Ce dernier est le chef de la maison royale d’Irak. Il a épousé en 1963 Margaretha Lind de nationalité suédoise, devenue ensuite princesse Majda.
Le couple a eu cinq enfants : Zeid qui fut haut-commissaire des Nations Unies pour les droits de l’homme jusqu’en 2018, le prince Mired, le prince Firas, le prince Faisal, journaliste ayant couvert la guerre en Irak pour NBC et la princesse Fakhrelnissa.
La princesse était une amie de la princesse Katherine et du prince Alexandre de Serbie.
Les funérailles ont eu lieu au cimetière royal d’Amman en présence du roi Abdallah, de son frère le prince Faisal et de son oncle le prince Hassan.
Opaline
4 janvier 2025 @ 08:29
Les femmes n’y assistent pas???
Lucia😻
5 janvier 2025 @ 12:31
Les femmes n’ assistent parfois même pas à la cérémonie de leur mariage conclu par les pères . Le roi Hussein de Jordanie a été inhumé en présence de tous les grands dirigeants mais sans femme et pourtant il en avait eu quatre . Les femmes viennent après les hommes.
Martine R
5 janvier 2025 @ 15:06
Dans l Islâm les femmes vont après sur la tombe pour y prier.
Passiflore
4 janvier 2025 @ 09:53
Par sa mère, Margareta Lind était une descendante illégitime de la Maison de Vasa par Charles XI de Suède. Lors d’un voyage linguistique à Londres en 1962, âgée de 20 ans, elle fait la connaissance du prince Ra’ad bin Zeid dont le père était ambassadeur d’Irak au Royaume-Uni. Ils se marient l’année suivante. Le prince, né à Berlin, son père y étant ambassadeur, a fait ses études à Alexandrie et au Christ’s College de Cambridge. Il fut, ensuite, nommé chambellan de la Cour royale de Jordanie.
De 1985 à 1986, Margaretha devenue Majda, est présidente du conseil d’administration de l’Ergothérapie College, puis travaille pour le Care of Neurological Patients de 1986 à 1996. Elle était présidente des Femmes scandinaves d’Amman et présidente de l’Association jordano-suédoise d’amitié depuis 1986. En 1987, elle devient membre du Philadelphia Inner Wheel Club. En 1988, elle contribue à la fondation du Petra National Trust . Elle fut directrice de la Fondation Bandak en 1998. En décembre 2014, Majda Ra’ad et son mari furent les mécènes du bazar de charité annuel de Noël de l’ambassade d’Ukraine en Jordanie (fiches Wilki)
framboiz 08
4 janvier 2025 @ 10:31
Voilà, un mariage à la cour jordanienne, qui a duré !
Pas de femmes aux obsèques ,pourquoi donc ?
Ella
4 janvier 2025 @ 13:17
Quel est le lien de parenté avec la famille de Jordanie ?
Gab-Pnth
5 janvier 2025 @ 11:30
Voir mon message plus bas.
Ludovina
5 janvier 2025 @ 13:46
Schéma très explicite
https://histoiresroyales.fr/wp-content/uploads/2025/01/famille-royale-irak-syrie-raad.jpg
Boris
5 janvier 2025 @ 14:18
Il s’agit de la même dynastie, les Hachémite.
Ils ont aussi très brièvement -quelques semaines- régné sur la Syrie
Mayg
4 janvier 2025 @ 14:19
La maison royale d’Irak ? Quel est le rapport avec la famille royale de Jordanie ?
Gab-Pnth
5 janvier 2025 @ 11:30
Cf. mon message plus bas.
Boris
5 janvier 2025 @ 14:14
C’est la même dynastie
Lapiequichante
4 janvier 2025 @ 17:16
Quelle tristesse pour une femme de ne pas être accompagnée par les femmes de sa propre famille. Au risque de choquer, j’ai quand même du mal à comprendre pourquoi ça ne gêne pas cette famille d’épouser des étrangers/ étrangères et de garder à ce point leurs coutumes, comme le changement de prénom également.
Gab-Pnth
4 janvier 2025 @ 20:08
Le chef de la maison royale d’Irak est le prince Ra’ad bin Zeid – avec un D – en arabe : الأمير رعد بن زيد.
Né le 18 février 1936 à Berlin, Ra’ad est le fils du prince Zeid bin Hussein (1898-1970), plus jeune fils de Hussein ben Ali, chérif de La Mecque puis roi du Hedjaz. De ce fait, le prince est le neveu des premiers rois d’Irak (Fayçal Ier) et de Jordanie (Abdallah Ier), et du dernier roi du Hedjaz (Ali ben Hussein). Il est l’oncle « à la mode de Bretagne » du roi Fayçal II, dernier monarque irakien – et le grand oncle « à la même mode » du roi Abdallah II de Jordanie (arrière-petit-fils d’Abdallah Ier).
Ra’ad est devenu chef de la maison royale d’Irak au décès du roi Fayçal II, tué lors du coup d’état du 14 juillet 1958 mené par le général Kassem. Lors du même coup d’état, le prince Abdelilah, fils d’Ali ben Hussein, roi du Hedjaz, chef de la maison hachémite (depuis 1951) et oncle du roi Fayçal II, fut également tué. Suite à cela, le roi Hussein de Jordanie devint le chef de la dynastie hachémite.
L’actuel aîné des Hachémites est le roi Abdallah II de Jordanie.
D’où le deuil décrété à double titre au sein de la Cour de Jordanie.
Caroline
4 janvier 2025 @ 23:45
Quel rapport entre la maison royale d’ Irak ‘ éteinte ‘ et celle de Jordanie ?
Le mari de la décédée ,’ suédoise ‘ est né en 1936 à Berlin en Allemagne, lui- même fils d’une femme issue de la noblesse turque !
Quel mélange de nationalités au sein de la famille royale de Jordanie !
Gab-Pnth
5 janvier 2025 @ 11:27
Les deux maisons sont issues de la dynastie hachémite. Le prince Ra’ad est le grand-oncle « à la mode de Bretagne » du roi Abdallah II.
Martine R
5 janvier 2025 @ 15:11
Ne pas oublier qu’en 1936 les frontières n’étaient pas du tout les mêmes
Si vous avez l occasion le roman d’Olivier Guez **Mesopotomia** paru en 2024 vous apportera des réponses
Dom06
5 janvier 2025 @ 07:58
J ai un doute est ce à cause de la religion que l »on peut constater que seuls des hommes sont présents.
Alors que c’est une femme qui est décédée.
Gab-Pnth
5 janvier 2025 @ 11:29
Normalement, les femmes sont présentes aux obsèques mais elles ne sont pas disposées avec les hommes. Elles sont face à leurs « maris » ou en retrait.
Esquiline
5 janvier 2025 @ 13:20
A chacun ses coutumes.
Dans mon enfance sous le régime catho dans lequel j’ai été élevée les femmes proches du défunt, épouses, mères et filles n’assistaient pas aux funérailles.
Je me souviens d’avoir été soutenir une voisine pendant les funérailles de son fils mort accidentellement.
Et je ne suis pas centenaire.
Universelle relooBalbkée
5 janvier 2025 @ 14:53
A cause de la religion bien évidemment.
Martine R
5 janvier 2025 @ 15:09
Dans l Islâm les femmes vont après sur la tombe pour y prier.Par ailleurs on est enterre seulement dans un linceul après une toilette rituelle.
aubert
5 janvier 2025 @ 12:49
Les questions sur l’absence de femmes sont étonnantes.
Quel que soit le respect que mérite toute religion les occidentaux qui ont perdu le respect de la leur devraient comprendre que les rites et croyances des autres cultes ont leur justification.
Ces mêmes occidentaux devraient se réjouir que leurs traditions, inspirées du christianisme, aient heureusement évoluées notamment envers les femmes.
Même si chez nous, certains mouvements sembleraient donner raison à ceux qui, ailleurs, estiment qu’un simple bout de peau ou un regard suffit à transformer un homme en « porc ».
Lucia😻
5 janvier 2025 @ 12:57
La religion musulmane l’interdit aux femmes s’il y a des représentants masculins .