La confirmation religieuse par le cardinal Renato Raffaele Martino des filles du Duc et de la Duchesse de Castro a eu lieu le 12 mai en la basilique Saint Pierre à Rome. Pendant la cérémonie, les Princesses Maria-Carolina et Maria-Chiara de Bourbon-Siciles étaient entourées par le Prince Napoléon (cousin germain des deux princesses) et l’Archiduc Martin d’Autriche-Este.
En parallèle à cette cérémonie, le Duc de Castro a indiqué sa volonté de modifier les règles de succession en vigueur dans la maison des Deux-Siciles et d’appliquer la primogéniture absolue dans sa descendance. N’ayant pas de fils, c’est sa fille aînée la Princesse Maria-Carolina qui deviendrait à terme chef de la Maison royale.
Le Duc de Castro a également procédé à des nominations dans l’organigramme de l’Ordre Constantinien de Saint Georges. Sa sœur ainée, la Princesse Béatrice devient Grand Préfet et est remplacée dans sa fonction précédente de Grand Chancelier par le Prince Ruspoli di Cerveteri. (Merci à Lpj)
marielouise
18 mai 2016 @ 07:01
Joliment habillées…mais elles semblent vivre très en marge de la société?!
ml
amaia
18 mai 2016 @ 07:30
Je plussoie et doivent avoir des cours avec un précepteur !!!
FILOSN
18 mai 2016 @ 12:50
« plussoie » j’avoue que pour le coup je suis ignare: ça signifie?
Merci
Danielle
19 mai 2016 @ 11:12
FILOSN, « plussoie » ce terme a vu le jour sur un autre site par plusieurs internautes, il signifie « approuver », « réitérer votre avis ».
Pierre-Yves
19 mai 2016 @ 12:52
Il faut quand même dire que ce verbe plussoyer (qui vient de + 1) est moche comme tout. On devrait le proscrire.
emy
19 mai 2016 @ 19:42
« Plussoie » existe sur de très, très nombreux sites, et pas seulement royautés.
Laus'Anne
19 mai 2016 @ 20:02
Absolument Pierre-Yves…!
Trianon
18 mai 2016 @ 09:49
pourquoi? parce qu’elles font leur confirmation?parce que celle ci a lieu dans un cadre splendide?
De toute façon, elles doivent être scolarisées dans un établissement huppé et,- confirmation ou pas- sont de toute façon protégées de bien des choses.
le Duc de Castro a t il tout loisir de changer les règles de succession?
Cosmo
18 mai 2016 @ 10:25
Ne croyez-vous pas, chère marielouise, qu’elles sont un peu jeune pour vivre en société ? Leurs cousins, cousines et amis de classe devraient amplement suffire. Et il ne manque pas d’enfants à Monaco…
Cordialement
Cosmo
marielouise
18 mai 2016 @ 16:00
Vous avez très bien compris ce que je voulais dire, Cosmo…
Cordialement
ml
marielouise
20 mai 2016 @ 06:21
Justement Cosmo…si amies de classe il y avaient pourquoi ne pas faire leur confirmation ensemble…c’était simplement la question que je me posais en voyant cette, certes belle photo…seules et très pompeuse cérémonie pour ces deux ravissantes petites…d’où l’impression qu’elle vivent déjà hors réalité!
Belle journée!
ml
framboiz 07
18 mai 2016 @ 10:32
Et en marge de leurs parents, sauf pour les photos : Leur maman expliquait dans une interview , qu’elles vivaient dans une aile de l’appartement et eux dans l’autre …
Laus'Anne
18 mai 2016 @ 12:11
Pourquoi choquant de vivre « dans une aile » de la maison ? les personnes qui possèdent une maison, les enfants vivent souvent à l’étage ! et les parents au Rdc ! le duc et la duchesse de Castro qui ont sans doute d’autres M²… font bénéficier à leurs filles d’un autre espace ! Espace ou aile…tout dépend donc de la superficie !
Quant aux précepteurs…??? si le futur roi d’Angleterre va à l’école du coin…ce serait surprenant que ces deux petites filles se fassent donner des cours à domicile…!
marielouise
18 mai 2016 @ 16:02
C’est bien aunsi que j’imaginais cette famille, framboiz 07, avec une mère si mondaine !!!
ml
Caroline
18 mai 2016 @ 22:39
Framboiz07,
Pardon si je n’ai pas bien compris votre commentaire! Ces fillettes ne vivent-elles pas avec leurs parents?
Pierre-Yves
19 mai 2016 @ 12:55
C’est juste une question de proportion. Mais dans n’importe quelle revue de déco où on vous présente une maison, on vous la décrit avec l’étage parents et l’étage enfants. Ici ça doit être la même chose, mais en plus grand.
marielouise
20 mai 2016 @ 06:26
Ailes ne veut pas dire étages…Les ailes d’une maison sont plus séparées que de simples étages…dans notre grande maison nos enfants dormaient, en effet à l’étage supérieur du nôtre mais tout cela restait très proche…
ml
Lorenz
18 mai 2016 @ 12:17
Je pense comprendre ce que vous voulez dire, marielouise. Elles ne vont pas à l’école, donc pas d’amis de classe. Et elles célébrent leur confirmation seules en Vatican: elles ne fréquentent alors ni une paroisse, ni un group de formation catholique pour jeunes (même pas ceux presque réservés aux aristo)…
marielouise
20 mai 2016 @ 06:28
C’est exactement cela Lorenz…votre finesse et intelligence d’esprit comme pour d’autres ici- heureusement- me ravit!
Cordialement
ml
misa
18 mai 2016 @ 12:17
A marie-Louise:à mon avis elles ne vivent qu’en marge de la société des gens ordinaires , comme toutes leurs pairs!
Gérard
19 mai 2016 @ 14:18
En fait ils sont soit à Monaco, soit à Paris soit à Rome ce qui fait trois domicile, soit en voyage raison pour laquelle les princesses ont des précepteurs qui ne craignent pas l’avion.
JAusten
18 mai 2016 @ 16:58
elles vivent en marge de la notre c’est sûr mais pas de la leur.
LPJ
18 mai 2016 @ 07:26
Pour mémoire, la Princesse Maria-Carolina a pour parrains et marraines : Prince Laurent de Belgique, Prince Pierre d’Arenberg, Anna Maria Pisanu et Inès Sastre. Son baptême avait donné lieu à une grande cérémonie au palais de Caserte.
Le baptême de sa sœur avait été beaucoup plus intime. Y avait toutefois assisté l’époux de la reine du Danemark ainsi que la Princesse Michael de Kent.
JAY
18 mai 2016 @ 07:38
et le cousin espagnol ?
Albane
18 mai 2016 @ 08:58
Privilège rare que celui de recevoir l’Esprit-Saint au cœur même de la Chrétienté !
aubert
18 mai 2016 @ 12:09
A quel titre un tel privilège devant lequel vous semblez vous extasier ?
FILOSN
18 mai 2016 @ 12:53
N’importe quoi! Dieu est partout chez lui pas besoin de se faire confirmer à St Pierre. Quelle misère votre commentaire!
Antoine
18 mai 2016 @ 09:53
Certes, Madame, tout le monde ne reçoit pas le sacrement de confirmation lors d’une cérémonie privée à St-Pierre… Néanmoins, toutes les familles catholiques ont à coeur que leurs enfants soient marqués du sceau de l’Esprit Saint. L’initiation chrétienne est sans cela incomplète, d’où le nombre croissant de confirmation d’adultes. Dans le monde actuel, nous avons plus que jamais besoin de lumières de toutes sortes… Et l’on ne prie pas assez le Saint-Esprit, éclipsé par le Père et par le Fils. Du coup, il doit se trouver plus disponible pour dispenser ses grâces…
En France, il est d’usage que les garçons aient un parrain de confirmation, les filles une marraine. Ici, l’on voit deux parrains. La coutume est sans doute différente en Italie ?
Marina Pareschi
18 mai 2016 @ 12:07
oui, elle est differente. En Italie une fille peut avoir un « Monsieur » pour parrain par example!!! Vous avez totalement raison que dans ce monde d’aujourd’hui il faut prier beaucoup l’Esprit Saint, qui puisse donner des lumières au monde!!!
Jean Pierre
18 mai 2016 @ 12:09
Pour les protestants, la confirmation n’est pas un sacrement mais un acte solennel.
Un des grands temps forts de la vie d’un luthérien ou d’un réformé.
Lorenz
18 mai 2016 @ 12:18
En Italie la coutume est la même qu’en France.
Gérard
18 mai 2016 @ 21:10
Antoine chacun fait comme il veut en France et le parrain ou la marraine de confirmation est en principe celui ou celle du baptême mais on peut choisir quelqu’un d’autre.
emy
19 mai 2016 @ 19:45
J’ai été marraine de confirmation de l’un de mes frères et de l’une de mes soeurs… On prend qui on veut, homme ou femme chrétien(ne)…
COLETTE C.
18 mai 2016 @ 10:02
Une belle cérémonie !
chevau léger
18 mai 2016 @ 10:05
Ce n’est pas duchesse de Capoue,mais de Palerme.
Cosmo
18 mai 2016 @ 10:33
Malgré la sympathie que m’inspire le duc et la duchesse de Castro, je trouve les titres donnés à leurs filles pour le moins étonnants. Capri et Capoue ne me semblent pas avoir été des titres de la Maison royale des Deux-Siciles et leur seul nom évoquent bien d’autres choses que la monarchie, de Tibère à Malaparte, en passant par Axel Munthe, sans même parler des délices.
Cette manie des prétendants à titrer leurs descendance est suprenante. Leur nom est bien plus beau que ces titres de courtoisie qui semblent de fantaisie.
aubert
18 mai 2016 @ 12:04
En plein accord avec vous. Quand on ne règne plus sur aucun territoire et depuis longtemps cette pratique paraît ridicule.
Je ne comprends pas que les municipalités républicaines de quelques villes françaises se sentent honorées par cette pratique et reçoivent avec distinction les titulaires. Elles devraient plutôt protester.
Gérard
19 mai 2016 @ 14:11
Toujours sans-culotte Aubert ?
aubert
20 mai 2016 @ 10:20
non, non Gérard ce serait dangereux, je pourrais prendre froid ce qui est grave pour un septuagénaire et montrer ses fesses à cet âge est plus grave que planter ou bâtir.
Gérard
21 mai 2016 @ 16:55
Ah vous êtes un sage…
Jean Pierre
18 mai 2016 @ 12:06
Pour moi Capri sera à jamais associé à Brigitte Bardot et Michel Piccoli dans le Mépris et à la musique de Georges Delerue.
Pierre-Yves
19 mai 2016 @ 08:50
N’oubliez pas Hervé Vilard et Marguerite Duras !
Leonor
19 mai 2016 @ 15:31
… et Le Livre de San Michele ( Das Buch von San Michele). Axel Munthe.
emy
19 mai 2016 @ 19:47
Pour moi, Capri c’est fini, on ne l’associe plus à personne.
Thibaut le Chartrain
18 mai 2016 @ 15:54
Bonjour Cosmo,
Tout d’abord Maria Carolina n’est pas duchesse de Capoue mais de Palerme.
Ceci étant les rois régnants des Deux-Siciles ont toujours donné des titres à leurs fils (et plus récemment à quelques filles) et, hormis dans la ligne ainée (avec Calabre et Noto), ils ont à chaque fois choisi des titres différents, faisant qu’il n’y a pas véritablement de titres qu’on pourrait intituler « classiques ».
On trouve ainsi Salerne, Syracuse, Caltagirone, Bari, Lucera, Girgenti, Castrogiovanni, Trani, Trapani, Lecce, Capoue (pour le prince Charles 1811-1862, fils du roi François Ier), tous titres qui, à l’exception de Salerne et Syracuse avec 2 titulaires, n’ont été portés que par une seule personne (pour rester à l’époque de la royauté bourbonienne).
Donc pourquoi pas Capri et Palerme….
Laure-Marie Sabre
18 mai 2016 @ 20:25
Et sauf erreur de ma part, aucune de ces deux villes n’a jamais constitué un duché. Complètement fantaisiste.
Gérard
19 mai 2016 @ 18:25
Je pense en effet que le titre de prince de Capri est une innovation, cependant il existait des comtes de Capoue devenus ensuite princes.
Il y eut d’abord au IXe siècle un comté lombard de Capoue puis une principauté de Capoue et de Bénévent au Xe siècle, Capoue se sépara ensuite de Bénévent et continua d’exister jusqu’à la prise de Capoue par les Normands en 1058, après quoi il y eut des princes normands de Capoue jusqu’au XIIe siècle, et par la suite le titre fut donné aux fils cadets des rois de Sicile ou plus exactement à deux fils cadets de Guillaume Ier successivement, Robert III et Henri.
Enfin le titre fut porté par un fils cadet du roi François Ier des Deux-Siciles et de l’infante Marie-Isabelle d’Espagne, fille de Charles IV, Charles-Ferdinand (1811-1862). Il était demi-frère de la duchesse de Berry.
Plus extraverti que son frère aîné il fut préféré par ses parents. Les deux frères ne s’entendaient pas. En 1829 le gouvernement napolitain présenta sa candidature alors qu’il était vice-amiral, au trône grec, ce à quoi Metternich s’opposa. Puis il souhaita devenir roi de Belgique. Néanmoins jusqu’en 1836 il était l’héritier présomptif du royaume de Naples.
Il avait toujours eu du goût pour les jolies femmes et pendant l’hiver 1835 il fit la connaissance d’une irlandaise, Penelope Smyth (1815-1882), fille de Grice Smyth, de Ballynatray, comté de Waterford (au sud-est de l’Irlande), qui visitait le royaume. Le 12 mars 1836 Ferdinand II confirma par décret la décision que son père avait prise en 1829, à savoir que les princes de sang royal de tout âge ne pouvaient se marier sans le consentement du roi, à défaut de quoi un éventuel mariage serait considéré comme nul et non avenu.
Mais le prince s’enfuit avec sa maîtresse et le 5 avril 1836 il l’épousa morganatiquement, sans le consentement de son frère Ferdinand II bien entendu, et malgré l’opposition de l’ambassadeur des Deux-Siciles, à Gretna Green, en Écosse, comme on le sait la première localité d’Écosse au sortir de l’Angleterre et où l’on se contentait du consentement des promis sans condition de résidence et d’autorisation parentale.
Plus tard Charles demanda une licence spéciale à l’archevêque de Canterbury pour se marier à nouveau à St George, Hanover Square. Le comte de Ludolf, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire du roi, s’opposa à cette délivrance et l’affaire fut débattue en justice devant la Cour des facultés où le 4 mai 1836 le Dr John Nicholl, maître des facultés, refusa cette licence au motif que la succession royale pourrait être affectée par la non-reconnaissance du mariage à Naples.
Ils eurent deux enfants : Francesco (1837-1862) et Vittoria (1838-1895), qu’il parvint à faire titrer comme leur mère comte et comtesse de Mascali.
Le roi priva de ses biens son frère à l’exception du comté de Mascali près de Catane, en Sicile, qu’il avait hérité de son père. Mais le comté ne rapportait pas grand-chose et le prince ne pouvait même pas s’y rendre car il était indésirable dans le royaume. Il vécut donc à Londres petitement un peu grâce à l’aide de la famille de son épouse.
En 1848, dans le vent libertaire qui souffla sur l’Europe, il aspira en vain à la couronne de Sicile. Lord Palmerston le premier ministre britannique était fatigué du despotisme de Ferdinand mais aussi des demandes de son frère. Celui-ci se rendit aussi à Turin et fréquemment changea de domicile car il était poursuivi par des créanciers.
Les photographies qu’on a de lui nous le présente comme presque obèse, mal coiffé, avec une vilaine barbe, mal habillé et rustique.
Ferdinand II mourut le 22 mai 1859 lui laissant une petite somme d’argent. Mais surtout le nouveau roi son neveu, François II, lui fit rendre tous ses revenus et ses biens. Cependant, Charles, qui voyagea alors entre des villes entre les villes d’eau avec son épouse et leurs deux enfants, n’eut pas le temps de rentrer à Naples et le royaume tomba en 1860. Tous les biens furent à nouveau confisqués.
Le roi Victor-Emmanuel auquel Charles avait apporté son soutien, lui proposa une indemnité qu’il refusa craignant d’y perdre sa liberté. Il mourut le 21 avril 1862 à Turin, il avait 50 ans.
Son fils Francesco souffrait de troubles mentaux et l’on prétend généralement qu’il mourut le 2 juin suivant à 25 ans.
En fait il mourut en 1918 et on l’appelait le prince fou. Dans les actes il figure sous le nom de son altesse royale le prince Francesco Carlo de Bourbon, prince de Capoue. Il avait été placé sous la tutelle du major général comte Achille du Lac, et le roi Victor-Emmanuel subvenait à ses besoins sur sa cassette personnelle. Il n’était pas méchant mais excentrique et d’une dévotion exceptionnelle.
La veuve de Charles, titrée duchesse de Marescata, reçut une pension du roi d’Italie et une villa près de Lucques pour elle et sa descendance, la villa La Marlia, qui avait abrité Elisa Bonaparte, les Bourbons de Parme, les Habsbourg de Toscane…
Sa fille était appelée princesse Victoria Augusta Ludovica Isabella Amelia Filomena Penelope Elena de Bourbon, comtesse de Mascali, princesse de Capoue et elle mourut le 9 août 1895.
Ils ont été inhumés dans la chapelle de la villa royale La Marlia.
La villa a été vendue en 2015 par ses derniers propriétaires, les comtes Pecci-Blunt, qui l’avaient achetée à la succession du prince de Capoue, pour devenir un hôtel de grand luxe.
Severina
20 mai 2016 @ 07:13
Merci, Gérard, très interressant.
Gérard
20 mai 2016 @ 14:11
Merci à vous Severina.
Précisons encore que le titre de duchesse de Marescata qu’aurait selon certains auteurs porté la comtesse de Mascali ne semble pas clairement établi,
et que le titre de prince de Capoue avait été conféré à Charles-Ferdinand par son grand-père Ferdinand Ier le 4 janvier 1817 donc quand il avait 5 ans.
Penelope Caroline Smyth qui épousa donc selon le rite écossais le prince de Capoue, était fille de Grice Smyth et de Mary Brodrick. Comme il n’y eut pas de mariage catholique, de toute façon les enfants à venir étaient privés de droits successoraux dynastiques.
Penelope aurait été reconnue comme son altesse royale la princesse de Capoue en Grande-Bretagne et aurait obtenu une licence dans le même sens en 1862 du roi Victor-Emmanuel II.
C’est précisément le 9 avril 1918 à Lucques que mourut Francesco Ferdinando Carlo di Mascali (officiellement cela aurait été son nom de famille ainsi que celui de sa sœur, au moins à leur naissance).
Enfin à la demande de son frère cadet Léopold, le comte de Syracuse, le prince de Capoue aurait été autorisé à se rendre dans les Deux-Siciles le 10 juin 1837.
Léopold, qui était un esprit très indépendant, épousait en effet à
Naples le 16 juin 1837 la princesse Marie de Savoie, fille du prince Joseph-Marie de Savoie-Carignan, comte de Villefranche, et de Pauline de Quélen de Vauguyon, mariage qui ne fut pas heureux contrairement à celui de son frère.
Les premiers princes apanagés de Capoue ont donc été des fils cadets du roi Guillaume Ier de Sicile qui lui-même avait été appelé prince de Capoue avant d’être roi. Robert (1153/1159-60), fils de Guillaume Ier et de Marguerite de Navarre, fut titré prince de Capoue (princeps Capuanorum exactement, par la grâce de Dieu) en 1157 ou 1158. Son frère Robert Henri (1160-1172) fut à son tour en mai 1166 prince de Capoue. Ils sont inhumés dans la cathédrale de Montreale.
marie.françois
19 mai 2016 @ 19:19
Vous avez raison,Cosmos.
Il est grotesque lorsque l’on n' »est plus aux affaires » de donner des titres qui ne correspondent à rien.
Quand on sait que des petits enfants de la reine Elizabeth ne porte aucun titre, on reste assis par terre de voir que des principules que d’aucuns continuent à appeler altesse royale , 150 ans apres la chute de leur monarchie persistent à se croire autoriser à accorder des titres .
Je vous trouve bien indulgent d’avoir de la sympathie pour les ducs de Castro qui se ridiculisent, en l’espece
aubert
20 mai 2016 @ 10:25
Une note dans la publication des mémoires de la duchesse de Dino:
« Charles-Ferdinand des Deux-Siciles, prince de Capoue (1811-1862) était le neveu de la reine Marie-Amélie. Il épousa en 1836 une jeune irlandaise, Pénélope Smyth (1815-1882), titrée plus tard duchesse de Marescata. Le mariage avait eu lieu à Gretna Green, village écossais connu pour célébrer les unions sans autorisation parentale, et fit scandale à l’époque « .
Stella
18 mai 2016 @ 10:34
Fallait-il vraiment que ce Sacrement soit donné à ces fillettes par un cardinal, à Rome?
Ce Sacrement aurait-il eu moins de sens si elles l’avaient reçu des mains du Curé de leur paroisse?
aubert
18 mai 2016 @ 12:00
il doit encore rester quelques cardinaux qui en raison de leur âge seulement n’ont pas entendu les propos du Saint-Père. D’où mon commentaire, il y a quelques jours à propos de ce dernier, beaucoup de bruit pour rien.
Antoine
18 mai 2016 @ 12:00
Il appartient à l’évêque de conférer le sacrement de confirmation. Un curé de paroisse ne peut le faire que sur délégation, en cas d’empêchement majeur ou sede vacante. Dans mon diocèse, l’évêque ne délègue à personne ce soin qui lui tient à coeur.
aubert
18 mai 2016 @ 12:11
Je crois me souvenir que la confirmation est donnée par l’évêque.
Stella
19 mai 2016 @ 15:00
Très juste, Aubert!
Je l’avais oublié…J’aurais pourtant dû m’en souvenir au regard de la taloche que m’a donnée l’évêque qui m’a confirmée…J’avais 7 ans…On la recevait , à l’époque à cet âge et on m’avait expliqué que je recevrai une claque pour me montrer que je devenais ainsi un »soldat du Christ »…Le brave homme avait la main lourde au propre comme au figuré.
emy
19 mai 2016 @ 19:48
Il avait de la chance que vous ne la lui ayez pas retournée :))) J’espère quand même que vous n’avez pas tendu l’autre joue.
Stella
20 mai 2016 @ 09:57
Excellent, Emy!
Gérard
21 mai 2016 @ 17:00
Et il vous l’assénait avec votre prénom en latin mais était-ce au vocatif ?
Azilis
18 mai 2016 @ 12:19
Ici (en Allemagne), les enfants reçoivent le sacrement de l’Evêque (ou l’Evêque auxiliaire). Il me semble qu’il en est ainsi également en France.
Il me semble néanmoins que quand un adulte reçoit le « Grand chelem catholique » (baptême, confirmation, pénitence et communion), c’est le curé de paroisse qui confirme et non l’Evêque qui lui remet une autorisation spéciale (également à vérifier).
Bonne journée
Azilis
FILOSN
18 mai 2016 @ 12:54
Bravo!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Vincent II
18 mai 2016 @ 17:31
La confirmation est donnée par un évêque
Cosmo
18 mai 2016 @ 19:48
Il me semble que la confirmation est reçue par un évêque. C’était du moins ainsi, de mon temps.
Pour un particulier, un évêque, pour une altesse royale, un cardinal…la hiérarchie est respectée.
Cosmo
Antoine
19 mai 2016 @ 13:43
Dans ce domaine, Cosmo, l’Eglise n’a pas de hiérarchie et les pauvres sont les premiers aux yeux du Seigneur. Cela me rappelle cette réflexion d’une grande aristocrate inquiète de la crise des vocations : « baptisée par le nonce, mariée par un évêque, je m’estimerai très heureuse si mes funérailles sont célébrées par un vicaire de campagne ».
Cosmo
19 mai 2016 @ 21:26
Antoine,
C’était une boutade. J’aime votre anecdote.
Cosmo
Gérard
21 mai 2016 @ 17:03
D’autant plus qu’aujourd’hui dans les campagnes les obsèques sont souvent « célébrées » par un laïc qui vous dit des paroles réconfortantes. C’est mieux que rien.
Aramis
20 mai 2016 @ 09:03
Tres joli.
Mais que l’église se prête à une confirmation privée dans st Pierre, au bénéfice de deux jeunes filles, certes charmantes, parce sûelles sont princesses, détrônées depuis 150 ans, me choque car cela apparaît comme un privilège que rien ne justifie. Je trouve Meme choquant d’avoir pour les parents osé le demander.
Je suis tres sans culotte ce matin , non mais des fois on se demande….!
Laure-Marie Sabre
18 mai 2016 @ 20:30
Il faut qu’elles apprennent très jeunes le sens des privilèges…
Gérard
18 mai 2016 @ 21:12
La confirmation est donnée par l’évêque ou son délégué et pas par le curé de la paroisse.
Laus'Anne
19 mai 2016 @ 10:57
La Confirmation ne peut être donnée par un curé de campagne Stella mais toujours par un évêque même pour le « commun des mortels » !
Laus'Anne
19 mai 2016 @ 10:58
Excusez moi Gérard, je n’avais pas vu votre réponse…nous sommes bien sûr d’accord !
Laus'Anne
18 mai 2016 @ 10:46
Je ne savais pas que pratiquer la religion catholique était…vivre en marge de la société ???? c’est nouveau, cela vient de sortir…comme disait Coluche !
Trianon
18 mai 2016 @ 12:39
De votre avis Laus Anne
amaia
18 mai 2016 @ 17:08
Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire et Marie Louise non plus, je pense. Pour moi, en tout cas, c’est juste que si elles sont scolarisées à Monaco ; en général les 1ères communions, les confirmations etc… sont préparées avec la classe et en faisant leur confirmation seule de leur côté, elle se singularisent vis à vis de leur classe. Après c’est le choix de leurs parents !!!
Pratiquer la religion catholique n’ a jamais été vivre en marge de la société
marielouise
19 mai 2016 @ 07:18
C’est exactement cela amaia…
Merci pour votre commentaire intelligent et éclairé!!!
Il est navrant de voir à quoi se livre continuellement certaines-heureusement une minorité-sur ce site!
Que de mauvaise foi dans des esprits étroits et malsains!
Cordialement à vous!
ml
Trianon
19 mai 2016 @ 12:31
« etroits et malsains? »
juste parce que on ne pense pas comme vous?
vous y allez fort, Marie Louise
marielouise
19 mai 2016 @ 16:24
Ce n’était pas destiné à vous Trianon mais aux éternelles remarques qui suivent la plupart de mes coms!
J’ai parlé d’une minorité qui joue à ce petit jeu puéril et mesquin!
ml
Laus'Anne
19 mai 2016 @ 13:42
Esprits malsains ???? vous devriez utiliser d’autres adjectifs…qui n’ont pas lieu d’être ici et pour personne concernant ce sujet !
Nous exprimons comme vous notre avis…vous l’avez oublié…?
marielouise
19 mai 2016 @ 16:27
Certes Laus’anne mais pourquoi toujours me faire des remarques…vous pensez ce que vous voulez mais lâchez-moi!!!!
Si vous vous en teniez qu’à vos avis…tout serait plus serein, plaisant et intelligent mais suivre la moindre de mes remarques, tout le temps pour persiffler à qui mieux mieux…c’est fatiguant et inutile!
MERCI!
ml
Laus'Anne
20 mai 2016 @ 12:04
Suivre vos commentaires ? la paranoïa vous guette ! je ne suis pas la seule à être exaspérée pour ne pas dire choquée (quelquefois) par votre haine et le mot n’est pas trop fort contre la religion catholique…! tout est bon pour la dénigrer..et vous parler de tolérance à qui veut l’entendre…!
Des intervenants vous ont déjà fait remarquer que vous êtes en permanence dans le règlement de compte de vos années « catholiques » qui vous auraient traumatisées !
Et me traiter d’esprit malsain…vous recommencez ? aller consulter un dictionnaire pour connaître le sens de ce mot. Je ne faisais que souligner ce que je sais de ma religion…qui a -t-il de malsain ?
Je réponds aux autres internautes bien plus qu’à vous et…je ne reçois pas des réponses telles que vous et…heureusement !
aubert
18 mai 2016 @ 12:05
Dans PDV, décision du comte de Paris de « régler sa succession ». Chic nous allons partir pour 500 commentaires.
Danielle
18 mai 2016 @ 13:11
Un privilège pour ces fillettes et si elles en ont eu la possibilité, pourquoi pas ?
Par contre, je suis surprise par le commentaire de Framboiz 07 car les précepteurs ou les nounous ne remplacent pas l’affection parentale.
Des tenues en adéquation avec la cérémonie et j’admire les chevelures.
framboiz 07
20 mai 2016 @ 20:53
DANIELLE, je constate, dire que j’approuve, non …Une autre fois, la mère parlait de leur cours de russe & de chinois, je crois …J’avais presque envie de les plaindre, ces mômes !
beji
18 mai 2016 @ 13:36
Laus’Anne,excellent commentaire !
beji
18 mai 2016 @ 14:04
le duc de Castro s’arrange concernant les règles de succession,ça va donner des idéés à Victor-Emmanuel de Savoie dont le fils n’a que des filles,je sais qu’il en avait été de même au Danemark pour que Margrethe puisse accéder au Trône mais il avait fallu modifier la constitution.
marielouise
18 mai 2016 @ 16:06
Je vous croyais fatiguée Laus Anne de devoir toujours répondre …aux personnes qui ont un avis autre du vôtre…et évitez la mauvaise foi…vous m’avez certainement bien comprise!
Cordialement
ml
Laus'Anne
19 mai 2016 @ 11:03
Je suis fatiguée de répondre au sujet de…Monaco, car je n’ai pas d’éléments pour le faire…tout comme vous aussi…Madame et vous m’avez très bien comprise…
Je réponds ici car je suis « surprise » par certains propos…
Vous n’avez donc pas fini de régler vos comptes avec la religion catholique…! pourquoi toujours enfoncer le clou ?
marielouise
19 mai 2016 @ 16:32
C’est mon avis…vous l’avez oublié?
Je ne parle pas de religion-c’est vous qui avez encore une fois mal interprété mes coms ici mais d’une cérémonie très-trop privée pour ces petites qui ne vont peut-être même pas en classe privée et qui semble recevoir une éducation d’un autre temps!
Voilà mon avis et il n’était aucunement question de ma part de religion…j’ai aussi fait ma confirmation etc etc!
Et si ça devait me plaire de toujours enfoncer le clou comme vous le dites très ordinairement…au sujet de la religion, je continuerai…bien sûr!
Cela me regarde et il paraît que l’on peut s’exprimer ici ?
ml
ml
marielouise
19 mai 2016 @ 16:34
amaia l’a très bien compris, elle, ce que j’ai voulu dire!
Un esprit fin et subtil…qui vous échappe!
ml
Laus'Anne
20 mai 2016 @ 12:07
Pourtant deux autres internautes étaient du même avis que moi !
adieux
18 mai 2016 @ 17:44
ces petites duchesses me paraissent bien mignonnes……. on dirait des jumelles…… une ressemble à papa et l’autre plus à maman;
Rose
18 mai 2016 @ 21:11
Il me semblait qu’un accord avait été trouvé entre le duc de Castro et feu le duc de Calabre ( représenté par son fils) pour que la succession de la maison des deux Siciles s’effectue en faveur du prince Pedro , fils du duc de Calabre et de la princesse Anne de France…
Cette solution arrangeait tout le monde, sauf la branche cadette.
Pourquoi faire renaître des sources de contestation avec ce changement de règles? Je suis féministe et favorable à la primogéniture absolue mais là il est évident que ce changement sera sources de conflits futurs.
Belle soirée
Rose
LPJ
19 mai 2016 @ 10:57
L’accord familial dont vous parlez Rose ne concernait qu’une réconciliation officielle entre les deux branches et la reconnaissance des titres portés par chacune mais en aucun cas ne réglait la succession. La « branche espagnole » n’est ainsi absolument pas considérée comme de nouveau dynaste.
Mary
19 mai 2016 @ 13:09
Hum. Quand l’aînée se mariera,son mari prendra-t – il le nom et les armes des Bourbon-deux-Sciles ? Et si oui,sera-ce légal ,étant donné que son père ne règne pas ?
Voilà qu’il omet encore un Mic-mac , comme chez les Romanov.
Ceci dit,je comprends le prince qui défend ses filles.
LPJ
19 mai 2016 @ 19:42
Si elles ont la nationalité francaise, désormais leurs enfants pourraient légalement se nommer Bourbon puisqu’en France depuis une loi datant d’une quinzaine d’années les parents peuvent librement choisir le patronyme de leur progéniture.
Corsica
20 mai 2016 @ 08:59
En France, une fois marié, il est possible d’utiliser le nom de son mari ou de sa femme quel que soit son sexe. Cette utilisation d’un nom d’usage est totalement facultative et n’a aucun caractère automatique. Il s’agit d’un choix personnel. En revanche, dès lors que l’époux ou l’épouse manifeste cette volonté, le nom d’usage doit être utilisé par les administrations et peut être inscrit sur les documents d’identité.
Laus'Anne
20 mai 2016 @ 12:10
Un homme en France en se mariant peut s’il le souhaite, prendre le nom de son épouse ??? vous me surprenez Corsica ou alors c’est tout récent !
Corsica
21 mai 2016 @ 13:29
Laus’Anne, oui, un homme en se mariant peut choisir comme nom d’usage le patronyme de son épouse :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F868
Et non, ce n’est pas vraiment récent. Disons une dizaine d’années.
Contrairement à une idée encore très répandue, en France, le mariage n’apporte pas de changement au nom des époux. La loi du 6 fructidor an II (23 août 1794), toujours en vigueur, pose le principe selon lequel le nom de famille, qui est transmis selon les règles de la filiation et qui résulte de l’acte de naissance, ne peut être modifié. Les documents officiels doivent donc être établis à ce nom.
La coutume a voulu que les femmes prennent le nom de leurs époux mais comme c’était seulement un nom d’usage, certaines préféraient conserver leur nom de naissance ou choisir un nom d’usage accolant leur patronyme à celui de leur époux.
Les règles qui gouvernaient le nom d’usage entre époux n’ étaient évoquées qu’incidemment dans le Code civil, au travers des règles en matière de divorce (article 264) ou de séparation de corps (article 300).
Cependant, en 2004, en insérant à l’article 264 du code civil une disposition selon laquelle « à la suite du divorce, chacun des époux perd l’usage du nom de son conjoint », l’article 16 de la loi n° 2004-439 du 26 mai 2004 relative au divorce a consacré la possibilité, pour chacun des époux, pendant le mariage, de prendre, à titre d’usage, le nom de son conjoint sans faire de distinction entre l’homme et la femme. Les époux peuvent ainsi adjoindre ou substituer à leur nom de famille celui de leur conjoint dont ils souhaitent faire usage.
L’arrêté du 1er juin 2006 fixant le modèle de livret de famille, dans sa version modifiée par l’arrêté du 29 juillet 2011, réaffirme que chaque époux acquiert par le mariage un droit d’usage du nom de son conjoint soit en l’ajoutant, soit en le substituant au sien. Ce droit d’usage concerne indifféremment l’époux ou l’épouse.
En 2013, la loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe, a affirmé le droit, identique pour les deux époux, de faire usage du nom de l’autre conjoint. En substance, un nouvel article du Code Civil, l’article 225-1 affirme le droit, identique pour les deux époux, de faire usage du nom de l’autre : « Chacun des époux peut porter, à titre d’usage, le nom de l’autre époux, par substitution ou adjonction à son propre nom dans l’ordre qu’il choisit. »
marielouise
22 mai 2016 @ 12:11
En Suisse aussi Corsica et j’ai plusieurs exemples amis de mes enfants qui l’on fait tout comme pour le nom de famille que porteront les enfants!
ml
Laus'Anne
22 mai 2016 @ 18:32
Bien merci Corsica, pour ces précisons mais je me demande si statistiquement beaucoup d’hommes prennent le nom de leur épouse …même si c’est autorisé. Quels imbroglios pour les généalogistes futurs…
Mary
19 mai 2016 @ 13:11
Je voudrais hacher menu cet imbécile de correcteur d’orthographe !
Je voulais écrire : voilà qui PROMET encore un mic-mac .
Zeugma
20 mai 2016 @ 11:17
Un ou une honorable correspondant(e) de « Noblesse & royautés » pourrait-il (elle) avoir la gentillesse de rappeler ce qu’est la « confirmation » ?
C’est peut-être un début d’Alzheimer mais j’avoue que j’ai oublié.
Jean Delaforest
20 mai 2016 @ 11:49
Quelles sont les sources d’informations concernant le règlement de succession décrété par le Duc de Castro ?
Car c’est là une nouvelle tout à fait étonnante. Jusqu’à présent, le successeur du Duc de Castro était, selon ses partisans, son laintain cousin Antonio de Bourbons des Deux-Siciles (né en 1929).
Actarus
22 mai 2016 @ 15:54
Eh bien disons qu’en faisant confirmer ses filles dans le sanctuaire de la Chrétienté, le duc de Gastro veut nous prouver qu’il ne fait pas une crise de foie. ;-)
Gérard
26 mai 2016 @ 15:01
Pour la version française de l’Acte de Rome : http://www.realcasadiborbone.it/wp-content/uploads/ACTE-DE-ROME.pdf