Après avoir retrouvé en réserve les embrasses (pour accrocher les rideaux) livrés en 1837 pour le roi Louis-Philippe à Trianon, le Château de Versailles a sollicité la Maison Declercq Passementiers pour les copier à l’identique. À voir en juin dans la chambre-cabinet de Louis-Philippe au Grand Trianon. (Copyright photos : EPV)
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Ciara
23 janvier 2020 @ 03:12
Superbe !¡
Francois
23 janvier 2020 @ 06:51
La passementerie Française etait unique , diverse au Point
d’en être illimitée .
Finition suprême , elle témoigne du raffinement extrême
de la civilisation .
Au XIXEME siècle grâce à la mécanisation et à l’abondance
des matières elle eut un éclat particulier , Et l’on en mit
en abondance .
Aujourd’hui la diversité a beacoup diminué.
Il s’en fabrique de la Tres Belle comme chez Houles .
Mais c’est extrêmement onéreux.
CatherineA
23 janvier 2020 @ 07:50
Magnifique 😍
La joaillerie de la passementerie , j’ai vu de près quelques unes de ces merveilles,ce week-end au MOM (maison et objet ) j’étais comme une gamine devant la vitrine d’un confiseur .
C’est un savoir faire Français ,résultat d’une très grande technicité,dont les prix ,évidemment s’envolent très vite .
bételgeuse70
23 janvier 2020 @ 07:56
Heureusement qu’il y a encore des entreprises pour refaire certaines choses à l’identique.
Roselilas
23 janvier 2020 @ 08:25
Magnifique travail aussi beau qu’un bijou. Quelle finesse dans sa réalisation. Le reflet du savoir faire à la française. Merci Régine de nous montrer une aussi belle réalisation.
Ludovina
23 janvier 2020 @ 08:48
Quelles merveilles, j’en reste ébaubie et admirative du savoir-faire incomparable des passementiers-artistes qui nous permettent d’admirer leurs créations.
Et les couleurs sont splendides, je n’oserai même pas effleurer ces œuvres d’art.
marianne
23 janvier 2020 @ 08:54
Un travail de maitre , vraiment admirable !
septentrion
23 janvier 2020 @ 10:14
Quel raffinement et quel beau travail d’art.
Antoine
23 janvier 2020 @ 10:16
Très beau travail. Une époque où l’on osait les couleurs franches. Stop à l’uniformité des intérieurs grisâtres ou beigeasses de notre époque tous formatés à l’identique, déco comprise. La mondialisation frappe jusqu’à l’intérieur des foyers.
Charlotte
23 janvier 2020 @ 14:21
Antoine, comme souvent lorsqu’une mode est « lancée » elle est , « outrancée »
D’accord pour vos « grisâtres ou beigeasses » qui n’ont aucune allure, aucun charme car formatés à l’infini.
Et j’aime voir les décors reproduisant à l’identique, ou d’origine qui meublent châteaux, maisons de maître etc mais j’ai un mauvais souvenir d’un décor Napoléon III, meubles en poirier noirci je crois, lourdes tentures grenat ou vert sombre assortis de passementeries or !
Pour ma part, j’aime le style « gustavien », bien interprété ; du gris oui bien sûr, mais aussi des pastels, des bleus doux, des verts de gris, des roses poudrés, du lin, des dorures mais discrètes et par ci par là une touche de couleur un peu « osée » mais toujours en harmonie avec l’ensemble du décor et pour tout vous dire je préfère encore voir des gris et des beiges fades plutôt que certaines couleurs qui se voulant franches deviennent vite criardes car mal assemblées, ce qui n’est pas le cas ici, je vous l’accorde.
Antoine
24 janvier 2020 @ 15:03
Charlotte, j’aime aussi beaucoup le style gustavien, simple et chic à la fois. Mais je dois vous avouer que mon salon à la campagne est Napoléon III en poirier noirci… Comme je l’ai toujours connu, je ne le vois même plus ! Il y a plus chic, je vous l’accorde, mais il arrive que l’on s’attache aux choses davantage pour les souvenirs que pour l’esthétique…
Charlotte
25 janvier 2020 @ 11:39
Antoine, ce n’est pas une question de chic, c’est une question de « trouille » de petite fille qui lors de séjour chez une aïeule dormait dans une chambre vert et noir… alors hélas je n’en n’ai pas de bons souvenirs,mais je suis certaine que votre salon de campagne est fort agréable et je vous comprends s’il a été témoin de moments familiaux doux aux souvenirs.
Bon dimanche
mirabelle
23 janvier 2020 @ 15:01
Antoine,
quel plaisir de lire votre commentaire ! merci !
Antoine
24 janvier 2020 @ 15:04
Pas de quoi, Mirabelle. Vous l’aurez compris, je ne suis pas « in » du tout…
Philibert
23 janvier 2020 @ 11:21
Ce n’est pas de la restauration, c’est de la copie moderne d’un objet ancien.
Est-ce vraiment utile, quand on connaît le nombre d’immeubles anciens en mauvais état et qui ont grand besoin de restauration ?
Gérard
23 janvier 2020 @ 11:56
Le budget du château de Versailles est consacré aux châteaux et au parc de Versailles.
NicoleC34
23 janvier 2020 @ 15:17
Évidement que c’est utile , ça permet de préserver et d’enseigner un savoir faire unique .
Pascal
23 janvier 2020 @ 13:50
J’avoue que je trouve ça « beau » mais je ne suis pas capable d’en apprécier le travail et la qualité à sa juste valeur , heureusement d’autres ici le peuvent et m’en font bénéficier.
Je les remercie.
Il ne faut pas oublier que ces commandes publiques ou semi-publiques contribuent à assurer la survie de ces maisons et ainsi leur permettent aussi de satisfaire la clientèle privée, et au final de faire vivre des gens dont on peut penser que leur travail les épanouit.
Brigitte - Anne
23 janvier 2020 @ 21:11
De toute beauté !
Caroline
23 janvier 2020 @ 22:36
Que c’ est beau, l’ art de la passementerie !
Brigitte - Anne
24 janvier 2020 @ 16:59
Ah oui Caroline !
Baboula
24 janvier 2020 @ 17:14
La couronne danoise faisait ( peut-être encore) réaliser ses doubles rideaux et embrasses chez des artisans tapissiers parisiens.