Conférence «Correspondances inédites, intimes et politiques du Prince impérial – Napoléon IV» par l’auteur de cet ouvrage, Eric Pradelles samedi 7 décembre à 18h 30 au Brit’Hotel « Le Castel » 260, rue de Chateaugiron à Rennes en Bretagne. (Merci à Michèle)
jeanfb
30 novembre 2013 @ 11:38
bonne chance , j’aurais souhaité être présent, mais j’attends votre debriefing avec impatience!
COLETTE C.
30 novembre 2013 @ 12:07
Je viens de commander ce livre à mon magasin Chapitre. D’origine bretonne, j’aurais aimé assister à cette conférence.
flabemont8
30 novembre 2013 @ 17:51
Il y a des jours où je souhaitrerais être rennaise…vu l’endroit où j’habite, c’est mal engagé !
Kalistéa
30 novembre 2013 @ 14:06
Eric Pradelles « l’homme à la jolie voix », va sûrement enchanter ceux ou celles qui ,habitant la Bretagne ,auront la chance d’assister à sa conférence. Je regrette de ne pas être du nombre, mais j’espère que nous aurons des échos.
Le Prince Impérial , Séduisant jeune homme à la vie brisée, mérite de sortir de l’ombre.
Florestan
1 décembre 2013 @ 03:39
« Napoléon IV » ??? Décidément, depuis que Louis-Philippe a usurpé le trône de France il n’y a eu de cesse de « chiffrer » le moindre prétendant ou héritier d’un souverain déchu ainsi que ses propres héritiers à sa suite. C’en est souvent pathétique.
Seuls, à mon sens, n’ont de valeur que Louis XVII, roi « de facto » à la mort du souverain Louis XVI, et Henri V qui aurait dû « régner » à la place de Lois-Philippe après des abdications de Charles X du fils Angoulême – lequel a voulu attendre vingt minutes pour signer son abdication afin de se prétendre « Louis XIX » le temps de cet intervalle, tssss la honte!. Et puis, l’empereur Napoléon qui s’est chiffré « III » prétendant être à la suite légitime du pauvre duc de Reichstadt considéré par lui « Napoléon II » ?? Sans compter les Orléans qui auraient dû reprendre leur chiffre dynastique après la chute de Louis-Philippe ; et plus encore les prétendants espagnols.
Il est vrai que les moult tribulations post-révolutionnaires tout au long du XIXème siècle auront méchamment perturbées l’ordre des choses et cela à plus d’un égard. Ce « chiffrage » sans queue ni tête en étant un des dommages.
J’espère que les grands maîtres de ces lieux pourront nous en glisser un mot en analyse.
Avec tout le respect que j’ai pour le prince impérial, c’est la première fois que je le lis titré « Napoléon IV ». Et j’avoue trouver cela… comment dire sans être vulgaire… disons que je trouve cela ulcérant. Voilà, ulcérant c’est bien.
Florestan
1 décembre 2013 @ 03:41
pardonnez les fautes de frappe !
Kalistéa
1 décembre 2013 @ 11:11
Je pense tout à fait comme vous Florestan.
Mais c’est une façon de faire connaitre …un inconnu!
façon journalistique de nos jours qui veut toujours faire du sensationnel.
Eric Pradelles , chercheur sérieux ne parle lui que du « Prince Impérial » qui était le titre du fils de Napoleon III lorsque celui-ci régnait.
Bon dimanche. K.
evanescence
1 décembre 2013 @ 18:53
c’est un titre qui lui est dû! contre les néologismes qui ont l’air de vous causer des ulcères, je vous recommande le « maalox »……afin de calmer vos aigreurs :)
Florestan
2 décembre 2013 @ 18:15
Comme argumentation, ça m’apparaît un rien léger.
« …un titre qui lui est dû » ??? Ah bon, sur quelle base je vous prie ?
« …contre les néologismes (???) »
Pas clair tout ça.
Gabrielle
1 décembre 2013 @ 13:04
Le jour de l’inhumation de Napoléon III, les bonapartistes présents ont salué le Prince impérial du nom de Napoléon IV.
Mais il reste le Prince impérial « Loulou » comme l’appelait affectueusement ses parents