Concert dans l’Ateneul Roman de Bucarest pour l’anniversaire du roi Michel de Roumanie. (Copyright photo : site de la famille royale de Roumanie)
Concert à l’Ateneul roman à Bucarest
36 Comments
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27 octobre 2017 @ 10:30
Un fois la personne du Roi Michel disparue et sans héritier en titre que va t il rester de l image monarchique afin de pouvoir s encrer véritablement dans la société roumaine?
27 octobre 2017 @ 11:33
De ce côté là on ne peut pas dire que la princesse reste les mains dans les poches.
27 octobre 2017 @ 13:40
malheureusement, une princesse héritière ne peut se contenter de sortir les mains des poches. Il lui faut aussi sortir un héritier de son sein. La princesse n’a pu le faire, il lui faut donc trouver une autre solution.
28 octobre 2017 @ 14:43
Elle devra revenir à son plan N.
27 octobre 2017 @ 22:15
sera t elle reine titulaire de roumanie
28 octobre 2017 @ 14:44
Non sauf si la monarchie était rétablie.
27 octobre 2017 @ 23:35
S’encrer, on ne sait pas, mais s’ancrer, on ne sait pas non plus…
27 octobre 2017 @ 11:24
N’en jetez plus, de madame Dadu… Ronron…..
28 octobre 2017 @ 08:06
;)
27 octobre 2017 @ 11:37
Je sais j’ai un regard de citoyenne de la république française mais l’omnipresence de cette royale non élue dans la vie publique de la République Roumaine m’etonne toujours.
27 octobre 2017 @ 16:41
Et en fait c’est ça l’intérêt des monarchies, le chef de l’État y est garant des institutions héréditairement. L’élection a eu lieu une fois pour toutes, en principe…
30 octobre 2017 @ 08:48
Interprétation juridique un peu poussée….dans les monarchies scandinaves par exemple le roi est juste le chef de l’état. Cette fonction de garant des institutions n’apparaît plus….
1 novembre 2017 @ 14:58
Dans une monarchie constitutionnelle, a fortiori moderne, le roi peut être défait par son peuple à tout moment. La part de l’hérédité fonctionnelle est aujourd’hui grandement atténuée!
27 octobre 2017 @ 17:37
Nous subissons bien de plus en plus, en France, l’omniprésence de l’épouse non élue du président de la république. Dont l’entourage politique commence à se plaindre, d’ailleurs…
28 octobre 2017 @ 17:37
Comme vous avez raison Mélusine….
28 octobre 2017 @ 19:58
M Macron ne va pas divorcer pour vous faire plaisir
Quant à son épouse elle n’est pas plus omniprésente que l’était Madame Chirac ou la troisième épouse de N Sarkozy, une dénommée Carla dont on nous a rabattu les oreilles sous la présidence de son mari
29 octobre 2017 @ 18:32
Carla était très discrète.
30 octobre 2017 @ 22:11
Surtout sa tessiture.
1 novembre 2017 @ 14:58
C’est vrai aussi.
27 octobre 2017 @ 18:04
Moi, cela m’exaspère !
27 octobre 2017 @ 19:42
Vous avez le regard qui est le vôtre et vous n’avez pas à vous en excuser :-) Partant de là, si nous ne devions parler que des royaux nous concernant, nous serions forcés, nous lecteurs français, d’avoir tous un avis sur le duc de Vendôme ;-)
27 octobre 2017 @ 21:45
Effectivement et comment le tout est perçu par les Roumains?
27 octobre 2017 @ 17:14
Chaque année le Conseil royal de charité est donné pour l’anniversaire du roi Michel depuis 2008 à l’Athénée roumain et les fonds soutiennent le programme Jeunes talents grâce auxquels la Fondation Princesse Margareta de Roumanie offre des bourses individuelles pour soutenir les jeunes artistes les plus talentueux issus de familles modestes roumaines.
L’orchestre est l’Orchestre de la Fondation Princesse Margareta qui a été créé en 2008 sous la direction du chef d’orchestre Tiberiu Soare. Cet orchestre est formé de musiciens roumains de réputation internationale. Cette année pour cette 10e édition on a pu entendre trois grands artistes qui se sont déjà produits dans ce cadre et qui ont donc été accompagnés par l’orchestre dirigé par Tiberiu Soare : Remus Azoiţei, violoniste mondialement connu, Alexandra Dariescu, célèbre pianiste qui a interprété la Rhapsodie de Rachmaninov sur un thème de Paganini, enfin Teodor Ilincăi, l’excellent ténor roumain.
L’Athénée de Bucarest a été fondé à l’initiative de trois personnalités roumaines en 1865 : Nicolae Crețulescu (qui fut président du Conseil des ministres des Principautés unies de Moldavie et de Valachie), Constantin Esarcu (naturaliste, médecin, ministre) et Vasile Urechea Alexandrescu (écrivain, historien et ministre). Une souscription nationale fut organisée et le bâtiment conçu par l’architecte français bien connu en Roumanie Albert Galleron (1846-1930), dans un style néoclassique, et sur les fondations d’un ancien manège équestre ayant appartenu à la famille Văcărescu, d’où la forme de rotonde de l’auditorium. Celui-ci est coiffé d’une coupole de 41 m de hauteur et comporte 600 places assises et 52 dans les loges. Le 29 décembre 1919 l’Athénée servit pour une séance solennelle du Parlement qui vota l’union de la Roumanie avec la République démocratique Moldave, la Transylvanie et la Bucovine qui s’ajoutaient donc à la Valachie, à la Moldavie et à la Dobrogée. C’est après cela que sur le mur circulaire fut peinte une grande fresque retraçant l’histoire de la Roumanie depuis Trajan.
Sous la dictature communiste la fresque fut recouverte de blanc notamment parce qu’elle montrait des paysans s’agenouillant reconnaissants devant le roi Ferdinand et parce qu’elle évoquait aussi la Bessarabie qui après la guerre fut rattachée à l’URSS. On agrémenta le blanc avec des portraits de Marx, Engels, Lénine, Staline et plus tard Khrouchtchev, Gheorghiu-Dej puis Ceaușescu et son épouse. Dans les derniers temps les autres portraits ayant été décrochés ne restaient plus que les Ceausescu voisinant tout de même avec George Enescu, le plus grand compositeur roumain (époux de la princesse Michel Cantacuzène née Marie Rosetti et dont le premier mari était surnommé « le Nabab » en raison de son immense fortune).
Depuis l’Athénée a été entièrement restauré et la fresque également.
28 octobre 2017 @ 19:47
Merci Gérard.
29 octobre 2017 @ 10:43
Merci Gérard , vous lire est un plaisir .
29 octobre 2017 @ 18:33
Merci infiniment à vous ainsi qu’à Patricio.
27 octobre 2017 @ 17:22
On ronronne d’aise en vous lisant , bambou !
27 octobre 2017 @ 18:14
Et il ne faut pas oublier notre cher Nicolas ! Il est en Roumanie avec sa fiancée et il est toujours très populaire ! Avec des amis ils ont été faire du camping dans un lieu magnifique dans les gorges d’Arges. Ils ont été aussi au festival du film de Sibiu.
Je suis toujours ravie de vous lire Gérard !
Florence
28 octobre 2017 @ 14:47
C’est gentil Florence et merci de nous donner des nouvelles du Cher Nicolas.
28 octobre 2017 @ 15:32
qu’on lui redonne son titre d’altesse royale et de prince et de futur heritier de la couronne roumaine!
28 octobre 2017 @ 11:50
Écrire « l’Ateneul Roman » est un non-sens. Bien sûr, peu de gens connaissent le roumain, mais en réalité, la terminaison « un » est l’équivalent de notre article défini masculin singulier « le » ou « l' ». Il y a donc une répétition de l’article.
Il vaut mieux traduire dans ces cas-là : l’Athénée roumain de Bucarest, comme le veut l’usage.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ath%C3%A9n%C3%A9e_roumain
28 octobre 2017 @ 14:48
D’autant qu’à l’époque toute la société parlait français.
28 octobre 2017 @ 19:55
Bon la princesse Margareth a déjà la soixantaine je crois, elle n’est pas éternelle, elle n’a que des sœurs qui ne sont pas toutes jeunes non plus et le seul membre jeune masculin de la famille a été exclu de la dynastie. Alors ? Vous voyez l’avenir comment Gérard (mains libres ou pas )
29 octobre 2017 @ 18:38
Je ne vois que Nicolas qui sera sûrement bien accueilli par la majorité des monarchistes roumains. La politique c’est toujours l’art du possible et choisir un roi ou un prétendant également.
30 octobre 2017 @ 12:16
le prince paul et son fils peuvent etre les futur heritiers de la couronne
30 octobre 2017 @ 18:24
Le personnage est ,tout de même , fort douteux .