Décès des suites d’une maladie fulgurante d’Alfonso Moreno de Bourbon, fils de la princesse Teresa de Bourbon-Deux-Siciles (soeur du défunt infant Carlos et belle-soeur de la princesse Anne de France) et d’Inigo Moreno y Artega, marquis de Laula. Le défunt avait 52 ans. Séparé de Marta Calvo, il laisse deux enfants Inigo et Lucia. Il s’occupait de l’élevage de chevaux arabes. (Merci à Alberto)
Danielle
21 mai 2018 @ 09:38
Heureusement qu’il y a eu le mariage d’Harry pour apporter des notes joyeuses dans le gotha car les décès y pleuvent !!
Pour la maladie fulgurante, il n’y a eu aucune imprudence et malheureusement rien à faire ; c’est tout de même encore bien triste de mourir si jeune.
agnès ro
21 mai 2018 @ 09:43
et voilà le troisième prince qui décède relativement jeune
pensées à sa famille
Lionel
21 mai 2018 @ 09:50
C’était un aristocrate, pas un prince.
MARIA (ESPAGNE)
21 mai 2018 @ 09:52
Les enfants de l’Infant Carlos et de la Princesse Anne de France ont perdu deux cousins ces derniers jours: l’héritier de Württemberg et Alfonso Moreno. Malheureusement, un autre frère d’Alfonso, Fernando, est décédé il ya quelques années à conséquence d’un accident de moto (il avait 41 ans).
Corsica
21 mai 2018 @ 17:16
Quel drame pour des parents que de perdre deux enfants ! Ont-ils d’autres enfants pour les soutenir dans cette terrible épreuve ?
Charles
22 mai 2018 @ 08:45
Et quatre mois auparavant les enfants de l’Infant Carlos et de la Princesse Anne ont perdu un troisième cousin le Prince François de France.
Marie de Cessy
21 mai 2018 @ 10:57
C’est l’hécatombe en ce moment dans le gotha.
Triste pour ce prince et sa famille.
Souhaitons avoir de bonnes nouvelles prochainement.
brigitte et christian
21 mai 2018 @ 11:26
bonjour à tous
triste nouvelle , le décès d’une personne nous rend toujours triste, la vie est si merveilleuse. Et en plus à 52 ans, ce n’est pas un age pour mourir. Que des personnes plus âgés que nous décèdent, c’est malheureusement la vie, mais des personnes plus jeunes , nous trouvons cela anormal, qu’ils soient princes, aristocrates ou autres
amitiés du sud ouest sous le soleil
Daina Guiliana
21 mai 2018 @ 11:28
Beaucoup de décès ces derniers jours dans ces famille royales.
Condoléances à la famille
Mayg
21 mai 2018 @ 13:38
Je n’avais jamais entendu parler de lui. Portrait il le titre de marquis comme son père ?
Gérard
22 mai 2018 @ 15:34
Non et il n’était pas le fils aîné. Les Espagnols ne sont pas aussi de friands de titres mondains que les Français.
Ghislaine-Perrynn
21 mai 2018 @ 14:06
Oui un aristocrate et cela se voit sur cette belle photo .
Quelle tristesse
Leonor
24 mai 2018 @ 23:29
Ah ? A quoi reconnait-on un aristocrate sur une photo ?
Parce que c’est un grand maigre ? Bon. Alors, j’ai plein d’aristos qui s’ignorent autour de moi. Parce qu’il est monté sur un canasson ? Bof, mes choupinettes montent aussi, et joliment, même si elles s’essaient à la voltige cosaque sur Lulu et Nougat. Ca n’en fait pas des » de Machinchose » pour autant. Pas plus mal.
framboiz 07
21 mai 2018 @ 15:57
Leucémie, peut-être. Triste , il y passait tous , pas un n’était oublié , pour paraphraser le poète …
framboiz 07
21 mai 2018 @ 16:04
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés …
Gérard
21 mai 2018 @ 16:17
En réalité et après une bataille juridique d’une dizaine d’années Íñigo Moreno de Arteaga, troisième fils du comte de la comtesse de los Andes, grands d’Espagne, a perdu en 2010 le titre de (12e) marquis de Laula qu’il avait depuis près de 49 ans de 1961 à 2010, face à son cousin Íñigo de Arteaga et Martín, duc de l’Infantado. Le premier qui est notamment historien a donc épousé Teresa de Bourbon des Deux Siciles, cousine du roi, et le roi Juan Carlos a bien voulu le 8 avril 2010 en compensation le faire par décret royal marquis de Laserna. Le duc de l’Infantado voulait le titre pour sa plus jeune fille, Carla, qui est depuis l’année dernière, la nouvelle et 14e marquise de Laula, titre créé le 25 août 1543 par Charles Quint mais qui était vacant depuis des siècles avant d’être réhabilité en 1913 pour le grand-père de l’actuelle marquise, Joaquín Ignacio de Arteaga et Echagüe.
Le marquis de Laserna porte un écu parti au premier d’or au château de gueules survolé par deux corbeaux de sable, au deuxième d’azur à trois fleurs de lis bien ordonnées dans une bordure de gueules, sur le tout d’argent à la bande de sinople.
En 1961, le marquis, alors de Laula, a épousé son altesse royale Dª Teresa de Bourbon que son père avait faite duchesse de Salerne à titre personnel pour porter ce titre jusqu’à son mariage. Ils ont eu :
1. Rodrigo (1962),
2. Alicia (1964), marié en 1994 avec José Hernández Heraso dont postérité,
3. Alfonso (1964-2018) marié en 2000 avec Marta Calvo Molezún, nullité canonique 2011, dont postérité,
4. Beatriz (1967), mariée en 1995 avec Lucas Urquijo Fernández-Araoz, dont postérité,
5. Fernando (1969-2011),
6. Clara (1971),
7. Delia (1972), mariée en 2005 avec Álvaro Ledesma Sanchíz, dont postérité.
Mayg
22 mai 2018 @ 13:54
Merci pour ces infos Gérard.
MARIA (ESPAGNE)
22 mai 2018 @ 16:23
En plus, Iñigo Arteaga y Martín, Duc de El Infantado, a perdu un de ses deux fils dans un accident d’avion (c’était le fils qui pilotait l’avion), à làge de 41 ans, en 2012…. il était avec deux amis qui ont décédé également.
Gérard
24 mai 2018 @ 03:27
Le duc de l’Ínfantado avec lequel le marquis de Laula s’est battu devant les tribunaux pendant tant d’années a eu deux fils et trois filles. C’est l’aînée des filles l’écrivain Almudena de Arteaga, marquise de Cea, qui succédera à son père dans le titre principal.
Íñigo de Arteaga y del Alcázar, 20e marquis de Távara qui est mort dans un accident d’avion le 14 octobre 2012 était le premier fils et le deuxième enfant.
Après la mort de son fils le duc qui avait été avant lui marquis de Távara de 1999 à 2002 lui a succédé en 2014.
Le marquis était un beau célibataire convoité qui gérait les propriétés oléicoles et d’élevage de la famille en Andalousie. Il était également le 23e comte de Saldaña et le 8e comte de Corres et mourut donc dans un accident d’avion à l’âge de 43 ans alors qu’il pilotait un petit engin qui allait de Madrid à l’Andalousie et qui prés de Tolède fut surpris par la tempête. L’avion s’écrasa, le pilote et les deux amis qu’il emmenait moururent. Il était l’espoir de cette dynastie ducale, passionné d’écologie, de polo et d’aviation.
Les victimes se rendaient à un mariage à Séville. L’une d’elle était la nièce âgée de 21 ans du marié, María África de la Calle de Cubillo. L’autre passager était Gonzalo Lapique Alonso, 45 ans. Les obsèques du marquis ont été célébrées en l’église des jésuites de Tolède en présence du prince des Asturies et de nombreuses aristocrates.
Philippe
24 mai 2018 @ 09:03
Excusez-moi, Gérard, mais vous n’êtes pas très clair et plutôt approximatif, cette nuit, dans vos explications !
Ainsi, écrivez-vous : « Après la mort de son fils le duc qui avait été avant lui marquis de Tavara (…) lui a succédé en 2014 » … ? ? ?
Comprenne qui pourra.
Par ailleurs, vous nous dites que le duc de l’Infantado a eu deux fils et trois filles.
Soit.
Il en meurt un (fils), et c’est l’aînée des filles qui succédera à son
père ? Quid de l’autre fils ?
Enfin, vous affirmez que le jeune homme décédé, passionné
d’écologie et d’aviation (on appréciera le paradoxe !) était un « beau célibataire » … et, sur ce dernier point, je m’inscris en faux !
Je pense que vous n’avez aucune idée de ce qu’est un beau garçon,
mon cher Gérard, et cet homme là, je vous l’affirme à mon tour, avait un physique extrêmement banal.
Pour ne pas être plus désobligeant.
Qu’il ait été convoité est autre chose, puisqu’il était riche, mais,
personnellement, je n’en aurais pas voulu, même pour une nuit …
Je me demande parfois, l’ami, si vous ne confondez pas richesse
et beauté ?
Gérard
25 mai 2018 @ 18:23
Cher Philippe, le père du marquis porta ce titre avant son fils, ce qui est assez classique finalement, puisqu’il le lui a cédé avec l’accord du roi. Son fils étant mort sans enfant le duc a demandé à retrouver ce titre, ce qui a été fait.
Le titre principal, celui de duc de l’Ínfantado passera à l’aîné des enfants qui se trouve être une fille parce que c’est la règle actuelle en Espagne et ce indépendamment du sexe de l’aîné. Le duc ayant plusieurs titres il n’est pas impossible que chacun des enfants en ait un (c’est le cas déjà ici) mais l’aîné peut aussi hériter de tous les (autres) titres.
Le 19e duc est père de :
0. María de Almudena de Arteaga y del Alcázar, 19e comtesse de Cea,
0. Íñigo de Arteaga y del Alcázar, 20e marquis de Távara, 8e comte de Corres, 23e comte de Saldaña (1969-San Pablo de los Montes, 14 octobre 2012),
0. Iván de Arteaga y del Alcázar, 16e marquis de Armunia,
0. Ana Rosa de Arteaga y del Alcázar, 6e comtesse de Santiago,
0. Carla María de Arteaga y del Alcázar, 14e marquise de Laula.
Le fils décédé paraissait à la presse espagnole et à moi-même être un beau garçon. Mais je m’y connais peut-être moins que vous. Je crois qu’une jeune fille à marier aura tendance à considérer qu’un homme riche et titré est plus facilement beau qu’un quidam sans le sou, mais je caricature sans doute. http://www.abc.es/20121020/estilo-gente/abci-ultimo-vuelo-marques-tavara-201210201519.html
pour permettre à nos amis et amies de se faire une idée plus précise.
Íñigo de Arteaga y del Alcázar pilotait son petit avion tous les jours pour visiter les six fermes familiales qu’il dirigeait depuis longtemps. Il venait d’acquérir un nouveau bimoteur qu’il ne pouvait pas utiliser ces jours-là parce qu’il n’était pas inscrit.
Il partit du château de la Monclova près de Séville où il devait déjeuner le dimanche 14 octobre, avec son copain et cette jeune fille qu’il avait rencontrée deux jours avant, le vendredi 12 à Écija (province de Séville), c’était la nièce du marié de ce jour tandis que lui était cousin de la mariée María del Cuvillo Benitez. Le samedi le marquis avait prévu d’aller à Sanlucar de Barrameda (province de Cadix) pour le mariage de sa cousine Sofía de la Cierva, sœur de son grand ami Gonzalo de la Cierva duc de Terranova avec lequel il aimait naviguer l’été à Ibiza. La fille du feu 17ème marquis de Poza épousait Carlos García de Casarola. Mais un événement imprévu fit changer les plans d’Íñigo qui resta à Séville.
Le dimanche donc il y avait au château à ce déjeuner outre son ami Gonzalo Lapique, la jeune África et ses parents.
Une amie d’Íñigo Marta Viscasillas devait partir dans l’avion de celui-ci, mais elle changea ses plans pour rendre visite à sa famille à Cordoue.
Il restait donc une place libre dans l’avion et ils invitèrent la jeune fille à l’occuper pour rentrer, au lieu de prendre comme prévu l’avion d’AVE pour Madrid avec ses parents.
Le petit avion décolla de Séville à 18h30 et malheureusement il s’écrasa près de Tolède sur le territoire de la commune de Saint Pablo de Los Montes.
Íñigo était cependant un pilote confirmé qui avait un brevet de pilote professionnel.
Une première cérémonie eut lieu le lendemain en la cathédrale de Tolède à midi et le mardi 23 octobre les funérailles du marquis furent célébrées en l’église des jésuites San Francisco de Borja à Madrid.
Depuis 2004 le marquis avait consacré son temps à la récupération et à l’entretien du patrimoine historique familial qui comprenait notamment le château de la Monclova.
Outre l’aviation il aimait les chevaux et pour pratiquer le polo était allé dans le monde entier, il était aussi passionné de voile, de surf, de tennis, de ski. Tout cela faisait qu’il était très apprécié des femmes, on ne lui connut cependant que deux fiancées les modèles Eugenia Silva et María León.
La première est maintenant la compagne d’Alfonso de Bourbon y Yordi, des ducs de Séville, et la mère de son fils Alfonso.
Le marquis était très apprécié de son entourage pour sa loyauté,il était fier d’appartenir à une vieille famille mais désolé des préjugés. Quand il disait d’où il venait même si on l’avait trouvé sympathique avant on le considérait comme guindé et fin de race mais après quelques minutes de conversation son interlocuteur s’apercevait qu’il était normal.
Mary
21 mai 2018 @ 16:29
Que de tristes nouvelles !
Will34
21 mai 2018 @ 16:44
Un homme et de la distinction….
Caroline
21 mai 2018 @ 23:18
Encore un prince décédé dans la force de l’age !
marianne
22 mai 2018 @ 09:03
Qu’ est-ce-qu’ une maladie « fulgurante » ?
Martine un
22 mai 2018 @ 13:11
Un euphémisme…
En fait un cancer jamais en rémission durant un an de traitement
JOAN - Gibbs
22 mai 2018 @ 14:23
Souvent une leucémie marianne.
Maria Ane
22 mai 2018 @ 14:46
je vous conseille un dictionnaire « médical » et vous saurez tout tout tout
Gérard
22 mai 2018 @ 15:36
Alfonso est mort des suites d’un cancer. En septembre 2017 une tumeur avait été découverte au côté gauche de son cerveau et le chirurgien a estimé qu’elle n’était pas opérable. Il a fallu avoir recours à la chimiothérapie. Don Alfonso a été très courageux pendant sa maladie et a été accompagné à ses séances par son ex-épouse.
Le roi Juan Carlos et la reine Sophie avaient inauguré sa ganaderia, les écuries Flor de Lis en 1992 et ils y sont revenus plusieurs fois. Alfonso était donc très proche de l’infante Elena et de ses enfants. Flor de Lis est une entreprise familiale d’élevage de chevaux arabes.
Ses parents vivent à proximité toujours à Colmenar Viejo à El Canto de la Cruz.
Alfonso était également l’ami des princesses Alia et Haya de Jordanie car son élevage était l’un des plus réputés d’Espagne. Il avait reçu de sa mère cet élevage qu’il avait renouvelé dès 1966 avec une célèbre jument, Nevisca.
Le père d’Alfonso a confié que ces derniers temps après son long traitement à l’hôpital madrilène Puerta de Hierro, il avait pu rentrer chez lui mais ne pouvait plus parler, cependant il était très entouré et communiquait par des gestes et avec le sourire.
C’est en se rendant chez lui que son frère Fernando avait été victime en mai 2011 d’un accident mortel de moto.
Les obsèques ont eu lieu le 19 au Tanatorio de la Paz en présence de l’infante Pilar et de son fils Fernando, du duc de la duchesse de Calabre et de leur sœur Cristina et de plusieurs amis.
Danielle
22 mai 2018 @ 18:55
marianne, une maladie qui terrasse un individu en très peu de temps.
Corsica
22 mai 2018 @ 21:14
Une maladie fulgurante est une maladie qui peut emporter en quelques heures ou quelques jours une personne jusque là en forme.
Ces maladies peuvent s’attaquer au foie ( par exemple l’hépatite fulminante qui est mortelle sans greffe immédiate), à la peau, aux muscles, au cerveau (méningite, encéphalite), au cœur, aux poumons, aux reins, au sang etc.. Elles peuvent être d’origine virales, bactériologiques, parasitaires ( certaines formes mortelles de paludisme), toxiques notamment médicamenteuses, immunologiques et même parfois cancéreuses, dans le cas de tumeurs hyper agressives qui flambent en même pas quelques semaines.
La médecine a fait beaucoup de progrès, notamment en ce qui concerne les soins intensifs, mais il arrive parfois que tous les gestes posés ne suffisent pas.
JOAN - Gibbs
22 mai 2018 @ 15:09
Il avait une soeur jumelle.
Gérard
22 mai 2018 @ 17:55
Une messe pour le repos de l’âme de Don Alfonso Moreno de Borbón, sera célébrée demain mercredi 23 mai en l’église du Saint-Esprit à Madrid.
Au cours de l’office qui a été célébré à La Paz d’Alcobendas (province de Madrid), beaucoup de camarades du fils d’Alfonso, Iñigo Moreno y Calvo, qui est en première année de baccalauréat au Colegio de Fomento Aldovea de Madrid, ont fait à celui-ci la surprise de venir en uniforme pour le soutenir dans son épreuve.
Voici par ailleurs selon le généalogiste néerlandais Hein Bruins la descendance actuelle du marquis et de la marquise de Laserna :
Princesse Teresa de Bourbon (*1937) x 1961 Íñigo Moreno y de Arteaga, marquis de Laserna (*1934)
1.1.1.1.Rodrigo Moreno y de Borbón (*1962)
1.1.1.2.Alicia Moreno y de Borbón (*1964) x 1994 José Luis Hernández y Eraso (1949-2012 ), fils d’Alejandro Hernández y Zunzunegui et de María del Carmen Eraso Mendizábal,
1.1.1.2.1.Íñigo Hernández y Moreno (*2000)
1.1.1.2.2.Alejandra Hernández y Moreno (*2000)
1.1.1.3.Alfonso Moreno y de Borbón (1965-2018) x 2000 Marta Calvo y Molezún
1.1.1.3.1.Íñigo Moreno y Calvo (*2001)
1.1.1.3.2.Lucía Moreno y Calvo (*2003)
1.1.1.4.Beatriz Moreno y de Borbón (*1967) x 1995 Lucas Urquijo y Fernández-Araoz des marquis de Urquijo, fils de Jaime de Urquijo y Chacón et de Carmen
Fernández de Araoz Marañon
1.1.1.4.1.Teresa Urquijo y Moreno (*1996)
1.1.1.4.2.Juan Urquijo y Moreno (*1999)
1.1.1.5.Fernando Moreno y de Borbón (1969-2011)
1.1.1.6.Clara Moreno y de Borbón (*1971)
1.1.1.7.Delia Moreno y de Borbón (*1972) x 2005 Álvaro de Ledesma y Sanchiz (*1962), fils d’Enrique de Ledesma y Zuloaga, comte de Pledrabuena et de María del Pilar Sanchiz y Núñez Robres, des comtes de Valdemar de Bracamonte
1.1.1.7.1.Alicia de Ledesma y Moreno (*2009)
1.1.1.7.2.Enrique de Ledesma y Moreno (*2010).
HRC
22 mai 2018 @ 19:44
cet homme est beau et élégant, mais j’avoue : j’aurais aimé voir mieux le cheval aussi sur la photo… je poste quand même en espérant que l’on prendra ce regret comme un hommage à la passion de cet éleveur.
Dubédat
22 mai 2018 @ 21:46
dans les journaux espagnols, il est indiqué qu’il est mort des suites d’une tumeur au cerveau détectée il y a seulement un an.
Rose-Brigitte
24 mai 2018 @ 08:28
Oui ces tumeurs ne pardonnent pas ! Un de mes amis en est mort en seulement six mois !
Gérard
24 mai 2018 @ 03:28
Les obsèques de Don Alfonso Moreno de Bourbon ont été célébrées en présence du roi, des infantes Elena, Pilar et Margarita, des enfants de l’infante Pilar et de María Zurita et bien sûr de la famille de Bourbon-Siciles. L’épouse d’Alfonso et ses enfants, le marquis et la marquise de Laserna conduisaient le deuil.
Gérard
24 mai 2018 @ 10:44
Étaient également présents aux obsèques à Madrid le duc de Soria donc avec son épouse et sa fille ; Simoneta accompagnait sa mère et Beltrán Gomez-Acebo était là avec son épouse Andrea Pascual ainsi que le prince Constantin de Bulgarie prince de Vidin et Miriam de Ungria, princesse veuve de Tirnovo.
Philippe Gain d'Enquin
27 mai 2018 @ 21:28
Il a rejoint Dario ???
Philippe Gain d'Enquin
27 mai 2018 @ 21:29
O mon Bourbon, ô, ô…