Le château de Blancafort à été vendu à 1.900.000 euros (+100.000€ de frais d’agence) à une personne dont l’identité n’a pas été dévoilée. Les enchères se sont jouées aujourd’hui entre deux personnes. Le château était estimé à 4.900.000 euros et est donc parti bien en dessous de cette estimation. (merci à Quentin)
JAusten
29 octobre 2017 @ 10:55
c’était le risque qu’avait pris, il me semble, les propriétaires en mettant leur bien en vente « sans réserve ».
Et bien que le nouveau proprio qui n’a pas voulu se faire connaitre en fasse bon usage.
Philippe Gain d'Enquin
29 octobre 2017 @ 19:50
Nous savons néanmoins qu’il est/était blancable…
Margaux ?
30 octobre 2017 @ 13:28
??
JAusten
31 octobre 2017 @ 19:43
:)
Gibbs
29 octobre 2017 @ 10:58
Infos locales :
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwi_m8jQyJXXAhVE1BoKHaBXCRIQqUMIPzAD&url=http%3A%2F%2Ffrance3-regions.francetvinfo.fr%2Fcentre-val-de-loire%2Fcher%2Fcher-chateau-blancafort-vendu-19-millions-euros-1356145.html&usg=AOvVaw2H8X0jU2j8fN054L8i9kay
Gibbs
29 octobre 2017 @ 11:01
Désolée pour la suite de la page.
Les châteaux se vendent mal…
Muscate-Valeska de Lisabé
29 octobre 2017 @ 23:02
Ce sont des puits de dépenses infinies…mais si j’avais été bien-bien riche,j’aurais adoré être châtelaine. Par contre j’ai mon idée, et je crois que très longtemps, j’aurais cherché la perle avant de la trouver.
Margaux ?
30 octobre 2017 @ 14:15
C’est effectivement un investissement, souvent celui d’une vie, en tout cas celui d’une passion. Je pense qu’il ne faut pas raisonner sur la seule base financière, lorsqu’il s’agit d’acquisition d’un bien de grande valeur. C’est passionnel avant tout.
J’ai connu cela avec mon violon. Lorsque nous nous sommes rencontrés, il y a eu un réel coup de cœur. Le hasard et l’aubaine de la rencontre ont sûrement beaucoup fait, néanmoins je pense que nous étions destinés à nous rejoindre à ce moment précis. Il était en déshérence suite au décès de son propriétaire et face au peu d’intérêt que nourrissaient les héritiers pour lui, et pour la musique au sens large ; j’étais en fin de cycle d’études musicales et à la recherche du compagnon qui allait m’accompagner sur la longue route qui s’ouvrait devant moi. Voilà.
Je dis rarement que je l’ai « acheté » – d’autant que le prix payé est très inférieur à la valeur réelle de l’instrument. Je trouve plus élégant de dire que nous nous sommes « adoptés » car sur le fond, c’est complètement ce qui s’est produit. Il m’aime, je l’aime, nous nous aimons ! ?
Je l’ai fait restaurer, cela m’a coûté presque un mois de mon salaire de l’époque. Depuis, il est régulièrement examiné et soigné, chez son luthier de toujours. Les coûts restent conséquents – même si j’ai aujourd’hui des revenus qui me permettent plus facilement d’exposer ces frais – mais je ne regrette rien car ce n’est que du bonheur, autant à jouer qu’à évoquer. Et surtout, c’est l’expression de ma passion, telle que je la concevais lorsque j’ai commencé à jouer du violon. Je voulais ça, je l’ai, je suis heureuse.
Certes un violon n’est pas un château mais, la valeur s’appréciant par la nature de l’objet, il paraît souvent fou de « claquer » d’importantes sommes dans quelque chose de matériel, et pourtant c’est l’aboutissement d’une passion, un truc qui ne s’explique bien souvent pas. Les acquéreurs de châteaux semblent un peu dingue mais ils sont d’éternels gamins qui assouvissent un rêve, rien de plus. Je ne suis pas amatrice de belles pierres au point de les acquérir – mais j’aime les mettre en valeur et donc je les photographie (encore une belle passion parmi d’autres). Du coup, je comprends qu’en ayant les moyens et une vraie passion, on puisse se mettre en tête d’acquérir un château ou une abbaye ou une ancienne gare, ou… et qu’on finisse par voir aboutir ce projet.
JAusten
31 octobre 2017 @ 19:52
vous jouez du violon ?
Clément II
1 novembre 2017 @ 12:26
« vous jouez du violon ? »
Oh la la, oui elle en joue… ? ?
Mais je m’égare.
En effet, souvent les passions sont assez dévorantes d’un point de vue financier ; il paraît que lorsque l’on aime, on ne compte pas.
Pascal
1 novembre 2017 @ 19:18
C’est un très beau commentaire et une très belle histoire que vous avez bien voulu nous faire connaître , merci !
Tout comme les pierres précieuses prestigieuses ces violons acquièrent une sorte d’existence propre au gré de leurs propriétaires successifs .
J’ai vu dernièrement un reportage (dans la remarquable série histoires naturelles) où un luthier allait en forêt choisir l’épicéa dont seraient tirées les planches qu’il travaillerait en faisant « sonner » le tronc et aussi le pin qui serait utilisé pour faire le vernis .
Philibert
1 novembre 2017 @ 20:50
Margaux est amoureuse de son violon. Pourquoi pas, dans le fond ?
Pour d’autres, leur château est leur « danseuse » : ils en jouissent, mais ils ont beaucoup de frais.
A chacun son choix de vie…
Margaux ??
1 novembre 2017 @ 21:27
Oui, JAusten. ?
Margaux ?
30 octobre 2017 @ 14:19
Bon, sur ce coup là (aussi), la passion s’est faite sur fond d’une belle affaire. Tant mieux. C’était à saisir et ç’a été saisi.
Margaux ?
30 octobre 2017 @ 14:19
« s’est faite »
s’est exprimée (pardon)
Jacqueline de Chevreuse
30 octobre 2017 @ 21:15
Tout comme vous Muscate! Et je n’aurais pas retenu ce château! Mais il y en a d’autres en France qui font battre mon coeur… Beaucoup plus petits d’ailleurs!
DEB
29 octobre 2017 @ 11:22
Voilà c’est bien ce que disais, dans l’article précédent , en vendant » sans réserve » le vendeur courait le risque que le château soit adjugé en deçà de sa valeur.
Et c’est arrivé !
Philibert
1 novembre 2017 @ 21:02
En tout cas, quelqu’un qui s’y retrouve bien, c’est l’agence : 100.000 euros pour une valeur adjugée de 1.900.000 euros, ça fait 5,26 %, ce qui est vraiment beaucoup pour un bien semblable !
Muscate-Valeska de Lisabé
29 octobre 2017 @ 11:28
On imagine la déception du vendeur et la satisfaction de l’acheteur,qui semble avoir fait »une affaire »…c’est souvent variables,les estimations. ..mais là, c’est énorme.
HRC
29 octobre 2017 @ 11:33
le marché immobilier est plein de surprises : le chäteau du Paluel vient de faire l’objet d’une surenchère à 930 000 e, en Dordogne.
HRC
30 octobre 2017 @ 00:47
on peut penser que les communs divers vont devenir hôtel et restaurant, la forteresse elle-même restant quasi-vide. Un décor.
Marcel
29 octobre 2017 @ 11:52
J’espère que le château conservera sa physionomie actuelle et qu’il sera ouvert au public.
Trianon
29 octobre 2017 @ 20:28
Personnellement, sî je mettais 2 millions d’euros sur la table pour acheter un bien immobilier ( en plus, un chateau, on peut penser qu’il y a un côté » coup de coeur « ) ce ne serait pas pour l’ouvrir au public.
Surtout quand on sait les contraintes que ça implique ( assurances et ..)
Danielle
29 octobre 2017 @ 11:57
L’estimation avait elle prévu des frais de rénovation ?
Quelle chute pour le vendeur !!
Michèle Lobre
29 octobre 2017 @ 12:00
Ce sont toujours de « mystérieux » acheteurs , il n’y a pas de honte à acheter une belle propriété . Ces personnes veulent échapper à l’ impôt sur le patrimoine ? Impossible ou alors il fallait acheter avec une SCI ou SCP.
Dorothée
29 octobre 2017 @ 18:35
Pas forcément ce sont peut-être des chinois ou des quataris…! et on préfère ne pas le signaler de suite !
Margaux ?
30 octobre 2017 @ 14:21
Les chinois et les qataris – sur lesquels vous semblez faire une fixette qui dépasse le simple raisonnement patrimonial – ne sont généralement pas discrets sur leurs acquisitions, fiers qu’ils sont d’avoir ravi un bout de patrimoine européen.
Trianon
29 octobre 2017 @ 20:29
Mais tout simplement le souhait de rester dans la discrétion,…où est le probleme?
Margaux ?
30 octobre 2017 @ 10:20
Si l’acquéreur est étranger, c’est vrai qu’il est un peu ridicule de ne pas se dévoiler, sachant qu’il risque peu. En revanche, si c’est un Français qui s’est payé ce luxe, je le comprends. Dans ce pays, les riches sont bien mal vus et il n’est pas rare de lire ou entendre des propos très désobligeants sur untel entrepreneur, ou restaurateur qui a racheté le château du coin, souvent peu de choses (en comparaison de celui-ci notamment). Je pense donc qu’il peut s’avérer utile de rester un peu discret, au moins le temps que les choses s’installent dans l’esprit des un et des autres. À terme, le nom sera quand même connu.
Trianon
30 octobre 2017 @ 13:18
Je vous ai répondu sur l’article du château de Lea de Belgique
Françoise
30 octobre 2017 @ 12:44
De toutes les façons plus tôt que tard tout le monde saura qui habite ce château donc ridicule de se cacher
Clément II
1 novembre 2017 @ 12:28
Ce n’est pas faux. L’acquéreur veut peut-être un court répit, allez savoir. ?
Francois
29 octobre 2017 @ 14:00
Difficile d’évaluer un château
Mais si l’on peut acquérir un château pour le prix
d’un appartement
Bien qu’a Paris ce prix soit celui d’un appartement certes grand
mais pas extraordinaire
Le gros probleme demeure l’entretien
Car de nos jours lors même en a t on les moyens
Faut il trouver de l’aide efficace et faut il avoir l’endurance
de faire face aux soucis quotidiens
Beacoup renoncent
Trianon
29 octobre 2017 @ 20:30
Pour ce prixlà, vous avez 200 m2 rue Émile Menier dans le XVI
Baia
30 octobre 2017 @ 13:31
Peut-être Trianon, mais au 1er étage, sans cave et sans parking !
Trianon
31 octobre 2017 @ 16:03
heu…non, il y a une cave, mais pas de parking en effet,.. mais c’est un second étage, dans de l’ancien, immeuble hausmanien, avec de beaux volumes.
me voila transformée an agent immobilier Daniel Feau..:)
Trianon
1 novembre 2017 @ 11:08
En…
Muscate-Valeska de Lisabé
30 octobre 2017 @ 16:24
Bien vu Trianon.
Bertrand de Rimouski ( Canada )
29 octobre 2017 @ 14:38
De 1781 à 1919 le château de Blancafort appartient à la famille de Duranti. Certains membres de cette famille ont d’ailleurs été maires du village. Le comte de Duranti qui achète le château de Blancafort en 1781 est membre de l’administration financière à Versailles. Dans l’église de Blancafort est conservée une copie d’une Sainte-Famille de Mignard réalisée par Charlotte de Duranti en 1834.
De 1919 à 1963, le château de Blancafort a connu plusieurs propriétaires successifs. Pendant la seconde Guerre le monument a été occupé par les Allemands qui ont presque entièrement détruit le chartrier du château. Ce qui reste du chartrier est aujourd’hui conservé aux archives départementales du Cher à Bourges. Le château est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 19 février 19263
En 1963, le château est acheté par la baronne de Cramer. Elle entreprend une importante restauration du monument. Elle écrit d’ailleurs que c’est surtout l’intérieur « qui avait subi l’outrage »4. Elle lance également la création d’un jardin à la française en avant de la façade ouest du château.
La Baronne de Cramer léguera le château de Blancafort 20 ans plus tard à son petit-fils le comte Alban de Montjou pour ses 18 ans.[réf. nécessaire].
Ce dernier s’emploiera à continuer de faire vivre le château en l’ouvrant à la visite, en créant des salles de réceptions et en proposant le château comme lieu de tournage de films. M. de Montjou est le fondateur de l’entreprise parisienne A2M Déco.
Le comte Alban de Montjou mettra en vente le château en 2017 par l’agence immobilière New-yorkaise Concierge Auctions.
Mayg
29 octobre 2017 @ 14:50
Merci pour ces infos Bertrand du Canada.
marianne
29 octobre 2017 @ 19:26
Merci Bertrand. Je ne savais pas ce qu’ est un chartrier .
Gérard
29 octobre 2017 @ 20:50
Vieille famille provençale les Duranti.
Margaux ?
30 octobre 2017 @ 10:22
Merci Bertrand… et Wikipédia. ?
Alinéas
29 octobre 2017 @ 16:13
Merci beaucoup pour ces quelques lignes détaillées.!
Alinéas
ciboulette
29 octobre 2017 @ 17:45
L’acheteur ne veut pas se dévoiler , c’est mauvais signe .
Nicole C 34
29 octobre 2017 @ 18:35
Dommage, on aimerait savoir si l’acheteur est français ,ou acheté par des asiatiques ou des africains…comme beaucoup de domaines viticoles…..sans en vouloir aux étrangers le patrimoine s’en va !
Margaux ?
30 octobre 2017 @ 14:22
Ah oui, « les africains » aussi, je les avais oubliés dans la catégorie « à fixer à tout prix »…
Quentin
29 octobre 2017 @ 18:50
Merci à ceux qui ont réussi à aller sur wikipédia ^^ (c’est moi qui est écris le texte).
L’acheteur n’a aucun travaux de rénovation à faire car le château est « comme neuf ». Seuls les cuirs dorés tendus sur les murs de la salle à manger sont à refaire.
Comme dit dans le post annonçant la vente du château de Blancafort, je le connais ayant été un habitué des lieux (j’y ai passé toutes mes vacances étant jeune).
Le proprio et sa famille se partage entre Paris, la Suisse où ils se font construire des maisons. Le château était là pour le week-end.
Mais avec ses gardiens/guides présents depuis quelques années ça se passait très mal.
Le nombre de visiteurs est passé de 10.000 / an à – 6.000 / an (à 9.50€ la visite ça faisait aussi trop cher, on se serait cru à un château de la Loire à se tarif là) et le nombre de mariage (+ 3000€ chacun) de 9 à 0 / an. Donc forcément ça n’arrange pas les finances. Et puis les gardiens se sont mis à dos les commerçants, artisans, l’office de tourisme…
Avec tout ça on peut comprendre la vente, mais peut être aurait il suffit de changer de gardiens. Pour avoir été là les derniers jours d’ouverture ce sont de vrais mythos, lui pas aimable, elle n’y connait rien, se permet de dire des choses sur les proprios que les gens n’ont pas besoins de savoir et l’entretien ménager intérieur laissait à désirer. Aucune fleur dans les pièces etcetc, bref ce n’était pas ce que j’avais connu avant avec les anciens gardiens.
Baia
30 octobre 2017 @ 13:57
Dommage effectivement d’être, en quelle que sorte, dans l’obligation de vendre une propriété familiale à cause des gardiens !
Margaux ?
30 octobre 2017 @ 14:25
L’article est de qualité.
Au vu de ce que vous dites, j’espère que les gardiens seront limogés sans égards, pour qu’enfin de vraies gens volontaires viennent entretenir (dans tous les sens du terme) ce joli patrimoine bâti.
Pascal
30 octobre 2017 @ 17:25
Merci Quentin
Voilà des renseignements comme on les aime , précis et de première main .
Si j’en juge par son parc et votre commentaire ce château mériterait de trouver des propriétaires qui l’occupent un peu plus que quelques week-end par an .
l'Alsacienne
31 octobre 2017 @ 18:26
Voilà ce qui arrive quand manque l’œil du maître.
JAusten
31 octobre 2017 @ 19:57
merci Quentin … il est arrivé, peut-être, ce qui devait arriver : les gardiens se sont pris pour les maîtres des lieux, ils ont voulu faire crouler le château pour le racheter à bas prix … mais si plaie d’argent n’est pas mortelle, bien mal acquis ne profite jamais.
Clément II
1 novembre 2017 @ 12:31
Il y a de l’envolée lyrique par ici. Vous avez besoin d’un violon pour accompagner? ?
Mary
29 octobre 2017 @ 19:44
Quelle ,pardon.
claudie
29 octobre 2017 @ 19:46
La baronne de Cramer avait aussi un château à Noisy/Ecole (94) elle avait fait de son château un pensionnat pour personnes très riches, le fils de Brigitte bardot a fait ses études à cet endroit. La baronne venait faire ses courses à Milly la Forêt qui est à 5 kms et était une cliente de mon oncle qui tenait une bijouterie/horlogerie.
desalleurs
30 octobre 2017 @ 02:34
Je ne vois vraiment pas ce qui justifie les 4900000 euros pour un tel bâtiment.
Quand on part sur du n’importe quoi, il faut s’attendre à retomber sur terre.
Mon voisin a mis en vente son appartement à 600 000 euros, je pense qu’il sera vendu dans les 350 000.
clement
30 octobre 2017 @ 09:52
Ce château a beaucoup de caractère ,quel dommage de s’en être défait !
Muscate-Valeska de Lisabé
30 octobre 2017 @ 16:25
Mais…Il y a quelqu’un qui se l’ait fait! ;-))
JAY
30 octobre 2017 @ 13:54
4,9 millions valeur donnée par qui?
l'Alsacienne
31 octobre 2017 @ 18:27
par Stéphane Plaza ?
Clément II
1 novembre 2017 @ 12:32
Je n’avais pas osé.
C’est vrai que 4,9 millions sont un peu excessifs.
Michèle Lobre
30 octobre 2017 @ 20:02
François et Trianon bien d’accord avec vous on peut avoir effectivement les liquidités pour s’offrir la propriété mais il faut songer à l’entretien qui coûte plus que celui d’un appartement à Paris: les notes de chauffage, réfection des toitures, entretien du parc…donc une fortune solide où les revenus conséquents ou piocher dans les caisses comme Mr Fillon
desalleurs
31 octobre 2017 @ 07:07
IL est moins difficile de se séparer d’un château qui a du caractère que de séparer d’un château qui a du charme.
En plus de cela, il ne s’agissait pas d’une demeure de famille mais d’un achat récent, donc ni histoires familiales et ni souvenirs anciens attachants.
Quentin
31 octobre 2017 @ 16:46
Faux, le château est dans la famille certes depuis moins de 100 ans mais c’est sa grand-mère qui l’a acheté, restauré et lui a donné. Ses filles y ont grandit, les enfants de sa soeur aussi. Donc c’est une demeure de famille.
Ghislaine-Perrynn
1 novembre 2017 @ 16:38
Merci Quentin votre témoignage donne de la valeur ajoutée à ce post !
clement
31 octobre 2017 @ 16:49
D’accord desalleurs ,je comprends mieux maintenant !
desalleurs
2 novembre 2017 @ 05:19
Quentin, s’il suffit d’avoir grandi dans une maison pour qu’elle devienne une demeure de famille, où va-t-on ? La langue française a des subtilités qu’il serait bon de ne pas méconnaître.