Conférence en ligne le 26 janvier 2022 à 18h30 ayant pour thème « L’art de s’habiller à travers le temps ». Cliquez ici pour vous inscrire. (Merci à Guizmo)
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Lady Chatturlante
24 janvier 2022 @ 03:21
Rares sont les personnes qui cultivent l’élégance et savent encore s’habiller. Quand il m’arrive de croiser des hommes en pantalon de jogging et des femmes en legging, je me dis que notre époque est tombée bien bas.
Guillaume Boonen
24 janvier 2022 @ 14:29
Oui exactement
Sans compter la quasi disparition des chaussures
Place aux godillots
Noëlle et Gaël
27 janvier 2022 @ 18:51
Sans prôner les stilettos et autres échasses d’une hauteur excessive, celles qui portant ces godillots ne doivent pas se regarder dans une glace.
Comme les baskets blanches avec un costume de marié foncé, un manque de style…
Baboula
24 janvier 2022 @ 04:17
Je ne veux pas assombrir cet article de Guizmo mais il ne m’est pas possible de passer sous silence le décès de Thierry Mugler .Il semble déjà oublié mais dans les années 80 il fut un grand créateur .Il a montré une femme sirène au corps hyperstructuré , épaules larges , taille très fine et hanches rondes .On ne pouvait que se sentir belle dans du Mugler , à condition d’y entrer . C’est lui qui a fait des défilés de mode un spectacle .Il a lancé le parfum Angel , un parfum sans fleur ,qui connut un immense succès , trop à mon goût qui suis restée fidèle à un autre nectar .Il a rejoint Dauphine de Jerphanion qui fut sa collaboratrice et sa muse .
🇨🇦 Mer Limpide 🌊
24 janvier 2022 @ 22:55
Oui, exact Baboula.
Je déplore également la perte de ce grand couturier- créateur magicien aux doigts d’or.
Il aimait les femmes, en les mettant en valeur .
Mes condoléances au monde du grand art de s’habiller ,ainsi qu’à ses proches. 🕊
Iankal21
25 janvier 2022 @ 13:06
Permettez moi d’évoquer Baboula deux rencontres avec le jeune et avenant Thierry Mugler. La première à une plage nudiste de Myconos, il était accompagné d’un jeune ami, la deuxième au Grand Palais à l’exposition Fabergé accompagné d’une dame du grand monde. Aux deux occasions le sourire discret et le charme pudique.
Baboula
27 janvier 2022 @ 14:36
Bonjour Iankal . Sa mode est celle d’un homme qui savait aimer les femmes ,même si …
Claude patricia
24 janvier 2022 @ 06:52
Après Nino Cerruti, Thierry Mugler est décédé…
Carole 007 - Carolus
24 janvier 2022 @ 17:10
En effet, Nino Cerruti il y a quelques jours…
Il est de la génération Valentino et Armani, qui, j’espère ne nous quitterons pas trop vite.
JAusten
24 janvier 2022 @ 08:44
Superbe affiche ! Merci pour l’info.
Ciboulette
24 janvier 2022 @ 09:26
Et l’art de se déshabiller . . .non ?
Leonor
24 janvier 2022 @ 10:50
Merci, Guizmo, de nous informer de vos trouvailles . Sincèrement.
Ceci dit : Certes, l’habit à travers le temps, c’est intéressant, amusant, un thème séduisant. Je ne vais pas le nier, moi qui portes parfois des vêtements » médiévaux », et en ai cousu une tripotée .
MAIS cela ne concerne QU’ une toute petite frange de la population.
Car, depuis le Haut Moyen-Age jusqu’au XIXe siècle, la tenue paysanne ( ~95% de la population), elle, n’a que très peu varié, comme d’ailleurs, fondamentalement, les fibres utilisées.
On ajoutera à cela que, si un paysan – une paysanne possédait en tout deux tenues, c’était déjà une vraie richesse.
Baboula
24 janvier 2022 @ 21:32
La robe du dimanche des petites filles ,alors qu’il y a si peu de dimanche et très vite la robe est trop étroite ,même plus portable en semaine ,alors on la coupe pour en faire faire une jupe . Ah tristesse de l’économie domestique .
JAusten
25 janvier 2022 @ 09:29
ben voilà vous avez trouvé le « truc », votre pseudo n’est plus en bleu ;)
Baboula
25 janvier 2022 @ 12:08
Merci infiniment JAusten,nous avons trouvé le truc grâce à vous .
Benoite
25 janvier 2022 @ 10:50
J’ai connu les petites robes « jolies » des dimanches, à faire attention aux repas, ne pas tirer dessus, souvent données à ma mère pour nous, j’ai le souvenir d’une robe, avec motifs petites feuilles, et à manches ballons. Ma soeur et moi prenions soin de ces tenues d’occasion, chaussures aussi quelquefois. Ce que dit Leonor pour la quantité de vêtements personnels à une certaine catégorie de gens pas trop fortunés, c’est vrai.
En milieu rural, on mettait aux femmes décédées, leur robe de mariage, souvent noire, rarement claire, déboutonnée dans le dos…because changement de silhouette, et 30 -40 ans de plus, alors la jolie taille était passée depuis belle lurette ! et quand on est au cercueil, on est sur le dos.
pas réjouissant tout ça. !! pour les hommes pareil aussi.. pas de costumes en quantité, et pour le dernier voyage, ça coinçait aussi..
Les dames des années 1950-1980 cousaient, retournaient les tissus pour refaire une jupe, on usait tout bien comme il faut, on récupérait les boutons, les boucles de ceinture, les crochets lingerie, c’était une méthode à l’ancienne.
Alors, c’est vrai du Costume on passe à la mode conventionnelle. Avec des couturiers qui ouvrent boutiques, font des défilés, plusieurs collections à l’année, et aussi des collections pour tout (e) une chacun(e) à prix « cassés ».
Iankal21
25 janvier 2022 @ 12:56
Merci Benoîte pour ce « pèlerinage » chez les habits des gens modestes, de la puberté, au mariage et jusqu’ au voyage ultime.
Une pensée aussi pour les teinturiers qui changeaient la couleur des vêtements en fonction des événements sociaux ou familiaux…
Et un hommage à Monsieur Staricky, teinturier de Paris qui avait « inventé » le bleu « Wallis » assorti à la couleur des yeux de la Duchesse de Windsor.
Charlotte (de Brie)
27 janvier 2022 @ 13:49
Il me semble Benoîte que le temps soit revenu non pas de « ravauder » les vêtements mais bien de leur offrir une seconde vie. Je ne sais pas si vous même ou d’autres ici lisent le trimestriel « Marie Claire Idées » ou le « Modes et Travaux » nouvelle formule, mais ils sont devenus un peu les almanachs du « DIY » on y trouve des recettes pour transformer toutes sortes de vêtements.
Les greniers sont aussi une source de découvertes, j’ai retrouvé une boîte de poudre Jeanne Lanvin, pleine de boutons de nacre qui sont devenus des décos pour pulls, chemisiers, des chemises de jour en lin et broderies style Richelieu qui me servent de « sorties de lit » quelques unes blanches toujours, d’autres teintes avec des colorants naturels, avocat, sureau, oignon, rhubarbe… idem avec les camisoles plissées finement qui deviennent des modèles uniques de chemisier blanc.
Bon on s’éloigne un peu du thème initial, mais on revient à l’esprit d’économie.
Bonne journée
Danielle
24 janvier 2022 @ 11:52
Très belles robes pour annoncer cette conférence.
Caroline
24 janvier 2022 @ 12:17
Autrefois, l’ habit fait le moine d’ après notre appartenance sociale ou religieuse à la société !
Il existe des mini- vidéos nous montrant comment s’ habiller à l’ ancienne en superposant sans fin nos habits et notre lingerie !
Merci à Guizmo pour cette conférence historique !
Guillaume Boonen
24 janvier 2022 @ 14:31
Je me demande parfois si les gens portent encore des sous vêtements tellement ils y a du laisser aller dans les tenues vestimentaires
Baboula
24 janvier 2022 @ 15:18
Considérez vous le string comme un sous-vêtement ?
Ciboulette
26 janvier 2022 @ 16:30
Je peux vous assurer que dans ma région très froide ( il neige , décor de carte de Noël ) , on apprécie les sous-vêtements ( Damart fait un tabac ! ).
Katellen
25 janvier 2022 @ 16:58
Le « no bra » est très tendance depuis le confinement. Il faut aussi reconnaître que les sous-vêtements et notamment la lingerie, sont de plus en plus onéreux. Je crois que la jeune génération cherche avant tout le confort et boude les sous-vêtements pouvant entraver la liberté de mouvements. De là à penser que certains font l’impasse sur ces attributs vestimentaires, je ne sais pas … 😅
Noëlle et Gaël
28 janvier 2022 @ 11:03
Je pense qu’il y a toujours les adeptes de lingerie » de séduction ». Plutôt les femmes de la trentaine à l’âge plus mûr; au budget pas trop serré… Voulant mettre leurs atouts davantage en valeur.
Mais vous avez bien raison, les plus jeunes femmes touchant souvent le SMIC, évitent ces boutiques de lingerie fine, vu leurs prix excessifs. D’autant qu’avec leur fraîcheur comme atout, elles peuvent s’en passer.
Marie-Saintonge
25 janvier 2022 @ 20:22
Benoite je me souviens aussi de la robe du dimanche et des souliers vernis pour aller à la messe ! Et des couturières de quartier qui en effet, jonglaient avec les boutons à récupérer surtout s’ils étaient en nacre, et les jupes à rallonger avec la marque de l’ourlet ! Aujourd’hui tout le monde ou presque est en jean et fringué n’importe comment hélas.
Baboula
26 janvier 2022 @ 20:39
Vous oubliez les entre-deux de tissus différents pour allonger la jupe .
Noëlle et Gaël
27 janvier 2022 @ 18:44
Moi je me souviens des messes du dimanche dans ma campagne alsacienne, (le village de 500 hab. de ma marraine), où Pâques et Noël étaient des défilés de mode, largement commentés dans les chaumières. On scrutait les chapeaux, le nouveau manteau de printemps ou d’hiver, la nouvelle coupe de cheveux.
ll n’y avait pas internet, très peu de télés et on se distrayait comme on pouvait.
Les hommes, eux, après la messe, prenaient l’apéro et jouaient aux cartes dans les restaurants.
Dans ma ville à l’époque de 6500 habitants, il y avait dans les années cinquante-soixante env. trente à quarante bistrots… Avec l’arrivée massive des télés, ce nombre a diminué.
Baboula
28 janvier 2022 @ 23:14
Vous oubliez le passage à la pâtisserie et pour certains la vente de l’Huma Dimanche et de Pif le chien .
FLEUR
31 janvier 2022 @ 18:01
Dans mon coin, le communisme n’avait pas bonne presse et Pif le chien j’ignorais jusqu’à son existence.
Le passage à la pâtisserie c’était pour les éclairs, religieuses et les boules de glace pour lesquelles on amenait un saladier, vu que la boutique était assez proche.