Voici en guise de clin d’oeil de fin d’année, le récit par Palatine d’un week-end de Noblesse et Royautés et de ses fidèles intervenants au Palais Petrovski ou les aventures de Porky porky en Russie…à la recherche d‘Agnès. (merci à Palatine)
Tout désorienté par le départ d’Agnès pour la Russie, Porky Porky qui ne s’avouait pas facilement vaincu décida de réagir. Rappelons que Porky Porky est le roi du cochon dans tous ses états. Un Danois qui a fait sa fortune en Amérique dans l’industrie du porc et qui à présent installe des restaurants de hamburger de cochon, le Mak Porky dans toute l’Europe.
Il lui fallait organiser quelque chose. Une fête, une manifestation culturelle, un bal, bref un évènement qui lui permît de voir sa dulcinée. Mais tout cela en Russie. Donc il fallait des autorisations, des permis de toute sorte et il pensa que la meilleure chose était de contacter Gégé l’acteur français qui avait ses entrées chez Poutine. Celui-ci, très démoralisé par la chute de la Bourse et du rouble donna son accord pour que les festivités aient lieu au Palais Petrovski. Porky Porky, après avoir lu le reportage d’Agnès sur ce Palais ne voulait pas aller ailleurs. Et il proposa le début de janvier 2015, avec transport des invités dans des wagons de l’Orient Express.
Comme il était hypocondriaque et que son médecin allemand s’était cassé la jambe en glissant sur une couenne de jambon , il exigea la présence de Corsica qui accepta parce qu’elle adorait les voyages. Elle demanda à Michèle de l’accompagner pour chanter des berceuses allemandes à Porky Porky dans son compartiment sleeping. Elle savait qu’il aimait être entouré de femmes douces et gentilles.
Régine qui aimait les trains historiques accepta que le voyage se passe sous l’égide de Noblesse et Royautés. A condition que Jane Austen vienne s’occuper des logements au Palais Petrovski. Régine, sachant qu’il y aurait un tas de disputes et qu’il fallait ménager les susceptibilités demanda à Pierre-Yves de seconder J.Austen. Pour arrondir les angles, Pierre-Yves accepta à condition d’être aidé par DEB. Il savait que les Belges, comme toujours en voyage de groupe, seraient déchaînés et il avait peur d’être débordé.
Palatine, très superstitieuse, déclina l’invitation. Le Palais Petrovski portait malheur et elle avait peur des fantômes. Aubert lui rappela qu’il était son paladin et qu’il la protégerait des revenants quoi qu’il arrive. Pour l’amadouer il lui proposa de lui lire des poèmes pendant le voyages, même sa complainte du cheval de bois qu’il avait mémorisée.
Damien B qui avait loupé la précédente fête au Danemark proposa une soirée poétique où on lirait les textes incontournables que tout le monde avait dû étudier à l’école. Actarus préférait un bal mais il ne voyait pas sur quel thème. On se mit tout de même d’accord sur un buffet, gargantuesque, et Gégé accepta de servir à boire. Comme à l’accoutumée, Porky Porky payerait tout. Pour ces agapes, Louise K était incontournable et elle proposa à Robespierre de couper des rondelles de saucisson et de jambon. Il accepta à condition que Marielouise et Flabemont soient dans le même compartiment que lui dans l’Orient Express. Il leur récita, dès le départ du train, « Migonne allons vois si la rose…. »
Louise K, voulait que Dame Tartine l’aide, pour négocier âprement les tarifs des fournisseurs et traiteurs, voire les terroriser. N’ayant pas confiance dans les traiteurs et cuisiniers russes, Louise K avait demandé que les victuailles nécessaires pour le week-end soit chargées dans un fourgon du train. Elle exigea qu’on ne charge que des aliments de première qualité, aux frais de la princesse, bien sûr. On était des gens de Noblesse et Royauté, oui ou non ? Dame Tartine demanda si Gérard était du voyage car elle avait des projets pour lui…
Il y eut beaucoup de refus. Cosmo devait donner une conférence à Nice sur le futur roi de France. Tous les partisans du rétablissement de la monarchie en France déclinèrent, car ils voulaient aller à Nice et pas dans un pays qui avait si mal traité son dernier tsar. Cela facilita grandement les choses pour J.Austen qui se rappelait des batailles de polochon entre Nemausus et Cosmo.
On décida de réserver un wagon spécial pour les Belges. Et il fallait prévoir pour le voyage des bonbons, de la Mort Subite et d’autres douceurs nationales. PGE s’improvisa chef du wagon et proposa de faire répéter des poèmes à tout le monde, en servant de l’alambic, ce qui disait-il, délierait les langues et permettrait à la Poésie de prendre son envol. Mais par sécurité, on envoya Marie de Bourgogne qui avait l’expérience des conflits, comme observateur. Elle parvint à soudoyer PGE en proposant des biscuits pur beurre faits maison. DEB promit de surveiller les Belges .
Kalistéa était dans le wagon des Français et faisait des vocalises. Aramis l’avait persuadée de mettre en musique un poème de Tagore qui exaltait les mystères de l’amour. Lui, il comptait sur sa muse pour célébrer la prestance et les avantages physiques du duc d’Anjou. Jo de St Vic lui demanda tout de même de ne pas être trop explicite. Même avec des sous-entendus qui parfois sont très inconvenants. Sébastien, toujours distingué, faisait réciter La Mort du Loup à Stella et « Lorsque l’enfant paraît » à Marquise. Dradomir n’essaya pas de sortir, parce qu’il faisait trop froid dehors.
Le voyage fut dantesque. Les Belges étaient déchaînés. Une stéréo diffusait des chansons de Jacques Brel pendant que Damien B dansait la bourrée auvergnate avec toutes sortes de dames élégantes que je neveux pas nommer. Actarus qui aimait l’animation s’était invité sous prétexte d’inaugurer une friteuse révolutionnaire et Limaya arriva avec des serpentins et des cotillons. Mimich le Belge, jugé trop sérieux, fut entarté, ou plutôt enfrité et Nanou 1 lui envoyait des jets de mayonnaise, en lui disant de se sentir flatté d’être traité ni plus ni moins comme le Premier Ministre de son pays. Shandila qui s’ennuyait avec Gérard qui déclinait la généalogie d’un prince valaque que personne ne connaissait, s’invita aussi dans cette pagaille. Elle n’en pouvait plus d’entendre pérorer Némausus et Néoclassique, même si Kalistéa faisait tout pour réchauffer l’ambiance, en chantant l’air de Chérubin, en lançant des œillades coquines à Némausus. Mais impossible d’égaler les Belges question ambiance. Gibbs essayait tout de même de mémoriser une fable de La Fontaine dans toute ce délire tandis que Mika répétait le texte d’ « une mèche de cheveux » d’Adamo que tout le monde trouva très poétique.
Régine n’était pas dans le train, car elle avait besoin de repos, mais elle promit de passer une journée et une nuit au Palais Petrovski où une belle chambre lui fut réservée. Porky Porky en eut une aussi, mais le reste des voyageurs fut logé dans une sorte de dortoir, car les Russes en avaient décidé ainsi pour les camarades N&R. Mais quand les préposés russes arrivèrent au buffet pour demander de la vodka, Louise K les mit dehors en leur disant d’aller chanter les Bateliers de la Volga sous la neige pour se réchauffer. Gégé essaya de rouspéter mais Dame Tartine le menaça avec une poêle à frire. Malheureusement , c’est Gérard qui,ayant eu la mauvaise idée de défendre Gégé et les organisateurs russes, essuya les coups de poêle à frire. Et lui, il n’eut personne pour le défendre.
Une ambiance de pensionnat en folie s’installa très vite dans le Palais. DEB et Pierre-Yves furent incapable de ramener de l’ordre. C’est la vodka, le champagne et la nourriture abondante et raffinée du buffet qui s’en chargea. Régine arrivée en avion expliqua à Porky Porky que Jules César avait dit que de tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves et elle demanda à Aramis de dire cela dans un beau poème épique. Mais c’était trop tard, Aramis avait trop célébré avec de la Mort Subite la beauté de son prince et sa muse s’était cassé la figure dans des effluves d’alcool. Gérard fut sollicité mais il déclara que le seul poème qu’il était à même d’écrire, lui qui était resté sobre et digne, c’était un pamphlet en alexandrins sur la vilenie, la vulgarité et la grossièreté de Dame Tartine. Entre-temps, Kalistéa un peu enrouée fit une promenade dans la neige, bras dessus bras dessous avec Sébastien qu’elle trouvait vraiment très distingué. Celui-ci, flatté se foula d’une récitation de la Ballade des Dames du Temps Jadis, et pas besoin de parler des neiges d’antan, la neige était bien là. Immaculée et crissant sous les pas.
On avait tellement mangé et bu que tout le monde avait oublié les poèmes ré-appris. Les participants de la fête tombèrent comme une masse sur les lits du dortoir et il n’y eut aucune bataille de polochon. Robespierre essaya de couper en 4 les cheveux de lady Chattehurlante qui avait râlé pendant tout le voyage à cause du refus de J.Austen d’embarquer son coiffeur. Actarus avant de se coucher demanda à Gérard de l’aider à faire sa prière. Il avait vraiment trop bu et croyait qu’il avait 8 ans.
Le lendemain, Agnès fit visiter le Palais Petrovski à ceux qui n’avaient pas trop la gueule de bois, et Porky Porky offrit son bras à sa Princesse Lointaine. Le week-end touchait à sa fin et maints voyageurs se réjouissaient de rentrer chez eux pour se reposer.
Il y eu des gens qui se quittèrent fâchés, d’autres réconciliés avec la vie. Je ne peux citer tout le monde, mais le train était très long et la plupart des intervenants de N&R étaient présents, même si je ne les ai pas tous cités.
Je souhaite aux intervenants une bonne année 2015 et qu’ils considèrent, eux et Régine, ces élucubrations comme mon cadeau d’étrennes.
Avec mon meilleur souvenir,
Palatine
Tonton Soupic
28 décembre 2014 @ 09:45
Tonton Soupic était abscon, parti à la chasse au lapin.
Caroline
28 décembre 2014 @ 22:52
Caroline était absente,partie à la découverte d’autres édifices à Moscou!
Palatine,un grand merci pour votre conte plein d’imagination!
C’est mon tour de vous souhaiter une bonne année 2015!
corentine
28 décembre 2014 @ 09:54
Bravo Palatine et merci pour ce récit
DEB
28 décembre 2014 @ 10:12
Chère Palatine,
Merci pour ce conte.
J’ai bien ri en imaginant le compartiment des Belges!
flabemont8
28 décembre 2014 @ 14:55
Merci, Palatine , comme toujours , ce fut agréable et mouvementé ! Ah ! Robespierre me récitant « mignonne, allons voir si la rose » sous la neige , je m’évanouis de bonheur !
Gibbs
28 décembre 2014 @ 10:24
agnes,
Juste vous informer que je vous ai répondu concernant les non-résidents.
Merci
Gibbs
agnes
28 décembre 2014 @ 13:41
Quand on aime provoquer, il faut accepter de se faire chatouiller parfois, sans crier au loup.
Gibbs
29 décembre 2014 @ 08:41
Chatouillez mais surtout : ne pas parler de ce que l’on ne connaît pas; cela fait désordre …
Gibbs
29 décembre 2014 @ 11:41
agnes,
Je souhaiterais que nous dépassions des clivages de querelle.
Vous avez vos opinions, je les respecte.
Merci
Le problème belge actuel est D ABORD un problème de communication des souverains et du palais.
J’ose espérer qu’ils y remédieront à l’avenir afin d’éviter tous les commentaires et méchancetés.
Merci
Gibbs
Danielle
28 décembre 2014 @ 10:28
Merci Palatine, vous avez une belle plume.
A mon tour de vous adresser mes vœux de bonne année 2015.
Lady Chatturlante
28 décembre 2014 @ 10:36
Ne touchez pas à mes neveux ! Mon mari y tient comme à la pucelle de ses yeux.
Lady Chatturlante
28 décembre 2014 @ 10:37
Mes cheveux, pas mes neveux… je m’emmêle les tifs. Ne nous crêpons pas le chignon pour si peu.
Philippe gain d'enquin
28 décembre 2014 @ 18:36
Milady, s’il s’agit de vos « tifs », gageons que votre époux y tient comme à la « prunelle »… Sans doute toutes les vapeurs ne sont elles pas dissipées… A vous, PGE
Palatine
28 décembre 2014 @ 11:19
You don’t fool me, Lady ! Vous avez passé la soirée et même plus avec Tonton Soupic !
Damien B.
28 décembre 2014 @ 10:59
Merci Palatine pour ce récit plein d’esprit à votre image !
Marie de Bourgogne
28 décembre 2014 @ 11:13
Merci Palatine. C’est toujours un plaisir de vous lire.
Tous mes vœux pour une très bonne année 2015.
Philippe gain d'enquin
28 décembre 2014 @ 12:11
Quelle merveille d’humour, de suspens, de drôlerie, d’impertinence et d’amitié dans votre récit. Chacun s’y retrouvera sans que ses travers n’en soient hypertrophiés, dans le lyrisme d’une bonne biture pour celles et ceux qui à « trinquer » furent conviés. Merci de m’avoir fait poète et sobre. Vous avez eu raison… Très cordialement à vous, Chère Palatine, Philippe.
Kalistéa
28 décembre 2014 @ 13:14
Qu’est-ce-qu’une « biture » cher Phil GE ?
DEB
29 décembre 2014 @ 05:53
Une biture est une cuite, une beuverie.
Philippe gain d'enquin
29 décembre 2014 @ 10:47
Une ivresse joyeuse, puis triste puis soporifique… Du genre de celles qui sembleraient attester que les éléphants volent et sont roses ou bleus, que toutes les cloches des églises sonnent encore et encore et que le bateau tangue secoué par une tempête mauvaise…
Marie de Bourgogne
29 décembre 2014 @ 13:40
Vous fûtes également « soudoyable » PGE ^^^ Avec des biscuits pur beurre certes, mais « soudoyable » quand même.
Je n’ose imaginer ce que j’aurais obtenu de vous avec un bœuf bourguignon ^^
Cordialement
Philippe gain d'enquin
30 décembre 2014 @ 12:08
Bien des choses…
JAusten
28 décembre 2014 @ 12:13
J’ai bien ri ! JAusten en gouvernante de boarding school sous Dickens ! Merci Palatine !
Mais on ne sait pas tout : – devant le refus de Cosmo de venir sous prétexte d’une conférence, il a fallu que je lui mette sous les yeux la liste de CDA que nous concoctons depuis que Régine a créé cette rubrique pour qu’il accepte enfin et je dois dire que se battre face à face à coup d’articles de loi avec Némauchéri le tentait aussi.
– Pierre Yves n’a pas voulu tout de suite me seconder car je l’avais menacé de représailles (interdit de séjour à Chawton) s’il devait me réciter des colonnes entières du Monde à chaque fois que l’on devait mettre en peu d’ordre dans les dortoirs.
– c’est à cette occasion que Gérard s’est aperçu, après coup, qu’il était allergique à l’alcool local car dans son état normal il ne connaissait aucun prince valaque et encore moins leur généalogie :) – Et c’est Dame Tartine, qui été tombée du bon côté ce soir là, qui a fini par mettre et border Actarus et Gérard en abrégeant leur prière pas si pieuse que ça :)
Ce que tout le monde ne sait pas c’est qu’Aubert avait promis depuis longtemps à Palatine une virée au Brésil et des soirées inoubliables à danser la samba et au lieu de ça il lui propose finalement Moscou en hiver ….
Pierre-Yves
31 décembre 2014 @ 12:25
Il est vrai que tenter de faire régner un semblant de concorde dans le wagon des Belges puis dans le dortoir en folie, était presque mission impossible.
Je le savais, d’où mon hésitation à endosser cette tâche titanesque. J’ai donc échoué car j’ai tout de suite pris le parti de laisser le bazar prospérer, me disant que c’était un bon moyen de voir se révéler les aspects cachés des tempéraments des uns et des autres. Et je n’ai pas été déçu.
Je ne serai donc pas reçu à Chawton House, mais tant pis, Sissinghurst m’attire davantage !
Quoi qu’il en soit, bravo à Palatine pour ce récit picaresque et décoiffant.
Gibbs
28 décembre 2014 @ 12:35
Merci Palatine : quelle belle plume.
Gibbs
29 décembre 2014 @ 08:39
Chère Palatine,
« Le chêne et le roseau » était ma préférée et je la répétais inlassablement.
Dame Tartine
28 décembre 2014 @ 12:35
Vous me connaissez mal, Palatine. Mon registre, ce n’est pas la poêle à frire, mais le rouleau à tarte en bois de frêne.
Kalistéa
28 décembre 2014 @ 13:09
la fête est retombée et somnole avant de repartir dans quelques jours avec plus de force! Entre-temps palatine nous régale d’un de ses textes d nt elle a le secret, pour nous amuser …Ce voyage avec Porky-Porky ,on s’y croirait! il y a la magie des descriptions en même temps que l’humour dévastateur qui fait éclater de rire.Merci chère amie de vous donner du mal avec votre talent de reporter fictif à seul fin de nous distraire avec cette » invention » comme dit Aubert, que je pense ,notre site est le seul a distiller régulièrement .Il y faut de la verve et aussi ,mine de rien de l’érudition.
Rectification : je ne me suis promenée dans la neige avec Sébastien (qui d’ailleurs ne m’aurait pas offert son bras) c’était mon cher Laurent, compagnon agréable et tendre qui voulait savoir comment il se faisait que je n’admirais pas la si jolie reine d’Espagne qui fait de si grandes enjambées avec une aussi grande légèreté de sylphide.il en est très peiné ,aussi me suis-je empressée de le persuader que si je n’admirais pas la mignonne ,je n’en serais pas « obsédée » cela tombe sous le sens!Les Belges n’étaient peut-être pas très en forme mais il faut comprendre qu’ils sont encore en deuil de la reine Fabiola.
Tout ça c’est bien beau mais on est revenu frigorifié!
Bientôt le nouvel an: Meilleurs voeux à tous nos compagnons de voyage même ceux qui n’ont pas pu venir et ceux qui ne sont pas cités. K.
agnes
28 décembre 2014 @ 13:40
Merci Palatine pour ce moment de fou-rire.
C’est toujours aussi bien écrit, leger et j’aime les récits poussés à l’absurde.
Bonne ambiance, mais vous avez su recreer la tension épisodique entre les internautes.
Marquise
28 décembre 2014 @ 13:47
Merci pour cet instant de rire et de douceur, chère Palatine!
Quelle jolie « trève des confiseurs » pour N&R…
Tous mes voeux les plus chaleureux pour 2015 :-)
Kayleen
28 décembre 2014 @ 13:57
Très chouette, et félicitations à celles et ceux qui ont participé à ce week-end!
G de G
28 décembre 2014 @ 14:43
Bravo!!!
Gérard
28 décembre 2014 @ 15:58
Le temps qu’il fait et les chutes de neige nous ayant interdit le voyage à Reims qui me tentait bien et celui que nous proposait Monsieur Perrichon vers les sommets savoyards nous fûmes bien aise de ce périple russe dans le train affété et nous pûmes envoyer des câbles à ceux qui n’avaient pu venir comme Cosmo ou Francine qui ne put bien malgré elle mettre à la voile. Deux relations de ce voyage ont été faites avec esprit et les versions orales différent quelque peu comme il est d’usage. Mais avec Gégé il ne fut pas si facile de rester sobre.
Francine du Canada
30 décembre 2014 @ 02:28
;-)))
Gibbs
28 décembre 2014 @ 16:59
Merci à Palatine
Louise.k
28 décembre 2014 @ 17:43
Comme Robespierre était très lent, je fus obligée de l’aider à couper la charcuterie…de ma vie, je n’en ai coupé autant!! Quant à Dame Tartine, elle se montra aussi âpre négociatrice que moi, un vrai plaisir!
En tous cas Palatine, je suis heureuse de me retrouver dans une de vos petites « nouvelles », et je suis prête à confectionner et servir les repas où que vous nous conduirez!!
Robespierre
29 décembre 2014 @ 10:31
Vous êtes une ingrate, Louise. Pour vous aider, j’ai dû fausser compagnie à deux dames du Temps Présent. A cause de vous, ma soirée a fini en eau de boudin pour couper du saucisson.
flabemont8
29 décembre 2014 @ 12:58
Mais avez-vous oublié que je me suis lovée sur vos genoux ?
Cosmo
31 décembre 2014 @ 13:25
Mieux vaut couper du saucisson que des têtes, Mr l’Incorruptible !
Dame Tartine
31 décembre 2014 @ 16:15
Ouais… je ne veux pas faire la rapporteuse, même si nous avons vécu des moments glorieux, mais c’est Robespierre qui a coupé les ailes de la muse d’Aramis avant qu’elle ne se casse la figure.
Shandila
28 décembre 2014 @ 18:47
Palatine, merci pour ce voyage en Russie. Recevez, tous mes voeux de santé et bonheur pour l’année nouvelle qui arrivera bientôt.
Francine du Canada
28 décembre 2014 @ 19:55
Merci pour ce joli comte de fin d’année Palatine; j’ai bien rigolé et je dois dire que Porky Porky a été plutôt sage cette fois! Mes meilleurs voeux de santé, bonheur, paix et joies pour 2015! FdC
Philippe gain d'enquin
29 décembre 2014 @ 10:49
Vous aviez compris que Porky Porky est un homme, moi j’ai en toute naïveté pensé qu’il s’agissait de certaine duchesse…
Kalistéa
29 décembre 2014 @ 20:42
Laquelle PGE? vous avez de la mémoire! faites-vous allusion à « la duchesse de Pork » ? pauvre petite: simplette mais qu’on n’a pas ménagée! Elle aurait bien besoin d’un service de communication qui s’échinerait à lui faire retrouver une image avec le succès qu’on voit à d’autres!
Francine du Canada
30 décembre 2014 @ 02:34
Peut-être avez-vous raison? Je ne le connais pas… je ne l’ai même jamais croisé. Amitiés, FdC
ML
28 décembre 2014 @ 21:04
Bravo ,Palatine et merci pour ce joyeux moment !
Cosmo
28 décembre 2014 @ 21:33
Ouf ! Après avoir lu le récit de ces agapes débridées, voire sardanapalesques, plus qu’arrosées, je me réjouis d’être resté sur la Côte d’Azur et avoir pu ainsi faire guili-guili aux jumeaux du Rocher. En ce qui concerne notre bataille de polochons avec Nemausus, je l’ai surpris, le traître, à remplacer la plume par du plomb. S’il est vrai qu’un kilo de plumes vaut bien un kilo de plomb, une héritier légitime n’en vaut pas un autre; en clair au cours du jour, un Orléans vaut bien des Bourbons. Mais ce n’est pas en tentant de me mettre KO, qu’il changera l’ordre dynastique en France.
Merci à notre chère Palatine de nous avoir donné le plaisir de fantasmer au bord de la Néva, fût -ce au prix d’un hang-over !
Kalistéa
29 décembre 2014 @ 20:58
Vous nous avez bien manqué Cosmo, au moins vous vous fournissez de la lecture tandisque Némau-chéri n’est qu’un grognon qui ne veut même pas voir les clins d’oeil coquins et provocateurs qu’on lui envoie.
comme on chantait beaucoup dans ce train et pas que des vocalises, j’ai eu bien souvent envie de lui chanter sur l’air de « Nicolas »
« Nemau-chéri va-t-en au diable:
Tu n’seras jamais galant!
Tu n’es ni beau ni aimable;
Avec toi , on perd son temps! »
Comment sont les jumeaux? se sont-ils un peu remplumés? tiennent-ils à deux dans « le berceau du vieux château »?…parceque je ne sais pas si vous vous rappelez à la naissance de Caroline, une chanson courait les ondes et tout le monde la fredonnait:
« dans le berceau du vieux château
Une princesse vient d’arriver…
che sera sera
Demain n’est jamais bien loin…
Laissons l’avenir ,venir…
che sera sera!…. »
Que cela fait drôle de se rappeler cette chanson ,en pensant à tout ce qui s’est passé depuis…
Cosmo
30 décembre 2014 @ 17:21
Dear K,
Les jumeaux sont bien mignons. Mais il faut dire que le papa fut un beau jeune homme et que la maman est une belle jeune femme.
Némau-chéri ressemble à ce qu’il est. Mais je dois avouer que lorsqu’il tenta de m’assommer avec son kilo de plomb, je lui ai filé un beau gnon…De quoi le rendre définitivement grognon !
Amicalement
Cosmo
Actarus
29 décembre 2014 @ 11:00
Merci, ma Cousine, pour ce récit haut en couleurs qui a la frite. ;-)
Il y aura des gens chagrinés d’apprendre qu’ils étaient à Nice ^^ mais c’est bien en Russie que se trouvent les neiges d’antan (j’ai regardé »Fedora » sur Arte la semaine passée).
Bonne continuation à Porky Porky et tous mes voeux de succès pour l’année qui vient.
Stella
29 décembre 2014 @ 15:09
Chère Palatine,
Bien qu’ignorant qui est Sébastien, je suis enchantée de savoir qu’il m’a fait répéter « La mort du loup »!
Vous m’avez dévolu un rôle qui me convient totalement et je vous remercie de cette heureuse initiative!
Corsica
29 décembre 2014 @ 16:00
Chère Palatine, un grand merci pour votre plume alerte et votre imagination toujours aussi débridée . Je vous avoue que je n’attendais plus la suite des aventures de. Porky Porky et que c’est donc avec un plaisir fou que j’ai retrouvé les aventures délirantes des joyeux NRgistes .
Je vous souhaite – ainsi qu’à Régine et tous les internautes – une année 2015, heureuse et sereine .
mousseline
29 décembre 2014 @ 20:39
merci Palatine pour ce savoureux récit et bonne et heureuse nouvelle année a tous
Kalistéa
29 décembre 2014 @ 21:10
c’est très gentil à vous cher Actarus de nous montrer souvent votre séduisant minois, mais vous aurez beau faire, jamais vous n’égalerez en séduction et en beauté le futur roi de F rance ;j’ai nommé: Son altesse royale Luis Alfonso Borbon Martinez Bordiu y Franco !
Moi aussi j’ai regardé Fedora: c’était assez pathétique.
Bonne année.je souhaite pour vous que vous fassiez des tas d’amis. K