C’est dans sa résidence de Puerta de Hierro à Madrid qu’Elena de Bourbon Barucci, cousine du roi Juan Carlos d’Espagne s’est éteinte à l’âge de 67 ans des suites de la maladie d’Alzheimer. Elena était la petite-fille de Francisco de Paula de Bourbon, duc de Séville (1882-1952). Mariée en premières noces à l’homme d’affaires Ignacio Coll Scasant, elle s’était remariée avec José Miguel Garrigues Walker (ici sur une image d’archives) et était mère de cinq filles.
Elena de Bourbon était connue pour avoir été responsable des relations publiques de la maison Versace qu’elle avait introduite en Espagne. Très amie de Gianni Versace, elle avait après l’assassinat de ce dernier pris ses distances progressivement avec la firme, entretenant des relations distances avec Donatella Versace.
Lors d’une semaine de défilés de mode à Paris en 1998, elle ne retrouva plus son hôtel et se perdit dans la ville. Des examens confirmèrent l’apparition précoce de la maladie d’Alzheimer. Son époux est décédé en 2004 mais selon son entourage Elena ne s’en rendit déjà plus compte. (Source : El Mundo)
Thierry LE HETE
30 décembre 2015 @ 09:41
Elle était Elena Barucci et non de Bourbon même si sa mère, elle, était née Isabel de Borbon y Borbon (1908-1974) et qui avait épousé à Paris le 21.06.1935 Rinaldo Barucci (1900-1956).
Laurent F
30 décembre 2015 @ 15:48
En Espagne elle était connue sous le nom d’Elena Borbon Barucci. La parenté avec les rois d’Espagne est assez lointaine. Petite-fille de Francsico de Borbon y della Torre, duc de Séville, la défunte descendait de l’infant Enrique, 1er duc de Séville et frère du roi Francisco, l’époux d’Isabelle II.
Si on a des doutes sur la paternité de Paquita, on remonte d’une génération retrouver la parenté par les mères cette fois-ci (la mère d’Isabelle II, la reine marie-Christine, et la mère du duc de Séville et de Francisco, la princesse Charlotte Louise de Bourbon-Siciles, étaient sœurs)
Claudia
30 décembre 2015 @ 09:45
Elle était encore bien jeune lorsqu’elle a contracté la maladie d’Alzheimer….
cisca
30 décembre 2015 @ 10:11
C’est une fin terrible. Mes plus sincères pensées à la famille.
septentrion
30 décembre 2015 @ 10:23
Bonjour,
Quelle tristesse, cette maladie est terrible.
Tellement dure pour l’entourage et pour la personne atteinte quand elle s’en aperçoit.
Quel long calvaire si la maladie avait déjà débuté en 1998.
J’espère de tout coeur que la recherche médicale fera de grands progrès dans ce domaine.
marielouise
30 décembre 2015 @ 10:29
Ouh comme c’est jeune pour cette maladie…..mais cela arrive!!!
Atroce,maladie que je ne connais que trop bien….ma mère en souffre depuis de nombreuses années!
ml
Sarita
30 décembre 2015 @ 14:26
Je suis désolée de l’apprendre Marie-Louise. Quelle tristesse de voir partir, ainsi, par l’esprit ses parents! Je vous souhaite bien du courage.
marielouise
31 décembre 2015 @ 09:13
Oui en effet…..on nomme cet état « la mort blanche »!
ml
bibi07
30 décembre 2015 @ 16:41
ma sœur aînée en souffre également : quelle déchéance de l’être humain et quelle souffrance !
Ontheroadagain
31 décembre 2015 @ 10:27
Le père de mon mari également, depuis plusieurs années et il a 68 ans
Zeugma
30 décembre 2015 @ 11:09
« Noblesse & royautés » nous apprend simultanément le triste décès de cette dame et son existence.
La maladie d’Alzeihmer fait des ravages. L’infant Carlos – mort récemment – en était atteint. Il me semble que c’est une maladie qui fait autant souffrir l’entourage que le malade lui-même.
J’ai cherché les liens de famille de cette dame sur internet et avoue que je n’ai rien trouvé.
Simon Chevalier
30 décembre 2015 @ 12:09
C’était la cousine germaine du duc de Séville, branche cadette de la famille royale espagnole qui descend de Charles IV
aubert
30 décembre 2015 @ 14:19
Elle était la fille d’ Isabel de Bourbon et de Bourbon (1908-1976) (fille d’Enriqueta de Bourbon et Parade, 4° duchesse de Séville et de Francisco de Bourbon et Castellvi, duc de Séville de jure uxoris) et de Rinaldo Barucci de nationalité italienne.
Elle était la bisarrière- petite- fille d’Enrique de Bourbon de Bourbon, 1° duc de Séville et beau-frère d’Isabelle II.
marielouise
31 décembre 2015 @ 09:14
Vous avez raison Zeugma,la personne atteinte en souffre terriblement, bien sûr, mais c’est une des maladies qui est la plus difficile et contraignante à vivre pour l’entourage,en effet!
ml
MOI
30 décembre 2015 @ 11:19
Toutes mes condoléances à sa famille et à ses proches.
Sinon, elle est cousine du roi Juan-Carlos ? (quel est leur ancêtre commun ?)
MOI
30 décembre 2015 @ 13:44
Je n’ai pas trouvé de grand-parents communs, juste un autre aïeul :
https://padlet-res.cloudinary.com/image/fetch/a_exif,c_limit,dpr_1.0,f_auto,w_720/https%3A%2F%2Fpadlet-uploads.storage.googleapis.com%2F18783781%2F1b45d614d394b7a4b3c65303c96993b8448708ae%2F79704435d310c7a39d128864c1be6c15.png
Guyard
30 décembre 2015 @ 17:03
Juan Carlos I, Rey de España est un cousin au 5e degré d’Elena Barucci.
En effet, Francisco de Paula de Borbón, Duque de Cádiz (1794-1865) et son épouse Luisa Carlotta des Deux-Siciles (1804-1844) sont en même temps
des ancêtres à la 5e génération d’Elena Barucci
des ancêtres à la 5e génération de Juan Carlos I, Rey de España
si on se réfère à la paternité officielle de l’époux de la Reine Isabelle II.
Cosmo
30 décembre 2015 @ 11:22
Elena de Bourbon semble avoir été sensée, en s’éloignant de Donatella Versace. Quel tristesse pour elle et sa famille qu’elle ait été atteinte si jeune par la maladie !
Danielle
30 décembre 2015 @ 11:30
Alzheimer, quel ravage !!
Cette femme était encore bien jeune pour mourir mais avec cette maladie, elle avait assez souffert, ainsi que l’entourage.
June
30 décembre 2015 @ 11:33
Quelle maladie épouvantable surtout déclarée si jeune !
Pierre-Yves
30 décembre 2015 @ 11:54
Cette dame aura donc passé 17 ans à ne plus savoir où elle était ni qui elle était, 17 ans égarée dans une nuit dont on ne revient pas. Et cette malédiction lui est tombée dessus alors qu’elle n’avait que 50 ans. C’est franchement terrifiant.
Sarita
30 décembre 2015 @ 14:28
« Terrifiant » est exactement le terme, Pierre-Yves.
Anne
30 décembre 2015 @ 16:03
Moi ausdi j ai calculé et j ai été consternée en réalisant combien elle était jeune quand tout a commencé!c est horrible !
Corsica
30 décembre 2015 @ 17:58
Terrifiant mais malheureusement pas exceptionnel. Environ 4 % des maladies d’Alzheimer sont précoces, c’est à dire qu’elles apparaissent avant 60 ans. Et parmi ces 4%, seulement 20% sont d’origine génétique.
JAusten
30 décembre 2015 @ 18:06
terrifiant, exactement ! et on se demande pourquoi la nature laisse faire ça 17 ans ….
marielouise
31 décembre 2015 @ 09:16
Terrifiant est le mot quand on en est atteinte si jeune,oui!
ml
Mayg
30 décembre 2015 @ 13:18
Elle a eu la maladie bien jeune. Quel triste destin.
CAROLINE VM
30 décembre 2015 @ 13:18
oui Pierre-Yves vous avez le mot juste : terrifiant ! J’en sais quelque chose mon père en est atteint . Comment calmer une personne qui s’entête à 6h du matin à vouloir gagner son lieu de travail…alors qu’elle est retraitée depuis 15 ans !…Une part de la personne d' »avant » subsiste longtemps …mais elle est parfois si difficile à percevoir tant tout ce qui vient apporter de la confusion dans son cerveau est envahissant…Terrible…
Et alors très jeune comme cette dame , encore pire …Espérons que la recherche ici progresse pour que l’on puisse enrayer ce fléau qui ravage tant de vies…
AUDOUIN
30 décembre 2015 @ 14:11
Elena Barucci y Borbon, fille de Rinaldo Barucci et d’Isabel de Borbon y Borbon est la cousine germaine de l’actuel duc de Séville, Don Francisco de Borbon y Escasany, 72 ans. Ses grands-parents maternels étaient cousins germains.
AUDOUIN
KAYLEEN
30 décembre 2015 @ 14:20
Quelle horreur cette maladie, et en plus il n’y a pas d’âge pour la contracter, c’est vraiment cruel.
Marcel
30 décembre 2015 @ 14:35
Mes sincères condoléances à ses 5 filles. J’aimerais connaitre la liste de sa descendance.
Aliénor
30 décembre 2015 @ 15:06
L’ancêtre commun avec Juan Carlos est Francisco de Paula de Borbón, duc de Cadix, 1794-1865.
Ils sont cousins issus d’Issus de germains… autant dire assez loin !!!
Marie de Cessy
30 décembre 2015 @ 15:19
Cela est bien triste pour elle
Mes condoléances à sa famille.
Leonor
30 décembre 2015 @ 17:22
Pour l’entourage aussi, la maladie d’Alzheimer est affreuse.
D’une part pour la charge que cela fait porter.
D’autre part, parce qu’on voit la personne aimée se perdre, et perdre l’esprit.
Corsica
30 décembre 2015 @ 18:13
Effectivement c’est affreux et je sais de quoi je parle car mes deux parents souffrent de démence dégénérative, maladie épouvantable principalement pour l’entourage car, à la différence des patients atteints de la maladie d’Alzheimer, ils ne sont pas conscients de la situation, ce qui leur évite beaucoup d’angoisse et de souffrance. Pour le reste, c’est le même long chemin de croix qui, pour les malades mène à la dépendance et à la mort et qui, pour l’entourage oblige à faire le douloureux deuil progressif de ceux que nous aimons alors qu’ils sont encore vivants. En regardant mes parents, j’ai l’impression qu’ils sont sur une île que, chaque jour, les vagues érodent davantage. Chaque jour, les acquis et la personnalité sont un peu plus attaqués, effacés, jusqu’à ce qu’une marée plus forte détache un îlot qui me devient inaccessible . Heureusement, il reste le souvenir de ce que ces hommes et femmes furent et l’amour que nous continuons à leur porter.
À toutes celles et ceux qui doivent accompagner des être chers dans cette maladie, je dis bon courage et à tous ceux, ainsi qu’à Régine, je présente mes meilleurs vœux pour l’année 2016 .
Corsica
30 décembre 2015 @ 18:16
Pardon, il fallait lire « et à tous LES INTERNAUTES , ainsi qu’à Régine « .
marielouise
31 décembre 2015 @ 09:19
Merci Corsica ,vous avez tout si bien résumé…
A vous aussi,ainsi qu’à tous les internautes que l’année qui arrive soit la plus douce possible!
ml
Leonor
31 décembre 2015 @ 11:36
Description imagée, et pleine d’amour, Corsica. Merci.
Nous partageons cette approche, et une bonne partie de cette expérience.
Mais quelles épreuves.
Dans l’une de nos familles, il a de surcroît fallu passer par l’épreuve ‘ » abus de faiblesse » de la part de quelques-uns, avec procès etc à la clé. Une horreur supplémentaire. L’humain peut être ignoble.
Mais, avec vous, chère Corsica , et à vous, voeux de courage, voeux de sérénité autant que possible, et paix aux hommes de bonne volonté.
Danielle
31 décembre 2015 @ 14:17
Corsica, merci pour votre témoignage car il y a un mois, le médecin a décelé ce même mal pour ma mère et lorsque l’on fréquente régulièrement les maisons de retraite médicalisées, on constate que de nombreuses personnes en sont malheureusement atteintes !
Bon courage à vous et aux internautes qui sont confrontés (es) à cette situation.
Corsica
1 janvier 2016 @ 09:17
Danielle, je suis désolée pour votre mère et pour vous. Je vous présente mes meilleurs vœux pour cette ou elle année. Cordialement.
Danielle
1 janvier 2016 @ 10:48
Merci Corsica, meilleurs vœux à vous aussi et surtout une excellente santé !
septentrion
1 janvier 2016 @ 23:22
Bonsoir Corsica,
Ce que vous avez écrit est beau et émouvant.
Meilleurs voeux pour 2016, je vous souhaite beaucoup de courage.
Corsica
2 janvier 2016 @ 10:26
Merci Septentrion, je vous souhaite à mon tour une belle année 2016.
Gibbs
2 janvier 2016 @ 13:23
Corsica,
Cette maladie est terrible.
Votre témoignage est bouleversant et à la fois tellement beau.
Je sens l’amour que vous devez porter à vos parents.
Comme pour toutes les autres personnes qui souffrent d’avoir des proches dans cette horrible situation, je vous assure de mon plus profond respect et vous transmets mes meilleurs souhaits de courage; car combien il en faut.
Cordialement,
Gibbs
Corsica
3 janvier 2016 @ 11:45
Gibbs,
Merci infiniment pour votre soutien. Il faut effectivement beaucoup de courage, certains jours plus que d’autres, mais aussi beaucoup d’organisation pour les maintenir à domicile et gérer le tout malgré nos vies déjà bien remplies.. Quand il n’y a pas de crise, cela va mais quand il y en a, comme par exemple hier, cela devient très lourd. Heureusement, je suis quelqu’un de positif et le lendemain, on continue.
Cordialement
Corsica
Leonor
3 janvier 2016 @ 12:58
Oui, Gibbs. Le témoignage de Corsica , pourtant terrible, a en même temps la beauté d’un poème.
Corsica, il est difficile de vous souhaiter » bonne année », tout bonnement.
Parce que… que faut-il souhaiter en de telles circonstances ?
Gibbs a trouvé les mots.
A la grâce de Dieu.
Corsica
4 janvier 2016 @ 08:57
Mais si Léonore, il faut me souhaiter une bonne année car même si dans mon rôle d’aidante naturelle, je suis confrontée à des choses difficiles, j’adore la vie et tout ce qu’elle peut m’offrir. Comme beaucoup d’aidants tombent malades (cela ne m’ètonne pas car il faut tenir sur de longues années), je vous autorise à me souhaiter avant tout une bonne santé ! À mon tour, je vous présente mes vœux les plus musicaux.
Danielle
3 janvier 2016 @ 18:47
Un grand merci Gibbs ; amitiés.
Gérard
30 décembre 2015 @ 19:16
C’est effectivement une terrible maladie qui est particulièrement difficile à supporter par les malades dans les premières années, quand ils perçoivent qu’ils perdent pied, mais on peut supposer que ce sentiment petit à petit s’atténue avec la progression du mal et en un sens pour la famille, le malade paraissant alors moins souffrir moralement, on est un peu rasséréné si toutefois l’on prend les précautions d’usage c’est-à-dire si l’on met en place une organisation qui ne laisse pas trop la personne livrée à elle-même en raison des dangers qu’elle pourrait courir et de ses angoisses.
C’est exactement l’inverse de ce qui se passe avec un enfant où l’on voit ses progrès tandis que là on franchit divers paliers qui durent parfois longtemps mais qui vont toujours descendant.
Il faut surtout ne pas s’énerver contre les malades en début de maladie même si on est tenté de les raisonner, de les reprendre, il faut les occuper, leur parler, les distraire, les faire sortir, les aider à lire tant que c’est possible, les faire voyager, leur faire mener le plus possible une vie agréable et qui ressemble à la vie d’avant. Il faut ne pas craindre le regard des gens y compris la famille. C’est très difficile et souvent coûteux. Il faut que la famille soit compréhensive, il faut que le gendre ou la belle-fille soit patient…
J’ai eu à connaître cela. Je n’étais pas encore marié lorsque ma mère en a subi les premières atteintes, elle était veuve, j’étais fils unique, j’ai été très secondé cependant, il y a des personnes merveilleuses. Je remercie le Ciel de l’avoir gardée jusqu’au bout gentille et souriante car je sais que ce n’est pas toujours le cas.
Rita Hayworth aussi était très jeune…
marielouise
31 décembre 2015 @ 09:21
De bien grandes souffrances Gérard…je vous comprends!
Avec vous!
ml
Gérard
1 janvier 2016 @ 10:29
Merci Marie Louise et très bonne année !
Mayg
31 décembre 2015 @ 17:18
Votre mère a eu de la chance de vous avoir à ses côtés pour vivre ses moments difficiles gagnés par la maladie. J’imagine que ça ne devait pas être évidant pour tout un chacun.
Gérard
1 janvier 2016 @ 11:36
Merci beaucoup Mayg et très heureuse année !!!
Corsica
31 décembre 2015 @ 17:52
Gèrard, je comprends ce que vous avez vécu car je suis moi-même fille unique et je trouve parfois cela bien lourd. En effet, si mon père, comme votre maman, est très souriant, ce n’est malheureusement pas le cas de ma mère, très dépressive et agressive. Mais il faut continuer à avancer et les aider dans ce difficile et long cheminement. Je vous présente mes meilleurs vœux pour la nouvelle année et merci pour vos commentaires très souvent riches en informations.
Gérard
1 janvier 2016 @ 11:37
Merci Corsica et courage. Je vous souhaite une année de paix et beaucoup de joies et d’affections.
marielouise
2 janvier 2016 @ 10:06
Corsica je vis exactement la même chose avec ma mère….Très difficile!
Amitié!
ml
Corsica
2 janvier 2016 @ 10:25
Marie Louise, les modifications du caractère sont ce qu’il y a de plus difficile à supporter. Même si pour mon père, la maladie évolue depuis presque onze ans et qu’elle a fait s’envoler son langage et tous ses souvenirs, son merveilleux sourire et ses rires rendent les choses plus supportables. Malheureusement, la maladie de ma mère, qui évolue depuis seulement cinq ans, la rend très difficile et c’est ça qui alourdit le plus ma tache d’aidante. Courage à vous. Cordialement.
Juliette d
3 janvier 2016 @ 20:49
Comme vous dites Corsica, votre tâche est lourde. Mes parents nous ont quittés tôt, surtout mon père qui n’avait que 53 ans. Je n’aurai pas connu les affres de cette terrible maladie chez eux mais comme tout le monde j’en connais plusieurs autour de moi, dont une amie très chère. Quelle terrible maladie!
Je vous souhaite beaucoup de courage et j’espère que vous avez le soutien d’êtres chers puisque vous êtes enfant unique.
Corsica
4 janvier 2016 @ 09:07
Juliette d, merci infiniment. J’ai la chance d’être supportée par mon époux, un cousin et des amis, malgré tout c’est surtout moi qui suis en première ligne. Heureusement que je suis médecin, cela m’a aidé à ne pas être trop bouleversée par les différentes étapes de la maladie. Vous avez connu le déchirement de perdre vos parents jeunes mais parfois, je l’avoue, j’envie les personnes comme vous. J’aurais aimé ne pas voir mes parents tel qu’ils sont aujourd’hui mais malheureusement nous ne choisissons pas.
Herminie
30 décembre 2015 @ 20:11
Moi aussi, j’ai été concernée .L’ horreur a duré près de neuf ans.
A cette époque, j’ai écouté à la télévision Françoise Laborde qui traversait la même épreuve et qui disait de sa mère : »Elle ne nous reconnaît plus, mais nous non plus, nous ne la reconnaissons plus. »
Cette phrase m’a profondément touchée, j’aimerais la partager.
marielouise
31 décembre 2015 @ 09:23
C’est assez vrai Herminie….j’espère qu’une fois plus là,le souvenir lumineux de ma mère reviendra!
ml
Leonor
31 décembre 2015 @ 11:38
Gérard, Herminie, je partage, et il semble que nous soyons nombreux à partager avec vous l’expérience de cette souffrance. Amicalement.
Gérard
1 janvier 2016 @ 11:40
Sans doute Leonor avec l’allongement de la vie, les soins, et il faut cependant espérer dans les progrès de la science. Merci.
Et puis il faut l’amour sans quoi rien n’est possible. Bonne année !
Robespierre
3 janvier 2016 @ 12:01
Gérard, vous avez mis le doigt sur un fait essentiel : l’allongement de la durée de vie. Donc nous connaissons tous autour de nous des cas d’Alzheimer plus fréquents que dans le passé. Les experts de santé disent tous que nous vivrons plus vieux à l’avenir mais souvent en mauvaise santé.
Votre mère a eu beaucoup de chance de vous avoir.
Bonne année encore.
aggie
1 janvier 2016 @ 19:30
je partage aussi ; c’est affolant ce que nous sommes nombreux a être concernés ; moi c’était mon père et là il me reste ma mère qui est bi polaire ; je suis gâtée (fille unique moi aussi) ; sans parler de quelques questions que je me pose concernant l’implication de l’hérédité dans ces maladie ; ma fille me dit tristement qu’elle ne reconnaît plus sa grand-mère ; je souhaite beaucoup de courage à tous ceux qui sont confronté à ça
Corsica
2 janvier 2016 @ 10:38
Aggie, confrontés à de telles maladies, on se pose tous la question de l’hérédité. Si ce questionnement vous stresse beaucoup, je vous conseille de consulter un spécialiste qui sera plus à même de vous répondre. Je vous rassure quand même les formes familiales d’Alzheimer sont rares. Bon courage.
Dame Tartine
3 janvier 2016 @ 12:03
Je me demande si la démence sénile est héréditaire, car ma mere, ma grand-mère et mon arriere-grand-mère ont eu cette maladie. J’essaie de ne pas trop y penser.
COLETTE C.
30 décembre 2015 @ 21:43
Cette maladie atteint des gens jeunes aussi.
Mary
30 décembre 2015 @ 23:32
Terrible !
Sincères condoléances à ses filles.
Gérard
31 décembre 2015 @ 12:21
Elena de Bourbon Barucci, née à Madrid le 5 novembre 1947, a épousé en premières noces à Palma de Majorque Ignacio Coll y Escasany, importateur, dont la mère est María del Carmen Escasany y Miguel, depuis 1978 troisième marquise de La Pobla de Claramunt, d’une famille d’industriels du papier.
Elle a épousé en deuxièmes noces à Madrid le 19 mars 1976 José Miguel Garrigues Walker, né à Madrid le 10 avril 1940, mort à Madrid le 23 août 2004, fils d’Antonio Garrigues et d’Elena Walker.
Elle a donc eu cinq (ou six) filles dont deux de son premier mariage qui ont été adoptées par leur beau-père : Elena Coll Garrigues-Walker Barucci, née à Barcelone le 12 avril 1965 et Francesca Coll Garrigues-Walker Barucci, née à Madrid le 12 novembre 1969, épouse d’Enrique de la Mata Baena, cadre dans une entreprise madrilène de conseil juridique et financier (fils de don Enrique de la Mata Gorostizaga, né en 1933, mort en 1987, président de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge espagnol puis président de la Croix-Rouge internationale, qui fut ministre du commerce extérieur, grand-croix de l’ordre de Charles III), et mère de Michaela de la Mata Garrigues-Walker.
Du deuxième mariage Carla Garrigues-Walker Barucci, née à Madrid le 19 février 1977, Flavia née à Madrid le 13 octobre 1978 et Elena née à Madrid en 1982 et peut-être Olivia.
José Miguel Garrigues Walker était fils d’Antonio Garrigues Díaz-Cañabate et d’Helen Anne Walker. Il s’était tout d’abord marié le 24 juin 1967 à South Dartmouth, Massachusetts, avec Frances Gamble Aldrich dont il avait eu Francesca Garrigues y Aldrich qui épousa le prince Fernando Alfonso de Hohenlohe-Langenburg, fils du prince Christian Kraft et de Carmen de la Cuadra y de Medina.
Elena de Bourbon Barucci est l’un des quatre enfants, avec feu Francisco, feu Rinaldo et José Luis, de Rinaldo Barucci Antolisei (1900-1956), fils d’Attilio Barucci et d’Isabella Brundell. Sa mère était Isabel de Bourbon et de Bourbon (1908-1974) qui s’était mariée en 1936. Isabel était fille de Francisco de Paula de Bourbon y de la Torre et d’Enriqueta de Bourbon y Parade, quatrième duchesse de Séville, fille du deuxième duc. Son père était lui-même fils de Francisco de Paula de Burbon y de Castellvi et de María Luisa de la Torre y de Bassave, une roturière cubaine. Ce François de Paule était fils de l’infant d’Espagne Henri de Bourbon, premier duc de Séville et d’Elena de Castellví y Shelly.
Cet Henri était frère du roi don François d’Assise d’Espagne, le mari d’Isabelle II, et il était fils de l’infant François de Paule, duc de Cadix, fils cadet du roi Charles IV d’Espagne.
Ogier le Danois
3 janvier 2016 @ 02:10
Surpris que les ducs de Séville ont gardé des armoiries si simple: celles d’Anjou, sans les écartéler, sauf avec l’Ordre de St.-Lazare en tant que grand-maîtres
Gérard
8 janvier 2016 @ 12:55
Elena décédée à Madrid le 26 décembre 2015 avait bien cinq filles, Elena, Francesca, Carla, Flavia et Olivia. En l’état actuel des choses elle avait semble-t-il deux gendres qui étaient Rafael Amil et Rafael de Juanes. Elle avait 11 petits-enfants : Lucía, Elena, Blanca, Martín, Michaela, Lucas, Juan, Carlita, Rodrigo, Marcello et Rafael. Une messe sera célébrée le 14 janvier en l’église Saint-François de Borgia des pères jésuites à Madrid.
Gérard
20 janvier 2016 @ 11:57
À la messe du 14 janvier ont assisté notamment le frère du duc de Séville, Alfonso de Bourbon et son épouse Marisa Yordi y Villacampa, Jaime de Marichalar, l’ex-époux de l’enfant Elena, la princesse Wanda de Ligne (Mme Alfonso Gonzalo Pérez de Guzmán y Bustos), Naty Abascal, la mère du duc de Feria, Rocío Primo de Rivera, historien, ami d’enfance du roi Juan Carlos et fils du troisième duc, Miguel, homme politique, la marquise de Tamarit.
Francine du Canada
31 décembre 2015 @ 23:20
Quelle triste fin de vie… Cette maladie est terrible et je compatis avec tout ceux et celles qui y sont confrontés et/ou y ont été confrontés. Condoléances aux parents et amis de cette dame, partie bien trop tôt! FdC
Anastasia
1 janvier 2016 @ 14:55
terrible maladie