Tout au long du mois d’octobre, le château de Cheverny se mettra au rose pour soutenir la campagne annuelle de dépistage du cancer du sein.
Tout au long du mois d’octobre, le château de Cheverny se mettra au rose pour soutenir la campagne annuelle de dépistage du cancer du sein.
Marie de Cessy
2 octobre 2019 @ 09:21
Excellente initiative pour sensibiliser sur ce fléau qu’est le cancer du sein
septentrion
2 octobre 2019 @ 11:12
Un octobre rose de plus, et toujours plus de cas, des femmes de plus en plus jeunes.
Après moi, maintenant c’est le « tour » de ma mère il ne faut pas arrêter la surveillance après l’âge de 74 ans surtout pas…
Avoir et garder une bonne hygiène de vie, faire du sport, chanter, danser, lire, Vivre…
Claudia
2 octobre 2019 @ 16:55
En effet je ne comprends pas pourquoi le dépistage organisé d’arrête après l’âge de 74 ans, je sais bien que tout cela coûte à la Sécurité Sociale, mais les traitements anti-cancers aussi….Bon courage pour votre mère Septentrion.
septentrion
5 octobre 2019 @ 11:52
Claudia,
Merci beaucoup pour Elle, ma mère est forte et en bonne condition physique, elle a, comme pour mon cas, découvert par elle même que quelque chose « clochait » et je reste persuadée que l’impact psychologique n’est pas le même que quand cela nous est annoncé sans signes annonciateurs justement. Ensuite il faut aller au bon endroit et demander un second avis si nécessaire. Mais le dépistage est important. En parler pour dédramatiser aussi.
Prenez bien soin de vous Claudia si vous le permettez et toutes les Femmes qui me liront.
STIERNON
2 octobre 2019 @ 15:09
Et surtout avoir un entourage aimant et soutenant.
Sans ça, on peut se poser la question si ça vaut la peine de subir tous les soins et leurs conséquences dont on ne parle jamais et qui ont un coût souvent insupportable quand on a une petite retraite. Quel intérêt d’être guerie de son cancer qui n’était pas douloureux pour souffrir de brûlures, de problèmes de tuyauterie etc après.
septentrion
5 octobre 2019 @ 12:14
STIERNON,
TRès d’accord avec ce que vous avez écrit, et ne parlons pas du retour au travail quand en plus il faut changer d’entreprise etc… et ne pas parler ou cacher ce qui s’est passé, les trous dans le curriculum vitae, et j’en passe…
Pour l’entourage c’est vrai il vaut mieux parfois pas d’entourage du tout.
Sauf les enfants, car eux ils ne peuvent pas admettre, pour les miens toutes les méchancetés leur sont passés par la tête et la bouche mais je ne leur en veux absolument pas, cela a été leur méthode pour tenir debout.
STIERNON, je ne suis pas sûre que l’on puise dire qu’un cancer ne soit pas douloureux. Pour ma part, j’ai fait l’autruche. « Non c’est impossible que ce soit ça… » au fur et à ma mesure la douleur et la brûlure causées par la tumeur augmentant, ont eu raison de mon obstination à mettre sur le côté ce qui est devenu un diagnostic posé. Je me suis jetée dans la bagarre. J’admire les Femmes qui une fois soignées réalise un exploit la traversée de la Manche à la nage…
Quand tout va bien, et cela arrive, je mets si possible par écrit mes impressions pour les avoir sous la main si je me heurte un jour à une récidive ou autre.