Du 25 au 27 octobre 2018, Bruxelles accueille le colloque international « Royauté(s) : entre historicité et imaginaire » organisé par l’Académie royale de Belgique, la maison des Arts de l’Université Libre de Bruxelles (UB° et l’Ambassade de Roumanie en Belgique.
Vendredi 26 octobre à 16 heures, à l’Université Libre de Bruxelles (Solbosch, Maison des Arts, 56 Avenue Jeanne, 1050 Bruxelles), l’historien Gabriel Badea-Päun parlera de la Reine Marie de Roumanie, « De la Princesse Lointaine à la Reine guerrière, la construction d’un mythe ».
Jean Pierre
23 octobre 2018 @ 08:40
L’histoire est toujours une construction.
Clara
23 octobre 2018 @ 21:40
…et elle est perpétuellement EN reconstruction.
Baboula
23 octobre 2018 @ 09:21
36 intervenants pour convaincre de ne pas croire aux légendes,je crois que je n’irai pas .
Sila
23 octobre 2018 @ 09:54
Y serez-vous Madame Saelens, afin de nous délectez de vos commentaires ?
Nous l’espérons tous et par avance nous vous en remercions.
Régine
23 octobre 2018 @ 11:13
Non mais j’aurai l’occasion de rencontrer Gabriel Badea Päun
aubert
23 octobre 2018 @ 11:55
Très imaginaire la couronne de Roumanie.
Même « majestueusement » gardée.
Damien B.
23 octobre 2018 @ 14:59
Connaissant le talent et les travaux érudits de M. Gabriel Badea Paun, ces conférences seront certainement passionnantes.
En ce qui regarde la reine Marie de Roumanie, la construction du mythe la concernant mérite que l’on si attarde car c’est aussi l’époque où la Belgique élevait au rang de héros mythique le roi Albert 1er.
Pour l’anecdote, le roi Albert déplorait parfois la grandiloquence de l’expression monarchique du couple royal formé par Ferdinand (son cousin germain) et Marie de Roumanie …
Luc Ixelles
23 octobre 2018 @ 16:00
J’y serai aussi.
Mary
24 octobre 2018 @ 02:23
Photo où la reine semble un peu dans les vaps…
Karabakh
26 octobre 2018 @ 10:12
Elle donnait souvent cette impression.
Karabakh
26 octobre 2018 @ 10:16
Certains petits roturiers devraient assister à cette conférence, histoire de déconstruire leurs idées reçues de la monarchie, et au-delà de la noblesse (pour ce qu’elle subsiste) ; y apprendre simplement ce que sont/doivent être les priorités d’un régime dirigé par un roi, ses enjeux, ses rôles…
Gérard
2 novembre 2018 @ 22:14
Karabakh ce que écrivez est-ce du premier ou du second degré ?
Est-ce de la morgue supposée faire aristocratique d’avant 1789 et prenez-vous vos contemporains pour des minus habens ou est-ce une sorte d’essai d’humour ou par extraordinaire d’autodérision inattendue ?