Une nouvelle famille princière allemande est endeuillée. Le prince Georg-Constantin de Saxe-Weimar-Eisenach est décédé le 9 juin dernier près d’Apethorpe Palace dans le Northamptonshire en Angleterre. Il a fait une chute de cheval. Le prince était le fils du prince Wilhelm de Saxe-Weimar-Eisenach et d’Eva Kovarcz. Né à Munich le 13 avril 1977, il avait épousé à Weimar en août 2015 Olivia Page.
Le prince Georg-Constantin de Saxe-Weimar-Eisenach était appelé à devenir un jour le chef de la maison princière puisque l’actuel chef le prince Michael né en 1946, n’a pas d’héritier mâle. La branche s’éteindra donc à sa mort. Cliquez ici pour l’ascendance du défunt. (Copyright photos : dpa et mdr – merci à Michèle et Guyard)
Francois
13 juin 2018 @ 08:13
Quelle hécatombe
Il est ainsi des séries
Quel dommage que de partir si jeune et sans laisser
de descendance
monica
16 juin 2018 @ 17:49
Et marié seulement depuis 3 ans
Robespierre
13 juin 2018 @ 08:18
Ca fait toujours de la peine de voir mourir un homme (ou une femme) de 41 ans, et surtout d’un truc stupide comme une chute de cheval. Peut-être comme d’autres avant lui, sa tête a-t-elle heurté des pierres.
Karabakh
14 juin 2018 @ 13:40
Sans doute, comme d’autres avant lui, n’était-il pas protégé. Certes, le casque ou le gilet n’empêchent pas tout mais suffisent le plus souvent à éviter la mort. Aujourd’hui, ces protections ont beaucoup évolué et sont devenues confortables, pratiques et esthétiques tout en ayant par ailleurs gagné en sécurisation de leurs utilisateurs. Il n’y a donc plus d’excuses de lourdeur, mocheté ou que sais-je autre pour justifier de ne pas les porter.
Votre allusion à la tête qui heurte les pierres m’a interpellé, car si c’est effectivement un cas courant, encore une fois, ce n’est pas toujours mortel lorsque l’on est protégé convenablement.
Nonobstant, nous ne connaissons pas les circonstances de l’accident et encore une fois, je suis bien conscient être protégé n’est pas une solution miracle. A vrai dire, je suis même fort bien placé pour le savoir.
Il y a une discipline où l’on ne peut être protégé, du moins pas à partir d’un certain niveau. C’est la voltige. Cependant, les ronds de voltige sont installés sur des pistes conçues autant pour l’agrément du cheval que pour la sécurité des cavaliers. Il y a une somme de vérifications en amont du choix du site, afin de garantir au mieux la sécurité des participants. En tout cas, les voltigeurs sont formés pour savoir tomber, comme le sont d’autres sportifs en regard des contraintes de leur discipline respective (je pense notamment au judo). Là encore, cela n’empêche pas tout mais vous voyez, je regrette que l’apprentissage de la chute de cheval ne soit pas plus enseignée en équitation, trop circonscrite à la voltige et aux jeux à poneys (pony-mountain-games, horse-ball, etc). Sans tout régler, là encore cela permettrait d’éviter bien des drames.
Naturellement, je suis triste pour cet homme et sa famille.
DSilvî
13 juin 2018 @ 08:23
Encore une bien triste nouvelle
Un homme si jeune……
Il formait un très joli couple.
Sincères condoléances a cette famille dans la tristesse et le malheur.
Isabelle Pedioglu
13 juin 2018 @ 08:25
Sincères condoléances à la famille
Charles
13 juin 2018 @ 08:28
Encore une bien triste nouvelle.
Patricia
13 juin 2018 @ 09:02
Tout cela est bien triste. Avait-il eu le temps d’avoir des enfants ?
Philibert
13 juin 2018 @ 16:34
Apparemment non, sinon Régine l’aurait mentionné.
En tout cas pas de garçon, sinon Régine n’aurait pas écrit que « sa branche s’éteindra donc à la mort du prince Michael ».
A moins qu’Olivia n’accouche prochainement d’un fils posthume du prince Georg-Constantin, ce qui en ferait l’enfant du miracle, comme l’avait été Alphonse XIII d’Espagne en 1886.
Gérard
15 juin 2018 @ 20:18
Ou Jean Ier le Posthume qui fut cependant vaincu par la maladie ou le meurtre dans les Rois maudits de Druon.
Karabakh
14 juin 2018 @ 13:42
Il n’a pas d’enfants et je ne crois pas que son épouse en attende un, mais un miracle…
Damien B.
13 juin 2018 @ 09:05
La mort à 41 ans du prince Constantin est une bien triste nouvelle.
Le défunt était fort apprécié par ceux qui le connaissaient pour ses qualités personnelles et professionnelles. RIP
Corsica
13 juin 2018 @ 09:09
Encore une famille brutalement endeuillée. C’est d’une infinie tristesse. Ceux qui croient à l’expression » jamais deux sans trois » trouveront une raison d’y croire encore plus tandis que les autres crieront à la superstition mais les faits restent : un homme jeune est mort faisant basculer dans le chagrin les vies de sa jeune femme, de ses parents, de son frère et de tous ceux qui l’aimaient.
Gibbs 47
13 juin 2018 @ 09:12
https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwiaxdmzmNDbAhWBsBQKHW-fCasQFggpMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.noblesseetroyautes.com%2Fmariage-civil-du-prince-georg-constantin-de-saxe-weimar-eisenach%2F&usg=AOvVaw33VefhftIx8NDXLWMLt04z
Anne
13 juin 2018 @ 12:43
Dans cet article de noblesse et royautés , on signale que leur mariage religieux avait dû être reporté en 2016 en raison de la maladie du père de la mariée . A t il eu lieu ? Pas de reportage à cette occasion ? Et pas de descendance pour ce jeune couple ?
Gérard
15 juin 2018 @ 21:21
Ils se sont mariés religieusement en août 2016 dans l’intimité d’une chapelle anglaise.
Le mariage religieux devait être célébré le 5 septembre 2015 à Londres mais en raison de la maladie du père de la mariée Christopher Page (qui mourut le même mois) il fut reporté à l’été suivant.
Cependant à l’issue de la cérémonie civile au cours de la réception qui a eu lieu en l’ancien château grand-ducal d’Ettersburg où l’on put se restaurer et boire la bière du prince de Wrede le beau-père du marié, une bénédiction fut donnée aux époux dans la chapelle du château en présence de la mère divorcée de la mariée Corinne Massey, du prince Michael de Saxe-Weimar chef de la maison et de la grand-mère du marié âgée de 95 ans la princesse Felicitas zu Salm-Horstmar.
Danielle
13 juin 2018 @ 09:21
Quelle année noire dans le gotha, surtout en Allemagne !! année horrible comme disait la reine Elisabeth !
A t on des nouvelles de la famille dont l’homme était décédé en 4 x 4, ainsi que de Diane et ses petits enfants ? car pour tous il doit être très difficile de surmonter ces épreuves ?
Gibbs 47
13 juin 2018 @ 09:22
Il était né le 1er juin 1977…
JAusten
13 juin 2018 @ 09:36
oh un grand nom de l’aristocratie allemande qui s’éteint ! Que de tristes nouvelles ces derniers temps ; des hommes encore jeunes qui quittent cette terre par accident.
Nathetvoila
13 juin 2018 @ 09:50
Quelle tristesse encore une fois ! Il était jeune et tout juste marié.
Thierry
13 juin 2018 @ 09:55
Apethorpe Palace et non Apethorn
http://www.english-heritage.org.uk/visit/places/apethorpe-palace/
Émilie 09
13 juin 2018 @ 09:59
On a tôt fait de partager la joie d’une naissance qu’une triste nouvelle vient tout gâcher. C’est pas une connaissance mais voir quelqu’un mourir si jeune et dans ces conditions, ça fait mal.
Gibbs 47
13 juin 2018 @ 10:01
J’ai lu 1er juin et 13 avril 1977.
Régine
13 juin 2018 @ 11:12
Le site de référence Online Gotha indique le 13 avril 1977
COLETTE C.
13 juin 2018 @ 10:23
Que des décès dans les familles princières allemandes, et encore une mort accidentelle d’une personne jeune.
Gibbs 47
13 juin 2018 @ 10:34
Source : Marlene Eilers Koening
« HH Prince Georg-Constantin Friedrich Wilhelm Johannes was born at Munich on June 1, 1977, the second and youngest child of Prince Wilhelm Ernst Emich Georg Rudolf of Saxe-Weimar-Eisenach and his former wife, Eva Kovarcz.
He married Briton Olivia Rachelle Page in a civil ceremony at Weimar on August 29, 2015. The met at a concert in 2011. »
Caroline
13 juin 2018 @ 10:39
Encore un deuil à cause d’un accident stupide ! C’est bien triste pour sa jeune veuve et ses parents !
Le décédé a-t-il ses cousins pour qu’ils assurent la pérennité du nom de cette famille princière?
Gibbs 47
13 juin 2018 @ 11:25
Il n’y a pas d’héritier mâle Caroline.
Caroline
13 juin 2018 @ 12:41
Gibbs 47 et Gérard,
Peut-etre le premier fils de sa soeur ?
Karabakh
14 juin 2018 @ 13:45
Je pense qu’il y a une histoire de primogéniture mâle, donc je ne pense pas que ses neveux puissent devenir les futurs chefs de la branche Eisenhach.
Gibbs 47
14 juin 2018 @ 17:30
Caroline,
C’est une succession par ordre de primogéniture masculine.
La maison s’éteindra.
Gérard
13 juin 2018 @ 10:39
A moins que son épouse n’attente un enfant.
Il a une sœur mais elle n’est pas dynaste en droit dynastique allemand comme la fille du chef de la maison et il me semble que dans ces maisons de Saxe Ernestine si une branche s’éteint l’héritier dynastique doit être choisi dans la descendance masculine du duc Ernest Ier de Saxe-Gotha qui vécut au XVIIe siècle, c’est-à-dire qu’il faudrait le prendre dans une autre branche.
Le prince avait vécu longtemps en Angleterre avant de s’installer avec son épouse à Weimar.
Esquiline
13 juin 2018 @ 12:31
Ils préfèrent l’extinction d’un nom plutôt que de le conférer à une femme … comme je les comprends!
Charlotte
14 juin 2018 @ 21:58
C’est ironique, je pense !
Olivier d'Abington
14 juin 2018 @ 23:18
Esquiline,
C’est du 2nd degré j’espère!
Karabakh
14 juin 2018 @ 13:48
C’est effectivement cela, l’héritier dynastique est à choisir dans la descendance masculine d’Ernest Ier de Saxe-Cobourg et Gotha (Saxe-Cobourg-Saalfeld) ; soit le chef actuel désigne un héritier masculin dans les branches cadettes de sa maison, soit il reprend le titre à son compte.
Laurent F
13 juin 2018 @ 10:40
Il ne reste que quelques princesses qui ne peuvent recueillir la succession, la branche aînée des Wettin s’amenuise après l’extinction des Saxe Altenburg dans les années 80.
Zorro
13 juin 2018 @ 15:29
Il reste encore les descendants mâle dans la branche Saxe-Cobourg-Gotha (y compris les familles royales belge, britannique et bulgare) et de Saxe-Meiningen pour recueillir la succession au sein de la branche ernestine de la maison de Wettin.
Je crois me souvenir qu’en cas d’extinction totale d’une maison princière allemande, le chef de la maison de Prusse recupère le titre (ex. la famille princière de Schwarzburg), mais à confirmer par des spécialistes.
Gérard
16 juin 2018 @ 17:22
Dans le duché de Saxe-Weimar proprement dit, la règle de primogéniture avait été introduite dès 1725 pour éviter les partages postérieurs. Elle fut confirmée par la constitution du 15 octobre 1850. La couronne grand-ducale est donc héréditaire dans la descendance masculine, légitime et naturelle du grand-duc Ernest-Auguste Ier (quand elle existe), par droit d’aînesse et représentation. Tout dynaste doit confesser la foi luthérienne et tout mariage de dynaste doit être autorisé par le chef de famille. Il devait être autrefois être contracter avec une princesse issue d’une autre famille souveraine mais cette règle est devenue caduque depuis 1944 (et même depuis 1896 avec la reconnaissance du prince Sizzo von Leutenberg).
En ce qui concerne la principauté voisine de Schwarzbourg qui a été évoquée et qui regroupait les deux anciennes principautés de ce nom vous parlez Zorro d’un droit de la Prusse mais je crois sous réserve d’erreur de ma part qu’il s’agit seulement de ce qui est lié à l’accord de 1816.
Un traité fut en effet signé à Berlin le 15 juin 1816 entre la Prusse représentée par Jean-Louis de Jordan et Jean-Godefroi Hoffmann et la maison de Schwarzbourg-Sondershausen représentée par Louis-Guillaume Adolphe et Charles-Frédéric de Weise à propos des enclaves réciproques des deux Etats. Il y a à cet égard des abandons réciproques de souveraineté, mais non de propriété, et de suzeraineté pour la Prusse, il y a également des cessions réciproques prévues pour le 1er juillet. Il y a aussi un règlement financier et un accord de libre passage. Le roi de Prusse se réserve par l’article 9 le droit de réversion à l’extinction des héritiers féodaux, de la manière qu’il a existé avant cette convention. Pour l’intelligence de cet article, il faut savoir que les possessions de la maison de Schwarzbourg se composent de fiefs ci-devant impériaux, de fiefs de la Bohême et de fiefs saxons. Ces derniers ayant été transférés à la Prusse par l’article 6 du traité de Vienne du 18 mai 1815 et par l’article 19 de l’acte final du Congrès de Vienne, la Prusse se réserva, par ledit article le droit de réunir le domaine utile au domaine direct dans le cas où il n’y aurait pas d’hoirs féodaux dans la maison de Schwarzbourg et le prince de Sondershausen promet par l’article 10 d’approuver, en sa qualité d’agnat, le traité qui sera conclu pour le même but entre la Prusse et le prince de Schwarzbourg-Rudolstadt. Ce dernier possède dans ce qu’on appelle le comté inférieur de Schwarzbourg, en commun avec la maison de Stolberg, les deux bailliages de Kelbra et Heeringen sur la Helme, dans une contrée à laquelle sa fertilité avait donné le nom de Pré d’or (goldene Aue, aureum arvum). La maison de Stolberg étant placée sous la souveraineté prussienne et le prince de Schwarzbourg-Rudolstadt n’étant copropriétaire de la Goldene Au que sous la suzeraineté saxonne, transférée en 1815 sur la Prusse, ce rapport compliqué exigeait un arrangement qui devenait aussi nécessaire par suite du recès de 1719. C’est ce qui est prévu par l’article 10. Les bailliages de Kelbra et Heeringen étaient alors en effet entièrement sous la souveraineté prussienne, rapport qui, à l’égard de Schwarzbourg-Rudolstadt ne pouvait avoir lieu que par suite d’une transaction puisque le roi de Saxe n’avait cédé et n’avait pu céder à la Prusse que le domaine direct de ces bailliages. Le traité du 15 juin 1816 est suivi de deux articles séparés le premier par lequel les deux parties assurent réciproquement la confirmation des expectatives féodales données par elles sur des territoires cédés par ce traité, le deuxième statuant que jusqu’à l’époque où la maison de Schwarzbourg aura établi le tribunal suprême à la création duquel l’oblige l’article 12 de l’acte de la Confédération germanique, les districts cédés par la Prusse au prince de Sondershausen, resteront soumis, en dernière instance, pour les affaires civiles et criminelles, à un tribunal suprême prussien mais le prince promet d’accorder aux habitants de ces districts les mêmes droits politiques dont ils auraient joui s’ils étoient restés sujets prussiens.
Le dernier prince de Schwarzbourg, on peut le noter pour l’anecdote, le prince Frédéric-Günther avait adopté par contrat du 21 août 1969 et par jugement du tribunal de Francfort-sur-le-Main du 12 novembre 1969 Peter Hans Fuhrmann, théologien, né à Stettin le 28 juin 1939, fils de Hans Werner Fritz Fuhrmann et de Maria Regina Reiser. Mais la législation allemande ne peut modifier les droits dynastiques bien qu’elle reconnaisse la transmissibilité des titres puisqu’ils font partie intégrante du nom y compris par adoption, en sorte que ce Peter Hans porte bien le nom patronymique de Prinz zu Schwarzburg. Celui-ci est père de Michael Fuhrmann-Schwarzburg, né en 1988. Notons que Peter Hans naquit sept mois après le divorce du prince d’avec la princesse Sophie de Saxe-Weimar.
Historiquement les principautés de Schwarzbourg connaissaient une règle de succession dynastique par primogéniture semi-salique. En cas d’extinction de toutes les branches masculines, les femmes pouvaient héritier du trône. Ce fut semble-t-il la règle jusqu’à la fin des principautés allemandes en 1918. La princesse Marie-Antoinette de Schwarzbourg était la seule sœur du prince Frédéric-Gonthier. Elle vécut de 1898 à 1984 et avait épousé en 1925 le comte Friedrich Magnus de Solms-Wildenfels (1886-1945). Ils ont eu un fils Friedrich Magnus né en 1927 qui est le sixième comte de Solms-Wildenfels chef d’une branche de cette maison médiatisée. Il a eu deux fils Michael comte héritier né en 1949 et mort célibataire en 2006 et Konstantin né en 1950 mais qui n’a pas eu d’enfant non plus de ses deux mariages pas plus que le frère cadet de son père Albrecht (1929-2010) qui était divorcé.
Lorsqu’il était apparu que la branche de Sondershausen risquait de s’éteindre ce qui advint peu après en 1909 il avait été décidé que tout agnat mâle de la branche de Rudolstadt pourrait hériter à Sondershausen et ce par un amendement constitutionnel à Rudolstadt le 1er juin 1896 et un Sondershausen le 14 août 1896.
La loi de succession semi-salique devait ensuite désigner les héritiers en fonction de leur degré de parenté avec le dernier prince.
Mais dans les développements du juriste allemand Hermann Schulze en 1883 il était jugé que les pactes d’héritage inter dynastiques contractés par des vassaux semi-souverains du Saint-Empire continuaient d’avoir force légale dans l’Empire allemand après l’abolition du Saint-Empire en 1806 et conféraient des droits aux héritiers mâles qui étaient supérieurs à ceux que les femmes pouvaient tirer de la primogéniture semi-salique. Or en 1433 le comte Heinrich de Schwarzbourg et son fils conclurent un pacte avec Botho comte de Stolberg : pour le cas où la maison de Schwarzbourg viendrait à s’éteindre en ligne masculine le comte de Stolberg et les comtes de Hohenstein pourraient récupérer la majorité des territoires Schwarzbourg. La maison de Hohenstein s’est éteinte et au moment de son extinction les maisons de Schwarzbourg et de Stolberg ont renouvelé le pacte le 28 janvier 1594. Philippe cinquième prince zu Stolberg-Wernigerode né en 1967 est l’héritier mâle par ordre de primogéniture de Botho de Stolberg, il a épousé en premières noces en 2001 la comtesse Caroline von Waldbourg zu Wolfegg und Waldsee née en 1971 et il a divorcé sans avoir eu d’enfant mais il s’est remarié en 2006 avec la comtesse Leonille Douglas dont il a trois enfants Elena, Carl prince héritier zu Stolberg-Wernigerode né en 2009 et Eloise.
Voir : http://www.heraldica.org/topics/royalty/HGSchwarzburg.htm
Karabakh
14 juin 2018 @ 13:53
La Maison de Wettin n’est pas aussi amenuisée que cela, il reste encore de nombreux descendants (voir ci-dessus). Les Windsor (pour ceux qui descendent en ligne directe d’Albert) ont renoncé au nom mais pas nécessairement aux droits, puis la famille royale de Belgique dispose de garçons qui pourraient avoir intérêt à récupérer un tel titre. Ce n’est pas la fin de la maison de Wettin.
Philippe Gain d'Enquin
13 juin 2018 @ 10:42
l’adoption d’un neveu ou d’un cousin par le chef de Famille permettrait que cette dernière ne s’éteigne pas, ce qui serait fort dommage…
Laurent F
13 juin 2018 @ 15:45
Encore faudrait-il qu’il reste des Saxe Weimar hommes mais il n’y a plus que 2 septuagénaires !
Karabakh
14 juin 2018 @ 13:54
Il n’est pas obligatoire qu’il s’agisse d’un Saxe-Weimar. Ce peut-être un Saxe d’une autre branche, du moment qu’il est issu en ligne direct d’Ernest Ier.
Valerielabelle?
13 juin 2018 @ 11:05
Eh ben ça alors !
lili
13 juin 2018 @ 11:14
incroyable ces disparitions chez les princes allemands.
Actarus
13 juin 2018 @ 11:25
Attendez… peut-être que son épouse est enceinte d’un enfant du miracle comme la duchesse de Berry en 1820.
Perceval
13 juin 2018 @ 13:36
Franchement, est ce à souhaiter qu’un jeune enfant vienne au monde déjà orphelin ?
Pour moi, je ne le pense pas !
Corsica
15 juin 2018 @ 12:56
Mais cela arrive et cela n’empêche pas ces enfants d’avoir une vie heureuse et équilibrée. Mon père a eu la malchance d’avoir perdu son père d’une pneumonie alors qu’il était encore dans le ventre de sa mère et celle-ci huit mois après sa naissance. Affaiblie par deux maternités successives et un deuil douloureux, ma grand-mère attrapa la grippe et ne se releva pas. Mon père et son frère, élevés par leur grand-mère et une sœur de leur mère, reçurent beaucoup d’amour. Le seul regret de mon père : n’avoir jamais pu dire maman.
Karabakh
17 juin 2018 @ 23:08
Perdre un parent avant la naissance ou très peu de temps après (trois années qui suivent) n’est pas un facteur systématique de mal-être. Tout dépend de la manière dont l’entourage, et surtout le parent subsistant, gère la situation. On voit de tout.
Mary
13 juin 2018 @ 16:27
Souhaitons- le, mais ce décès est bien triste tout de même !
Charlotte
14 juin 2018 @ 21:59
Oui, mais si l’enfant du miracle est une fille, retour à la case départ.
Gibbs 47
13 juin 2018 @ 11:26
Triste…
Mayg
13 juin 2018 @ 13:25
Quelle triste nouvelle, mourir si jeune. Le couple n’a donc pas eu d’enfant ?
marie
13 juin 2018 @ 13:43
Qu’il repose en paix.
Zorro
13 juin 2018 @ 15:19
Décidemment, le sort s’acharne sur les anciennes familles princières allemandes. Toutes ces disparitions font curieusement écho au déclin accéléré des anciens particularismes germaniques et plus largement européens qui se diluent de plus en plus dans un globalisme mondialiste dont l’Allemagne merkelienne est devenu le porte étendard en Europe. Depuis l’introduction de l’Euro, l’Allemagne domine l’Europe mais paye le prix fort en se soumettant scrupuleusement au programme mondialiste : destruction de la nation au profit d’une dilution multiculturaliste (rendue possible, voire plébiscitée, par une culpabilisation permanente des Allemands), augmentation de la précarité sociale (l’Allemagne est la championne en occident du nombre de travailleurs pauvres), etc.
Dans ce contexte, rien d’étonnant que les anciennes familles princières allemandes jouissent encore, pour la plupart, d’un grand prestige et que certaines Länder au particularisme fort (comme la Bavière) font de la résistance en prenant des décisions sensationnelles (ex. : la loi obligeant tous les bâtiments publics de Bavière à accrocher un crucifix dans leur entrée à compter du 1er juin 2018) !
Je crois que l’ancienne Allemagne n’a pas encore dit son dernier mot. Les multinationales étant généralement les chevaux de Troie de mondialisme mortifère dans les Etats (pression sur les salaires, chantage à la délocalisation, etc.), il reste encore un espoir car n’oublions pas qu’une bonne partie de la structure économique allemande est restée familiale (l’entreprise reste dans la même famille de génération en génération) et attachée à son personnel et à son terroir !
Karabakh
14 juin 2018 @ 14:31
Wow ! Sacrée tambouille !
Que d’amalgames…
Olivier d'Abington
14 juin 2018 @ 23:23
Mais, bon sans, mais c’est bien sûr…
Merkel est « le mondialisme » sont responsables de ces décès!!
Ils essaient d’éteindre toutes les familles princières restantes grâce à ces accidents…
Par ailleurs, juste pour mémoire, la plupart des sociétés internationales que vous conspuées SONT des entreprises « familiales »!!!
Qui sont les premières à faire de l’évasion fiscale, mortifère pour l’économie locale, comme globale!
Karabakh
16 juin 2018 @ 22:28
Et la cuisine continue…
Jacqueline
13 juin 2018 @ 15:29
Malédiction dans le gotha. Origine?
Gérard
13 juin 2018 @ 16:27
L’écrivain, acteur et aficionado britannique Alexander Fiske-Harrison rend hommage à son ami se souvenant de ses prouesses en équitation, au polo, et aussi avec ses chiens en France.
Arturo Beeche, éminent spécialiste de la royauté, rapporte qu’il a reçu un mail ainsi rédigé : « Cher Arturo, je viens de recevoir un appel téléphonique d’Allemagne me demandant quelque chose à propos d’un accident qu’un prince a eu à Londres, est-ce que tu sais quelque chose ? ».
Le mail émanait du margrave de Misnie, chef de la maison royale de Saxe. Arturo n’était au courant de rien mais quelques heures après il put apprendre le décès du prince dans un concours d’équitation.
La mère du prince est divorcée de son père Wilhelm Ernst et Eva Kovarcz de Kovarczfalva s’est remariée au prince de Wrede, Carl. Georg-Constantin après ses études secondaires a obtenu une maîtrise en économie d’entreprise et de gestion à l’Université Saint Andrews en 2000. Il a travaillé dans diverses grosses boîtes avant de fonder en 2010 Belvedere Energy Group qui se consacre surtout à l’énergie solaire. Arturo l’avait rencontré après être allé chercher à Cobourg le prince Andreas de Saxe-Cobourg et ses enfants pour les cérémonies d’ouverture à Weimar et à Gotha d’une exposition consacrée à la branche Ernestine. Il garde le souvenir d’un homme accessible, gentil et intéressé par le rôle historique de sa famille et l’héritage culturel de Weimar.
La princesse Désirée sœur aînée du défunt a épousé le comte Faustus Florian von und zu Hoensbroech, fils de Reinhart comte von und zu Hoensbroech et de Maria Immaculata de Habsbourg-Lorraine, fille elle-même de l’archiduc Théodore-Salvator d’Autriche-Toscane et de la princesse Marie-Thérèse de Waldbourg zu Zeil.
Ils ont cinq fils : Philipp-Benedikt né en 2002, Friedrich Johannes né en 2004, Franziskus-Leonhard né en 2006, Paul-Clemens né en 2011 et Georg-Nicolaus von und zu Hoensbroech né en 2013.
Olivier d'Abington
14 juin 2018 @ 23:26
Cher Gérard,
Je suis toujours épaté par les « inside infos » que vous nous faites partager!
Je ne sais d’où vous tirez tout cela, mais surtout ne vous arrêtez pas!
;-))
Baboula
15 juin 2018 @ 21:04
C’est leur éclectisme qui m’épate ! Essayez de ne pas faire trééééés long . :-}}
Merci de partager vos recherches et connaissances.
Gérard
15 juin 2018 @ 21:34
Merci Cher Olivier.
Gérard
13 juin 2018 @ 16:39
La presse allemande rappelle à cette occasion d’autres décès prématurés dans la noblesse souveraine du pays : Friedrich duc héritier de Württemberg, 56 ans, en mai, dans un accident d’automobile et le prince Carlos de Hohenzollern qui s’est suicidé à 39 ans en février.
Charlotte
14 juin 2018 @ 22:01
Plus un, dont j’ai oublié le nom, pardonnez-moi, qui a engagé son 4/4 sur un chemin de traverse en faisant descendre ses enfants avant…
Corsica
15 juin 2018 @ 13:27
Tout à fait Charlotte, mais pour les puristes celui-là ne compte pas vraiment, il n’était que l’époux roturier d’une princesse. Bien que plus âgé et mort de maladie, le prince d’Isembourg est aussi décédé quasiment en même temps que le jeune duc de Wurtemberg. Seul le prince de Hanovre qui, par ses antécédents, aurait pu faire partie de cette funeste série, est encore une fois, tel un chat, retombé sur ses pattes.
Gérard
15 juin 2018 @ 21:37
Oui mais il n’appartenait que Gotha par alliance seulement et vous savez que nous autres pauvres hommes nous ne pouvons en général pas prendre le titre de notre femme. Il a sauvé ses enfants.
marianne
13 juin 2018 @ 16:57
Décidément …
William
13 juin 2018 @ 16:58
C’est vraiment triste. Surtout que le monsieur est encore si jeune.
Marie de Cessy
13 juin 2018 @ 18:47
Oh la la mais c’est l’hécatombe dans les familles princières allemandes…
reine et de ses filles
13 juin 2018 @ 23:08
C’était un homme charmant. Quelle tristesse pour son épouse et pour sa famille !
framboiz 07
14 juin 2018 @ 01:26
Depuis la lecture de « 100 jours à l’hopital » de Christine Clerc, je crains le cheval , même pour les inconnus …Triste , ce décès , son épouse, qui ne parlait pas allemand va vivre en Thüringe ,ça ne facilite pas un deuil, l’ex -RDA !
Gérard
15 juin 2018 @ 21:38
Et elle a une peur bleue de l’avion.
Gérard
14 juin 2018 @ 10:47
Le chef de la famille grand-ducale dans son message à ses compatriotes et aux chefs de maisons a fait part de sa profonde affliction à la suite du décès subit de son neveu. La famille se réduit désormais pour ce qui concerne les hommes à deux septuagénaires.
Gérard
14 juin 2018 @ 10:59
Le prince Michael s’est dit en effet profondément ébranlé. Il vit à Mannheim sur le Rhin dans le Palatinat et le land de Bade-Wurtemberg.
Marcel
14 juin 2018 @ 16:40
Il y aurait peut-être une solution pour que la branche de Saxe-Weimar-Eisenach survivent, c’est que le père du Prince George Constantin se remarie et qu’il ait une descendance mâle.
Gérard
15 juin 2018 @ 21:43
Pas impossible mais psychologiquement et humainement difficile.
Olivier d'Abington
14 juin 2018 @ 23:33
Et si le grand dessein de ces disparitions subites et complètement incompréhensibles était le suivant: rappeler qu’en 2018 (au XXIe siècle) il est complètement incongru de perpétuer ce ridicule principe de loi salique d’héritage en ligne masculine uniquement??!!
Certains pays du nord de l’Europe ont su évoluer sur ces questions, et la descendance n’a aucun souci à se faire!
Et quoi qu’en pensent les grincheux réactionnaires, la descendance est toujours pour moitié seulement dans l’ADN par le père, mais l’autre par la mère…
Il va peut-être un jour finir par accepter cette loi biologique et en tirer les conséquences en terme d’héritage familial pour la descendance.
Il faudrait vraiment que toutes ces familles finissent par accepter le principe de primo-géniture absolue, et les problèmes seraient réglés (et surtout, leurs familles pourraient survivre).
En même temps, s’ils préfèrent voir leur famille disparaître, c’est leur choix, mais qu’ils ne viennent pas pleurer!
Olivier d'Abington
14 juin 2018 @ 23:34
« Il va peut-être falloir un jour accepter… »
Baboula
15 juin 2018 @ 21:12
Ravie que vous ,Olivier et homme exposiez cette idée juste à mes yeux . Si disparaître leur est moins douloureux que voir une femme porter le titre ,ils seront exaucés.
Karabakh
17 juin 2018 @ 23:15
Ici, il ne s’agit pas tant de perpétuer un titre qu’un nom. C’est vraiment le nom qui importe dans ces familles. Votre comparaison avec les monarchies du nord n’est pas bonne, les enjeux sont très différents.
Après, une femme pourrait reprendre le nom et le titre associé – le droit allemand ne s’y opposerait pas si la règle familiale le permettait. Sauf que la question ne se pose pas vraiment en l’espèce…
Gérard
15 juin 2018 @ 11:04
Dans un message le prince Michael de Saxe-Weimar-Eisenach, grand-duc titulaire de Saxe-Weimar-Eisenach s’est donc déclaré extrêmement choqué par la nouvelle de la mort du prince Constantin le fils de son cousin germain et son héritier. Il rappelle qu’il avait avec lui une relation chaleureuse et confiante qui a cruellement pris fin.
Les obsèques du prince Constantin seront célébrées le 2 juillet en l’église de Herder à Weimar par le pasteur Axel Kramme. L’église qui est placée sous le titre des saints Pierre et Paul est la plus grande de la ville et beaucoup de princes de cette maison grand-ducale y sont enterrés. Le lieu d’inhumation du prince dont on présume qu’il sera à Weimar n’a pas été confirmé à ce jour.
Le grand-duc de jure Michael n’ignore pas la loi salique mais il a annoncé que sa fille unique qui est célibataire la princesse Leonie lui succèdera en prenant la place de son cousin en ce qui concerne les affaires familiales et culturelles notamment pour le Klassik-Stiftung de Weimar, qui gère un grand nombre d’instituts de recherche, de maisons historiques, de musées, de châteaux et de parcs, le Wartburg Stiftung d’Eisenach et le Wartburg Wirtschaftsbetriebe. La Fondation Wartburg est une fondation de droit public dont le siège est situé à Eisenach qui depuis sa création en 1922 a pour tâche de préserver la Wartburg et ses trésors artistiques.
Depuis 1990, la maison de Saxe-Weimar a de nouveau une part de responsabilité à la Wartburg et le prince Michael de Saxe-Weimar-Eisenach a été nommé à vie au conseil de fondation de la Fondation Wartburg. C’est la princesse Leonie de Saxe-Weimar-Eisenach qui lui succèdera. La Wartburg Wirtschaftsbetriebe s’occupe des opérations commerciales.
Le prince défunt était encore la semaine de dernière à Weimar pour le 200e anniversaire du grand-duc Carl Alexander et il y avait une résidence secondaire.
Charles-Alexandre naquit le 24 juin 1818 à Weimar et mourut en 1901, il fut grand-duc de 1853 à sa mort. Il protégea Andersen, Wagner, Franz Liszt, restaura le château de la Wartbourg et essaya dans un monde très difficile avec la guerre prusso-danoise puis la guerre prusso- autrichienne et la guerre prusso-française d’œuvrer pour la paix.
La princesse Leonie est une jeune femme charmante de 31 ans qui est reporter à RTL Deutschland à Berlin et qui a fait ses études à l’école de Salem et a obtenu un BA d’études médiatiques et culturelles de l’University of Arts de Londres. Il est précisé que c’est provisoirement que la princesse exercera les droits et obligations du prince défunt mais aucune limite de temps n’est fixée.
On sait que le prince est mort alors qu’il chevauchait avec son ami Jean-Christophe Iseux qualifié de baron von Pfetten, un français, diplomate, ancien conseiller du gouvernement chinois qui est propriétaire du Apethorpe Hall ou Palace dans le Northamptonshire.
On suppose que c’est lui qui a prévenu la police et les ambulances à 8h30 du soir samedi dernier.
Constantin portait un casque dans le parc du château. Le terrain était plat. Il semblerait que les deux cavaliers aient fait une course d’entraînement au cours de laquelle le prince est tombé de cheval. L’équitation était la principale passion du prince.
Son épouse n’était pas avec lui.
Les amis du prince disent qu’on ne pouvait pas deviner qu’il l’était tant il était simple et gentil.
La princesse Olivia travaille à Londres chez un constructeur de bateaux.
Apethorpe Hall dans le centre de l’Angleterre au nord de Londres date du XVe siècle a été la résidence préférée de Jacques Ier. C’est ici que le roi a rencontré pour la première fois George Villiers qui a grandement compté dans sa vie et qui fut duc de Buckingham. Il y eut treize visites royales entre 1565 et 1636. Cependant le château, ancienne résidence royale, avait été vendu et appartint trois siècles aux Fane, comtes de Westmorland, qui en raison de difficultés financières le vendirent en 1904. Le bâtiment fut une école puis fut cédé à nouveau et se dégrada au point qu’en septembre 2004 le domaine a été acheté compte tenu de l’article 47 de la loi de 1990 sur les bâtiments classés et les zones de conservation, par le gouvernement britannique et English Heritage dépensa 8 000 000 de livres pour le remettre en état. A partir de 2007 on rechercha un acquéreur mais il fallut baisser le prix à 2 millions et demi de livres et en décembre 2014 le château a été acheté par son actuel propriétaire qui est passionné par la civilisation anglaise et qui a accepté d’ouvrir le domaine au public une partie de l’année plus longue que celle à laquelle il y aurait été contraint par la loi.
Le baron est un grand cavalier et maître d’équipage qui a une meute de chiens au château de Selore à Saint-Yan en Saône-et-Loire. Il a remporté beaucoup de prix pour ses chiens. Il est aussi professeur d’université. C’est un spécialiste de l’Iran et il avait organisé chez lui la première rencontre entre les diplomates du Saint-Siège et ceux de la République populaire de Chine.
Armoiries de Jean-Christophe Iseux : écartelé aux 1 et 4 d’azur au lion d’or, couronné, armé et lampassé de gueules, aux 2 et 3 d’or au fretté de sable (Iseux), sur le tout d’argent à la fasce de sable au léopard du même passant sur la fasce (Pfetten).
Damien B.
15 juin 2018 @ 12:02
Gérard, vos contributions sont vraiment précieuses et éclairent utilement le propos !
Corsica
15 juin 2018 @ 13:30
Tout à fait. Merci Gérard.
Gérard
15 juin 2018 @ 21:44
Merci beaucoup Damien.
Alexandra
15 juin 2018 @ 17:05
Thueringer Allgemeine indique que Leonie sera Hauschefin, c’est à dire chef de la maison, http://weimar.thueringer-allgemeine.de/web/weimar/startseite/detail/-/specific/Nach-tragischem-Unfall-Leonie-fuehrt-jetzt-das-Haus-Sachsen-Weinar-Eisenach-961098510
Karabakh
17 juin 2018 @ 23:20
Non, elle ne sera pas cheffe de la maison. Elle succèdera à son cousin dans ses engagements civils et civiques mais cela n’en fait pas un chef de famille.
Alexandra
19 juin 2018 @ 02:42
Quelle est votre source?
Juliette
15 juin 2018 @ 20:10
Merci Gérard, pour toutes ces précisions.
J’avais effectivement lu que la princesse Léonie était finalement appelée à succéder à son père, mais la réalité de ses réelles fonctions est un peu confuse.
S’agit-il de la gestion des affaires ou de lui succéder sur le plan dynastique. Sur ce point, je pensais surtout à la princesse Désirée, soeur du défunt, mariée au comte Faustus Florian von und zu Hoensbroech et mère de 5 fils, pour succéder à leur oncle, puis à leur père.
Karabakh
17 juin 2018 @ 23:21
C’est une succession dans les engagements mais elle n’a aucun droit dynastique, et son père n’a pas le pouvoir de changer cela. C’est malheureux mais c’est ainsi.
Maria
15 juin 2018 @ 21:44
un grande grazie a Gérard ,é spesso complementare agli articoli di Régine
Gérard
16 juin 2018 @ 17:19
Grazie a voi Maria.
Robespierre
15 juin 2018 @ 12:14
c’est curieux qu’un aussi haut personnage se marie si simplement à l’Etat Civil anglais en vêtements de ville. On aurait pu prévoir un mariage en blanc à l’église en grande pompe. La famille avait-elle froncé le nez sur le choix d’une épouse roturière ?
Maria
15 juin 2018 @ 21:46
Condoglianze alla famiglia