La princesse de Sanguzko (1939-2020) hospitalisée sous assistance respiratoire à l’hôpital syrio-libanais de Sao Paulo, ayant été frappée par le coronavirus, est décédée le 21 septembre dernier.
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Mary
27 septembre 2020 @ 08:04
RIP
ciboulette
27 septembre 2020 @ 16:04
Oui, RIP . Encore une victime de ce maudit virus qui revient au grand galop !
Philibert
29 septembre 2020 @ 06:49
Décidemment, la covid-19 peut frapper tout le monde…
Riche ou pauvre, prince ou manant, chacun est égal devant la mort !
yode
27 septembre 2020 @ 09:08
Oui, surtout, elle est une fille « des Roys », famille originaire d’Auvergne, du Puy-de-Dôme, d’Echandelys, où l’on parle toujours des bois du Marquis (sous entendu Marquis des Roys) !
Nemausus
27 septembre 2020 @ 09:36
de son nom complet Claude des Roys d’Eschandelys, des marquis des Roys, épouse de Pierre Prince Sanguszko-Lubartowicz.
Jay
27 septembre 2020 @ 10:32
Il semblerait qu’il ne reste que son fils à porter le titre princier de Sanguzko.
Il n’a qu’une fille
Guyard
27 septembre 2020 @ 13:55
Son ascendance royale sur https://gothanjou.blog/2020/09/25/claude-des-roys-princesse-pierre-sanguszko-1939-2020/
Lionel
28 septembre 2020 @ 15:09
Princesse polonaise de naissance française et descendante de Moctezuma. La généalogie est toujours amusante.
Stéphane Warest-Szczypek Podgorski
27 septembre 2020 @ 19:13
La princesse Sanguszko (1939-2020), née marquise Claude Anne Elisabeth des Roys d’Eschandelys hospitalisée sous assistance respiratoire à l’hôpital syrio-libanais de Sao Paulo, ayant été frappée par le coronavirus, est décédée le 21 septembre dernier. Elle est la mère du prince polonais Paweł Franciszek Roman Sanguszko né le 16 janvier 1973 à São Paulo.
Avis de décès :
https://gothanjou.blog/2020/09/25/claude-des-roys-princesse-pierre-sanguszko-1939-2020/
Sanguszko est le patronyme d’une famille princière de la noblesse polonaise originaire de Ruthénie.
Comme d’autres familles princières de la République des Deux Nations, ses origines sont obscures. L’historiographie actuelle la fait descendre d’un petit-fils de Olgierd, Alexander Feodorovich (1433-1443), seigneur de Kovel et de Liouboml, dont le nom peut-être raccourci en Sangush. La famille descendrait de deux de ses fils, Alexander et Michael.
La branche aînée, appelée Sanguszko-Koszyrski, s’éteint à la mort d’Adam Alexander Sanguszko en 1653. La branche cadette, Sanguszko-Kowelski, prend par la suite le nom de Sanguszko-Lubartowicz, d’après l’hypothèse erronée de descendre du plus jeune frère de Olgierd, Lubart.
Avec l’incorporation de la Galicie à l’Ukraine, les Sanguszko perdent leurs grands domaines de Gumniska et de Slavuta, ainsi qu’un palais à Lviv. Ils émigrent alors au Brésil. Au XXe siecle, la famille Sanguszko n’est plus représentée que par une seule personne, le ‘Prince Paul (1973°), vivant à São Paulo. Sa mère est issue de la famille Polignac.
Source Wikipedia
Teresa2424
28 septembre 2020 @ 02:07
Mis Oraciones
Yode
28 septembre 2020 @ 11:28
Et, elle était auvergnate par la famille « des Roys », du Puy-de-Dôme, d’Echandelys, près d’Ambert où l’on parle toujours des bois du marquis (sous entendu marquis des Roys) !!!
Gérard
29 septembre 2020 @ 15:51
Le fils de la défunte, Pawel ou Paulo Sanguszko, né le 16 janvier 1973 à São Paulo, homme d’affaires brésilien, chevalier de l’Ordre du Mérite de la République de Pologne, est en effet le seul mâle de cette famille, il a épousé à Rouen le 8 mai 2010 Séverine Ialongo (née le 20 avril 1974 à Paris) après des fiançailles en février, la réception eut lieu au château de Gaillefontaine (Seine-Maritime) et ils sont les parents d’Olympia (née à Paris le 17 septembre 2010).
La princesse est cogérante du Cheeky Monkey’s Club, une société monégasque d’exploitation d’un club privé destiné à l’organisation d’activités récréatives pour les enfants de moins de huit ans.
Ils dirigent aussi la société Gestion Immo Paoly dont le siège est à Luxembourg.
Les Ialongo sont originaires de Bari (Pouilles) et la princesse est cousine du docteur Paolo Ialongo, chirurgien français à New York.
La famille réside à Monaco et São Paulo.
Le château de Gaillefontaine dans le pays de Bray a été construit de 1881 à 1886, après le parc à l’anglaise dessiné de 1867 à 1877, par le marquis des Roys, dans un style imposant néo-renaissance et néo-gothique par l’architecte Bir, en brique et pierre, avec tourelles, clochetons et fenêtres à meneaux. Les communs ont été élevés de 1881 à 1899 par l’architecte Pini selon un plan en « U » et la chapelle sépulcrale familiale achevée en 1903 est élevée selon un plan en forme de croix. L’ensemble des bâtiments et leurs abords sont classés monuments historiques depuis un arrêté du 1er février 2001.
En 1800, le domaine a été acquis par la veuve du général Hoche, Adélaïde Dechaux. En 1867 a commencé une importante campagne de travaux : de 1867 à 1877, parc à l’anglaise et communs (œuvres de l’architecte Pini), de 1881 à 1899, logis et abords immédiats (par l’architecte Bir, dans le style néo-gothique). La chapelle funéraire de la famille des Roys, extérieure au parc, a été achevée en 1903. On remarque à l’intérieur du logis, une galerie ornée de peintures murales de Godon réalisées en 1899.
Le constructeur était Ernest-Gabriel, marquis des Roys de Lédignan Saint-Michel député de la Seine-Inférieure, né le 4 avril 1836 à Paris et décédé le 28 novembre 1903 à Paris. Il était fils d’Étienne-Annet des Roys, marquis des Roys et pair de France, et de Jenny Hoche, fille de Lazare Hoche, il était issu par son père d’une ancienne famille de la noblesse d’Auvergne.
Ernest-Gabriel des Roys épousa à Paris, en l’église de la Madeleine, le 19 janvier 1861, Marie Jeanne Mathilde Parent, fille de Joseph Basile Parent, ingénieur et industriel d’origine belge, et de Jeannette O’Conogen. Ils eurent deux enfants dont Étienne Jacques Lazare, marquis des Roys (1873-1955), marié en 1901 avec Yvonne de Robin de Barbentane (1882-1971).
Elmosnino
26 décembre 2020 @ 22:23
Un femme remarquable et remarquée pour son naturel , son humour et son humeur .
Un courage optimiste jusqu’à la toute fin.
Elle laisse une très belle image à tous ceux qui ont eu le bonheur de croiser son itinéraire .
Philippe Berry
29 juin 2021 @ 16:16
Bonjour Gérard, je suis journaliste pour 20 Minutes, et je cherche à vérifier un détail sur le chateau de Gaillefontaine. Pourriez-vous m’envoyer un email à pberry@20minutes.fr, que je vous explique de quoi il s’agit? Merci beaucoup.