Décès à New York à l’âge de 85 ans de Caroline Lee dite Lee Bouvier, plus connue comme Lee Radziwill. Lee Bouvier était la soeur de Jackie Kennedy. Elle épousa en 1959 le prince polonais Stanislas Radziwill avec qui elle eut deux enfants Anthony et Christina. Le couple divorça en 1974.
Lee Radziwill fut une icône de la mode, incarnant l’élégance et le raffinement jusqu’au bout de sa vie. (Merci à Alberto, Anne et Framboiz)
milou
17 février 2019 @ 08:59
Elle était autant élégante que Jackie!
Un vrai modèle de classe, elle aussi, mais de celle qui est innée, comme son illustre soeur!
Je l’ai croisé plusieurs fois à Paris, au théâtre, dans son restaurant caviar préféré…;’)
ml
Muscate-Valeska de Lisabé
17 février 2019 @ 15:31
Personnellement, je préférais Lee à Jackie.Je la trouve plus belle.
Quelle ligne et quelle apparence pour une vieille femme!Superbe ..l’argent permet un entretien physique époustouflant.
lila
18 février 2019 @ 14:51
Muscate c’est un plaisirs pour de vous lire . Bien sûr que l’argent permet un entretien physique …..ça tombe sous le sens …il faut s’en donner la peine .
Qui est la veinale sœur dont vous parlez dans un autre de vos commentaires ?.
Si vous me le permettez , je vous conseille de regarder en replay un reportage sur Jackie Kennedy sur France 5 que j’ai regardé hier soir . Cette femme était très humaine , possédait un bel esprit ce qu’on appelle de nos jours » une belle âme « .
Cordialement ,
lila
Muscate-Valeska de Lisabé
19 février 2019 @ 16:24
Avec Jackie,je »coince » énormement,chère Lila.Antipathie naturelle. ..je ne sais pas pourquoi.
Au contraire de sa soeur.Sais pas pourquoi non plus.
Ghighi
17 février 2019 @ 18:50
Milou. Je remarque que vous avez souvent un problème avec l’ accord du participe passé. Je l’ ai croisée. Le COD étant placé avant le pp s’ accorde en genre et en nombre.
Pour qqn qui se e prétent épouse de médecin et tutti quanti…
Esquiline
18 février 2019 @ 13:19
Se prétend, Ghighi.
Mais l’essentiel n’est-il pas de nous faire savoir que l’on fréquente les théâtres et les restaurants caviar? Le tutti quanti en somme …
pit
18 février 2019 @ 14:28
Tant qu’à corriger, il faudrait se relire Ghighi
« prétend » prend un D
Voilà, de rien.
comtesse
18 février 2019 @ 14:44
« Qui se prétend « Ghighi
Gérard
18 février 2019 @ 15:15
Nul n’est à l’abri des fautes Ghighi. Et épouser un médecin ne vous en immunise pas, ni censurer les honorables correspondants.
Muscate-Valeska de Lisabé
18 février 2019 @ 15:28
Ghighi…moi aussi je suis femme de médecin(depuis 18ans)et moi aussi je fais souvent des fautes dont à la relecture je ne suis pas fière. ..je m’en excuse en passant.
Que voulez-vous,je n’ai pas fait d’études,je n’ai ni culture,ni famille,alors imaginez combien la triste créature que je suis s’est trouvée bienheureuse de rencontrer un brave Docteur qui l’a jugée digne d’Amour et l’a sortie du ruisseau malgré ses fautes de français!…. (j’ai dit ruisseau, pas caniveau^^).
À croire que notre pauvre engeance est accablée par cet ignoble travers…:-(.
Comme vous le voyez,pas de quoi alimenter les fantasmes à notre égard qui semblent être les vôtres,nous sommes des femmes comme les autres ;’)).
Nivolet
19 février 2019 @ 13:16
Et moi donc chère Muscate-Valeska. Ma dyslexie, me fait régulièrement écrire lion pour loin, quant aux vieilles qui veillent…
BAV
Baboula
21 février 2019 @ 16:53
Oui mais c’est bien plus drôle pour nous ! 😜
milou
20 février 2019 @ 14:27
Merci Muscate… pour votre dernière phrase, je suis moi et non la femme de … !
Je ne prétends pas être parfaite et je reconnais que ma spontanéité me joue, parfois, de vilains tours!
Mais en effet l’orthographe correct se perd… n’est-ce pas Ghighi.. et encore plus au niveau universitaire… et oui!
Bien à vous Ghighi et Laurence… redresseuses d’orthographe !
ml
Laurence
23 février 2019 @ 11:08
» redresseuses d’orthographe »? Quelle vilaine expression! Non, nous avons simplement eu une autre éducation. Avoir des universitaires dans sa famille nous éduque à une certaine rigueur et surtout à hiérarchiser ses priorités: l’orthographe, la manière de s’exprimer, et tant d’autres choses, passent avent la futilité.
Bien à vous.
milou
26 février 2019 @ 15:12
Très chère Laurence, veuillez recevoir, AVANT tout, ma bienveillance pour votre aussi faute d’orthographe » avent » !
Voyez comme c’est simple et puéril de guetter la moindre faute sur un site qui n’est que divertissement et même si universitaire moi-même et entourée d’universitaires , nous n’avons, en effet, certainement pas la même éducation!
La mienne est surtout respectueuse et n’affiche pas autant de prétention que la vôtre!
ml
Hadrien-Marie
18 février 2019 @ 18:15
😀 Ghighi…
Peut-être, commencer par la correction de votre propre galimatias.
Nivolet
18 février 2019 @ 23:41
Connaissez-vous la vraie élégance Ghigi? À la cour d’Angleterre, un invité a bu dans un rince doigt, la reine et tous les royaux firent de même.
Boadicea
19 février 2019 @ 04:55
Quel commentaire minable. Vous n’avez rien d’ a faire que de traquer les faute dans les commentaires de Milou/marielouise
Laurence
19 février 2019 @ 21:09
Oui Ghighi, c’est un fait, milou fait très fréquemment des fautes d’orthographes. Vous avez raison de le souligner.
Un article de presse a traité récemment ce problèmes et ses conséquences rédhibitoires à l’embauche malgré le tout numérique. L’expression écrite reste un moyen de communication primordial, comme nous le faisons sur ce site quotidiennement.
LOLA
22 février 2019 @ 22:14
Oh ma chère… toujours aussi bling bling malgré…! on ne se refait pas…allez vous reprendrez bien un peu de caviar ?
Pierre-Yves
17 février 2019 @ 09:04
Elle n’aimait pas être à tout bout de champ comparée à Jackie. Elles eurent d’ailleurs une rivalité amoureuse envers A Onassis.
Un curieux documentaire passé sur Arte cette semaine, This Summer, tourné en 1972 par le photographe Peter Beard, ami de Lee Radziwill, montre celle-ci auprès de ses excentriques tante et cousine dans leur maison capharnaüm de Long Island.
Robespierre
17 février 2019 @ 09:39
Cette maison fut rachetée par Ben Bradlee, le rédacteur en chef du Washington Post au temps du Watergate et sa troisième épouse Sally Quinn. Ils en firent une magnifique demeure, en dépensant sans compter. J’ai acheté sur internet l’autobio de Ben Bradlee, en anglais, avec une dédicace de sa main. L’histoire de cet homme m’intéressait. Pour Watergate et pour son education. Avec sa seconde épouse qui venait comme lui d’une vieille famille, il avait frequenté les Kennedy. Mais après la mort de John il écrivit « Conversations with Kennedy » un livre pas du tout desagreable sur le président, et Jackie ne lui adressa plus la parole.
framboiz 07
17 février 2019 @ 12:16
Elle avait peut-être appris que la soeur de Mme Bradlee , avec qui ils faisaient du bateau à Hyannis Port était la maîtresse de John …Il lui fallait aussi vendre le livre de Manchester , Mort d’un Président …
On les voit tous sur les photos de bateau avec Caroline Kennedy, seul survivante de cette période …
Après Radziwill, elle eut un 3ème époux ,je crois .
Sa soeur estima, qu’elle l’avait beaucoup aidée de son vivant , elle n’eut rien après sa mort et cela fut stipulé ainsi…
Elle vivait souvent à Paris .
Leonor
18 février 2019 @ 10:41
Je ne connais l’histoire du Watergate que dans les grandes lignes. Donc, Robespierre, ce livre est intéressant à cet égard-là aussi ? Quels étaient les rapports de Bradlee avec Kennedy ?
Si seulement quelqu’un pouvait orchestrer un Watergate de nos jours … Parce que NIxon, Watergate ou pas, était un bienfaiteur de l’humanité, comparé au crétin présidentiel actuel .
Robespierre
18 février 2019 @ 13:32
Les Kennedy et les Bradlee se frequentaient avant l’élection, et s’entendaient bien. Par la suite, Ben et John restèrent amis mais avec tout de même une certaine distance, et Ben Bradlee raconte dans son autobio que jamais jamais il n’aurait pensé que Kennedy avait toutes ces aventures extra-conjugales. Son précédent livre ne dit rien de mal sur John, et peut-être la seule chose un peu « limite » c’est quand il ecrit à propos de leurs repas dans de bons restaurants français « it bugged him that I spoke French » (avec le maître d’hôtel). Les Kennedy étaient bcp plus riches que les Bradlle qui habitaient aussi Boston, mais Bradlee avait appris notre langue dès l’enfance, car chez les « Brahmanes » de Boston, c’était la coutume. Bradlee venait d’une bonne famille comme sa seconde épouse. Cette epouse était la soeur de Mary Pinchot, belle femme divorcée d’un haut fonctionnaire, qui fut une des nombreuses maitresses de Kennedy. Bradlee ne le sut qu’après sa mort. Cette belle-soeur de Bradlee fut assassinée un an ou deux après la mort du président alors qu’elle se promenait le long du joli canal qui se trouve derrière la rue principale de Georgetown. Un livre est paru dernièrement qui conteste la version officielle de la mort de Mary Pinchot . Pour le journaliste qui fit une recherche c’était un assassinat politique. Peut-être la CIA. Elle avait tout de suite contesté la thèse d’Oswald seul tueur et parlait d’un plus vaste complot. Il fallait la faire taire, car elle connaissait par son ex mari les arcanes des services secrets. Cette thèse est possible. Son journal intime disparut car les services secrets vinrent fouiller sa maison. On trouva un autre carnet qui indique tout de meme des RV avec Kennedy. Il avait parait-il ramé pour l’avoir comme maîtresse mais elle avait fini par accepter. Bradlee tomba des nues. Les amis et la famille sont souvent les derniers au courant de la vie privée de leurs proches.
L’autobio de Bradlee est interesssante. Il travailla à Paris comme correspondant et eu une belle vie là-bas car le dollar était haut au debut des années cinquante et les WE, lui et ses amis, pouvaient louer des châteaux et fréquenter de bons restaurants. Mais il dut rentrer parce que sa seconde épouse qui avait 4 enfants d’un précédent mariage devait les rapprocher de leur père.
Il raconte evidemment Watergate dans son livre. Watergate est une histoire très intéressante et vous devriez lire « All the President’s men » de Bernstein et Woodward qui devinrent des stars.
Bradlee ne dit pas de mal de Jackie, mais raconte qu’après son veuvage elle ne voulut plus frequenter les Bradlee, car elle n’aimait que les relations de couple à couple et elle partit vivre à New York
Leonor
19 février 2019 @ 23:35
Merci beaucoup, Robespierre, de vous être donné la peine de cette réponse détaillée.
framboiz 07
19 février 2019 @ 02:43
Ah! Léonor , moi aussi ,j’attends ça , qu’on rigole un peu, mais le vice-président est pire, parait-il …
Remarquez , qu’élu de peu , pas encore intronisé, on nous parlait déjà de la chose , alors , je finis par m’impatienter …
Juliette
17 février 2019 @ 15:04
J’ai vu ce même documentaire assez irréel sur Arte, « Grey Gardens » en anglais, datant de 1975.
On y voyait Lee Bouvier et ses tante et cousine, Edith Ewing Bouvier (« Big Edie » 1895 –1977), soeur de Jack Bouvier, le père de Jacky et de Lee, et Edith Bouvier Beal ( « Little Edie »,1917– 2002), leur cousine germaine. La tante chantait en français, la cousine se maquillait, se préparait, puis se cachait quand arrivait la caméra à East Hampton, au bord de l’océan atlantique.
Une ambiance totalement nostalgique berçait ce documentaire.
Curieux et triste hasard.
Baboula
17 février 2019 @ 09:06
High Society : never too rich,never too thin; mais quelle vie !
Corsica
17 février 2019 @ 10:37
Ma chère Baboula, vous avez bien résumé la situation. En ce qui concerne la minceur, je lisais hier, qu’à 11 ans, insatisfaite de son poids, elle demandât conseil à Jackie, son aînée, qui lui répondit de se mettre à fumer…Quant à l’argent, je ne suis pas sûre qu’il ait fait le bonheur des élégantes sœurs Bouvier.
Cosmo
17 février 2019 @ 09:15
Quel chic !
Nour
17 février 2019 @ 09:28
Elle a eu le malheur de perdre son fils peu de temps après son neveu John Kennedy
Muscate-Valeska de Lisabé
17 février 2019 @ 15:33
Fatalité qui poursuit certains en série. .. »Les hauts sommets attirent la foudre ».
Haut-Landaise
17 février 2019 @ 09:31
Et les gants ! élégant ! Bon dimanche à tous. HL
beji
17 février 2019 @ 09:34
Avec Jackie,elle était la classe et l’élégance personnifiées.
Leonor
17 février 2019 @ 09:55
Cette femme avait un physique mal proportionné, un peu comme actuellement la jeune Amalia Windsor : une tête beaucoup trop grosse pour le corps, lui-même grêle plutôt que fin, avec des bras trop maigres et surtout trop courts , pour des mains très fortes. Quelque chose comme une pré-adolescente dont la croissance se serait arrêtée en plein stade de disproportion.
Ceci dit, on a le physique qu’on a, ça ne se choisit pas.
Lee Radziwill rattrapait cela par l’élégance vestimentaire.
Claudia
17 février 2019 @ 11:27
On choisit tout de même….visiblement cette dame cultivait l’extrême maigreur, ce qui est vraiment inesthétique surtout quand on atteint un certain âge, mais aussi les passages par la chirurgie esthétique qui sont ici très visibles.
Stefie34
17 février 2019 @ 12:10
Pas mal malgré ses défauts 😂🤣
Oona
17 février 2019 @ 12:26
Comment peut on écrire autant de bêtises …. je suis effrayée par la méchanceté et le ridicule des commentaires de ce blog ! Un niveau proche du néant … et des commentaires de « petites personnes » en mal de reconnaissance…..
Robespierre
19 février 2019 @ 12:41
Leonor n’écrit pas de bêtises mais relève un fait avéré. Elle ne va tout de même pas dire que la dame a une silhouette bien proportionnée si ce n’est pas vrai. Pour vous faire plaisir, on devrait dire que la Venus de Milo a de jolis bras ?
milou
17 février 2019 @ 15:07
Et pourtant, Leonor, tout comme Amalia Windsor , elle était belle !!!⭐️
ml
Lili.M
17 février 2019 @ 18:19
Regardez sa sœur Jackie à côté d’elle qui ne chaussait pas du 36 et qui possédait des mains fortes aussi. Autre chose elle faisait défriser régulièrement ses cheveux et portait des bibis par temps humide . Elle laisse pourtant l’image d’une icône de mode : l’art et la manière de mettre en valeur ses atouts en masquant ses petits défauts !
Trianon
18 février 2019 @ 00:55
je me suis fait la même réflexion que vous, rien qu’en voyant la photo: la tête est disproportionnée , tout comme Amalia.
Ma seconde réflexion fut de me dire que visiblement elle n’avait pas de beaux genoux.
Mais il faut se rendre à l’évidence qu’elle a une classe folle, qu’elle est gracieuse , et que son visage est intéressant.
Chloé
22 février 2019 @ 23:41
Tout-à-fait d’accord. Vous êtes bien la seule à avoir remarqué cette disproportion. A mes yeux, trop maigre et un peu trop superficielle. Tout le portrait de la duchesse de Windsor.
Danielle
17 février 2019 @ 10:11
Une belle et élégante femme.
Muscate-Valeska de Lisabé
17 février 2019 @ 15:36
Beaucoup plus de douceur,de vulnérabilité et de profondeur dans le regard que sa vénale soeur(3ème photo).
Jean Pierre
17 février 2019 @ 10:51
Il n’y aura plus de vie comme la sienne.
Agnese
17 février 2019 @ 10:54
Cette personne était la classe personnifiée comme sa sœur. C’etait un «cygne » de la high society comme a pu l’être Dona Marella Agnelli. Une époque révolue….
Val
17 février 2019 @ 10:57
Leonor,
Dans la hight Society il est de bon ton d’être fine et de ne pas prendre un gramme, de manger non de grignoter, d’abuser des rayons de soleil, d’où un physique grêle, des cheveux éparses, donc gonflés,, dans les années 50 60 si vous aviez quelques
grammes dans cette société vous étiez raillée, pire que maintenant, je parle de la haute société, celle où a l’époque, les Meghans n’auraient jamais pu rentrer !
Celle de Longue Island ou en France, la vieille noblesse de Province, ! Bon dimanche
lila
18 février 2019 @ 14:42
Val ,
J’ai lu avec attention votre commentaire , une phrase m’a choqué : »les Meghans n’auraient……. » qu’est ce que cela veut dire ? . c’est du mépris ! et quand savez vous ….
Meghan Duchesse de Sussex est tout à fait conforme , je trouve cette Duchesse élégante physiquement et dans ses attitudes . Certes je ne l’a connaît PAS et une photo ne révèle pas la réalité mais tout de même de là discuter de ……les Méghans n’auraient me hérisse au plus haut point .
Latina
17 février 2019 @ 11:23
Je suis toujour gênée quand le seul commentaire à lire d’une personne se resume à : qu’elle était élégante!
J’espère sincèrement que sa vie fut plus que cela.
Maintenant RIP.
Auberi
17 février 2019 @ 11:41
Oui bon la soeur de Jackie Kennedy, bof, je ne vois pas du tout l’intérêt, elle est morte donc, c’est fou non ?
Nico
17 février 2019 @ 14:21
Une grand dame que l’on croisait très souvent à Paris. Une toute autre époque …
Annmaule
17 février 2019 @ 15:30
Hight society des annees 60/70 qui s eteint doucement…
Deux soeurs aux destins paralleles l une n a existee que par rapport a l autre…elles ont toutes les deux perdus un fils, l une apres sa disparition l autre de son vivant…
Ces deux femmes si exposees ont des filles qui ont choisi quasi l anonymat .
Que deviennent elles?elles et leurs enfants?
Madame, reposez en Paix.
Jean Pierre
18 février 2019 @ 15:03
Réaction ultra snob de Lee quand elle apprit le premier mariage de sa sœur « adorée » :
“How can anyone compete with that? It’s all over for me now.”
Dire que nous devons maintenant nous coltiner les aventures des Miller.
Robespierre
20 février 2019 @ 10:47
Ou des Jazmin Grace…
Ghighi
17 février 2019 @ 16:18
Haha ! Vous l’ avez rhabillee pour la fin de l’ hiver !!!
Moules-frites
18 février 2019 @ 00:47
Elle a été mariée avant et après mais continuait à utiliser le nom Radziwill…
Esquiline
18 février 2019 @ 13:28
Je la comprends, mieux vaut Radziwiill que Bouvier qui fait tout de même un peu cowboy.
lucile
18 février 2019 @ 14:31
très belle femme, classe, toujours élégante, une autre époque, tous ces commentaires haineux, sont affligeants, voila la réaction imbécile des petites gens qui se cachent derrière un clavier
Mary
18 février 2019 @ 16:58
Les sœurs Bouvier n’avaient pastant d’argent quand elles étaient fillettes et ados. Le grand- père en avait. Le père était claqueur, cavaleur, jouisseur… Bref, un irresponsable que ses filles aimaient quand même. Leur mère en a eu assez, a divorcé et s’est remariée avec un homme très riche, bon gestionnaire et qui lui a offert la vie sans souci dont elle rêvait . Les demoiselles Bouvier aimaient beaucoup leur beau- père ( son nom m’échappe…) et pour cause : il s’en est occupé en vrai père .
Quand Jackie Kennedy était first lady, elle a souvent emmené sa sœur en voyage officiel.
Hadrien-Marie
19 février 2019 @ 13:33
Hugh D. Auchincloss.
Un garçon et une fille sont nés de cette union.
Mary
20 février 2019 @ 12:54
Merci, j’avais oublié ! La mère de Jackie était aussi follement dépensière : elle avait une nuée de domestiques…dont un, chargé uniquement de ramasser les papiers tombés au sol !
Mary
18 février 2019 @ 16:59
Les sœurs Bouvier n’avaient pas tant d’argent quand elles étaient fillettes et ados. Le grand- père en avait. Le père était claqueur, cavaleur, jouisseur… Bref, un irresponsable que ses filles aimaient quand même. Leur mère en a eu assez, a divorcé et s’est remariée avec un homme très riche, bon gestionnaire et qui lui a offert la vie sans souci dont elle rêvait . Les demoiselles Bouvier aimaient beaucoup leur beau- père ( son nom m’échappe…) et pour cause : il s’en est occupé en vrai père .
Quand Jackie Kennedy était first lady, elle a souvent emmené sa sœur en voyage officiel.
Nivolet
18 février 2019 @ 23:41
Connaissez-vous la vraie élégance Ghigi? À la cour d’Angleterre, un invité a bu dans un rince doigt, la reine et tous les royaux firent de même.
Mary
19 février 2019 @ 14:55
Cette anecdote circule aussi à propos d’un président français lors d’un banquet avec la reine de Madagascar…ce qui ne date pas d’hier !
Carolus
19 février 2019 @ 10:27
Vu sur Instagram, photo 2, le tailleur de Lee est bleu ciel et celui de Jackie rose.
Quel beau couple 😋
goelette
20 février 2019 @ 12:08
Une pâle imitation de sa sœur!
val
20 février 2019 @ 14:52
lila,
Madame aucun mépris dans mon commentaire un constat de la haute société snob et rancunière, , c’est tout, j’ai pris Meghan parcequ’elle n’est pas de la haute société mais j’aurai pu prendre d’autre exemples bien sur. je ne me moque pas n’étant pas de haute société , mais d’une société intermédiaire de Province Française des bords de Loire .