Collier de chien de la collection « Dîner en ville » du joaillier Mikimoto composé de huit rangs de perles de culture Akoya, diamants et or blanc.
Collier de chien de la collection « Dîner en ville » du joaillier Mikimoto composé de huit rangs de perles de culture Akoya, diamants et or blanc.
Baboula
30 novembre 2018 @ 06:03
Les perles japonaises Akoya sont la perfection aux yeux de beaucoup. Séverine nous a dit que chaque perle est biologiquement différente de sa voisine ,la production japonaise s’est efforcé d’effacer les différences,tant que l’on pourrait croire voir des perles industrielles de Majorque. Mais il y a un lustre, une brillance ,presque un effet miroir qui témoignent de l’épaisseur de la nacre et rendent la perle vivante . Les producteurs japonais avaient imposé des perles plus que blanches ,à présent on peut trouver des Akoya aux légers reflets roses ,crème ,champagne plus en harmonie avec les carnations différentes des femmes.
Corsica
30 novembre 2018 @ 23:52
Tout à fait Baboula. Pour nos amis qui aiment les perles et l’architecture, je conseille, s’ils ont l’occasion d’aller à Tokyo, d’aller faire un tour au Mikimoto Ginza 2 sur Namiki street. Le bâtiment de presque 50 mètres de haut se repère par ses fenêtres aux formes irrégulières et il ne faut surtout pas hésiter à y entrer car, en plus des bijoux, on peut faire une bonne pause pâtisserie/ thé dans le lounge du troisième.
Mikimoto, qui a eu la persévérance de créer non pas des demi-perles mais des perles de culture sphériques, est originaire de Toba, région où, depuis des siècles, des femmes (les ama) plongent en apnée à de grandes profondeurs pour ramasser des coquillages, des algues et autres produits de la mer destinés principalement à la consommation.
Ce métier exigeant et dangereux se transmet de mère en fille et c’est seulement vers 40 ans qu’une ama commence à être parfaitement formée. Ce qui lui laisse quand même une bonne quarantaine d’années d’exercice puisque certaines d’entre elles, nonagénaires, continuent de plonger… Si parfois elles trouvaient des perles naturelles dans leurs récoltes, elles ont aussi aidé Mikimoto dans sa culture de perles : elles plongeaient chercher les huîtres avant de les ramener dans les profondeurs une fois que l’implantation avait été effectuée. Le métier se perd car, soit les ama refusent que leurs filles fassent ce métier, soit ces dernières refusent.
C’est pareil en Corée avec les femmes pêcheurs qui traditionnellement plongent en apnée au large de l’île de Juju où elles sont plus nombreuses que les hommes. Elles plongent pour gagner leur vie et payer l’école de leurs enfants, notamment de leurs filles pour qui, dans la grande de majorité des cas, elles rêvent d’un autre avenir.
Menthe
1 décembre 2018 @ 08:29
… et plongent jusqu’à un âge très avancé, bien au delà de 80 ans parfois.
Baboula
3 décembre 2018 @ 08:11
Corsica, un plaisir de voyager avec vous !
Pierre-Yves
30 novembre 2018 @ 13:20
Même s’ils sont bien commodes pour dissimuler les plis du cou, je n’aime pas du tout les colliers dits de chien qui m’évoquent par trop les minerves.
Anna1
30 novembre 2018 @ 13:21
Merci pour votre commentaire
L'Alsacienne
30 novembre 2018 @ 18:15
Difficile de porter un tel bijou. Il faut un cou long et mince pour un beau port de tête.
Et ne pas avoir peur de mettre un collier étrangleur.
Mélusine
30 novembre 2018 @ 19:06
Ah non, les colliers de perles ne sont pas faits pour les chiens ! Et puis quoi encore ?
Les bagues pour les pigeons, les bracelets pour les éléphants, les pendants d’oreilles pour les ours, pendant qu’on y est.. Je sais, je sais, mais tout de même.
Baboula
1 décembre 2018 @ 08:00
Mélusine !!! Dans certains palaces on peut voir des toutous emperlousés,endiamantés ,chaussés Lauboutin ! Non là j’exagére quoique …
Philippe Gain d'Enquin
2 décembre 2018 @ 13:43
Si l’ éventuelle acheteuse n’a pas de » chien », qu’elle laisse…
Baboula qui rame
3 décembre 2018 @ 08:14
🐕🐩🐩🐕 Voici pour qu’il n’y ait pas de délaissé
Menthe
3 décembre 2018 @ 14:41
Ouah ! Philippe
ou plutôt wouah wouah wouah !