Boucles d’oreilles créées par le prince Dimitri de Yougoslavie, fils du défunt prince Alexandre de Yougoslavie et de la princesse Maria Pia de Savoie. Le prince qui vit à New York a une solide réputation dans le monde de la joaillerie.
Boucles d’oreilles créées par le prince Dimitri de Yougoslavie, fils du défunt prince Alexandre de Yougoslavie et de la princesse Maria Pia de Savoie. Le prince qui vit à New York a une solide réputation dans le monde de la joaillerie.
PATRICIA
30 octobre 2019 @ 09:43
C’est joli mais ça doit être lourd.
COLETTE C.
30 octobre 2019 @ 10:14
Il est talentueux !
Un petit animal au centre ?
Menthe
30 octobre 2019 @ 10:55
Un dragon crachant ses flammes, il fallait y penser. Personnellement je ne suis pas emballée.
JAY
30 octobre 2019 @ 11:39
Son travail est toujours extrêmement recherché dans le détail et élégant.
Lunaforever
30 octobre 2019 @ 12:08
Hum. Je n ‘ arrive pas à dire ce qui ne me plaît pas,mais ça ne me plaît pas.
Que fait un dragon dans un carré ?
C’est rationnel un carré. Et un dragon, c’est irrationnel. Ce doit être ce qui ne me plaît pas. On veut me faire rêver et me ramener à la réalité en même temps. Bref, c’est non.
Caroline
30 octobre 2019 @ 12:17
Ces belles boucles d’ oreilles assez tarabiscotées iraient très bien à Maxima dans le prochain article sur elle-même lors de la visite officielle du président polonais et de sa femme ! 😉
ciboulette
30 octobre 2019 @ 15:24
La partie supérieure est trop lourde pour moi , mais ces objets présentent beaucoup de créativité .
Baboula
30 octobre 2019 @ 17:29
Trop c’est trop ,des gouttes de sang avec un dragon … Inspiration asiatique surchargée . Mais je reconnais un beau travail sur le clip et le travail du prince Dimitri me plaît .
Nausikaa
30 octobre 2019 @ 17:31
Je vois bien ces boucles sur Maxima de Hollande !
Mary
1 novembre 2019 @ 13:50
Qui a très souvent mauvais goût…
guizmo
30 octobre 2019 @ 19:37
Un superbe travail d’orfèvrerie. C’est vraiment magnifique.
Carolus
31 octobre 2019 @ 18:52
Je ne me rends pas compte de la qualité du travail, mais vu comme ça, je n’aurais pas envie de les porter.