A Fishmongers Hall à Londres, le prince de Galles et le prince Harry ont pris part au lancement de l’année internationale des récifs. (Copyright photos : Getty images)
Les récifs … Connais rien au sujet, môa. Qu’est-ce qu’ils ont les récifs, qui ne va pas ? Du plastique partout, à la Christo ? Ou autre chose ?
Si les océanologues de N&R pouvaient éclairer ma lanterne … ?
L’année 2018 sera officiellement la 3ème année Internationale des récifs coralliens. Après déjà deux éditions et face à l’urgence climatique qui pèse sur ces écosystèmes, les espérances et l’enjeu sont de taille !
L’ICRI (l’initiative internationale pour les récifs coralliens) est à l’ origine de ces événements. Cette organisation est un partenariat informel entre les nations et les organisations qui s’efforcent de préserver les récifs coralliens et les écosystèmes connexes à travers le monde.
Fondée en 1994 par huit gouvernements : l’Australie, la France, le Japon, la Jamaïque, les Philippines, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis d’Amérique, l’ICRI compte aujourd’hui plus de 60 membres. Cette année encore, elle les encourage à soutenir et à participer à la planification de l’édition 2018, tout en facilitant le développement des activités au niveau national. Des dates importantes dans la lutte pour la protection des récifs coralliens En 1997, cette action de groupe a permis d’éveiller les consciences au sujet des enjeux environnementaux et sociaux liés aux récifs coralliens, ainsi que de soutenir les efforts de conservation, de recherche et de gestion connexes. Plus de 225 organisations ont participé dans 50 pays et territoires. Environ 700 articles sont parus dans les journaux et des centaines d’enquêtes scientifiques ont été entreprises. Onze ans plus tard, en 2008, on a observé un grand rassemblement entre les nations, les organisations et les individus du monde entier pour sensibiliser et motiver les gens à agir. Une quantité impressionnante de matériel pédagogique a été produite en plusieurs langues au cours de cette année, dont des affiches, des DVD éducatifs et des livres pour enfants. Plus de 630 événements ont été organisés dans plus de 65 pays et territoires à travers le monde. 2018, une année porteuse d’espoir Cette année, nous espérons que cet élan va s’amplifier et qu’il y aura une réelle prise de conscience à l’échelle mondiale sur la valeur des récifs coralliens et des écosystèmes associés, mais également sur les menaces qui pèsent sur eux. Pour cela, l’ICRI soutient les partenariats entre les gouvernements, le secteur privé, le monde universitaire et la société civile sur la gestion des récifs coralliens. Les objectifs principaux sont l’identification et la mise en œuvre de stratégies efficaces pour la conservation, ainsi que la résilience accrue et l’utilisation durable de ces écosystèmes. La promotion des « best practices » est au centre de l’initiative : partager des informations sur les meilleures pratiques en matière de gestion durable des récifs coralliens permettrait la multiplication des projets qui vont dans ce sens. Par exemple, le concept de conservation marine participative élaboré par Coral Guardian pourrait être répliqué partout dans le monde à condition d’obtenir un maillage plus fort entre soutiens et partenaires : https://www.coralguardian.org/conservation-recifs-coralliens/ Si l’ensemble des acteurs du milieu s’unissent pour protéger ces écosystèmes menacés de disparition et porter le sujet sur le devant de la scène médiatique, l’année 2018 pourrait bien marquer un tournant décisif dans la sauvegarde de la biodiversité marine. Partenaire, RSE Coral Guardian
Je ne suis pas océanographe mais le peu que je sache sur ce sujet qui paraît banal, c’est que des conditions de vie meilleures, pour certains peuples( les fidjiens par exemple) dépendent de la sauvegarde de ces récifs coralliens.
La pollution, le blanchissement des coraux sous l’effet des changements climatiques, la surpêche etc…qui menacent la sécurité alimentaire des îles océaniques.
Sont concernés le gouvernement, les entreprises citoyennes, les universités et société civiles, les secteurs privés, qui échangent pour une meilleure gestion durable de ces récifs et ses menaces: substances chimiques, changement climatique, rejets d’eaux usées…
A part ça j’aime bien voir cette complicité entre Charles et ses garçons, surtout avec son dernier.
Quel que soit l’avenir politique de la couronne britannique, la monarchie va évoluer vers des comportements publics beaucoup plus naturels entre membres de cette famille, ce qui paraît naturel et plus en phase avec l’époque.
Père et fils qui s’entendent bien. La jeune génération va dépoussiérer cette monarchie, plombée par la rigidité et l’âge d’ Elisabeth 2.
Charles, un petit passage chez le coiffeur pour rafraîchir cette nuque continuellement mal taillée…
C’est la troisième c’est la troisième année internationale des récifs coralliens après 1997 et 2008. La survie des coraux est menacée par le réchauffement climatique et l’urbanisation des littoraux.
Les récifs coralliens ne représentent que 0,2 % de la surface des océans mais abritent 30 % des écosystèmes.
Un seul kilomètre carré de récif réunit autant d’espèces que la totalité des côtes françaises. Avec 4,8 % des récifs coralliens de la planète, la France se place au quatrième rang, après l’Indonésie, l’Australie et les Philippines. 500 millions de personnes sont directement liées à ces récifs. Or 20 % des récifs de la planète sont déjà perdus et 25 % gravement menacés.
Les eaux sont réchauffées, les océans acidifiés, le niveau de la mer monte. L’accrétion du corail se fait à un rythme de 1 à 4 mm par an et l’eau monte de 6 à 9 mm par an.
Il faut sensibiliser le public et les politiques et prendre des précautions, proscrire la cueillette du corail, ne pas marcher sur les récifs notamment sur la Grande Barrière en Australie qui a subi par deux fois des épisodes de blanchiment qui ont entraîné jusqu’à parfois 60 % de mortalité du corail. Il faut éviter les pollutions par fosses septiques ou engrais par exemple et limiter la surpêche.
L’ICRI, l’Initiative internationale pour les récifs coralliens, est à l’origine de ces années, en partenariat informel entre les nations et les organisations de protection des écosystèmes. Cet organisme a été fondé en 1994 par l’Australie, la France, le Japon, la Jamaïque, les Philippines, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis d’Amérique et compte aujourd’hui plus de 60 membres.
En 1997, cette action de groupe a permis d’éveiller les consciences au sujet des enjeux environnementaux et sociaux liés aux récifs coralliens, avec plus de 225 organisations dans 50 pays et territoires. En 2008, on a compté plus de 630 événements dans plus de 65 pays et territoires.
Cette année les objectifs principaux sont l’identification et la mise en œuvre de stratégies efficaces pour la conservation, ainsi que la résilience accrue et l’utilisation durable de ces écosystèmes. Un effort particulier est porté sur les récifs coralliens des Fidji.
Oui touchantes photos et réelle complicité entre père et fils que je crois sincère……..bien loin de tout ce qui peut être lu parfois sur le site visant Charles.
Oui si c’est pour la protection de notre écosystème. Dommage que des thèmes aussi importants ne soient pas vraiment pris au sérieux. Alors qu’il en va de la survie de certains peuples.
Leonor
15 février 2018 @ 10:11
Les récifs … Connais rien au sujet, môa. Qu’est-ce qu’ils ont les récifs, qui ne va pas ? Du plastique partout, à la Christo ? Ou autre chose ?
Si les océanologues de N&R pouvaient éclairer ma lanterne … ?
Figaro
15 février 2018 @ 14:53
L’année 2018 sera officiellement la 3ème année Internationale des récifs coralliens. Après déjà deux éditions et face à l’urgence climatique qui pèse sur ces écosystèmes, les espérances et l’enjeu sont de taille !
L’ICRI (l’initiative internationale pour les récifs coralliens) est à l’ origine de ces événements. Cette organisation est un partenariat informel entre les nations et les organisations qui s’efforcent de préserver les récifs coralliens et les écosystèmes connexes à travers le monde.
Fondée en 1994 par huit gouvernements : l’Australie, la France, le Japon, la Jamaïque, les Philippines, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis d’Amérique, l’ICRI compte aujourd’hui plus de 60 membres. Cette année encore, elle les encourage à soutenir et à participer à la planification de l’édition 2018, tout en facilitant le développement des activités au niveau national. Des dates importantes dans la lutte pour la protection des récifs coralliens En 1997, cette action de groupe a permis d’éveiller les consciences au sujet des enjeux environnementaux et sociaux liés aux récifs coralliens, ainsi que de soutenir les efforts de conservation, de recherche et de gestion connexes. Plus de 225 organisations ont participé dans 50 pays et territoires. Environ 700 articles sont parus dans les journaux et des centaines d’enquêtes scientifiques ont été entreprises. Onze ans plus tard, en 2008, on a observé un grand rassemblement entre les nations, les organisations et les individus du monde entier pour sensibiliser et motiver les gens à agir. Une quantité impressionnante de matériel pédagogique a été produite en plusieurs langues au cours de cette année, dont des affiches, des DVD éducatifs et des livres pour enfants. Plus de 630 événements ont été organisés dans plus de 65 pays et territoires à travers le monde. 2018, une année porteuse d’espoir Cette année, nous espérons que cet élan va s’amplifier et qu’il y aura une réelle prise de conscience à l’échelle mondiale sur la valeur des récifs coralliens et des écosystèmes associés, mais également sur les menaces qui pèsent sur eux. Pour cela, l’ICRI soutient les partenariats entre les gouvernements, le secteur privé, le monde universitaire et la société civile sur la gestion des récifs coralliens. Les objectifs principaux sont l’identification et la mise en œuvre de stratégies efficaces pour la conservation, ainsi que la résilience accrue et l’utilisation durable de ces écosystèmes. La promotion des « best practices » est au centre de l’initiative : partager des informations sur les meilleures pratiques en matière de gestion durable des récifs coralliens permettrait la multiplication des projets qui vont dans ce sens. Par exemple, le concept de conservation marine participative élaboré par Coral Guardian pourrait être répliqué partout dans le monde à condition d’obtenir un maillage plus fort entre soutiens et partenaires : https://www.coralguardian.org/conservation-recifs-coralliens/ Si l’ensemble des acteurs du milieu s’unissent pour protéger ces écosystèmes menacés de disparition et porter le sujet sur le devant de la scène médiatique, l’année 2018 pourrait bien marquer un tournant décisif dans la sauvegarde de la biodiversité marine. Partenaire, RSE Coral Guardian
En savoir +: https://www.coralguardian.org/annee-internationale-recifs-coralliens-2018/
Sophie
15 février 2018 @ 20:15
Je ne suis pas océanographe mais le peu que je sache sur ce sujet qui paraît banal, c’est que des conditions de vie meilleures, pour certains peuples( les fidjiens par exemple) dépendent de la sauvegarde de ces récifs coralliens.
La pollution, le blanchissement des coraux sous l’effet des changements climatiques, la surpêche etc…qui menacent la sécurité alimentaire des îles océaniques.
Sont concernés le gouvernement, les entreprises citoyennes, les universités et société civiles, les secteurs privés, qui échangent pour une meilleure gestion durable de ces récifs et ses menaces: substances chimiques, changement climatique, rejets d’eaux usées…
A part ça j’aime bien voir cette complicité entre Charles et ses garçons, surtout avec son dernier.
Leonor
16 février 2018 @ 21:46
Avec l’adjectif » corallien » après récifs, je comprends déjà mieux.
Merci Figaro et Sophie, pour toutes vos précisions.
Gatienne
15 février 2018 @ 10:30
Quel que soit l’avenir politique de la couronne britannique, la monarchie va évoluer vers des comportements publics beaucoup plus naturels entre membres de cette famille, ce qui paraît naturel et plus en phase avec l’époque.
monica
17 février 2018 @ 19:35
Gatienne je plussoie
Valerielabelle
15 février 2018 @ 11:46
Charmant tandem !
milou
15 février 2018 @ 12:31
Touchantes photos…Charles est un père proche de ses fils …avec naturel et simplicité !
ml
Mary
15 février 2018 @ 13:28
Qu’il aillent expliquer cela aux autochtones ignorants qui les piétinent en riant !
Marie1
15 février 2018 @ 15:00
Belles photos, belle complicité entre le Prince Charles et Harry.
Athena
15 février 2018 @ 17:27
S’il s’agit des récifs coralliens, ils sont en grand danger !
Milena K
15 février 2018 @ 18:55
Harry est vraiment séduisant,sur ces photos(sûrement l’effet « Meghan »!)…et Charles semble très proche de ses fils.
Bambou
15 février 2018 @ 19:14
Père et fils qui s’entendent bien. La jeune génération va dépoussiérer cette monarchie, plombée par la rigidité et l’âge d’ Elisabeth 2.
Charles, un petit passage chez le coiffeur pour rafraîchir cette nuque continuellement mal taillée…
Gérard
15 février 2018 @ 19:35
C’est la troisième c’est la troisième année internationale des récifs coralliens après 1997 et 2008. La survie des coraux est menacée par le réchauffement climatique et l’urbanisation des littoraux.
Les récifs coralliens ne représentent que 0,2 % de la surface des océans mais abritent 30 % des écosystèmes.
Un seul kilomètre carré de récif réunit autant d’espèces que la totalité des côtes françaises. Avec 4,8 % des récifs coralliens de la planète, la France se place au quatrième rang, après l’Indonésie, l’Australie et les Philippines. 500 millions de personnes sont directement liées à ces récifs. Or 20 % des récifs de la planète sont déjà perdus et 25 % gravement menacés.
Les eaux sont réchauffées, les océans acidifiés, le niveau de la mer monte. L’accrétion du corail se fait à un rythme de 1 à 4 mm par an et l’eau monte de 6 à 9 mm par an.
Il faut sensibiliser le public et les politiques et prendre des précautions, proscrire la cueillette du corail, ne pas marcher sur les récifs notamment sur la Grande Barrière en Australie qui a subi par deux fois des épisodes de blanchiment qui ont entraîné jusqu’à parfois 60 % de mortalité du corail. Il faut éviter les pollutions par fosses septiques ou engrais par exemple et limiter la surpêche.
L’ICRI, l’Initiative internationale pour les récifs coralliens, est à l’origine de ces années, en partenariat informel entre les nations et les organisations de protection des écosystèmes. Cet organisme a été fondé en 1994 par l’Australie, la France, le Japon, la Jamaïque, les Philippines, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis d’Amérique et compte aujourd’hui plus de 60 membres.
En 1997, cette action de groupe a permis d’éveiller les consciences au sujet des enjeux environnementaux et sociaux liés aux récifs coralliens, avec plus de 225 organisations dans 50 pays et territoires. En 2008, on a compté plus de 630 événements dans plus de 65 pays et territoires.
Cette année les objectifs principaux sont l’identification et la mise en œuvre de stratégies efficaces pour la conservation, ainsi que la résilience accrue et l’utilisation durable de ces écosystèmes. Un effort particulier est porté sur les récifs coralliens des Fidji.
.limaya
16 février 2018 @ 06:32
Oui touchantes photos et réelle complicité entre père et fils que je crois sincère……..bien loin de tout ce qui peut être lu parfois sur le site visant Charles.
Nico
16 février 2018 @ 13:44
Oui le poulailler est étrangement calme devant ce genre de photo …
bianca
17 février 2018 @ 16:34
Normal, il manque une volaille !
Nico
18 février 2018 @ 16:07
Ben non vous voilà !
monica
17 février 2018 @ 19:37
L’image et Nico il est vrai que d après certaines, l amour entre eux n était que forcé. ..
Kylian de Rennes
16 février 2018 @ 07:43
Oui si c’est pour la protection de notre écosystème. Dommage que des thèmes aussi importants ne soient pas vraiment pris au sérieux. Alors qu’il en va de la survie de certains peuples.