Ce somptueux collier en émeraude, platine et diamants fut commandé en 1932 chez Cartier à Londres. Il appartint à la comtesse de Granard. Beatrice Mills avait vu le jour à Rhode Island en 1883. Elle épousa en 1909 Bernard Forbes, comte de Granard qui possédait un château familial dans le comté de Lonfgord en Irlande.
La comtesse de Granard est décédée en 1979 dans sa résidence parisienne de la rue de Varenne. Ce collier fait aujourd’hui partie de la collection privée du joaillier Cartier.
Silvîa
26 avril 2018 @ 02:42
Une merveille…..
.bon jeudi?
Juliette d
26 avril 2018 @ 03:28
Somptueux bijou en effet. L’êmeraude, qui est magnifique, doit peser plusieurs carats.
framboiz 07
26 avril 2018 @ 04:09
Cartier récupère les belles pièces créées par Cartier , pour les exposer.J’imagine, après l’aventure du coeur d’Anne de Bretagne ) l’antre et les coffres-forts ! Pourvu que leur(s) lieu(x), reste(nt ) inconnus !
L’émeraude est de belle taille ! J’aime moins le dessin des chutes de diamants,idem pour le motif , sous l’émeraude , je préférais le collier-diadème de Bénédicte, hier , même s’il y en a plusieurs exemplaires…
Néanmoins, énorme travail d’artisanat !
Sylvie-Laure
26 avril 2018 @ 04:42
Je reviens d’Irlande, un pays magnifique, et fort (courage, sportif, climatiquement : les vents sont glacés). Si Régine met en ligne, la rubrique « Cartes Postales » de NR pour 2018, je posterai des clichés.
Naturellement, on me connait un peu ici : je parlerai aussi des jardins, et mettrait des photos…. Et j’ai fait ce voyage, avec bateau ferry, et la SNCF Française… sportifs aussi.
Sylvie-Laure
26 avril 2018 @ 04:44
mince , j’oubliais de dire que le collier est un bijou magnifique, avec la pierre couleur de l’Irlande. Un très beau collier, qui est retourné chez la Maison qui l’a crée.
Kalistéa
26 avril 2018 @ 14:03
Moi aussi Sylvie-Laure j’ai adoré visiter Dublin , l’Irlande du nord ,Connemara , le Buren, l’ouest de l’Irlande, l’an dernier .C’est sauvage et romantique .mais c’était en Juillet avec une température très agréable .Nous n’avons pratiquement pas eu de pluie ,mais pour être vert c’est vert!
Si vous nous donnez des vues à voir je m’en délecterais volontiers .
Baboula
27 avril 2018 @ 03:53
La Chaussée des Géants est à elle seule une invitation au voyage.
Baboula
26 avril 2018 @ 07:05
Fantastique émeraude avec un beau jardin.
Il fallait être richissime pour commander un tel joyau en pleine crise financière mondiale .
Muscate-Valeska de Lisabé
26 avril 2018 @ 22:37
J’aime le platine plus que tout.
Baboula
27 avril 2018 @ 08:17
Que tout ? Même au petitdej ?!?
Baboula
27 avril 2018 @ 18:45
Pourtant le platine est mat ,sans brillance .Seule sa rareté fait sa valeur.On sent sa densité ,mais pour moi rien qui justifie de
« l’aimer «
Pascal
27 avril 2018 @ 15:10
Oui en effet grâce à cette pierre on comprend immédiatement ce qu’est « le jardin » d’une émeraude et dans ce cas il ajoute à sa beauté , ce qui ne me semble pas toujours le cas.
Lily
26 avril 2018 @ 07:53
Dommage, ce collier aurait dû être dans ma collection. Styliste et assistante designer, ce collier irait parfaitement à bien de belles tenues.
JOSEPHINE
26 avril 2018 @ 08:35
Hou la la, ça pèse combien ? Il doit emporter la tête par son poids !
Laurent F
26 avril 2018 @ 13:03
Ça ne pèse jamais assez lorsque ce sont des carats !
Baboula
27 avril 2018 @ 08:21
Quand vous pensez qu’une émeraude de Colombie de 4000 carats est disparue lors d’un naufrage ! ( Une pensée pour les marins .)
Mary
26 avril 2018 @ 09:11
Très massif ,celui- là ne me plaît pas ,mais comme toujours ,si on me l’offre,je l’accepte .
Claude-Patricia
26 avril 2018 @ 10:08
Tout cela me fait penser que nous sommes finalement toujours en crise mondiale…même depuis que je suis née.
Ce qu’il faut dire est que l’argent est et a toujours été inégalement réparti.
Anastasia A ?
26 avril 2018 @ 16:41
On ne risque pas de le rater celui là
Marcel
26 avril 2018 @ 17:21
Jane Beatrice Mills , comtesse de Granard ( Newport , 19 juillet 1883 – Paris , 30 janvier 1972 ), était une héritière américaine
Elle était la fille d’ Ogden Mills et de sa femme, Ruth T. Livingston. Il avait une soeur, Gladys et un frère, Ogden
Le 14 janvier 1909 , il épousa Bernard Forbes, VIII comte de Granard (17 septembre 1874-10 septembre 1948). Ils ont eu quatre enfants:
Lady Mary Moira Forbes (19 février 1910-?), Mariée en premier mariage Louis de Brantes, comte de Brantes et en second mariage Teo Rossi di Montelera, comte de Montelera ;
Lady Eileen Beatrice Forbes (1er juillet 1912-1993), mariée à John Crichton-Stuart, marquis de Bute , eut quatre enfants;
Arthur Forbes, IX comte de Granard (10 avril 1915-1992);
John Forbes (8 octobre 1920-1982), marié à Joan Smith, eut quatre enfants.
Sa famille possédait une ferme équestre au Livingston Mansion à Staatsburg , New York Son père possédait des chevaux de course aux États-Unis et en France , en collaboration avec Edward Stanley, dix-septième comte de Derby .
Le mari de Béatrice, Bernard, était un maître du cheval dont les fonctions comprenaient la surveillance des écuries royales. Le 29 janvier 1929 , le père de Béatrice est décédé. Dans le cadre de son héritage, il a reçu son écurie pur-sang en France .
Elle est décédé le 30 janvier 1972 [2] , dans sa résidence parisienne .
Honneurs britanniques
Dames de l’Ordre de l’Empire britannique – ruban pour uniforme ordinaire Dames de l’Ordre de l’Empire britannique
Gérard
3 mai 2018 @ 12:57
À la suite de cette intéressante communication on peut préciser que la comtesse Moira Rossi de Montelera est décédée à l’âge de 94 ans au mois de mai 2004. Née Moira Mary Forbes le 19 février 1910, fille du huitième comte de Granard, Sir Bernard Arthur William Patrick Hastings Forbes, et de Béatrice Mills héritière du richissime financier américain Ogden Mills, elle était passionnée par les courses de chevaux et par les bijoux.
Elle avait épousé en deuxième noces le 27 juin 1942 Theo Rossi dont elle avait continué après un rapide divorce à porter le titre, et qui appartenait à la famille noble piémontaise de distillateurs propriétaire de Martini et Rossi. Mais elle avait épousé en premières noces le 20 décembre 1934 le comte Louis de Brantes, de la famille Sauvage de Brantes, de noblesse comtadine (29 janvier 1904-24 novembre 1985) dont elle avait divorcé en 1936. Louis était né le 22 janvier 1904 à Saint-Saulve, Nord, et il est décédé le 24 novembre 1985.
Il était fils du général marquis de Brantes (Paul Marie Joseph) et de Marguerite Schneider.
Louis de Brantes avait épousé tout d’abord la princesse Nadejda Pavlovana Tcherbatov (1901-2001), divorcée du comte Ivan Stenbock-Fermor et fille du prince Pavel Borisovich Tcherbatov et de la princesse Anna Wladimirovna Bariatinski puis en troisièmes noces il se maria en 1952 à la montréalaise Madeleine Gohier.
Le deuxième mari de Moira, Teofilo Guiscardo dit Theo Rossi di Montelera, était né le 17 mai 1902 à Turin et fut un célèbre champion de bobsleigh et un champion du monde de motonautisme. Il a participé en bobsleigh aux Jeux olympiques d’hiver de 1932 à Lake Placid et fut sixième en bob à deux et cinquième en bob à quatre. Curieusement sa date de décès semble inconnue à moins qu’il ne soit toujours vivant auquel cas il aurait plus de 115 ans. La comtesse n’a pas eu d’enfant.
G Lily. May
26 avril 2018 @ 18:40
Magnifique !
Muscate-Valeska de Lisabé
26 avril 2018 @ 22:37
Oui.