Le comte de Paris signera son livre « La royauté de l’homme » ce 11 octobre 2016 à partir d e18h30 aux Editions du Châtelet 34, rue des Bourdonnais dans le 1er arrondissement à Paris. (Merci à Anne)
Immense circonspection, lorsque le lis, dans le résumé éditorial, « (…) c’est en citoyen français qu’Henri d’Orléans pose son regard (…) ». L’oubli de la transcendance n’a pourtant pas réussi à certains de ceux dont il affecte fréquemment d’être « l’héritier » — ce qui se discute, mais passons… — à défaut d’avoir réussi à émerger comme successeur à la tête de l’État.
Son regard d’acier me fait peur. Le comte semble beaucoup plus humain quand il s’habille en peintre ou en saltimbanque. Ici, on dirait Dracula, prince des ténèbres.
Je suis surpris de l’extrait lu en ligne… Bon j’avoue que le tout début de l’introduction est d’un niveau bien moyen pour un artiste tel que Son Altesse Royale, mais la suite est politiquement courageux !
A lire pour en avoir une meilleure idée…
Comme on le chantait… « vive le roi quand même ! vive le roi, vive le roi !!! »
J’ai lu sur ce site quelques extraits de sa prose fumeuse et comme dit Gille incompréhensible qui ne me donne pas envie d’acheter son livre. Il aurait peut-être été préférable qu’il prenne un nègre.
Il a le droit d’écrire tous les livres qu’il veut. Mais nous avons le droit d’aimer une prose claire, de celle qui égrène des idées qui s’énoncent aisément . Boileau disait quelque chose comme ça mais j’ai oublié la citation exacte. Henri c’est l’anti-Boileau.
Oui Boileau dans L’Art poétique (1674) :
« Avant donc que d’écrire, apprenez à penser.
Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément. »
(Chant I)
Le propos est toujours vrai mais parfois il faut aussi tenir compte des faiblesses du lecteur que nous sommes.
Cher Rpbespierre : »Ce que l’on conçoit bien , s’énonce clairement , et les mots pour le dire s’en viennent aisément … » Extrait de l’Art Poétique (1674 , Chant 1) : Il y recommande aussi d’apprendre à penser …
Pour répondre à Gérard , Vous avez tout à fait raison …
Nous ( le monde , pas seulement la France ) , nous posons , tous des questions , sans avoir de réponses …Les hommes politiques , eux, ont ou prétendent avoir des réponses, puisqu’ils ont des programmes , qui doivent solutionner les difficultés.
On essaie un programme , puis un autre , peut-être faudrait-il casser les clivages , mais , les hommes politiques sont trop orgueilleux , pour admettre que celui d’en face pourrait avoir raison ,il est vrai, qu’ils sont très privilégiés & ne se rendent pas compte de la difficulté de vivre , pour beaucoup de gens …
Jusqu’au jour où …ça craquera , même si ça a déjà commencé , avec des partis ,de plus en plus extrémistes & le terrorisme , qui absorbe une partie de nos impôts …
Où allons nous? Avec qui ?
« ce qui se conçoit bien s’énonce clairement
et les mots pour le dire viennent aisément! », cher Roby?
J’ai lu pour ma part un livre ou deux du comte de Paris et je n’ai pas trouvé du tout qu’il n’écrivait pas clairement!
Sa façon de s’exprimer oralement est aussi posée , simple et claire avec des arguments.J’ai souvent pensé que quelqu’un d’autre se permet d’écrire sur son blog , en son nom , comme ce n’est certes pas Luis Alfonso Borbon qui écrit les discours qu’on lui fait lire!
« Nous sommes nombreux à avoir mal à la France. Beaucoup sentent que les institutions ne parviennent pas à apporter de réponses aux profondes déchirures, qu’il ne suffit pas d’une énième réforme constitutionnelle pour changer la donne.
J’ai hérité d’une tradition qui m’oblige envers les Français. Notre mission n’a pas changé : elle consiste à répondre à l’espérance de justice, à traduire les exigences de la dignité. »
Voilà ce qu’écrit notamment le prince dont cet ouvrage que je n’ai pas encore lu mais il est certain que nous sommes nombreux à avoir mal à la France, et dans une certaine mesure au Monde, et que nous ne voyons pas très bien quelles sont les solutions qui pourraient se dégager face à des exigences parfois antinomiques et malgré la bonne volonté de nos hommes politiques et des candidats aux élections qui s’annoncent.
Quand 67 % des Français se disent inquiets pour leur avenir et celui de leurs enfants il faut certainement dépasser les clivages politiques ou idéologiques et les a priori faciles.
Gérard,la bonne volonté de nos hommes politiques ne s’exerce qu’envers eux-mêmes et leurs enfants qu’ils veulent placer ,c’est tout.
Ils se f…complètement du bien public et ne pensent qu’à frimer et s’enrichir.
J’éprouve envers tous le plus parfait mépris et le plus profond dégoût.
C’est très bête de critiquer un livre sans l’avoir lu , et je ne veux pas tomber dans ce travers. Mais j’ai la faiblesse d’aimer le français, les phrases bien écrites et compréhensibles. Or j’ai eu quelques échantillons de la prose du Monsieur sur ce site et j’ai bien ri. Aurait-on publié son livre s’il ne s’était pas appelé le comte de Paris ?
Robespierre il n’est pas question de comparer le comte de Paris aux plus grands auteurs mais si vous prenez La Phénoménologie de l’esprit de Hegel, et la plupart des traités de philosophie, mais aussi la Recherche de Proust, certains ouvrages d’Albert Cohen ou de Marguerite Duras.
Mais pour vous être agréable Robespierre, je vous citerai ces quelques vers de Boileau tirés de l’Art poétique :
« J’aime sur le théâtre un agréable auteur
Qui, sans se diffamer aux yeux du spectateur,
Plaît par la raison seule, et jamais ne la choque.
Mais, pour un faux plaisant, à grossière équivoque,
Qui pour me divertir n’a que la saleté,
Qu’il s’en aille, s’il veut, sur deux tréteaux monté,
Amusant le Pont-Neuf de ses sornettes fades,
Aux laquais assemblés jouer ses mascarades ».
Bien d’accord avec Robespierre(une fois n’est pas coutume !) et Gilles (message plus haut). Critiquer sans voir lu, c’est peu constructif, mais on a tellement l’habitude de messages ou de communiqués mal écrits et d’un contenu aussi pompeux qu’incompréhensible et d’une intolérance totalement décomplexée que lire son livre est la dernière chose que je ferai.
Je veux bien croire qu’il écrit lui-même ses livres, mais il ne devrait pas !
Son père écrivait dans un français et un style très appréciable, mais c’était un tyran familial, sous couvert d’un fin politicien.
Quelle tristesse de voir ainsi décatie la famille d’Orléans… Ce n’est malheureusement pas le duc de Vendôme qui pourra rallumer ma flamme orléaniste; lui dont le passéisme et les idées pas plus progressistes que celles de son ennemi de père débordent de tous côtés…
Actarus
10 octobre 2016 @ 03:03
Je suis donc un roi ! ;-)
Mélusine
10 octobre 2016 @ 12:40
Et moi une reine ! cumul de fonctions… ;)
Car « la royauté de l’homme… et de la femme », cela va sans dire. Il ne le dit pas, d’ailleurs.
Actarus
11 octobre 2016 @ 13:16
Mélusine : nous sommes fées l’un pour l’autre ! ;-)
Mélusine
12 octobre 2016 @ 11:24
Et tant mieux si ça fées jaser, Actarus ! ;)
Cosmo
12 octobre 2016 @ 11:43
Actarus et Mélusine, pas fini de flirter ?
Cosmo le jaloux
Mélusine
13 octobre 2016 @ 20:53
Trêve de jalousie, Cosmo. Joignez-vous à nous et bienvenue au club. ;)
grannydc
10 octobre 2016 @ 06:52
Cette famille me gonfle !!!
framboiz 07
10 octobre 2016 @ 12:17
Qu’y a t-il dans ce livre ?
amaia
10 octobre 2016 @ 13:09
Vous n’êtes pas la seule !!!
HRC
10 octobre 2016 @ 14:45
c’est lui seul qui signe, pourtant.
lui, il me fatigue..
Val
10 octobre 2016 @ 17:08
Et bien ne lisez pas les articles qui la concernent!
grannydc
11 octobre 2016 @ 07:57
Mais je ne les lis pas !!!
Gilles
10 octobre 2016 @ 11:53
Si ce livre est un condensé des inepties aussi pompeuses qu ‘incompréhensibles qu’il nous déverse sur son blog,….Bon courage !
Lou Signolo
10 octobre 2016 @ 12:03
Immense circonspection, lorsque le lis, dans le résumé éditorial, « (…) c’est en citoyen français qu’Henri d’Orléans pose son regard (…) ». L’oubli de la transcendance n’a pourtant pas réussi à certains de ceux dont il affecte fréquemment d’être « l’héritier » — ce qui se discute, mais passons… — à défaut d’avoir réussi à émerger comme successeur à la tête de l’État.
CAROLINE VM
10 octobre 2016 @ 12:33
Bof , ça donne pas envie…lui un « homme de la royauté »????
beji
10 octobre 2016 @ 12:43
Là aussi les commentaires vont pleuvoir !!
Mayg
10 octobre 2016 @ 13:26
Tiens, il n’a pas signé « duc de France » mais simplement Henri, comte de Paris, il y a du progrès…
Lady Chatturlante
10 octobre 2016 @ 15:14
Son regard d’acier me fait peur. Le comte semble beaucoup plus humain quand il s’habille en peintre ou en saltimbanque. Ici, on dirait Dracula, prince des ténèbres.
Mélusine
12 octobre 2016 @ 11:26
Alors, avec lui, pas la moindre robe de mariée en perspective, Milady ? Comme c’est dommage… ;)
JAY
10 octobre 2016 @ 17:35
Quelle horrible couverture ! Pas vendeur !
Rembarre
10 octobre 2016 @ 18:46
Je suis surpris de l’extrait lu en ligne… Bon j’avoue que le tout début de l’introduction est d’un niveau bien moyen pour un artiste tel que Son Altesse Royale, mais la suite est politiquement courageux !
A lire pour en avoir une meilleure idée…
Comme on le chantait… « vive le roi quand même ! vive le roi, vive le roi !!! »
Rembarre
10 octobre 2016 @ 18:49
courageuse*
Nemausus
10 octobre 2016 @ 18:59
Est ce un recueil de conseils en chamaillerie familiale ?
Erato
10 octobre 2016 @ 20:25
L’histoire peut être encore plus rancunière que les hommes…
Denis
10 octobre 2016 @ 22:00
Pourquoi pas » l’humanité du Roi ? »
Mélusine
12 octobre 2016 @ 11:27
Ah oui, Denis. Ce serait mieux !
Laurene
10 octobre 2016 @ 22:16
Heureusement qu’il y a le duc d’Anjou… Vous avez raison Grannydc…
Gérard
11 octobre 2016 @ 10:50
Le comte de Paris écrit lui-même lui…
Mayg
11 octobre 2016 @ 18:08
Oi mais si c’est pour qu’il écrive autant de c…..
Nemausus
11 octobre 2016 @ 22:05
si ça vaut ses croutes, il ferait bien de s’abstenir aussi !
Robespierre
12 octobre 2016 @ 09:19
J’ai lu sur ce site quelques extraits de sa prose fumeuse et comme dit Gille incompréhensible qui ne me donne pas envie d’acheter son livre. Il aurait peut-être été préférable qu’il prenne un nègre.
hugo
10 octobre 2016 @ 23:32
J’ai hâte de liré le nouvel ouvrage du Comte de Paris
Mayg
11 octobre 2016 @ 18:08
« oui »
Mélusine
12 octobre 2016 @ 11:30
Vous avez raison hugo, car pour se faire une opinion sur un livre, il faut le lire, en effet.
Actarus
12 octobre 2016 @ 13:37
Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin…
;-)
Kalistéa
11 octobre 2016 @ 10:32
Plus mon petit LIRé que le mont Palatin , et plus que l’air marin la douceur ANGEVINE …cher hugo.
Robespierre
12 octobre 2016 @ 09:20
Oui mais malheureusement, Henri n’a pas la pointure de du Bellay
Actarus
12 octobre 2016 @ 13:44
Ni même l’aspect du bellâtre ! ^^
Mélusine
12 octobre 2016 @ 11:29
:))) Bravo !
Actarus
12 octobre 2016 @ 13:40
Zut, mon actaruse vient avec un temps de retard, je n’avais pas lu la vôtre. ;-)
Kalistéa
13 octobre 2016 @ 20:31
Il me semblait aussi que vous n’étiez pas un copieur , cher Actarus!
Milena K
11 octobre 2016 @ 10:59
Bof…
Muscate-Valeska de Lisabé
11 octobre 2016 @ 18:31
Hum….
On est loquaces,toutes les deux, chère Milena! ;-))
Milena K
12 octobre 2016 @ 22:59
Tout à fait,Muscate! ;-) mais « comment taire »? ;)
Robespierre
12 octobre 2016 @ 09:22
Il a le droit d’écrire tous les livres qu’il veut. Mais nous avons le droit d’aimer une prose claire, de celle qui égrène des idées qui s’énoncent aisément . Boileau disait quelque chose comme ça mais j’ai oublié la citation exacte. Henri c’est l’anti-Boileau.
Robespierre
12 octobre 2016 @ 09:31
pardon « … prose claire, celle qui égrène… »
Gérard
12 octobre 2016 @ 13:34
Oui Boileau dans L’Art poétique (1674) :
« Avant donc que d’écrire, apprenez à penser.
Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément. »
(Chant I)
Le propos est toujours vrai mais parfois il faut aussi tenir compte des faiblesses du lecteur que nous sommes.
Robespierre
13 octobre 2016 @ 12:08
Merci Gérad, ce sont les deux derniers vers que je ne pouvais plus citer mot à mot (ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement)
Cosmo
12 octobre 2016 @ 11:41
« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement
Et les mots pour le dire se trouvent aisément »
Jamais paroles n’ont été plus vraies.
Amitiés
Cosmo
framboiz 07
12 octobre 2016 @ 19:37
Cher Rpbespierre : »Ce que l’on conçoit bien , s’énonce clairement , et les mots pour le dire s’en viennent aisément … » Extrait de l’Art Poétique (1674 , Chant 1) : Il y recommande aussi d’apprendre à penser …
Pour répondre à Gérard , Vous avez tout à fait raison …
Nous ( le monde , pas seulement la France ) , nous posons , tous des questions , sans avoir de réponses …Les hommes politiques , eux, ont ou prétendent avoir des réponses, puisqu’ils ont des programmes , qui doivent solutionner les difficultés.
On essaie un programme , puis un autre , peut-être faudrait-il casser les clivages , mais , les hommes politiques sont trop orgueilleux , pour admettre que celui d’en face pourrait avoir raison ,il est vrai, qu’ils sont très privilégiés & ne se rendent pas compte de la difficulté de vivre , pour beaucoup de gens …
Jusqu’au jour où …ça craquera , même si ça a déjà commencé , avec des partis ,de plus en plus extrémistes & le terrorisme , qui absorbe une partie de nos impôts …
Où allons nous? Avec qui ?
Louise.k
15 octobre 2016 @ 11:52
Où allons-nous? framboiz07, « dans le mur », nous y allons tout droit.. Avec qui? « tous ensemble « !
Belle journée à vous.
Ellen
12 octobre 2016 @ 22:10
» Ce qui se conçoit clairement, s’énonce aisément » , non ?
Kalistéa
13 octobre 2016 @ 09:27
« ce qui se conçoit bien s’énonce clairement
et les mots pour le dire viennent aisément! », cher Roby?
J’ai lu pour ma part un livre ou deux du comte de Paris et je n’ai pas trouvé du tout qu’il n’écrivait pas clairement!
Sa façon de s’exprimer oralement est aussi posée , simple et claire avec des arguments.J’ai souvent pensé que quelqu’un d’autre se permet d’écrire sur son blog , en son nom , comme ce n’est certes pas Luis Alfonso Borbon qui écrit les discours qu’on lui fait lire!
Gérard
11 octobre 2016 @ 11:07
« Nous sommes nombreux à avoir mal à la France. Beaucoup sentent que les institutions ne parviennent pas à apporter de réponses aux profondes déchirures, qu’il ne suffit pas d’une énième réforme constitutionnelle pour changer la donne.
J’ai hérité d’une tradition qui m’oblige envers les Français. Notre mission n’a pas changé : elle consiste à répondre à l’espérance de justice, à traduire les exigences de la dignité. »
Voilà ce qu’écrit notamment le prince dont cet ouvrage que je n’ai pas encore lu mais il est certain que nous sommes nombreux à avoir mal à la France, et dans une certaine mesure au Monde, et que nous ne voyons pas très bien quelles sont les solutions qui pourraient se dégager face à des exigences parfois antinomiques et malgré la bonne volonté de nos hommes politiques et des candidats aux élections qui s’annoncent.
Quand 67 % des Français se disent inquiets pour leur avenir et celui de leurs enfants il faut certainement dépasser les clivages politiques ou idéologiques et les a priori faciles.
Mary
11 octobre 2016 @ 22:43
Gérard,la bonne volonté de nos hommes politiques ne s’exerce qu’envers eux-mêmes et leurs enfants qu’ils veulent placer ,c’est tout.
Ils se f…complètement du bien public et ne pensent qu’à frimer et s’enrichir.
J’éprouve envers tous le plus parfait mépris et le plus profond dégoût.
JACQUES
11 octobre 2016 @ 16:56
Comment peux t’on critiquer un livre sans l’avoir lu ?.
Robespierre
12 octobre 2016 @ 09:25
C’est très bête de critiquer un livre sans l’avoir lu , et je ne veux pas tomber dans ce travers. Mais j’ai la faiblesse d’aimer le français, les phrases bien écrites et compréhensibles. Or j’ai eu quelques échantillons de la prose du Monsieur sur ce site et j’ai bien ri. Aurait-on publié son livre s’il ne s’était pas appelé le comte de Paris ?
Gérard
12 octobre 2016 @ 14:03
Robespierre il n’est pas question de comparer le comte de Paris aux plus grands auteurs mais si vous prenez La Phénoménologie de l’esprit de Hegel, et la plupart des traités de philosophie, mais aussi la Recherche de Proust, certains ouvrages d’Albert Cohen ou de Marguerite Duras.
Mais pour vous être agréable Robespierre, je vous citerai ces quelques vers de Boileau tirés de l’Art poétique :
« J’aime sur le théâtre un agréable auteur
Qui, sans se diffamer aux yeux du spectateur,
Plaît par la raison seule, et jamais ne la choque.
Mais, pour un faux plaisant, à grossière équivoque,
Qui pour me divertir n’a que la saleté,
Qu’il s’en aille, s’il veut, sur deux tréteaux monté,
Amusant le Pont-Neuf de ses sornettes fades,
Aux laquais assemblés jouer ses mascarades ».
cyril-83
12 octobre 2016 @ 18:11
Bien d’accord avec Robespierre(une fois n’est pas coutume !) et Gilles (message plus haut). Critiquer sans voir lu, c’est peu constructif, mais on a tellement l’habitude de messages ou de communiqués mal écrits et d’un contenu aussi pompeux qu’incompréhensible et d’une intolérance totalement décomplexée que lire son livre est la dernière chose que je ferai.
Je veux bien croire qu’il écrit lui-même ses livres, mais il ne devrait pas !
Son père écrivait dans un français et un style très appréciable, mais c’était un tyran familial, sous couvert d’un fin politicien.
Quelle tristesse de voir ainsi décatie la famille d’Orléans… Ce n’est malheureusement pas le duc de Vendôme qui pourra rallumer ma flamme orléaniste; lui dont le passéisme et les idées pas plus progressistes que celles de son ennemi de père débordent de tous côtés…
marielouise
11 octobre 2016 @ 21:04
Je n’irai pas!!!!
ml
Milena K
12 octobre 2016 @ 23:01
Henri d’Orléans et son rejeton semblent en mal de reconnaissance.Voilà déjà une chose qui leur est commune.