Décès de la princesse Salomé Murat, épouse du Ministre Albin Chalandon. Née en 1926 à Paris, la princesse Salomé Murat est la fille du prince Achille Murat (1898-1987) et de Magdeleine de Chasseloup-Laubat (1901-1945), petite-fille du prince Lucien Murat (1870-1933) et de Marie de Rohan-Chabot (1876-1951).
De cette union sont nés trois enfants. Albin Chalandon a longtemps été le compagnon de la journaliste Catherine Nay mais n’a jamais divorcé de la princesse Salomé. (Merci à Anne – Copyright photo : Getty images)
LPJ
28 avril 2016 @ 07:40
La Princesse Salomé appartenait à une branche cadette de la famille Murat. Comme tous les princes et princesses de cette famille, elle descendait de l’union de Joachim Murat, Maréchal d’Empire et roi de Naples, et de Caroline Bonaparte, sœur de Napoléon 1er.
Elle tenait son prénom de son arrière grand-mère, la Princesse Salomé Dadiani, une princesse géorgienne qui avait épousé le Prince Achille Murat (dans cette branche, les ainés porte alternativement les prénoms de Lucien et d’Achille).
Ses parents ont eu neuf enfants : quatre garçons (le second est décédé sans alliance ; le troisième a été autorisé à ajouter à son nom celui de sa mère, éteint dans les males, et est donc devenu l’auteur des Princes Murat de Chasseloup-Laubat), cinq filles (une décédée jeune ; Pauline demeurée célibataire mais mère adoptive de trois filles d’origine asiatique ; les deux autres sont devenues par mariage Comtesse de Boissieu et Baronne Guillaume).
clementine1
28 avril 2016 @ 15:46
merci LPJ pour ces précisions. Peut-être pourriez-vous me dire où se situe dans cette généalogie le Prince Pierre Murat second époux de la Princesse Isabelle de France ?
Merci d’avance.
LPJ
29 avril 2016 @ 16:20
Pour plus de précisions quant aux généalogies royales, princières et ducales, je vous conseille de vous reporter sur le site « online gotha ». Vous y trouverez entre autres la généalogie des Princes Murat.
Laure-Marie Sabre
30 avril 2016 @ 10:56
Pierre Murat était le fils d’Eugène Murat et Violette Ney d’Elchingen. Les parents d’Eugène, Louis-Napoléon et Eudoxie née Samow, étaient respectivement frère et belle-soeur d’Achille et Salomé Dadian.
Gérard
1 mai 2016 @ 16:56
Oui l’ancêtre commun est Lucien (1803-1878) 3e prince Murat, prince de Pontecorvo le 5 décembre 1812, prince Murat et altesse impériale le 21 juin 1853, époux de Caroline Fraser et père de six enfants dont Joachim, Achille et Louis-Napoléon.
. Joachim (1834-1901), prince Murat le 21 juin 1853, 4e prince Murat, époux en 1ère noces de Malcy Berthier de Wagram, est l’arrière-arrière-grand-père de l’actuel prince Murat, le 8e, et l’arrière-grand-père de Louis Murat (1920-2004), fils de Paul (1893-1864) et de Solange de La Rochefoucauld, des ducs d’Estissac, époux d’Isabelle d’Harcourt (1927-1893), belle-fille de Pierre Murat et fille d’Isabelle de France.
. Achille (1847-1895) époux de SAS la princesse Salomé Dadian de Mingrélie, est l’arrière-grand-père de Salomé Chalandon.
. Louis-Napoléon (1851-1912) époux d’Eudoxia Somow, ou de Somoff, de noblesse russe, veuve du prince Alexandre Orbeliani, est par son fils Eugène (1875-1906), époux de Violette Ney d’Elchingen, le grand-père de Pierre Murat (1900-1948) époux d’Isabelle de France (1900-1983).
Dominique-Gibbs
28 avril 2016 @ 07:45
Catherine Nay que je retrouve toujours avec plaisir dans l’excellente émission d’Yves Calvi « C’est dans l’air ».
Albin Chalandon est né en 1920; Catherine Nay en 1944 et ils ont vécu ensemble de 1967 aux années 1990.
Sa veuve descendait de Joachim Murat.
Nous sommes proches géographiquement de Labastide-Murat.
marielouise
28 avril 2016 @ 12:00
Comme vous Dominique-Gibbs je regarde le plus souvent cette excellente émission et suis toujours heureuse d’y retrouver des personnes de qualité!
Cette princesse Murat est une magnifique mariée, ici!
ml
Pierre-Yves
28 avril 2016 @ 14:05
Cette chère Catherine Nay, avec son visage lisse comme une toile cirée et sa bouche dédaigneuse, n’est pas précisément une femme que je qualifierais de plaisante, mais vous avez raison, l’émission d’Yves Calvi où elle a, parmi d’autres, son rond de serviette, est intéressante.
miumiu
29 avril 2016 @ 07:57
oui pierre yves,comme vous dites mais il faut reconnaitre que les analyses de catherine nay sont fines et pertinentes!! sa bouche !!c’est vrai ,cela est son charme,c’est une dame qui evolue avec aisance dans le monde !!!!!yves cavi a beaucoup de plaisir a lui donner la parole.
Philippe
29 avril 2016 @ 09:02
N’empêche, cher Pierre-Yves, la dame porte plutôt
bien ses soixante-douze ans, vous ne trouvez pas ?
J’adore sa collection de boucle d’oreilles en toc !
septentrion
29 avril 2016 @ 12:20
Bonjour Pierre Yves,
J’ai entendu Catherine Nay déclarer qu’elle regrettait une grosse bêtise : de la chirurgie esthétique ou du botox ou les deux, je ne sais plus. On reconnait toujours sa voix, et je trouve aussi ses analyses souvent pertinentes.
Cdt,
Dominique-Gibbs
1 mai 2016 @ 09:23
Bonjour Septentrion,
Cette intervention à sa bouche se voit très fort et vous confirmez ce que je subodore depuis le début.
C’est bien qu’elle le regrette car je ne pense pas que ce soit une réussite mais… difficile de revenir en arrière.
Excellent dimanche et 1er mai.
Cordialement,
Dominique-Gibbs
1 mai 2016 @ 09:24
ExcellentS
Gauthier
29 avril 2016 @ 13:53
Cher Pierre-Yves, je suppose que comme toute la « génération Mitterrand », plus précisément la génération arrivée aux affaires grâce à Mitterrand, vous n’avez pas trop accepté les analyses très bien étayées de Catherine Nay dans le Noir et le Rouge, non? Je présume que Télérama n’en a pas fait l’éloge….
De là à attaquer sur de simples considérations physiques une femme quia révélé ce qu’il était de bon ton de cacher pour plaire au « monarque », trente ans plus tard, c’est un peu léger comme motivation, non?
Bocquet Annie
11 novembre 2022 @ 19:58
Oui ç est tout à fait ça, merci pour ce commentaire
Philippe
29 avril 2016 @ 09:05
La veuve de qui ? Albin Chalandon n’est pas mort, à ma connaissance …
Dominique-Gibbs
29 avril 2016 @ 15:50
Philippe,
Ok je me suis trompée et mon époux m’en a fait la remarque.
Albin Chalandon est veuf.
Cela vous convient-il ?
Yannnick
11 novembre 2019 @ 18:22
Catherine Nay et Albin Chalandon se sont mariés quelques semaines après le décès de Madame Salomé Murat, épouse Chalandon.
Robespierre
28 avril 2016 @ 08:46
Faut croire qu’on ne divorce pas d’une princesse pour épouser une journaliste.
Zeugma
28 avril 2016 @ 09:17
Ce n’est pas un scoop :
la princesse Salomé Murat (1926-2016) et son mari – monsieur Albin Chalandon qui a maintenant quatre vingt quinze ans – vivaient séparés depuis fort longtemps.
J’ai profité de ce reportage pour jeter un oeil sur le famille Murat.
Buonaparte avait anobli Joachim Murat (1767-1815) en 1805 et le maria avec sa soeur Caroline (1782-1839).
Il fut roi de Naples de 1808 à 1815, ce qui donne droit à un prédicat d’altesse à ses descendants (altesse tout court).
Les Murat sont à l’ANF depuis 1991 et occupent une pleine page sur mon vieux Bottin
(Je signale, à cette occasion que l’ANF a modifié son site internet.)
La filiation du chef de cette Maison se fait par le fils cadet de Joachim, Lucien (1803-1878) 3e prince Murat. (Marié à une Fraser.)
Son fils Joachim (1834-1901) est le 4e prince de ce nom. (Mariée à une Wagram)
Son fils – qui porte le même prénom que son père – Joachim (1856-1932) est le 5e prince Murat. (Marié à une Ney.)
Le 6e prince Murat (1885-1938) – son fils – s’appelle également Joachim. (Marié à Louise Plantié.)
Son fils est le 7e prince (1920-1944) (Marié à Nicole Pastré.)
Son fils posthume, né le 26 novembre 1944 est le 8e prince Murat (Marié à Laurence Mouton).
Un mot sur l’extraordinaire prénom de la défunte : Salomé.
Pas banal !
Martin
28 avril 2016 @ 12:12
La soeur de Salomé Murat porte le nom magnifique de Thamar ….
framboiz 07
29 avril 2016 @ 08:53
Tamar, nom géorgien .
Laure-Marie Sabre
29 avril 2016 @ 18:53
Hébreu avant cela : cela signifie palmier.
Dominique-Gibbs
1 mai 2016 @ 09:27
Exact Laure-Marie Sabre mais il est écrit avec « h » en hébreu.
Tamar vient de Tamara et est fêtée… le 1er mai.
Carole
30 avril 2016 @ 22:36
Tamar, la plus célébre des reines de Géorgie
Robespierre
28 avril 2016 @ 13:03
Surtout si elle dansait la danse des 7 voiles pour égayer son mari
aubert
29 avril 2016 @ 11:07
…pour cet exercice, le ministre avait trouvé une naynette
septentrion
29 avril 2016 @ 12:20
Boujour Aubert,
Merci pour cet éclat de rire.
Cdt,
Gérard
28 avril 2016 @ 15:45
L’actuel prince Murat avait en effet épousé en premières noces le 8 (à la mairie du XVIe) et le 11 octobre 1969 (à Saint-Louis des Invalides) Laurence Mouton. Il a divorcé. Il s’est remarié civilement dans la plus stricte intimité à la mairie du VIIème arrondissement de Paris le 7 mars 2015 avec Maria del Pilar Arnao y Cacho (née le 15 janvier 1966), ancien chef de protocole de l’ambassade du Pérou à Paris. Le consentement a été reçu par le maire du septième, Mme Rachida Dati.
Laure-Marie Sabre
29 avril 2016 @ 18:57
Son fils est-il marié ? Je ne trouve d’indication d’une éventuelle union nulle part… Comme il ne reste qu’eux et que cette branche a déjà failli s’éteindre (l’actuel prince est né posthume), je m’inquiète…
Gérard
1 mai 2016 @ 17:00
Pas encore. Il est charmant et diplômé. Il a une profession. On l’a vu à Londres à la grande soirée donnée l’an dernier pour Jean-Christophe Napoléon. Il est titré prince de Pontecorvo.
clementine1
28 avril 2016 @ 15:52
merci à vous aussi Zeugma. Dans le village de mes ancêtres il y eut beaucoup de « Salomé » aux 18e et 19e siècles
LPJ
28 avril 2016 @ 17:44
Et la Princesse Salomé descendait du Prince Achille,frère puiné du 4ème Prince Murat.
Gérard
28 avril 2016 @ 19:44
Cher Zeugma l’altesse des Murat qui ne leur est guère discutée a fait l’objet de longs débats passionnés et elle vient de Napoléon III mais n’était pas destinée à tous dans le temps et l’espace. Le prince actuel revendique l’altesse royale comme héritier du roi Murat de Naples ce qui après tout se concevrait mais que le Bottin mondain n’accepte pas.
aubert
29 avril 2016 @ 11:09
le Bottin Mondain l’a accepté une année au moins. (une où j’ai renouvelé). J’avoue que ce surprenant SAR frisait le ridicule.
Gérard
29 avril 2016 @ 12:33
La rédactrice en chef est assez intraitable sur ces questions bien qu’elle soit charmant. Quand on songe aux nombres d’altesses royales qui existent de par le monde notamment avec toutes celles d’Arabie Saoudite on peut en effet se dire qu’être altesse tout court comme certains princes allemands ou le prince de Ligne ça vous a une certaine gueule.
Antoine
28 avril 2016 @ 09:42
L’habit est incontestablement ce qu’il y a de plus élégant pour un homme, loin devant le smoking, la jaquette et autre « morning suite ». Dommage qu’il soit tombé en désuétude. Comme d’habitude, on ne conserve pas ce qu’il y a de meilleur.
Nuance au sujet de ce beau couple : il semblerait que ce soit la catholique princesse Salomé qui ait toujours refusé de consentir au divorce. Avec une pareille femme, je me demande ce qu’on va chercher ailleurs… L’alchimie d’un couple est vraiment irrationnelle !
Dominique-Gibbs
28 avril 2016 @ 11:59
Antoine,
Si je partage votre commentaire, qu’il me soit permis même si Catherine Nay ne fait pas partie de la noblesse qu’elle ne manque ni de classe, ni d’intelligence, culture, …
Comme vous le dites si bien : « l’alchimie d’un couple ».
Très beau prénom que Salomé.
Bien à Vous,
Naucratis
29 avril 2016 @ 10:18
Dominique-Gibbs, je souscris totalement à votre commentaire.
J’apprécie beaucoup Catherine Nay qui, en plus d’être une excellente journaliste, est une femme qui, malgré une apparence un peu froide, a beaucoup de charme !
Gauthier
29 avril 2016 @ 13:55
Manifestement, Naucratis, certains n’ont pas encore digéré l’excellence de Madame Nay dans son métier, voyez plus haut…
Dominique-Gibbs
29 avril 2016 @ 15:52
Merci Naucratis et j’ajouterai qu’elle sait faire preuve d’humour.
Dominique-Gibbs
1 mai 2016 @ 09:31
Merci Naucratis, JAusten, Lau’Sanne et Gauthier.
Dominique-Gibbs
1 mai 2016 @ 10:27
Laus’Anne !
Désolée…
Laus'Anne
28 avril 2016 @ 14:14
Antoine : c’était peut-être un mariage arrangé…et un homme va chercher ailleurs…ce qu’il ne trouve pas chez lui…Catherine Nay n’était pas qu’une brève aventure puisqu’elle dura une vingtaine d’années ! Elle a un fils ! qui est le père ?
Moi aussi j’apprécie beaucoup cette fine journaliste.
Robespierre
29 avril 2016 @ 08:08
Un mariage arrangé ? Je n’y crois pas, car le monsieur était roturier et pas encore ministre au moment du mariage. Il se peut que les deux se soient crus amoureux, lui ébloui par une princesse et elle par la prestance du monsieur. Qui devait sans doute avoir de la conversation
Gérard
29 avril 2016 @ 12:38
Grande bourgeoisie lyonnaise certes mais de là à ce que le mariage ait été arrangé… Ils étaient beaux tous les deux.
Antoine
29 avril 2016 @ 10:14
Dominique-Gibbs et Laus’Anne, je ne connais pas Madame Nay. Elle me donne simplement l’impression d’être une femme dure, et Madame Chalandon (qui continuait à figurer dans le B.M. avec son mari bien après la « séparation ») une femme douce. Lors du mariage religieux, on prononce des promesses qui engagent pour la vie. Si l’on est pas capable de les tenir malgré les tentations, mieux vaut rester célibataire. J’ajoute que l’union libre avant le mariage ne me scandalise pas. Elle permet de s’engager ensuite en pleine connaissance de cause et d’éviter ce que ma grand-mère appelait plaisamment les « attrapes ».
Dominique-Gibbs
29 avril 2016 @ 16:01
Antoine,
Apparence dure je vous le concède mais au fil des émissions, j’ai commencé à l’apprécier sans la connaître personnellement.
Concernant le caractère définitif d’un mariage religieux, je suis très mal placée (de plus, je n’accorde absolument aucun intérêt à ce genre de considérations mais je respecte bien évidemment celles des autres), je suis divorcée, tout comme mon époux et donc : pas de mariage religieux.
Quand bien même, aujourd’hui, nous pourrions le faire, nos deux ex-conjoints étant décédés; il n’en sera rien.
Baptisée, communion, confirmation, premier mariage religieux pour ne pas déplaire à ma belle-mère : je ne changerai rien.
Ma famille est réduite mais dans la génération qui me suit, plus de mariages ni de baptême.
Funérailles civiles demandées par ma mère; ce sera la même chose pour moi.
A force de faire des sectes des religions, voici le résultat me concernant.
Vous me cernerez peut-être mieux.
Je suis par contre une grande admiratrice et c’est la première fois du Pape François.
JAusten
29 avril 2016 @ 18:08
et Jane Austen faisait dire à un de ses caractèresque « le bonheur en ménage est pure affaire de hasard. La félicité de deux époux ne m’apparait pas devoir être des plus grande du fait qu’il se connaissent à fond avant leur mariage ; cela n’empêche pas les divergences de naitre ensuite et de provoquer les inévitables déceptions. Mieux vaut, à mon avis, gnorer le plus possible les défauts de celui qui partagera votre existence. »
Laus'Anne
29 avril 2016 @ 19:55
Robespierre …Albin Chalandon était roturier et sans fortune…et Salomé princesse et …fortunée c’est de là…peut-être que vient l’arrangement !
Antoine : combien de couples se s’ont juré fidélité devant Dieu et les hommes, le jour J et pour la plupart, y croyaient mais le temps passant, on s’aperçois que l’on s’est trompé ou que le piment de la vie est…ailleurs !
Je ne pense pas qu’une femme que vous prétendez être dure le soit…et la douceur supposée de l’épouse le soit aussi…
Entre ce que l’on montre en public et le privé…tout un monde !
clementine1
29 avril 2016 @ 14:07
un homme cherche ailleurs ce qu’il ne trouve pas chez lui : c’est une excuse d’homme, ça !
Hadrien-Marie
11 décembre 2019 @ 01:17
Belle histoire d’amour qui continue puisque mariés depuis 2016…
MILENA
28 avril 2016 @ 09:47
Quelle classe, elle a une façon de se tenir d’une élégance, qui me rappelle Grace Kelly. Magnifique. Cela nous change des gourdasses qui se tiennent les pieds en dedans, avec des pantalons déchirés et des mines affreuses… Merci pour cette belle photo, dommage qu’il n’y en ait pas d’autres.
Dominique-Gibbs
28 avril 2016 @ 12:00
MILENA,
C’était une autre époque pas si lointaine mais qui semble fort ancienne.
J’écrirai : hélas !
Antoine
28 avril 2016 @ 18:09
Je partage votre commentaire, Milena. J’ajoute que les hommes étant ce qu’ils sont (je suis bien placé pour le savoir) il est des instants intimes de la vie conjugale où ils aspirent à autre chose que la classe et la distinction et seraient même émoustillés par l’inverse…
Robespierre
29 avril 2016 @ 08:05
Sacré Antoine !
Leonor
29 avril 2016 @ 10:07
Antoine ! :-))
Naucratis
29 avril 2016 @ 10:20
En l’occurrence, Albin Chalandon a choisi la rupture dans la continuité avec Catherine Nay, femme élégante et distinguée.
Dominique-Gibbs
29 avril 2016 @ 16:02
Naucratis,
Je le pense aussi.
Laus'Anne
29 avril 2016 @ 19:59
Sympa votre commentaire …Antoine ! mais en contradiction avec celui du lendemain (voir plus haut) troublé peut-être…!
Antoine
1 mai 2016 @ 22:30
Non, non, Laus’Anne. On peut être tenté sans succomber. Et heureux l’homme qui possède une épouse capable d’être aussi une maîtresse.
Matthias
28 avril 2016 @ 10:53
Pour la petite histoire, Albin Chalandon a été : Ministre de l’Industrie du cabinet Pompidou de mai à juillet 1968, Ministre du Logement des cabinets Couve de Murville et Chaban-Delmas, et Ministre de la Justice du cabinet de cohabitation de J. Chirac.
A la boutonnière, il porte la légion d’honneur (alors chevalier, il sera fait grand’croix par le président Sarkozy en 2009) et la croix de guerre 39-45.
JAusten
28 avril 2016 @ 17:21
il a été à l’origine des petites maisons « chalandonnettes ».
Leonor
29 avril 2016 @ 10:08
C’était quoi, ces maisons, JAusten ?
Matthias
29 avril 2016 @ 18:22
Durant son mandat de Ministre de l’Equipement et du Logement il lança des concours de construction de maisons individuelles (elles étaient à la mode à ce moment là) : 70.000 pavillons individuels construits, et elles sont désignées comme JAusten le rapporte. S’était en 1969 sous le cabinet Chaban-Delmas.
Son mandat au Logement et celui à la Justice seront assombris par plusieurs affaires judiciaires. La première compromettant le ministre pour une affaire de corruption. Sortie avant la démission de Chaban-Delmas, Pierre Messmer le nouveau Premier Ministre de Pompidou ne le reconduira pas dans ses fonctions. La seconde en 1987 de présumés « détournements de fonds ». Il accusera l’Elysée d’avoir piloté le scandale et sa médiatisation (pour viser J. Chirac alors en pré-campagne présidentielle ?). A la suite de la réélection de F. Mitterrand, il quitta la vie politique, et son siège de Député du Nord par Robert Anselin (socialiste) puis par l’actuel député Thierry Lazaro (celui qui a déclaré à l’Assemblée Nationale : « oui je suis du lobby des buralistes »)
Leonor
2 mai 2016 @ 17:56
Merci pour votre réponse, Matthias.
Cosmo
28 avril 2016 @ 11:05
La princesse a été longtemps très malade.
framboiz 07
28 avril 2016 @ 14:38
Albin Chalandon a aidé R Dati dans son ascension & C Nay ne manque pas de critiquer celle-ci .
Il n’a pas l’air ravi de se marier !
Certains hommes se marient utile , puis cherchent ailleurs le plaisir. Il y a quelques années , j’avais vu le nom de C Nay , dans un avis de décès de la famille Chalandon .
C Nay critique tous azimuts ,y compris la vie privée des hommes politiques -le Président- mais oublie sa propre situation…
Je plains la princesse Murat & les enfants …
Dominique-Gibbs
29 avril 2016 @ 16:04
framboiz0è,
Catherine Nay est-elle tenue de partager les opinions de son ex-compagnon ?
Quant aux hommes et femmes politiques, il y a tellement à critiquer.
Dominique-Gibbs
30 avril 2016 @ 08:25
framboiz 07 !!
Sorry
Actarus
28 avril 2016 @ 14:55
Pour s’appeler Salomé, je crois voir qu’elle ne portait qu’un seul voile et non 7 le jour de son mariage. ;-)
J’attends Lady Chatturlante pour la robe ! ^^
Gérard
28 avril 2016 @ 15:20
Le prénom de la princesse comme on le sait vient de ses origines géorgiennes.
Elle descend de Lucien Murat (1803-1878), troisième enfant de Joachim Murat et de Caroline Bonaparte et qui fut le troisième prince Murat et l’époux de Caroline Fraser.
Son quatrième enfant le prince Achille Murat (1847-1895) épousa à Paris en 1868 la princesse Salomé Dadiani (1848-1913).
Leur fils aîné Lucien (1870-1933) épousa en 1897 Marie de Rohan-Chabot (1876-1951) fille d’Alain, duc de Rohan. Veuve elle épousera le comte Charles de Chambrun.
Lucien et Marie furent les parents d’Achille Murat (1898-1987), qui se maria en 1923 avec Magdeleine de Chasseloup-Laubat (1901-1945), ce sont les parents de la princesse Salomé Murat.
La princesse Salomé Dadiani était fille du prince David Ier Daniani, avant-dernier prince souverain de Mingrélie, dans l’ouest de la Géorgie, sur la mer Noire, et de la princesse Ekaterina Tchavtchavadze. Elle naquit en Géorgie mais vint fréquemment en Europe pendant son enfance et à partir de 1857 l’Empire russe assuma directement l’administration de la principauté de Mingrélie (ou Samegrelo), la principauté de sa famille, avant l’annexion dix ans plus tard.
La princesse Catherine qui était veuve (son époux David mourut à 40 ans) avait été régente de la principauté pendant quatre ans pour le frère de Salomé, Niko ; elle quitta avec sa famille, Salomé, Niko et le plus jeune Andria, la province pour résider d’abord à Saint-Pétersbourg puis en France et en Allemagne. En France cette famille fit sensation par son attitude royale et la suite des dames d’honneur en tenues géorgiennes.
Ils furent reçus dans la plus haute aristocratie. Dès qu’il l’a vit Achille en tomba follement amoureux. En 1868 Salomé qui avait 21 ans épousa Achille au cours d’un mariage catholique dans la chapelle du palais des Tuileries, l’empereur et l’impératrice étant témoins. Une autre cérémonie religieuse eut lieu à l’église russe Saint-Alexandre-Nevski à Paris le même 13 mai. C’était le troisième échange des consentements après aussi le mariage civil à l’hôtel de ville. L’empereur leur donna un million de francs en cadeau de mariage et un hôtel à Paris. Ils furent également couverts de cadeaux par le tsar. Achille était officier et était en poste en Algérie quand éclata la guerre de 1870.
Après la chute de l’empire ils s’établirent en Samegrelo dans un palais du domaine princier. Achille s’occupa de différentes affaires familiales et notamment de viticulture en important des plants de vigne français. Il exporta en Europe. Les Mingréliens leur furent très attachés et notamment les anciens serfs qui furent émus par l’intérêt pour eux du prince Achille qui fit construire des routes, des écoles et des cliniques.
Achille mourut ici en 1895.
Il fut victime d’une hémorragie cérébrale mais beaucoup pensèrent qu’il avait été tué. Peu avant le palais de bois qu’ils habitaient à Zougdidi avait été détruit dans un incendie et certains prétendirent à une escroquerie à l’assurance qu’aurait provoqué Salomé. Achille humilié de cette rumeur aurait pu se tirer une balle dans la tête.
Ses obsèques furent suivies par beaucoup de Mingréliens mais aussi par beaucoup de Français qui vinrent exprès. Elles eurent lieu dans l’église catholique de Chkaduashi, lieu de leur résidence d’été et il fut inhumé dans le jardin de l’église. La tombe fut entretenue et fleurie jusqu’à la révolution, abandonné par la suite et restaurée en 1975. La commune fit alors bâtir monument commémoratif.
Après la mort de son mari, Salomé et ses trois enfants s’établirent à Paris et elle vécut assez difficilement jusqu’à sa mort en 1913.
Leur fils aîné Lucien après ses études à Oxford et son diplôme d’agronomie et après son mariage voulut retourner en Géorgie et il quitta sa femme Marie de Rohan-Chabot qui voulait poursuivre sa carrière de peintre et d’écrivain à Paris. Il emmena leur fils Achille.
Lors de la révolution il fut jeté en prison où il resta deux ans. À sa libération il regagna la France. Puis il s’installa au Maroc.
Achille son fils, leur seul enfant, était parti à huit ans pour la Géorgie avec son père. Il y resta 10 ans et en 1916 s’engagea dans l’armée de l’air française. Il fut pilote. Après la Seconde Guerre mondiale il chercha à retourner en Géorgie et n’obtint pas de visa du gouvernement soviétique. En 1965 il obtint un visa touristique et put se recueillir sur la tombe de son grand-père. Pensant qu’il ne pourrait plus revenir et que sa santé se détériorait, qu’il serait donc enterré en France, il macula ses vêtements de la terre et de l’herbe mouillée du jardin familial afin de pouvoir être enterré dans cette tenue.
Les palais de la princesse Catherine et du prince Niko subsistent dans l’ancienne capitale, Zougdidi, et dans le premier on peut voir le musée consacré à la dynastie notamment ainsi qu’aux souvenirs des Bonaparte qui avaient été apportés ici par Achille Murat.
Voir sur cette famille en Géorgie : http://dadiani.si.edu/index.html.
Salomé Murat-Chalandon avait consacré deux ouvrages à sa grand-mère : Marie de Rohan, Perrin, 2000 et Marie Murat, Une femme éperdue de liberté, Soferic-édition, 2009.
Elle rappelait le mot de Marie : « Je suis une Rohan et une Murat. Pour les Murat, voyez le Larousse, pour les Rohan, voyez Saint-Simon ».
ML
29 avril 2016 @ 14:04
Il me semble avoir lu ,il y a plusieurs années de cela ,qu’un Murat (mais ,lequel ?) s’était installé en Géorgie . J’ignore s’il y est toujours .
Laure-Marie Sabre
1 mai 2016 @ 10:18
Alain Murat peut-être ?
Gérard
2 mai 2016 @ 17:16
Le prince Alain Murat et son épouse Véronique se sont en effet installés en Géorgie. En 1995 les Murat avaient été invités à retourner sur leurs terres et c’est ce que firent Alain et Véronique qui ont notamment créé une école française et qui aident des familles dans le besoin par le biais d’une association SOS Enfants de Géorgie. Ils sont également d’une grande utilité pour les Français qui désirent se rendre dans ce pays.
Le prince Alain Murat, né en 1943, a épousé en premières noces Huguette de Taffanel de La Jonquiere, et après divorce, Véronique de Chabot-Tramecourt. Il a eu du premier mariage la princesse Annonciade en 1980, qui est diplômée en philosophie de la Sorbonne et étudie les sciences politiques, et du deuxième la princesse Mathilde en 1985, qui, après ses études en Géorgie, a rejoint la Sorbonne pour étudier l’horticulture et mettre en pratique ses connaissances dans ce pays.
Descendant en effet de la princesse Salomé Dadian de Mingrélie, Alain est le dernier frère de Salomé Chalandon et enfant d’Achille Murat et de Magdeleine de Chasseloup-Laubat.
Au départ ils étaient surtout là pour réhabiliter le palais Dadiani à Zugdidi, qui était en mauvais état.
Véronique est historien et professeur de l’enseignement supérieur. Alain est ethnographe. Ils ont fait beaucoup d’efforts pour leur maison historique de Zugdidi qui malheureusement subit en grande partie à nouveau l’épreuve du feu le 15 novembre 2000 et ils ont créé à cet égard la Fondation Les Murat en Géorgie.
Ils ont cinq enfants avec en effet les deux fils et la fille du premier mariage de Véronique avec Ronald de Poulpiquet, vicomte de Halgouët.
Christophe M.
4 octobre 2017 @ 15:42
Bonjour Gérard,
Je constate que vous connaissez très bien l’histoire de notre famille, cela fait toujours plaisir.
Bien cordialement,
prince Christophe Murat
clementine1
29 avril 2016 @ 14:15
Belle page, Gérard. La réalité dépasse une fois de plus la fiction.
Laure-Marie Sabre
29 avril 2016 @ 19:01
Lucien est enterré au cimetière chrétien de Rabat.
Anne-Charlotte
28 avril 2016 @ 21:49
Et personne ne se souvient des chalandonnettes …
Alain golliot
29 avril 2016 @ 08:40
Pas scrupuleux, le bel Albin a profite des avantages lies aux Chalandonnettes comme il a ete mele au scandale Chaumet (justement les bijoux de princesse d’epouse) … Mais il fallait bien entretenir les 2 menages.
Gauthier
29 avril 2016 @ 13:48
Ah ah ah, le « scandale » Chaumet….. créé de toutes pièces sur ordre du « si parfait » François Mitterrand, ennuyé par les premières « affaires » de la gauche, affaire du Carrefour du Développement, affaire Luchaire, etc.
Renseignez-vous Alain Golliot, Monsieur Chalandon n’a absolument rien à se reprocher dans ce pseudo-scandale.
framboiz 07
29 avril 2016 @ 14:42
Cet homme-là doit être dans sa vie publique, comme dans sa vie privée , pas très droit .C Nay critique V.Trierweiler, mais elle a rencontré son conjoint dans les mêmes conditions & vécu la même vie, mal placée pour commenter …
Anne-Cécile
29 avril 2016 @ 03:06
Quelle jolie femme racée.
Je remarque que sa taille est aussi menue que celle de l’actuelle reine d’Espagne, son torse plus plat encore et frêle.
J’attends les propos des mêmes qui critiquent cette « moins que rien » maigrelette.
Leonor
29 avril 2016 @ 10:10
Mais quelle robe magnifique ! Magnifique de simplicité. Du grand art.
Encore fallait-il avoir le physique pour la porter – c’est le cas ici -.
Laus'Anne
29 avril 2016 @ 20:04
Pour moi c’est une robe de mariée : »je sors du couvent des oiseaux et je ne dois rien montrer, surtout dans l’église » en comparaison par exemple à celle de Grace Kelly 5 ans plus tard ! mais encore une fois chacun ses goûts vestimentaires.
Dominique-Gibbs
30 avril 2016 @ 08:16
Merci Wiki.
« Marie de Rohan-Chabot
24 mai 1876
Décès
3 octobre 1951 (à 75 ans)
Père
Alain Charles Louis de Rohan-Chabot
Frère
Josselin de Rohan-Chabot
Conjoint
Charles de Chambrun
Marie de Rohan-Chabot (1876-1951), princesse Lucien Murat puis comtesse Charles de Chambrun, est une aristocrate et une femme de lettres française.
Elle naquit à Paris le 24 mai 18761 et mourut aussi à Paris, le 3 octobre 1951.
Marie de Rohan-Chabot est la fille de l’homme politique français Alain de Rohan-Chabot (1844-1914), Duc de Rohan, et de son épouse la femme de lettres Herminie de La Brousse de Verteillac (1853-1926).
En premières noces, elle épouse le 2 juin 1897 à Paris le prince Lucien Murat (1870-1933), fils aîné du prince Achille Murat (1847-1895) et de son épouse la princesse mingrélienne (de Géorgie) Salomé Dadiani (en) (1848-1913).
Devenue veuve en 1933, elle se remarie, l’année suivante, au diplomate et écrivain Charles de Chambrun (1875-1952).
Du premier mariage de Marie naît un seul fils, le prince Achille Murat (1898-1987) père de la princesse Salomé Murat (1926-2016), épouse d’Albin Chalandon, qui consacrera deux livres à sa grand-mère. »
Dominique-Gibbs
30 avril 2016 @ 08:21
Un peu d’histoire et de géographie afin de compenser « les chiffons ».
Labastide-Murat (en occitan : La Bastida Fortunièra) est une ancienne commune française située dans le département du Lot, en région Midi-Pyrénées, devenue, le 1er janvier 2016, une commune déléguée de la commune nouvelle de Cœur-de-Causse.
Les habitants de Labastide-Murat sont les Bastidois et les Bastidoises.
Géographie
Ancienne Bastide située dans le parc naturel régional des Causses du Quercy sur le causse de Gramat, accès par l’autoroute A20 sortie sortie 56.
Le Vers prend sa source sur le territoire de la commune.
Toponymie
Ancienne Bastide, Labastide-Murat s’appelait autrefois La Bastide-Fortunière. Fortunière est un anthroponyme basé sur le nom du seigneur fondateur : Fortunier de Gourdon.
C’est en 15 avril 1852, par un décret impérial de Napoléon III, que Labastide-Fortunière prend son nom actuel de Labastide-Murat, en hommage à Joachim Murat.
Histoire
En 1238, Fortunier de Gourdon fonda, sur la route de Cahors à Paris, une habitation de campagne fortifiée destinée à accueillir les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle et Rocamadour. Les vassaux de Fortunier se rassemblèrent autour de lui, l’église fut construite. Le bourg était protégé par des murailles et un château3.
Joachim Murat, maréchal d’Empire et roi de Naples, fils d’un aubergiste de Labastide, y naquit le 25 mars 1767.
Robespierre
1 mai 2016 @ 10:46
Je crois me rappeler avoir lu dans une bio de Françoise Giroud que celle-ci avait encouragé de jeunes et jolies journalistes à approcher les hommes politiques, et plus si affinités. Il me semble que Catherine Nay travaillait à l’Express quand elle a connu Chalandon.
Gérard
1 mai 2016 @ 18:14
Michel de Grèce évoque un dîner à Louveciennes chez son oncle et sa tante le comte et la comtesse de Paris en présence des Chalandon. Il dit de la princesse qu’elle est
» sculpturale dans une robe rose « . Il y avait à cette soirée outre la famille et les collaborateurs du prince, notamment le futur cardinal Marella alors nonce apostolique à Paris, Maurice Schumann, Valéry et Anne-Aymone Giscard d’Estaing, le duc et la duchesse de Brissac, le duc de Castries, le président de la Shell et son épouse, le général Catroux et son épouse, qu’on appelait la reine Margot, et lady Detterding.
cavaignac eric
30 juillet 2020 @ 14:52
Monsieur. Vous décrivez la terre de mes ancêtres, étant un descendant de Pierre Cavaignac, frère de Jean Baptiste cavaignac, conventionnel et du général Jacques cavaignac de baragne. Jean Baptiste est à l’origine du destin de Joachim MURAT en lui permettant d’accéder à une carrière d’officier comme Jacques, en ce temps réservée à la noblesse. Je détiens entre autre une lettre de correspondance privée de Joachim MURAT. Jean Baptiste et Jacques ont suivi en partie Joachim dans son royaume de Naples avant sa fin tragique. On retrouve sur internet l’avis de décès du général cavaignac de baragne avec un mélange de familles republicaines et nobles. Alfred très jeune sur cet avis était mon arrière grand père. Par contre, certaines branches de la famille ont conservé la particule car De Cavaignac est de noblesse auvergnate. Si vous avez des précisions, je suis grandement preneur.
Micheline ROBIN née FOUR
10 août 2020 @ 14:32
Par mon Père Paul FOUR ( décédé au STO)Je suis l’arrière petite fille de Sophie Chapel de Lapachevie décédée à Ancenis ( LA ), descendante ainsi qu’un frère marié et 4 soeurs célibataires qui ont vécu dans le Cantal au château de la Pachevie près du village de Rouffiac
Cette famille descend de Caroline Bonaparte épouse du Maréchal d’empire Joachim MURAT d’après mes Cousins Mr Garnaud & son Epouse De Lalaubie qui ont fait des recherches dans les archives d’Orléans & Blois
Par curiosité & pour le plaisir d’échanger ,je souhaiterais communiquer avec les Descendants des Murat
Brunel
21 août 2024 @ 09:45
Madame Chalandon, née princesse Murat, n’a publié qu’un seul ouvrage, celui consacré a sa grand mère Marie de Rohan Chabot, princesse Lucien Murat, puis comtesse Charles de Chambrun: » Marie de Rohan, une femme éperdue de liberté » …..l’autre ouvrage consacré à Marie de Rohan, duchesse de Chevreuse a été écrit par Denis Tillinac, publié chez Perrin