Des chaussons d’enfant portés par Pauline Bonaparte, sœur de l’empereur Napoléon I, ont été retrouvés par hasard dans un coffre de vêtements à l’université d’Aberdeen. Ce coffre contenant des effets de la collection de Robert Wilson (1787-1871). Ami de Pauline Bonaparte, il a probablement reçu ses chaussons où est inscrit « Pauline – Rome – 1824 ». Ils sont à présents exposés au musée d’Aberdeen. (Merci à Anne P. – Copyright photo :DR)
Valeska
9 février 2013 @ 08:58
Reliques toujours émouvantes que ces découvertes-surprises,même si »Paolina » ne fut guère un exemple de bonté,comme ses soeurs… :(
Gabrielle
11 février 2013 @ 12:19
C’est la seule qui n’a pas abandonné son illustre frère, elle lui a rendu visite sur l’île d’Elbe
Pierre-Yves
9 février 2013 @ 10:39
Vous savez quoi ? ce week-end, je vais aller ranger ma cave, après tout, j’y retrouverai peut-être un kleenex dans lequel s’est mouché Turgot …..
MoniqueDN
9 février 2013 @ 17:52
Vous avez raison Pierre-Yves. Qui sait ce que renferment nos caves et greniers ? :)
Caroline
9 février 2013 @ 23:58
Pierre-Yves,j’en riiiiiiiiiiis!
Nos caves ou nos greniers peuvent toujours receler de petits trésors d’antan!Allons vite en besogne pour les dénicher et les publier dans le site de notre Régine!loool!
Valeska
10 février 2013 @ 09:23
Désolée de vous déranger en plein rangement,Pierre-Yves,mais je brûle de savoir:Au stade ou vous en êtes,là-maintenant-tout-de-suite,avez-vous dénicher un string royal oublié là chez vous il y a des siècles? ;)
Pierre-Yves
10 février 2013 @ 13:28
Rien de tel, hélas, ma chère !
Rien d’autre que le misérable tas de secrets de ma petite vie !
Valeska
11 février 2013 @ 10:39
…Un tas des secrets de votre vie qui doit avoir bien plus de valeur à vos yeux que de vieux chaussons usés,furent-ils princiers. ;)
Amicalement à vous,Pierre-Yves.
emy
11 février 2013 @ 15:44
Très joliment dit :)
Valeska
12 février 2013 @ 10:39
Merci Emy! :)
philippe gain d'enquin
12 février 2013 @ 19:49
Ce qui s’appelait alors une « ceinture de chasteté »…
philippe gain d'enquin
13 février 2013 @ 00:00
Valeska, chère, ce post était en réponse au vôtre…
Valeska
13 février 2013 @ 10:19
Ah,cher PGE,il n’y a que vous pour voir en un string,royal ou pas,une ceinture de chasteté!! ;) :)
Palatine
9 février 2013 @ 11:26
Kalistea, chère amie, parlez-nous de Pauline svp !
philippe gain d'enquin
9 février 2013 @ 17:29
Elle vivait sur un grand pied tout en ayant la cuisse légère…
Dame Tartine
10 février 2013 @ 23:19
Ca devait lui faire une belle jambe.
Valeska
12 février 2013 @ 10:39
PGE et Dame Tartine…C’est vrai qu’elle ne tenait jamais longtemps les deux pieds dans le même sabot! :)
philippe gain d'enquin
13 février 2013 @ 00:01
Elle fut pourtant toujours fidèle au « Saboléon » comme d’autres à Louboutin…
Kalistéa
9 février 2013 @ 19:42
Bonsoir ma chère Palatine.Je ne suis pas une spécialiste de la « vénus impériale », mais à vu de nez cela me semble le type- même de la fausse relique…Je rejoins Denis: Il se pourrait fort bien que la princesse Borghèse ait conservé des chaussons de son fils unique le petit Dermide Leclerc, qui décéda assez mystérieusement en son absence, alors qu’il avait été confié à des amis ,la famille Aldobrandini, si mes souvenirs sont exacts.
Pauline aimait tendrement son enfant ce n’est pas parcequ’elle n’était pas là au moment de ce décès que rien ne laissait prévoir qu’on peut emettre des doutes à ce sujet.
N’ayant pas eu d’enfants de son 2e mari, le prince Camillo Borghèse,Pauline s’attacha profondément à son filleul Paul, l’un des nombreux enfants de son frère Lucien.Elle en fit d’ailleurs son héritier (Mais il mourut lui a ussi dns des conditions non tout à fait élucidées)
Il se pourrait donc aussi qu’on ait retrouvé dans ses affaires des chaussons de celui-ci, gardés en souvenir.Pourquoi pas?
Bon dimanche chère amie et tous.K.
aubert
10 février 2013 @ 19:06
Deux enfants disparus, heureusement qu’à cette époque les congélateurs n’existaient pas…vous voyez d’ici de quoi on accuserait cette belle Pauline.
Valeska
11 février 2013 @ 10:41
Oooooh Aubert,AUBERT,AUBERT…!!!Tiens,je n’arrive à rien sortir d’autre! :) :) :)
philippe gain d'enquin
11 février 2013 @ 14:33
Vous pouviez, par exemple répondre : « Aubert, mon cher picard (hypothèse), vous nous jetez un de ces froids!A gla, gla, gla le commentaires… Allez, chère Valeska, allez vite vous venger avec un « exquis mot » maintenant que vous avez la méthode. A vous PGE
eskimo
11 février 2013 @ 21:48
On parle de moi ?
Valeska
12 février 2013 @ 10:43
PGE et Eskimo…C’est trop pour moi!
A l’instar de Pauline,et comme on dit au poker:je me couche :)!…Mais pas dans un igloo,hein? ;)
philippe gain d'enquin
12 février 2013 @ 19:51
L’on ne se couche, froidement, que dans du sapin ma chère!
philippe gain d'enquin
12 février 2013 @ 19:53
Ne vous en faites pas tout un cinéma! A vous, l’ouvreuse du « Rex » (N/R obligeant…)
Valeska
13 février 2013 @ 10:21
Ami PGE:Silence,on tourne! :)
Denis
9 février 2013 @ 16:11
Des chaussons » d’enfant »? Pauline avait donc un si petit pied ? en 1824, 1 an avant sa mort , elle avait 44 ans et en fait d’enfant elle n’en avait eu qu’un précocément décédé en bas âge à l’époque où elle était Mme Leclerc… aurait-elle conservé des chaussons lui ayan
t appartenu? guère probable vu les légers sentiments maternels de la soeur de l’ empereur !
clafouti
9 février 2013 @ 16:52
Je vois que le problème n’est pas récent ,encore aujourd’hui un soir sur deux ,je m’exclame « où sont tes chaussons ? qu’as-tu fait de tes chaussons ? çà réconfote de savoir que c’est une enigme universelle…
aubert
10 février 2013 @ 19:01
une histoire de chaussons rapportée par clafouti, çà met l’eau à la bouche!!!
Valeska
11 février 2013 @ 10:42
Gourmand,va! :)
Vous les préférez aux pommes ou aux cerises? ;)
aubert
11 février 2013 @ 15:10
Je les aime tant que je les aime aux cerises, aux poires, aux abricots et bien sûr aux pommes.
…et ma recette est celle de « maman »!!
Jean Pierre
9 février 2013 @ 16:57
Tu parles d’une trouvaille !
Valeska
10 février 2013 @ 09:19
Oh ben!…Si quand même,Jean-Pierre,c’est joli…Vous nous trouvez fétichiste? ;)
Claudia
9 février 2013 @ 17:52
en lisant le titre je me demandais comment diable les chaussons de Pauline Bonaparte pouvaient bien se retrouver à Aberdeen…le monde était déjà petit, même à son époque !
COLETTE C.
9 février 2013 @ 20:56
J’avais compris que les chaussons trouvés avaient été portés par Pauline lorsqu’elle était enfant, et qu’elle les avait offerts en 1824.
Dame Tartine
10 février 2013 @ 01:40
Faut se sentir drôlement importante pour offrir ses chaussons à un ami, et savoir qu’il sera fou de reconnaissance. Je n’ai pas encore compris s’il s’agit de chaussures d’intérieur ou de chaussettes. C’est quoi exactement un chausson d’adulte? Je ne connais que les chaussons de bébé.
Michèle
12 février 2013 @ 14:25
et moi les chaussons aux pommes!
Mélusine
12 février 2013 @ 16:18
Et moi les chaussons de ballerine, en satin blanc.
Mélusine
10 février 2013 @ 01:45
Agée de quinze ans, la beauté de Pauline faisait dire au poète Arnault « c’est la plus jolie personne qu’on peut voir et aussi la plus déraisonnable qu’on peut imaginer ».
Coquette et fantasque sans doute, mais fidèle à son frère l’empereur, qu’elle voulut rejoindre dans son exil à Sainte Hélène, requête à laquelle les autorités anglaises ne daignèrent pas répondre.
*gustave de montréal
10 février 2013 @ 04:57
Elle avait de tout petits petons
Palatine
10 février 2013 @ 12:15
… et de trop grandes oreilles, malheureusement. Elle s’arrangeait pour les cacher avec des coiffures bien étudiées. Nobody is perfect…
Kalistéa
10 février 2013 @ 12:56
Ici les oreilles sont découvertes chère Palatine, elles me semblent tout à fait normales…C’est cette petite peste de Laure Junot qui raconte une histoires de vilaines oreilles; Elle était tout simplement jalouse de « la plus belle femme de son temps » suivant son frère l’empereur.
D’ailleurs tout le monde sait que les fameuses mémoires de la duchesse d’Abrantès ont été écrites en gde partie par B&lzac.
Il n’avait jamais connu Pauline.
Bon dimanche chère amie. K.
Palatine
10 février 2013 @ 13:20
Ce portrait est très « courtisan » chère Kalistea. J’ai vu d’autres portraits où les oreilles pointent leur nez. Tiens, je fais du Ponson du Terrail sans le vouloir.
Pierre-Yves
10 février 2013 @ 19:04
Pauline, la plus belle femme de son temps ? Je croyais que ce titre appartenait à Mme Récamier.
Valeska
11 février 2013 @ 10:44
Je confirme que Juliette Récamier était une beauté,voir le tableau de Gérard…
Palatine
11 février 2013 @ 16:25
elles étaient belles toutes les deux, mais madame REcamier a vécu plus longtemps.
Cosmo
10 février 2013 @ 20:20
Nous pourrions chanter tous en choeur sur l’air de Valentine avec la gouaille de Maurice Chevalier:
« Elle avait de tout petits chaussons
La Pauline
Elle avait de tout petits petons
Que l’on tâtait à tâtons…
Ah les petits petons dans les petits chaussons
de la coquine… »
Valeska
11 février 2013 @ 10:46
Eh bien,Ami Cosmo,vous nous aviez caché ce talent…Bravooo! :)
Cosmo
11 février 2013 @ 14:59
Chère Valeska,
Je sais qu’il ne convient pas de laisser son talent sous le boisseau mais de là à tout révéler sur N&R…
C’est bon de rire. ;)
Amicalement
Cosmo
caillou
11 février 2013 @ 18:52
Chacun prend son pied dans cette petite nouvelle!
Cela nous change des combats acharnés sur les devoirs des princesses ou la légitimité des héritiers…vive la bonne humeur! :)
Cosmo
11 février 2013 @ 21:43
Caillou,
Quand il s’agissait de prendre son pied, la belle Pauline n’était pas la dernière.
Et comme vous dites…Vive la bonne humeur !
Cordialement
Cosmo
Valeska
12 février 2013 @ 10:48
Chers Cosmo et Caillou,
Oh que oui,mille fois d’accord avec vous! :)…Et notre Palatine qui suit n’est pas en reste!
Je vous hisse sur un pied..estal! ;)
Palatine
11 février 2013 @ 21:54
Et si ca continue, Gustave va chanter « Alouette,alouette » comme c’est déjà arrivé, car on a mainenant des pieds, une belle jambe, une cuisse légère, des oreilles… et le nez ? et le nez !
caillou
12 février 2013 @ 16:58
ah! Chère palatine, vous me coupez l’herbe sous…le pied! ;)
Cosmo
12 février 2013 @ 19:28
Alouette, gentille alouette…
Pauline a été plumée plus d’une fois…
Amicalement
Cosmo
Palatine
13 février 2013 @ 11:10
je crois, Cosmo, qu’on « trousse » aussi les volailles…
Cosmo
13 février 2013 @ 21:18
En effet, Chère Palatine !
Mais avouez que pour la soeur de L’Aigle être traitée de volaille, c’est un peu fort de…café!
aubert
14 février 2013 @ 16:20
Un peu plus tôt le café de la France ne foutait-il pas le camp ?
philippe gain d'enquin
12 février 2013 @ 19:54
Mais elle était fragile, puisqu’en « carton »…
philippe gain d'enquin
12 février 2013 @ 19:55
Réponse tardive à Cosmo qui « se sera reconnu »…
Cosmo
13 février 2013 @ 11:04
;)
Kalistéa
13 février 2013 @ 11:35
Amusant Phil G E,je ne crois pas qu’à son époque Pauline ait c onnu les papa les tutu les éviers…Et qu’elle se soit jamis fait plumer sous les palétuviers!
A vous.K.
Mélusine
13 février 2013 @ 13:09
Trop tard, PGE, Cosmo prépare sa « valise ».
Cosmo
13 février 2013 @ 21:22
Chère Mélusine,
Il est vrai qu’il m’arrive, parfois, d’avoir envie de « faire ma valise » de N&R mais heureusement des amis, comme vous, PGE et bien d’autres m’y retiennent. Et il en est auxquels je ne veux faire ce plaisir.
Et puis on s’y amuse trop…
Amicalement à tous les deux
Cosmo
Valeska
14 février 2013 @ 10:55
Oh,si cher Cosmo,comme vous le dites,on s’y amuse trop entre gens de bonne humeur qui aimons rire,nous taquiner,partager,tout en s’instruisant souvent sur l’Histoire qui est notre dénominateur-passion commun…
Laissez la valise où elle est,on y perdrait trop!…
Grandes amitiés à vous!
aubert
14 février 2013 @ 16:24
Cosma, Qu’est-ce que cette histoire de valise ?
Il est vrai qu’aujourd’hui avec les roulettes on peut revenir plus vite.
aubert
14 février 2013 @ 16:30
…avec mes excuses cher…Wladimir.
Valeska
15 février 2013 @ 11:44
Cher Aubert,Vladimir Cosma est l’un de mes compositeurs contemporains préférés.
Valeska
15 février 2013 @ 11:46
Oh Bonne Mère,Aubert!!Je me relis et….
N’allez surtout pas voir une »correction » dans l’orthographe de Wladimir!…J’ignore absolument moi-même si son prénom s’écrit avec un »V » ou un »W ».
Chatte échaudée craint l’eau froide! ;) :)
Bien à vous!
philippe gain d'enquin
18 février 2013 @ 22:55
Auquel Claude François rendit un superbe hommage, qui m’arrache des larmes à chaque fois que je l’entends, lorsque je suis à Alexandrie et que j’ai le « ca » phare,à l’ombre de mon magnolia, with fever : « Cosma’bitude, tu te couchera, Cosma’bitude, on fera l’a… etc… » Je me doutais, que vous fêtiez la saint Vladimir, « Le Soleil de DIeu »! A vous, PGE
philippe gain d'enquin
18 février 2013 @ 22:57
couchera (s) avec un « s » : c’est mieux, l’idée de groupe n’en est que plus réelle… Alexandrie, Alexandra… PGE Bis, comme « Numéro bis », dans « Astérix et Cléopâtre », de « Cinq à Sept »…
¨Palatine
13 février 2013 @ 16:51
vous ne croyez pas si bien dire Philippe. Il y a eu une actrice dans le temps qui s’appelait Pauline Carton.
aubert
14 février 2013 @ 16:25
la Maharané de Samacoutra dans Malheur aux Barbus !!
Palatine
14 février 2013 @ 21:52
Pas vu dans ce film. Mais plutot dans des rôles de concierges et de bonniches.
Quand je pense que vous et moi nous aurions pu aller au cinéma ensemble, au Quartier Latin, et sécher les cours. Nous nous sommes ratés.
Michèle
13 février 2013 @ 01:57
Musée de l´Université d´Aberdeen
Les pantoufles sont faites de soie et de cuir de 21cm de long et de seulement 5,5cm de large.
Voici photo des pantoufles(A pair of slippers)
http://www.abdn.ac.uk/kingsmuseum/blog/-A-Treasure-Chest/
Dans la liste des objets donnés à l’Université d´Aberdeen par Robert Wilson (1787 – 1871) est la description de « Une paire de pantoufles – Pauline, Rome le 20 janvier 1824. » La même inscription est à la base de la pantoufle.
http://news.stv.tv/north/212751-napoleons-sisters-slippers-unearthed-after-140-years-in-aberdeen/
Michèle
Mélusine
13 février 2013 @ 13:13
Merci pour ce lien, Michèle. Ces jolis chaussons auraient pu être ceux d’une ballerine. Ne manquent que les rubans pour les nouer autour des chevilles.
Palatine
13 février 2013 @ 11:14
Grace à vous Michele, j’ai compris. Il s’agissait donc de pantoufles (slippers).
Mais c’est vrai que des journaux ont écrit « chaussons » ce qui nous a égarés.
A vue de nez , je dirais que Pauline faisait du 35 ou du 36.
aubert
14 février 2013 @ 16:29
A vue de nez, celui du 11.02 à 21h54.
JP Constant
26 janvier 2016 @ 13:30
Il en existe une, noire, ravissante, dans une vitrine Empire du musée Carnavalet. Paris 3ème.