à son instituteur . Madame Ernaux préfère pleurnicher et attaquer son confrère Houellebecq ….
jual
12 décembre 2022 @ 11:50
D’Annie Ernaux je n’ai lu que « La Place ». J’ai aimé mais sans plus, ce n’est pas de la (grande) littérature mais plutôt une sorte de littérature « sociologique ». On apprend des choses sur la France des Trente Glorieuses et les relations humaines. Tout comme Svetlana Alexievich nous a instruit sur la 2ème guerre mondiale, l’ère post-communiste ou la catastrophe de Tchernobyl. Ce ne sont pas des auteurs qui créent des univers ou des personnages inoubliables. De ce point de vue, je préfère largement JK Rowling .
Erato deux
11 décembre 2022 @ 10:09
La tradition est parfaitement respectée, les invités hautement honorés, mais à mon goût, tenues et bijoux sont en décalage avec les réalités de notre temps, en Suède, comme ailleurs, reste à saluer néanmoins la splendeur des bijoux.
Arielle
11 décembre 2022 @ 10:10
La fqmille Suède est parfaite. pas une fausse note.
Mini
11 décembre 2022 @ 10:19
L’occasion de voir les bijoux de l’écrin suédois et le respect des traditions même surannées.
Louise.k
11 décembre 2022 @ 10:19
J’adore la robe de Victoria !
Clémentine
11 décembre 2022 @ 10:58
Trop rose à mon goût et cette couleur ne lui va pas du tout au teint. Reconnaissons lui un tissu uni, sans dentelle ni fanfreluches.
Actarus
11 décembre 2022 @ 12:47
Il faut découvrir les « Prix Noble » sur la Galette, c’est à riper de rire ! ^^
Eva
11 décembre 2022 @ 22:01
Ma fille portait presque exactement la même robe en déguisement de ‘southern belle’ quand elle avait 8 ans et elle était très belle. Alors je ne peux qu’aimer la robe, mais sur Victoria je n’en suis pas si sûre. Sofia fait un peu duègne à côté. Jeune et jolie duègne, mais si stricte!
Menthe
11 décembre 2022 @ 11:46
Oui Louise, une vraie robe de princesse.
francesca
11 décembre 2022 @ 13:13
L’ourlet piqué à la machine est une horreur.
DEB
11 décembre 2022 @ 10:27
Je trouve que ces événements en robes longues et tiares sont toujours agréables à regarder.
GUY
11 décembre 2022 @ 10:35
Ces dames étaient trés royales dans leurs tenues, , comme on aime les voir
J’ai beaucoup apprécié de suivre cette cérémonie en direct sur YT hier aprés midi
milou
11 décembre 2022 @ 10:43
Un détail très élégant… dans cette crème fouettée de taffetas et dentelles… la sur-jupe en satin de la reine Silvia… qui cache une robe en dentelle vécue!
Arielle
11 décembre 2022 @ 10:44
Correctiion, lire la « famille ».
Arrgos
11 décembre 2022 @ 11:17
Cette manie de porter des robes hyper décolletées et sans manches.
Elisa2
13 décembre 2022 @ 20:04
Je suis désolée je ne comprends pas, les robes du soir sont toutes (ou presque) des « robes hyper décolletées et sans manches », et ce n’est pas une tendance de ces dernières années, mais on peut même voir de splendides « robes hyper décolletées et sans manches » dans les années 30 ’40 et ’50 du siècle dernier, il suffit d’aller sur internet et vous pouvez voir une galerie de princesses et de reines portant ce type de robe, personnellement je ne trouve rien d’étrange !
https://www.lofficiel.be/_next/image?url=https%3A%2F%2Fwww.datocms-assets.com%2F63746%2F1646612774-1619081397980395-1618862920-queen-elizabeth-birthday-young.webp%3Fauto%3Dformat%252Ccompress%26cs%3Dsrgb&w=2048&q=75
reine Astrid de Belgique
http://www.noblesseetroyautes.com/wp-content/uploads/2010/08/ast2.jpg
La princesse Märtha de Norvège:
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Agnese
11 décembre 2022 @ 11:35
Toutes ces princesses sont élégantes et ont sorti leurs écrins à bijoux. Elles ont bien raison car ils sont fastueux et seules les royautés nordiques arrivent à nous éblouir.
Il est également agréable de voir la princesse Cristina guérie grâce à une greffe de moelle osseuse, seule solution pour se sortir de la leucémie.
Valérie R.
11 décembre 2022 @ 12:06
J’ai lu quelques livres d Annie Ernaux il y a quelques années d’être vite saturée par sa perspective nombrilisme et victimaire.
Depuis, ses déclarations me donnent de l’urticaire.
Framboise
11 décembre 2022 @ 12:16
Superbe défilé de la famille royale comme d’habitude. Je me réjouis qu’Annie Ernaux aie reçu le prix. J’apprécie son oeuvre comme son engagement militant, même si il dérange. Je suis suissesse et nous avons un lauréat du prix Nobel de chimie en 2017 dans ma région en la personne de Jacques Dubochet. Il s’engage énormément et publiquement en faveur du climat, et bien sûr que ça en incommode certains. Heureusement que l’on s’indigne et que l’on proteste pour des causes à dénoncer en ayant ce degré de visibilité.
Robespierre
11 décembre 2022 @ 12:29
On dirait que Daniel est puni. On l’a mis tout seul derrière. Si on avait voulu mettre un 4e fauteuil sur la premiere rangée on aurait pu. Mais on n’a pas voulu. Daniel n’a sans doute pas été assez gentil avec Victoria.
Mayg
11 décembre 2022 @ 12:47
La robe de Victoria est belle, mais j’aurai choisi une autre couleur. Je ne suis pas emballée par la robe de Sofia.
Actarus
11 décembre 2022 @ 13:08
Après la version royale suédoise, nous aurons la version bourgeoise norvégienne.
On dirait deux univers parallèles…
Pelikan du Danube
11 décembre 2022 @ 13:29
Ça c’est une robe de princesse 👌👍👌
beji
11 décembre 2022 @ 14:09
Le diadème que coiffe Victoria n’est-il pas celui qu’elle a hérité de la princesse Liliane
auquel elle a fait ajouter les boutons ainsi qu’une autre rangée de diamants ? Ce diadème était magnifique dans la chevelure volumineuse de Lilian mais il est moins bien coiffé par Victoria et ses cheveux plaqués
Laurent F
12 décembre 2022 @ 09:19
Non ce n’est pas le diadème de Lilian que Victoria a porté pour le diner des Nobel au Palais royal hier soir.
COLETTE C.
11 décembre 2022 @ 15:13
Des robes superbes.
Danielle
11 décembre 2022 @ 15:55
La robe de Victoria est très belle, suivie par celle de la reine et enfin de Sofia.
Linda
11 décembre 2022 @ 16:10
Pourquoi le prince Daniel est-il seul à l’arrière….. il a l’air oublié!
Cosmo
11 décembre 2022 @ 17:53
Sexisme ? À Oslo, l’épouse du prince héritier est assise à côté de son mari, au même rang que les souverains. À Stockholm, l’époux de la princesse héritière est seul derrière. Puni ou victime du protocole ?
Robespierre
12 décembre 2022 @ 09:39
mon post à ce sujet, où je disais aussi « puni » n’est pas passé.
Robespierre
12 décembre 2022 @ 11:39
Désolé, il a fini par passer.
Marnie
12 décembre 2022 @ 10:32
Robespierre et Cosmo, je crois que vous êtes victimes d’un effet optique : Victoria est bel et bien installée au même niveau que son époux. Les 2 sont en retrait derrière le couple royal. Sur la 1ère photo on le voit car le bas de la robe de Victoria est au niveau du pied arrière du fauteuil de sa mère et sur la 2e photo, on voit clairement le siège et un morceau de la robe de Victoria derrière sa mère, flous.
Cosmo
12 décembre 2022 @ 14:05
Vous avez sans doute raison. Merci de rectifier !
Marnie
13 décembre 2022 @ 10:44
De rien, cela m’aurait fait de la peine pour Daniel !
Robespierre
12 décembre 2022 @ 14:13
Vous avez raison, et c’est l’encombrement de la robe qui cause cet effet d’optique. Me voici rassuré pour Daniel.
Jay
11 décembre 2022 @ 21:19
La cérémonie respecte, certains codes, symboles de la tradition et la famille royale fait très bien son travail.
On voit sur les photos que d’autres femmes (hors membre de la famille royale) portent des diadème qui sont-elles ?
Laurent F
12 décembre 2022 @ 09:21
Sur la dernière photo on reconnait en gris à l’extrême gauche Madeleine Bernadotte, fille du prince Carl de Suède, frère de la reine Astrid et de la princesse Martha de Norvège.
Malthus
12 décembre 2022 @ 11:59
Cette Madeleine avait épousé un noble belge, mais je ne sais pas si le mariage a duré.
Passiflore
12 décembre 2022 @ 20:34
Malthus,
Madeleine Bernadotte a été mariée avec Charles, comte Ullens de Schooten Whettnall (1927-2006), dont Marie-Christine, Jean-Charles, Astrid, Sophie. Divorcés
Elle s’est remariée avec Nicolaos Kogevinas (1918-2006), dont
Désirée. Il semble que, lui, se soit remarié.
Camille
21 décembre 2022 @ 12:41
Oui, une de ses filles est une actrice belge talentueuse , active au théâtre comme au cinéma, appelée Astrid Whitnall.
lila🌷la vraie
11 décembre 2022 @ 23:20
Toujours la reine Silvia est parfaite en toutes circonstances .
chicarde
12 décembre 2022 @ 00:35
J’adore vraiment la robe de ‘Vicky’, tant pour sa tendre couleur rose que pour ses beaux plis !! Quelle future reine !!
YOM
12 décembre 2022 @ 18:44
Mais je ne supporte pas,Hoellebecq,il me déplaît, un réac de première.
Hervé J. VOLTO
12 décembre 2022 @ 21:36
Avant le Nobel était uniquement distribué en Suède. la remise du Prix Nobel reste pour ce pays une occasion de grand prestige.
Ces messieurs sortent leur tenue de gala, ces dames leurs robes longues.
Port des différents grades de l’Ordre Dynatique de la Monarchie invitante : chevalier (déoration portée à l’oeillère); commandeur (une fasche) ; grand-croix (une fasche plus une plaque portée coté gauche).
La reine Silvia portait une robe violette et son habituel bracelet LOVE de chez Cartier au poignet. La robe violette était assortie au magnifique diadème d’améthystes de style Empire que possède la famille royale. L’améthyste a une couleur indigo, mauve, violacée voire bleutée en fonction du type de pierres, de la taille et de la luminosité. De manière générale, on peut dire que l’améthyste est pourpre, couleur royale par excellence.
Hervé J. VOLTO
12 décembre 2022 @ 23:04
Je me suis trompé, excusez-moi ! Port des décorations : Chevalier (décoration portée à l’oeillère); Commandeur (un collier) ; Grand-Croix (une fasche plus une plaque portée coté gauche).
Pour une femme, on ne dit Chevalière mais Dame de Chevalerie, on ne dit pas Commandeuses mais commandeuRE, et on dit Dame Grand-Croix.