Jusqu’au 17 décembre prochain, le Petit Palais à Paris accueille l’exposition « Anders Zorn. Le maître de la peinture suédoise« . Parmi les œuvres présentées, ces deux portraits représentant ci-dessus le roi Oscar II de Suède (1829-19017) peint par l’artiste en 1898 et ci-dessous le roi Gustav V (1858-1950) peint en 1909. (Merci à Danielle)
Caroline 43
8 décembre 2017 @ 09:01
Une exposition merveilleuse, une vraie découverte!
Zeugma
8 décembre 2017 @ 09:43
Cette magnifique exposition a permis au public français de découvrir ce grand peintre ; talentueux portraitiste mondain et paysagiste de génie. Aller au Petit Palais est un enchantement chaque fois renouvelé.
lidia
8 décembre 2017 @ 10:32
Les hommes étaient très élégants à l’époque.
Bételgeuse70
8 décembre 2017 @ 16:49
Absolument. Surtout pour ceux-là.
Leonor
8 décembre 2017 @ 17:17
Ceux qui en avaient les moyens, oui. Les autres trimaient comme des malheureux qu’ils étaient. Avec quelques hardes sur le dos, et guère d’autres de rechange dans leur galetas ou leur chaumière.
Tourmaline
10 décembre 2017 @ 12:57
Lidia, très juste. A mon avis l’âge d’or de l’élégance masculine moderne dans ses représentations picturales et cinématographiques a été de environ 1860 à 1960. C’est un vrai plaisir des yeux. Même dans les représentations des métiers manuels les hommes avaient de l’élégance. Les peintres réalistes savaient capter la dignité des hommes à travers le costume. Après, pour les très pauvres, c’était autre chose, une attitude, un regard.
AnneD75
8 décembre 2017 @ 10:35
Une magnifique exposition sur un peintre que je ne connaissais pas, quelle luminosité et quelle expression dans ses toiles !
Olivier Kell
8 décembre 2017 @ 11:09
Belle exposition d’un peintre assez peu connu en France et qui mérite de l’être plus.
Claudia
8 décembre 2017 @ 11:50
Merci Danielle pour cette piqûre de rappel.
COLETTE C.
8 décembre 2017 @ 12:03
Impressionnant, on dirait des photos !
Charles
8 décembre 2017 @ 12:12
Merci Danielle de nous faire connaitre ce peintre
Baya
8 décembre 2017 @ 12:19
J’ai vu ce matin sur la 2 un reportage sur ce peintre, c’était superbe. Certaines aquarelles ressemblent à des photos. Quel dommage que l’exposition ne dure plus longtemps, je l’aurais vu en janvier….
AnneD75
8 décembre 2017 @ 21:29
J’ai vu l’expo deux fois, c’est facile quand on habite Paris ! mais ce qui m’a étonnée c’est qu’il n’y avait pas grand monde, pas besoin de faire la queue, ce qui est dommage pour un peintre de cette qualité.
Danielle
9 décembre 2017 @ 21:23
Anne, tu as eu de la chance car même si je n’ai pas fait la queue en arrivant à 10 h 30, il y avait du monde.
Corsica
9 décembre 2017 @ 19:02
Ses aquarelles sont en effet magnifiques mais aussi surprenantes par leur taille. Comme je regrette de ne pas avoir pu assister à cette exposition, je me demandais si elle allait tourner dans le monde et où ? Merci Danielle, vous avez du passer un excellent moment !
j21
8 décembre 2017 @ 13:08
Un regret de n’avoir pu me rendre à Paris pour voir cette exposition.
Alinéas
8 décembre 2017 @ 21:55
Superbe le deuxième portrait.. Quelle élégance..!
Tourmaline
8 décembre 2017 @ 22:34
Ce que je préfère chez Anders Zorn, ce sont ses touches de couleur rouge, un rouge appuyé qui s’étale comme une tache de sang, donnant une aura légèrement menaçante et fantastique à ses portraits et tableaux réalistes.
Danielle
9 décembre 2017 @ 21:24
Tourmaline, il y a de très beaux tableaux avec de la couleur.
Tourmaline
10 décembre 2017 @ 23:41
Oui, Danielle, merci, et merci d’avoir rappelé cette exposition à notre souvenir, même si je n’aurai pas l’occasion d’y aller. J’avais vu une exposition de Zorn à San Francisco en 2013, et en avais gardé un excellent souvenir. J’aime quand les peintres nous incitent à revisiter d’autres peintres, comme Zorn pour Caillebotte ou Sargent. Ses nus préfigurent aussi la série des nus de Andrew Wyeth, avec son modèle Helga. Quelles superbes femmes robustes et expansives, s’exposant entre érotisme et maternité, annonçant à tort ou à raison l’érotisme brut et généreux que l’on prêtait aux Suédoises dans les années 60.
Et mon tableau préféré pourrait bien être, non un ‘coloré’ mais son plus célèbre, Sommarnöje. Avec son camaïeu de reflets il offre une éblouissante partition en gris mineur.
Francois
9 décembre 2017 @ 15:17
Un peintre qui savait capter l’âme de ses modèles
Cela est évident
Sylvie
9 décembre 2017 @ 18:06
Merci Danielle pour ce rappel ; je voulais absolument y aller mais ne pensais plus qu’elle se terminait le 17 décembre.
Teresa 2424
10 décembre 2017 @ 01:29
Tres bien… les clair-obscur!!!
Teresa 2424
10 décembre 2017 @ 01:40
Repond »Leonor »uhhh la guerra!! Je jamás le vue !!
Teresa 2424
10 décembre 2017 @ 01:42
Mal traducido : »Leonor »uhhh la guerre!! ! jamais le vue !!