Décès cette nuit en Normandie de l’écrivain Gonzague Saint-Bris, copropriétaire du château du Clos-Lucé et auteur de plusieurs biographies historiques. Gonzague Saint-Bris âgé de 69 ans, était en voiture avec sa compagne Alice Bertheaumer. La jeune femme aurait tenté d’éviter un animal, projetant la voiture contre un arbre. Les deux occupants en ont été éjectés. Gonzague Saint-Bris a été tué sur le coup.
Gonzague Saint-Bris était l’organisateur du festival littéraire estival La Forêt des Livres en Touraine auquel la princesse Michael de Kent ou encore le prince Henrik de Danemark ont participé. Son dernier livre « Aristocrates rebelles » sortira dans les prochaines semaines. (Source : le Point – Merci à Anne)
JACQUES
8 août 2017 @ 12:46
Regrettable disparition évidemment surtout dans de telles circonstances. Cependant je suis réservé sur la qualité de ses travaux d’histoire. J’ai le souvenir de son livre sur les enfants de Louis-Philippe émaillé d’erreurs.
Leonor
8 août 2017 @ 19:59
Gonzague Saint-Bris était un touche-à-tout dans le monde de la » culture » et du journalisme. Pas un historien, en effet.
AnnieDurThé
8 août 2017 @ 20:12
Des regrets, c’est bien de les formuler, mais on aurait dû éviter les critiques de la dernière phrase, en pareil moment pénible très récent !
JACQUES
9 août 2017 @ 12:38
Cela paraît peu délicat en effet, mais je suis un peu agaçé par l’obligatoire absolution lors du décès des personnalités. Pardonnez-moi si je vous ai choqué.
Leonor
9 août 2017 @ 19:47
Et pourquoi donc ?
AnneLise
10 août 2017 @ 18:40
Je vous comprends, AnnieDurThé, mais il est vrai aussi que la mort ne sacralise pas le défunt.
Sans pour autant lui dénier ses qualités.
Antinéa
8 août 2017 @ 23:43
Meme constat que vous Jacques concernant un livre dont jai oublié le titre et qui retrace l’ histoire du petit Louis XVIi.
clémentine1
9 août 2017 @ 10:44
idem.
CAROLINE VM
8 août 2017 @ 12:55
Ils ne portaient pas leur ceinture?
Dorothée
9 août 2017 @ 11:36
Parce que porter la ceinture évite systématiquement de se tuer en voiture ? voyons un peu de bon sens Caroline VM
June
10 août 2017 @ 16:01
Cela évite souvent de passer à travers le pare-brise en étant violemment éjecté ce qui semble être le cas ici et en effet cela peut sauver une vie.
Mais ce devait être son heure ..?
Antinéa
11 août 2017 @ 01:03
La ceiinture de securite protege plus que vous ne le croyez .
Mylène
9 septembre 2017 @ 08:28
Il ne faut pas croire tout ce que disent les journaux. Dans l’urgence ils diffusent une info qui fait la une et se propage comme une traînée de poudre. En réalité c’est le moteur qui a été éjecté. Les occupants sont restés dans la voiture et leur désincarcération avérée très difficile.
Corsica
8 août 2017 @ 13:04
Gonzague Saint-Bris, qui avait aussi créé le festival des films de Cabourg, a malheureusement été éjecté, ce qui laisse supposer qu’il n’était pas attaché. Même si la ceinture n’est pas la panacée, elle a quand même réduit de beaucoup la mortalité des accidents de la route, surtout à grande vitesse.
Muscate-Valeska de Lisabé
8 août 2017 @ 13:05
Ou là. ..quel choc qu’un décès aussi subi.
Cela demeure pour mon optique cependant le décès le plus enviable qui soit,puisqu’il faut en passer par là.
RIP.
val
9 août 2017 @ 12:48
Sauf qu’il est décédé dans un accident de voiture ce qui n’a rien d’ enviable
Leonor
9 août 2017 @ 19:48
Euh… Moi, j’aimerais bien avoir le temps de la voir arriver, la camarde, et de la regarder dans les yeux.
Zorro
12 août 2017 @ 13:15
C’est quoi votre adresse ?
AnneLise
13 août 2017 @ 18:11
Vous y allez masqué ?
Antinéa
10 août 2017 @ 00:04
N’ importe quoi Muscate, vous parlez encore et toujours de vous meme et pour vous meme .
Une mort violente laisse des traces indelebiles dans la vie de ceux qui vous survivent et qui vous ont aimé.
Bambou
10 août 2017 @ 16:18
Bien dit
Dorothée
11 août 2017 @ 13:07
Absolument Antinéa !
bianca
15 août 2017 @ 17:11
Une peine comme une blessure qui ne cicatrise pas….
Muscate-Valeska de Lisabé
11 août 2017 @ 19:40
Oui,je parle pour moi,j’ai bien précisé »pour mon optique ».Et je le maintiens.
Remballez donc votre agressivité,Antinea,vous allez vous étouffer et ce serait un accident regrettable, cette fausse-route^^.
Margaux ?
8 août 2017 @ 13:05
Il convient de souligner que le dernier livre de Gonzague Saint-Bris est dédié à ses parents, résistants durant la seconde guerre mondiale, et plus largement à tous les aristocrates français déportés durant cette période, essentiellement pour faits de résistance. Gonzague Saint-Bris est le fils du comte romain Hubert Saint-Bris, qui fut diplomate, et d’Agathe Mame, poétesse et héritière de la dynastie d’éditeurs et imprimeurs Mame (spécialisés dans l’édition religieuse, éditeurs du pape, imprimeurs et façonneurs de La Pléiade pour Gallimard, etc), tous deux résistants et déportés, donc. Il me semble que les parents de Gonzague sont décédés en déportation. Enfin, la famille est propriétaire du Château du Clos-Lucé depuis 1855.
Pour répondre à Jacques, je n’utiliserais pas personnellement le terme erreur pour décrire certains passages des livres de Gonzague Saint-Bris, mais plutôt de contre-vérités. En effet, il s’agit bien souvent de récits brodés sur des faits assez imprécis, parfois incertains, en tout cas discutés. D’autres que Gonzague Saint-Bris brodent aussi de la sorte.
Marnie
9 août 2017 @ 12:44
Gonzague Saint-Bris étant né en 1948 ses parents ont dû revenir vivants des camps.
Zorro
12 août 2017 @ 13:18
Ben oui
Ils n’étaient pas juifs comme Sainte Simone.
Marnie
15 août 2017 @ 13:30
Votre commentaire pue Zorro…
j21
9 août 2017 @ 12:56
Gonzague Saint Bris a 69 ans donc né en 1948. En conséquence ses parents ont, heureusement, survécu à la déportation.
Baia
9 août 2017 @ 13:26
Non, les parents de Gonzague ne sont pas morts en déportation !
alienor
9 août 2017 @ 17:17
Ce sont ses grands parents qui ont été déportés. Morts en novembre 44, lui à Gross Rosen et elle à Ravensbruck.
AnneLise
9 août 2017 @ 18:41
Pardonnez moi Margaux, mais j’ai cru lire que Gonzague Saint Brice était décédé à l’âge de 69 ans, donc né en 1947 ou 1948 ses parents ne sont donc pas morts en déportation. Ce sont ses grands parents qui sont morts en déportation.
Margaux ?
10 août 2017 @ 14:47
Merci Aliénor et Anne-Lise pour la rectification courtoise. Ce sont bien ses grands-parents qui furent résistants, déportés et mort en déportation. C’est à eux que le dernier livre de Gonzague rend hommage. ?
Ghislaine-Perrynn
10 août 2017 @ 15:48
Margaux , je vois qu’Anne-Lise a rectifié votre commentaire .
Mais merci à vous , je vais surement acheter ce livre car j’appréciais Gonzague de Saint-Bris , ce côté un peu original de l’individu qui l’empêchait de trop se prendre au sérieux . J’avoue que j’ai été amusée quand il s’est mis en tête (et qu’il a réussi dans l’entreprise ) a refaire le voyage avec deux mules par les sentiers empruntés par Leonardo da Vinci pour arriver en France .
Quand j’écrivais ici il y a quelque temps déjà que les Aristocrates avaient fait leur devoir envers la France , le silence ici était assourdissant et l’Histoire me donne raison avec des grands noms qui l’ont faite justement .
J’en suis particulièrement satisfaite .
AnneLise
11 août 2017 @ 12:03
Merci Ghislaine-Perrynn de m’avoir distinguée, mais je ne suis pas la seule à avoir rectifié !
Pour ma part je ne pouvais pas ne pas le faire ayant le même âge que lui et ayant eu des parents Résistants, donc même période.
Margaux ?
16 août 2017 @ 00:17
Et là, j’apprends que Anne Lise pourrait être… ma mère. ?
Mes quatre grands-parents furent résistants.
Merci d’avoir rectifié. ?
AnneLise
16 août 2017 @ 12:33
Eh oui !
Nos enfants ont entre 46 et 39 ans !
Donc je vous place dans cette tranche d’âge !
Bien cordialement.
AnneLise
11 août 2017 @ 12:09
En ce qui me concerne, je pense que Gonzague Saint Brice ne s’est jamais déclaré historien.
Ce fut pour moi un « passeur d’histoire », quelqu’un qui a donné une incarnation à des personnages historiques, que l’on ne voit souvent qu’à travers des peintures, des sculptures, des guerres, des monuments et qui paraissent étrangers à la nature humaine;
J’ai eu autrefois un professeur d’histoire qui en préambule à ses cours nous disait : » Je vais vous apprendre à connaître des évènements qui n’auraient pas eu lieu sans des femmes et des hommes faits de chair et de sang, pétris de qualités et … de défauts comme vous, comme moi. »
Je pense que mon goût de l’histoire, je le lui dois.
Margaux ?
16 août 2017 @ 00:17
« Passeur d’Histoire », je pense qu’il aurait aimé ce mot. ?
Gérard
8 août 2017 @ 13:46
J’éprouve beaucoup de tristesse devant cette terrible nouvelle. Gonzague Saint-Bris était un être exquis, d’une grande gentillesse, d’une grande courtoisie, un conteur magnifique, un talentueux écrivain, un amoureux d’Amboise et de ses princes, visiter sous sa conduite Le Clos Lucé était un moment marquant. C’est un grand amoureux du patrimoine qui nous manquera.
Dorothée
9 août 2017 @ 11:39
Pour l’avoir connu aussi à Amboise, je ne peux que confirmer vos dires Gérard. Il pouvait paraître différent à la TV alors que c’était tout le contraire dans la vie.
Baia
9 août 2017 @ 13:32
Je partage entièrement votre commentaire Gérard. Connaissant personnellement bien Jacques et Bernard, frères de Gonzague, j’ai eu la chance de rencontrer ce dernier à plusieurs reprises au Clos Lucé. Aujourd’hui, ces moments n’en sont que plus précieux dans ma mémoire.
Gérard
11 août 2017 @ 09:17
Je suis heureux que nos opinions convergent Dorothée, Baia, Cosmo.…
Il avait ce côté primesautier et enthousiaste qui pouvait surprendre, mais c’était un homme bon qui ne disait pas de méchancetés, un sage.
septentrion
10 août 2017 @ 11:46
Gérard,
Moi aussi en apprenant cette information j’ai éprouvé beaucoup de peine et de tristesse, j’espère que sa compagne se sortira le mieux possible de cet accident.
Vous avez tout dit.
Ghislaine-Perrynn
10 août 2017 @ 15:48
Oui et même pour le commun des mortels un hôte d’une grande courtoisie .
Verdi63
2 septembre 2017 @ 02:21
J’approuve votre admiration fondée sur cet homme hors du commun, profondément gentil, érudit, autodidacte, curieux d »aller vers les autres, conteur de l’histoire de France incomparable et accessible. Il avait encore tant de liens à tisser avec les gens et tant de visites en province. Pour Moi, qui l’ai connu, je ne n’oublierai jamais. Son parler et sa voix persuasive et douce berceront ma mémoire de longs récits épiques extraordinaires. Qu’il repose en paix. Peut-être parlé t’il à son inspirateur d’écriture désormais, à Léonard de Vinci…Recueillement, admiration et souvenir d’un être qui a vécuen homme libre. Le dernier romantique est mort. Vive le romantisme.
Cosmo
8 août 2017 @ 13:59
J’avais été invité, il y a quelques années, par Gonzague Saint-Bris à signer un de mes livres à « La Forêt des Livres ». C’était un homme absolument charmant et très attentionné pour ses invités.
Antinéa
10 août 2017 @ 00:06
Vous etes ecrivain Cosmo ?
Cosmo
10 août 2017 @ 12:19
Oui, Antinéa.
marialuisa
8 août 2017 @ 14:09
Un personnage, une figure journalistique particulière, un écrivain controversé…mais une personnalité qui va nous manquer !
ml
framboiz 07
8 août 2017 @ 14:13
J’ai eu le bonheur de le rencontrer: Un être exquis , cultivé …
Que deviendra cette forêt des livres ?
Quand a -t-elle lieu , cette année ?
Le véhicule n’était pas équipé de ceintures ?
Margaux ?
10 août 2017 @ 00:01
Les héritiers (la famille) semblent disposés à reprendre les flambeaux des événements dirigés par Gonzague.
Baia
10 août 2017 @ 13:39
Vous en savez plus que la famille elle-même Margaux !
Margaux ?
16 août 2017 @ 00:20
Non, j’ai lu/écouté les médias.
Ils ne comptent pas reprendre ses engagements ?
(je les comprendrai n’ayez crainte !)
Brigitte - Anne
10 août 2017 @ 21:37
La forêt des livres a lieu le 27 août . Toujours le dernier week end du mois d’août ! Sauf imprévu j’y serai comme tant d’années précedentes .
Jane
8 août 2017 @ 14:21
Que c’est triste !
Anna Claudia
8 août 2017 @ 14:36
Passionné d’histoire et auteur de très nombreux ouvrages traités avec facilité, Gonzague Saint Brice aura été un remarquable animateur culturel ; à ce titre, la littérature doit beaucoup à cet homme attachant. Son départ est un vrai chagrin.
Nicole C 34
8 août 2017 @ 15:23
Il savait captiver son public, j’aimais beaucoup l’écouter raconter sa vie au château lorsqu’il était petit.
Ghislaine-Perrynn
8 août 2017 @ 15:25
Je garderai un souvenir inoubliable de mes visites au Clos Lucé , de l’élégance de ses propriétaires . Egalement de la Villa Ephrussi à St-Jean-Cap-Ferrat.
Il disparaît prématurément et laissera surement un grand vide .
marianne
8 août 2017 @ 15:41
Ejectés … ils n’ avaient donc pas bouclé leurs ceintures de sécurité , c’ est bien dommage .
Margaux ?
10 août 2017 @ 00:04
Les membres des services de secours savent qu’une ceinture de sécurité peu rompre sous le choc de certains impacts. C’est rare mais ça arrive. Il convient donc de ne pas juger trop vite.
Margaux ?
10 août 2017 @ 00:04
… une ceinture de sécurité peut rompre…
… ne pas conclure trop vite.
(désolée)
Olivier d'Abington
8 août 2017 @ 15:46
Mais qu’en est-il de sa compagne?
A-t-elle survécu à l’accident?
Corsica
9 août 2017 @ 12:22
Olivier, éjectée elle aussi, elle serait grièvement blessée.
monica
10 août 2017 @ 09:02
Sa compagne est sortie des soins intensifs
Olivier d'Abington
8 août 2017 @ 15:49
Je ne veux pas dire, mais en ce moment, entre les actrices, les acteurs, les penseurs et les écrivains c’est l’hécatombe…
Je pense pourtant à une bonne dizaine (voire plus) de personnes qui « mériteraient » d’y passer bien avant toutes ces personnalités qui avaient du coeur!
Stella
9 août 2017 @ 17:29
Vous voilà donc, Olivier d’Abington, à énumérer mentalement la liste de personnes qui, selon vos critères, « mériteraient d’y passer »!…
Propos d’un rare violence (ou je l’espère, d’une totale inconséquence)… Mais tout à fait inacceptables.
J’ose espérer que vous n’avez pas réfléchi ne serait-ce qu’une fraction de seconde avant que de rédiger ce post…Car s’il est le fruit d’un tant soit peu de réflexion, c’est à pleurer.
Margaux ?
10 août 2017 @ 14:49
Merci d’avoir relevé la violence de ce propos.
Bambou
10 août 2017 @ 16:19
Tout à fait d’accord avec vous Stella !
AnneLise
9 août 2017 @ 18:44
Pas d’inguiétude, Olivier d’Abington, leur tour viendra !
AnneLise
9 août 2017 @ 18:44
« Inquiétude » évidemment !
Kalistéa
11 août 2017 @ 10:09
Vous avez totalement raison Stella ! cela montre la mentalité de ceux qui font souvent la morale aux autres!
Margaux ?
16 août 2017 @ 00:22
Venant d’Anne Lise, je l’interprète comme un trait d’ironie, voire même de sarcasme. C’est à prendre au second degré. ?
AnneLise
17 août 2017 @ 18:29
Eh oui ! vous avez raison, Margaux !
C’était bien sarcastique !
Je n’ai pas pour habitude de souhaiter la mort de quiconque, de souligner certaines outrances oui, mais bon que voulez vous chacun a le droit d’entendre ou de comprendre ce qu’il veut !
AnneLise
17 août 2017 @ 18:41
Je croyais avoir compris Kalistea, que vous aimiez manier l’humour, même parfois un peu « hard » !
Mais peut-être ne le recevez vous que de la part de certains dont je ne fais pas partie ?
Antinéa
10 août 2017 @ 00:09
Quel commentaire nul ! Qui etes vous pour dire que telle ou telle personne » merite » de mourir avant telle autre ?
Junon
10 août 2017 @ 07:42
Ah?…Des personnes mériteraient d’y passer ? Quels sont les critères sur lesquels vous vous appuyez pour en décider??
Leonor
10 août 2017 @ 14:21
Tiens, je suis d’accord avec Olivier d’Abington, ici. Et je propose comme premier candidat pour passer l’arme à gauche le sieur Monpezat , prétendant au trône du Danemark, qui nous bassine avec ses histoires de sépulture, nous et les Danois avec.
On le zigouille, et on l’enterre où il veut, hop, comme ça c’est fait, et on n’en parle plus.
Dorothée
11 août 2017 @ 13:10
Humour j’espère…! bien que macabre !
Margaux ?
16 août 2017 @ 00:23
Idem, venant de Leonor, c’est sarcastique à souhait. J’adore. ?
framboiz07
10 août 2017 @ 13:44
Oui, il est des dictateurs …Seraient-ils remplacés par de droites gens ?
Olivier, je pense comme vous, on voit aux infos , mort de telle personne ,qu’on a aimée et ensuite ,en Syrie , tel dictateur a fait tuer son peuple, bêtement je fais le rapprochement …On doit se prendre pour Dieu !
mimi
8 août 2017 @ 16:21
j ai vue Gonzague de saint bris à valence dans l’orient express stationné en gare de valence ville ..presentation de livres historiques..j’ai plein de livres car j aime l’histoire, et en plus je suyis allée à clos lucé, et j’ai achete une cravate en soie representant leonard de Vinci.
Leonor
9 août 2017 @ 19:51
Il est certain que Léonard aurait été très honoré. d’être pendu à votre cou.
Baia
10 août 2017 @ 13:41
??
Bernadette
10 août 2017 @ 13:43
Merci Leonor pour le fou rire !
Ghislaine-Perrynn
10 août 2017 @ 15:51
Léonor je m’en étrangle.(rire)
Dorothée
11 août 2017 @ 13:12
Pourquoi ces moqueries ? parce que cette personne a acheté une cravate de LdeV ? vraiment !
Bernadette
12 août 2017 @ 13:40
Non Dorothee c’est pour le trait d’esprit de Leonor !
Ghislaine-Perrynn
13 août 2017 @ 11:23
Dorothée le trait d’esprit de Leonor a juste déclenché un fou rire et tant qu’il en sera ainsi je serai en vie .
Milena K
15 août 2017 @ 14:50
MDR
Margaux ?
10 août 2017 @ 14:51
Enfant, je trouvais déjà que les cravates fleurdelisées du (feu) Comte de Paris étaient ridicules mais là, une cravate avec Léonard de Vinci… Heureusement que ça n’a jamais tué.
Gérard
12 août 2017 @ 14:35
Je n’ai pas vu souvent le feu Comte de Paris avec une cravate fleurdelisée mais comme il avait dû en recevoir des dizaines en cadeau…
Margaux ?
16 août 2017 @ 00:25
J’ai été marquée par des photos où il portait des cravates fleurdelisées. Je ne suis sûrement pas tombée sur les meilleurs clichés de lui. ?
Baya
8 août 2017 @ 16:32
Cet homme original et bienveillant, m’était sympathique, j’ai de la peine.
Hilde
8 août 2017 @ 16:51
Triste nouvelle .
Ellen
8 août 2017 @ 16:55
Ils ne portaient pas de ceinture de sécurité ?
Alinéas
8 août 2017 @ 17:28
Quelle bien triste nouvelle.!
Marie de Cessy
8 août 2017 @ 17:36
Triste disparition.
J’aimais beaucoup ses articles dans Paris Match
Alinéas
8 août 2017 @ 17:37
Quelle triste nouvelle.!
Claudia
8 août 2017 @ 17:37
Je ne savais pas qu’il était propriétaire pour partie du château du Clos Lucé. C’est toujours triste de disparaître brutalement dans des circonstances pareilles.
JAusten
8 août 2017 @ 17:47
ça c’est terrible !
ALINE
8 août 2017 @ 18:22
Un original comme on disait autrefois , en revanche mort brutale et triste . Son festival était assez connu et intéressant .
Danielle
8 août 2017 @ 18:25
Quelle circonstance pour ce décès d’un homme encore jeune !!
Rita blanc
8 août 2017 @ 18:50
Triste !
Mon fils s appelle GONZAGUE .
Bambou
8 août 2017 @ 19:29
Triste nouvelle d’apprendre le décès de Gonzague St Brice. C’est un homme que j’appréciais particulièrement. Je venais de relire un de ses livres, les Aiglons dispersés. Formidable livre sur la descendance des frères de Napoléon et de ce dernier, bien sûr. C’était un homme charmant, distingué, mais pas snob et très abordable. Un homme de culture comme il en existe trop peu. Il va manquer à la culture, à l’histoire et à la littérature française.
Denis
8 août 2017 @ 19:43
C’est bien évidemment un drame , mais qui ne doit pas occulter le caractère peu sérieux de ses ouvrages qui s’apparentent plutôt au genre du roman historique et avec souvent des approximations regrettables …
Margaux ?
10 août 2017 @ 00:07
Il ne faut surtout pas occulter qu’il n’a jamais – contrairement à d’autres journalistes – prétendu être une pointure en histoire. GSB a toujours reconnu le caractère léger et interprétatif de ses écrits. C’est ce qui faisait son intérêt.
Caroline
8 août 2017 @ 21:22
Que des accidents de vacances ! Hélas, sans leur ceinture de sécurité !
Ismène
8 août 2017 @ 22:55
Triste
Monique COUTURIER
9 août 2017 @ 00:35
Je ne pense pas que ce soit l’endroit, ni le moment de critiquer les oeuvres de M. Gonzague St Bris. Il a fait aimer le Clos-Lucé, c’est déjà énorme. Le reste, on s’en fiche un peu.
Baboula
9 août 2017 @ 14:01
Excusez,Mais Léonard de Vinci y est plus pour quelque chose .
Gérard
12 août 2017 @ 14:38
Sans les Saint Bris on aurait oublié Léonard au Clos Lucé. Ils ont fait un travail de mémoire magnifique. Et bien sûr il y a sa tombe en face restaurée par feu le Comte de Paris.
val
9 août 2017 @ 15:14
Monique COUTURIER
Absolument comme vous quelle manque d’ampathie .
val
9 août 2017 @ 15:14
quel manque bien sur
Leonor
10 août 2017 @ 14:23
Il m’arrive d’avoir de l’empathie. Mais de l’ampathie, jamais.
val
11 août 2017 @ 14:35
Leonor,
GNA GNA GNA GNA
lidia
9 août 2017 @ 05:39
J’ai lu cette semaine un article de Gonzague Saint Bris, j’aimais bien sa personnalité très aristocratique. C’est soudain et tragique. Il est parti trop tôt.
Mes sincères condoléances à sa famille et aux proches.
DEB
9 août 2017 @ 06:10
J’avais bien aimé » les vieillards de Brighton ».
Un peu dandy, un brin excentrique mais un être passionné et n’hésitant pas créer des événements culturels.
Il va me manquer.
Lars de Winter
9 août 2017 @ 07:46
Malchance! Dommage!
Auberi
9 août 2017 @ 08:42
Terrible tragédie ! Un homme au charme particulier qui ne laissait personne indifférent à chacune de ses apparitions télévisées sur l’histoire. Une grande élégance rhétorique avec cette gestuelle unique presque lyrique, il me manquera.
Toutes mes condoléances à ses proches
val
9 août 2017 @ 08:43
Condoléances à sa famille
JAY
9 août 2017 @ 09:24
Comme tous les tourangeaux, je suis très affecté par cet homme de culture tellement chaleureux et sympathique !
JAY
9 août 2017 @ 09:24
par le décès !
;Numerobis.
9 août 2017 @ 11:53
Je ne le connaissais pas, mais je l’aimais bien.
Avait il eu un enfant avec l’une de ses épouses, ou compagne, qui était très jeune lors de leur mariage ? (16 ans je crois ?)
Gabrielle
10 août 2017 @ 12:48
Il a été marié avec Clémence de Lasteyrie du Saillant, nièce d’Anne-Aymone Giscard d’Estaing. elle avait tout juste 17 ans. A l’époque, j’avais été choquée en regardant un article sur ce mariage car, ayant même âge que la mariée, je trouvais hallucinant qu’une gamine puisse épouser un « vieux » de 31 ans.
Le couple a divorcé et, je crois, n’a pas eu d’enfant. 10 ans plus tard, elle s’est remarié avec un homme né la même année que son ex.
Lili.M
12 août 2017 @ 11:45
Désolée de corriger votre erreur Clémence Lasteyrie du Saillant est la nièce de Valéry Giscard d’Estaing, fille de sa sœur donc nièce par alliance de son épouse évidemment.
Tonton Soupic
9 août 2017 @ 12:21
Je suis rassuré. J’ai cru qu’il était mort !
Gérard
9 août 2017 @ 14:29
Alice Bertheaume a été médicalisée sur place puis transportée au CHU de Caen. Son état s’est amélioré.
En mars 2004 le frère aîné de Gonzague, Jean Saint-Bris, alors directeur du Clos Lucé, conseiller général du Maine-et-Loire, était mort sur le coup d’un accident de la route sur la levée de la Loire, à Saint-Pierre-des-Corps. Il avait 57 ans.
Jean Saint-Bris (1947-2004), était le quatrième comte romain de son nom, le titre fut accordé avec l’hérédité par le pape Pie IX par bref pontifical du 15 août 1874 à leur arrière-grand-père Georges Saint-Bris (1844-1922), compositeur, époux de Marthe-Marie de Maupas, par bref pontifical du 15 août 1874. Cette famille est originaire du Quercy puis de la Touraine.
Les armoiries portées sont : coupé au premier, d’or à une clé de sable posée en fasce et accompagnée au canton dextre d’un cœur de gueules, au deuxième, d’argent à une croix alésée d’azur cantonnée de quatre mouchetures d’hermine, sur le tout d’azur à une étoile d’or. La devise est : « Dieu avant tout ».
Jean Saint-Bris, de Julie de Lattre son épouse, a eu cinq enfants dont l’aîné est Éloi, né en 1988, le cinquième comte Saint-Bris.
Gonzague n’a pas eu d’enfant de son mariage avec Clémence de Lasteyrie du Saillant (aujourd’hui Mme Henri de Bodinat), fille du comte Guy Foulques de Lasteyrie du Saillant et d’Isabelle Giscard d’Estaing, et nièce de Valéry.
À la fin du mois sera publié le dernier ouvrage de Gonzague Les Aristocrates rebelles qui est dédié à ses grands-parents résistants tués en Allemagne. Jean et Carmen Saint-Bris née Renom de La Baume, sont morts en déportation en 1944 après avoir secouru des aviateurs anglais à Villemoisan près d’Angers. En juin 1943, un bombardier anglais de retour d’une mission fut abattu au-dessus du Louroux-Béconnais. Les sept aviateurs sautèrent en parachute. Trois furent faits prisonniers. Le pilote se noya dans la Loire. Le radio se posa sur une île entre Montjean et Ingrandes.
Les deux derniers aviateurs britanniques allèrent frapper à la porte de la première maison d’où on les emmena au château de Beauchêne car le comte parlait couramment anglais. Jean et Carmen, qui avaient 60 et 52 ans – il était officier de réserve et elle avait son diplôme d’infirmière – aidèrent les aviateurs à rejoindre l’Angleterre via Ingrandes et Nantes. Ce n’était pas la première fois qu’ils agissaient ainsi, Jean récupérait des aviateurs anglais sur sa propriété, les cachait, faisait disparaître les papiers, leur donnait des habits et leur permettait de gagner Londres grâce à un réseau de résistance.
Ils savaient donc bien ce qu’ils risquaient, pour lui d’être fusillé, pour elle d’être envoyée en camp de concentration. Jean partit en déplacement à Amboise. Il y eut une dénonciation. L’un des aviateurs fut arrêté et rudoyé. Sous la torture il parla. Carmen fut arrêtée par la Gestapo et emprisonnée à Angers. Afin qu’elle soit libérée son mari se rendit pour dire qu’elle n’était au courant de rien, mais tous deux furent déportés en Allemagne séparément à l’automne, elle à Ravensbrück, lui à Gross Rosen. Une amie de Carmen qui put survivre raconta qu’elle donnait le peu qu’elle avait à manger aux plus jeunes sachant qu’elle ne survivrait pas longtemps. Elle mourut d’épuisement en décembre 1944. Jean lui survécut quelques jours et mourut sous les coups de crosse des SS. Leur fils Hubert s’engagea dans le Bataillon de choc de Rhin et Danube, pour aller libérer les camps. Marcel Marionneau qui avait été déporté pour la même affaire ne survécut que quelques années.
Sur les trois aviateurs recueillis en Anjou, deux sont arrivés à Londres en décembre 1943. Le troisième, a été pardonné par la famille Saint-Bris dont l’un des membres disait : « Qu’aurions-nous fait sous la torture ? » Il avait survécu à la guerre et avait écrit plus tard à la famille pour demander pardon.
Saint Louis de Gonzague, Cyrano de Bergerac, La Fayette, Olympe de Gouges, Lord Byron, Alphonse de Lamartine, le comte Tolstoï, Savorgnan de Brazza, Luchino Visconti, Simone de Beauvoir, sont au programme de cet ouvrage consacré à des gens du monde qui ont tracé leur propre route.
j21
10 août 2017 @ 12:49
Merci Gérard pour ces intéressantes précisions. Des personnes exceptionnelles que les grands parents de Gonzague Saint-Bris!
Ghislaine-Perrynn
10 août 2017 @ 15:58
Gérard merci votre post est émouvant .
Cosmo
11 août 2017 @ 06:07
Cher Gérard,
Merci pour ces détails qui donnent envie d’acheter le livre de Gonzague Saint-Bris. Il est étonnant que cet aviateur anglais ait été torturé car la Convention de Genève l’interdit formellement et normalement il aurait dû simplement être envoyé en offlag. Si l’aviateur était pris les armes à la main, il risquait d’être fusillé car considéré comme un partisan, lui-même ne respectant pas la convention de Genève. Mon père, ayant été dans la Résistance, me racontait que les aviateurs anglais, lors du passage de la frontière pour rejoindre l’Espagne, acceptaient de porter des armes pour se défendre, les américains, jamais.
Il est bon de dire que, contrairement à la légende, la noblesse française a bien résisté, comme l’Eglise a bien ordonné de protéger les Juifs. Bien sûr il y a eu des collaborateurs, mais il ne faut pas oublier qu’une grande partie des Français collaborait. S’il y eut un Mgr Baudrillart, il y eut aussi un Mgr Saliège et bien d’autres à ouvrir, églises et couvents.
On ne peut en effet juger quelqu’un qui a parlé sous la torture, nul d’entre nous ne peut savoir ce qu’il ferait.
Gonzague Saint-Bris était un homme des siècles passés, aussi agréable à lire qu’à fréquenter.
Amicalement
Cosmo
Gérard
12 août 2017 @ 14:47
C’est ce qui est dit. Peut-être que même avec des Anglais les services allemands ne respectaient toujours la Convention de Genève… Je songe au film Les Canons de Navarone mais ce n’est qu’un film.
Merci Cher Cosmo pour votre mot aimable et vos souvenirs familiaux.
Merci aussi à Ghislaine et à J21.
Ghislaine-Perrynn
13 août 2017 @ 11:31
Non Gérard vous n’avez pas à me remercier , Cosmo , vous , redonnez leurs lettres de noblesse à des Hommes qui l’ont été tout simplement.
Ici je voudrais rendre hommage aux curés des Landes qui sont partis avec leurs ouailles dont des enfants pour l’enfer , gratuitement , pour les aider et qui ne sont pas revenus . En mémoire , de l’Abbé-Pierre des Landes l’Abbé Michel Devert , qui a 18 ans , sauva un équipage américain à lui tout seul dans sa forêt landaise .
Bambou
9 août 2017 @ 14:34
S’ils n’avaient pas bouclé leurs ceintures…
Bambou
9 août 2017 @ 15:45
Je viens de finir « les vieillards de Brighton », sorti en 2002. Ce livre raconte un fait de son enfance, lorsqu’il vivait à Londres avec sa famille et où son père était diplomate. Il a été placé pendant toute une année dans un asile, où il y avait principalement des gens âgés. Mais ce qui m’interroge, c’est sa mémoire. Comment peut- il se rappeler de tous ces faits, lieux, situations, noms, visages, alors qu’à l’époque il avait seulement 5 ans? . Cela me semble impossible. Étrange.
Zeugma
9 août 2017 @ 15:49
« Le Monde » daté du jeudi 10 août 2017 publie une nécrologie de Gonzague Saint Bris, du comte Gonzague Saint Bris devrais-je écrire puisque nous sommes sur « Noblesse & royautés ».
(Internet nous précise que son frère aîné Jean (1947-2004) était le 4e comte de ce nom, titre romain qui fut conféré par le pape et sur lequel je n’ai pas davantage d’informations pour le moment.)
Le long article du « Monde » met en relief la vie professionnelle riche et variée de celui qui fut essentiellement un écrivain.
Chacun connait son attachement au Clos Lucé.
Il fit des études à Londres, à la Saint Philip’s School.
Journaliste, il travailla pour « Elle », le « Quotidien de Paris », « Le Journal du dimanche », « Europe n°1 » etc
Il anima toutes sortes de festivals mais restera surtout comme un écrivain fécond, auteur d’une cinquantaine de romans et essais, dont de très nombreuses biographies.
Son dernier ouvrage sortira en librairie le 30 août aux « Editions des arènes » : « Les aristocrates rebelles » consacré au parcours de certains personnages issus de la noblesse (vrai ou fausse ajouterai-je ….) (Cyrano de Bergerac, Olympe de Gouge, Byron, Tolstoï, Visconti, Simone de Beauvoir …)
Puis-je citer une phrase de lui ? : « Vivre est un métier qui s’apprend. »
Autre phrase qui devrait inspirer certaines correspondantes de notre site favori :
« Savoir vivre, cela n’est pas ne pas s’indigner (…) mais (…) apprendre à ne plus laisser cette indignation se porter sur les autres au risque de leur causer un préjudice, mais la canaliser en soi (..) »
Gérard
10 août 2017 @ 17:05
Tout à fait Zeugma mais nous avons quand même parfois des correspondants désagréables aussi et pas seulement des correspondantes.
septentrion
12 août 2017 @ 17:32
Gérard,
Je loue votre impartialité, sans m’exclure pour autant du groupe des correspondantes.
septentrion
12 août 2017 @ 17:12
Zeugma,
Vos commentaires sont toujours emplis de sagesse à mon avis,
Merci d’avoir rappelé certaines citations de Gonzague Saint Bris.
ciboulette
9 août 2017 @ 17:19
J’éprouve une grande tristesse devant le décès brutal de cet homme que j’aimais bien . Toutes mes condoléances à ses proches .
Dehove
9 août 2017 @ 20:45
Je m’associe à tous les commentaires élogieux, et je regrette sa disparition si soudaine. J’aimais beaucoup sa voix, et je l’aurais écouté indéfiniment…
pinto
10 août 2017 @ 00:44
Je pense qu’il etait ami du prince Thibaut d’Orleans et parrain de son fils n’est-ce pas?
Leonor
10 août 2017 @ 14:28
Je ne crois pas. Il me semble que la personne dont vous parlez est plutôt Antoine de La Panouse, vicomte, qui a créé le safari-parc de Thoiry.
Mais je peux me tromper.
Gérard
10 août 2017 @ 17:02
Robert d’Orléans, sauf erreur de ma part, eut pour parrain Paul, comte de La Panouse et pour marraine la princesse Claude de France, duchesse d’Aoste, et son frère Louis-Philippe, Charles de Bourbon, comte de Busset, et pour marraine Madame la Comtesse de Paris.
Mais naturellement les Saint-Bris ont toujours été très proches géographiquement et par le cœur des Orléans et Gonzague était fréquemment l’invité du comte de Paris défunt comme de son fils.
Blouin
10 août 2017 @ 10:39
Je pense ne pas me tromper en disant qu’il est à l’origine du concours de la résistance pour les jeunes lycéens car j’ai eu l’occasion de le rencontrer à Blois lorsqu’il a remis son prix à ma fille qui avait remporté ce concours avec pour récompense un séjour de 3 semaines à Boston et un voyage dans les camps en Allemagne. C’était en 1983 ou 84. Il était très simple et charmant. J’aime beaucoup ses livres et je vais acheter le dernier. Mille regrets.
Blouin
10 août 2017 @ 11:12
Je fais une rectification, le concours de la résistance a été créé en 1961, mais c’est en 83 ou 84 que les élèves des établissements privés ont été autorisés à s’y présenter et Gonzague Saint-Bris y a été très actif. Je précise aussi qu’il était né en 1948, ses parents n’étaient donc pas morts en déportation.
framboiz07
10 août 2017 @ 13:45
Il était ami de S. Bern, très triste , F.Ferrand et PPDA , surtout !
Jacques Coeur
11 août 2017 @ 17:13
Comme Stéphane, Gonzagues fait en sorte que l’histoire passionne à nouveau les jeunes bien que ceux-ci ne soient pendus qu’à leur gsm. triste cette disparition. Je ne découvrerai plus de nouveaux livres de cet écrivain sympa à tout point de vue. Il va ns manquer cet amoureux de la Touraine. Perte inestimable. Je lui souhaite qu’il aie rejoindre tous ces amis en particulier François 1er son ami qui a vécu au Clos.Tes amis lecteurs te retrouverons au paradis…
Maguerite1
10 août 2017 @ 20:36
Cabourg est en deuil.
Gonzague y avait créé le Festival du film romantique ; il était très apprécié dans cette ville et était très attaché à la côte normande.
Je suis infiniment triste.
Blouin
11 août 2017 @ 09:40
Merci à Gérard pour les renseignements qu’il nous donne et qui permettent de préciser les informations sur cette famille très respectable.
Gérard
12 août 2017 @ 14:54
Merci Blouin.
Dommage de prendre la route en pleine nuit après un dîner pour regagner la Touraine. Hélas.
Nefertiti
13 août 2017 @ 13:28
RIP Gonzague Saint-Bris, j’ai eut la grande chance qu’il m’ait dédicacé deux de ses livres. Mes condoléances à sa compagne et sa famille