Mise en vente par Christie’s à Londres de ce diadème en diamants attribué à Cartier (1910) et qui appartient à la comtesse Lilias Bathurst (1871- 1965).
Mise en vente par Christie’s à Londres de ce diadème en diamants attribué à Cartier (1910) et qui appartient à la comtesse Lilias Bathurst (1871- 1965).
Charlotte (de Brie)
23 juillet 2020 @ 06:26
J’aime !
Je n’y connais rien en bijoux, ça me plait ou pas comme ça au premier coup d’oeil.
Ici tout me va, l’or jaune, le serti clos, la taille des diamants, les entrelacs de paniers fleuris, les « C » entourant les paniers.
Je confirme, ce diadème est pour moi !
Modeste, je suis.
ciboulette
23 juillet 2020 @ 13:49
Ou pour moi . . .je l’aime aussi , mon initiale est un C ( le pseudo comme mon vrai prénom ).Comme ce serait dommage de nous battre , je propose que nous le portions en alternance tous les trois mois .Why not ?
Charlotte (de Brie)
24 juillet 2020 @ 16:07
Je suis partante, qui met la première enchère ?
Menthe
24 juillet 2020 @ 17:19
Je me joins au groupe aussi, Ciboulette, ayant le même prénom que vous 😍
Alors, à quand mon tour ?
ciboulette
25 juillet 2020 @ 14:03
Non , c’est pas vrai ? Le même prénom que moi ? ça alors !
ciboulette
25 juillet 2020 @ 14:02
Vous étiez la première , c’est à vous de commencer !
aubert
24 juillet 2020 @ 13:26
Que serait-ce si vous y connaissiez quelque chose ?
Charlotte (de Brie)
24 juillet 2020 @ 16:09
aubert, simple constatation visuelle, car si on m’interrogeait sur la qualité des pierres alors là !
framboiz07
23 juillet 2020 @ 06:36
Espérons que Cartier le rachètera , ce qu’ils font souvent pour leur collection !
JAY
23 juillet 2020 @ 08:16
Quelques info sur cette femme d’affaire et sa descendance:
On 15 November 1893, Bathurst married Lilias Margaret Frances Borthwick,[1] only daughter of Algernon Borthwick, 1st Baron Glenesk, owner of The Morning Post and his wife Alice Beatrice Lister, daughter of the novelist Thomas Henry Lister, and his wife Maria. They had four children:[2]
Lady Meriel Olivia Bathurst (3 September 1894 – 18 January 1936). She married Captain Lord Alastair Mungo Graham, son of Douglas Graham, 5th Duke of Montrose.
Lt-Col Allen Bathurst, Lord Apsley (3 August 1895 – killed on active service 17 December 1942)
Hon. William Ralph Seymour Bathurst (21 September 1903 – 10 September 1970). He married Helen Winifred Heathcoat-Amory, daughter of Lt-Col Harry William Ludovic Heathcote Heathcoat-Amory, of the Heathcoat-Amory baronets.
Hon. Ralph Henry Bathurst (26 September 1904 – 5 December 1965).
Guillaume
23 juillet 2020 @ 08:21
Ces gens avaient bien beaucoup d’argent que pour acheter tant de couronnes
Alors que le peuple mourrait de faim a être exploité par ces nobles
Et il faut encore se courber devant eux
Phil de Sarthe
23 juillet 2020 @ 11:28
Cher Guillaume, au vu de vos commentaires récents, j’ose une suggestion. LFI doit bien avoir un site? Si vous y faisiez un tour?
Madame Michu
23 juillet 2020 @ 20:32
Oh, que c’est bien envoyé ! J’ai bien ri
aubert
24 juillet 2020 @ 14:02
C’est bien envoyé mais n’oublier pas que si sur ce site on compte quelques amis égarés de l’extrême gauche on compte aussi, en plus grand nombre, des amis de l’extrême-droite. Dommage que ces derniers se proclament, directement ou plus sournoisement, royalistes. Seul Charles X leur trouverait de l’attrait.
ciboulette
25 juillet 2020 @ 14:05
Ni les gens d’extrême gauche ni ceux d’extrême droite ne peuvent être mes amis . Je n’aime pas les extrêmes .
Laurent
23 juillet 2020 @ 21:13
Que ce commentaire est ridicule
Comme il vous est suggéré quittez ce site et adhérez au PC ou à LFI
Ce parti qui en URSS a fait le malheur de millions de gens
Et qui partout dans le monde où il existe encore ne fait que des saloperies ,remplit les prisons .
Enfin un parti ignoble
Et où avez-vous vu que nous devions nous courber devant les nobles
Quand on ne connaît rien à l’histoire on se tait
Je connais de nombreux nobles qui travaillent comme tout le monde qui sont totalement désargentés mais qui par contre savent se tenir et savent respecter lceux qui ne pensent pas comme eux ,ce qui n’est visiblement pas votre cas .
Comme tous les extrémistes vous êtes désagréable et ne savez que dire des inepties
Gérard
24 juillet 2020 @ 18:03
Des riches et les pauvres il y en aura toujours le Christ l’avait dit.
Seulement en général ce sont les riches qui font travailler les pauvres et qui leur permettent de vivre. Ces riches ne sont pas forcément des nobles parfois ils sont anoblis comme on le voit ici.
Si l’argent reste enfoui dans les coffres forts il ne profite à personne alors autant qu’il soit dépensé.
Vitabel
24 juillet 2020 @ 21:40
Il s’en ira peut-être mais reviendra sous un autre pseudo, comme d’autres sur le site, et continuera à déverser son fiel…
aubert
24 juillet 2020 @ 13:50
Guillaume, Vous souhaitez remplacer « faire suer le burnous » par « faire suer le diadème « .
C’est une idée à soumettre à nos grands argentiers qui de gauche comme de droite ne sont pas dépourvus d’idée.
N’oubliez pas toutefois qu’il y a infiniment moins de diadèmes que de burnous
Mary
23 juillet 2020 @ 08:29
C’est le vide-grenier des diadèmes en ce moment…
septentrion
23 juillet 2020 @ 10:50
Un joli diadème
http://www.noblesseetroyautes.com/lheritage-de-la-comtesse-douairiere-de-bathurst/
Lilias Margaret Frances, comtesse Bathurst ( née Borthwick, 12 octobre 1871 – 30 décembre 1965) était un éditeur de journaux britannique qui possédait The Morning Post. Son père, Algernon Borthwick, 1er baron Glenesk, était propriétaire du journal et avait ravivé sa fortune. Il mourut en 1908 et le contrôle du journal passa à Lady Bathurst.
Hervé J. VOLTO
23 juillet 2020 @ 13:43
Cher Guillaume, pardonnez-moi et excusez-moi, mais…
vous avez écrit :
“Ces gens avaient bien beaucoup d’argent que pour acheter tant de couronnes
Alors que le peuple mourrait de faim a être exploité par ces nobles
Et il faut encore se courber devant eux”.
Parce que vous pensez que la Révolution dite Française a changé quelque chose ? Pourquoi pensez-vous que les Gilets Jaunes descendent dans le rue ? Perte des repaires moraux, délocalisations, chônage, précarité, insécurité, lois liberticides et fiscalité confiscatoires : en ce début de XXI° siècle, prenez patience, mais ce n’est plus la faute à Marie-Antoinette…
Comme dit Mary, ce vide-grenier des diadèmes en ce moment est mauvais signe…
aubert
24 juillet 2020 @ 13:39
Etes-vous si sûr que le sort des gilets jaunes soit comparable à celui du peuple de l’ancien régime.
Croyez-vous qu’à cette époque, lors de calamités naturelles ou sanitaires on restait trois mois chez soi, inactif, aux « frais de la princesse ».
L’exagération et le parti-pris enlève beaucoup de crédibilité à votre commentaire.
Gérard
24 juillet 2020 @ 18:11
En l’espèce tout de même beaucoup de gens sont restés chez eux aux frais non pas de la princesse mais de leurs propres frais notamment tous les travailleurs indépendants malgré quelques aides qui ont pu être parcimonieusement apportées.
Et en cas de mauvaises récoltes, de catastrophes naturelles, d’épidémies, nos ancêtres se trouvaient fort démunis.
Il y avait certes des aides qui pouvaient être apportées par l’État ou par l’Église ou par des personnes généreuses. Néanmoins il est vrai qu’il existe aujourd’hui un système de sécurité sociale en quelque sorte qui n’est pas parfait, qui est très coûteux mais…
aubert
25 juillet 2020 @ 12:34
Merci Gérard au royaliste que vous êtes de bien vouloir par ces dix lignes, au fond, même du bout du bout des lèvres, confirmer mon propos.
Il est vrai que votre « royalisme » est d’une autre trempe que celui, farfelu, du farfelu monsieur Volto.
ciboulette
23 juillet 2020 @ 13:51
Merci pour l’histoire du diadème et de sa propriétaire !
Mer déchaînée 🌊
23 juillet 2020 @ 16:51
👍💗
Jean Pierre
23 juillet 2020 @ 16:59
Qui vend ?
On se souvient de la querelle entre les Bathurst et leur belle-mère.
Danielle
23 juillet 2020 @ 17:18
Ce diadème est beau, qui l’achètera ??
chicarde
23 juillet 2020 @ 21:26
Ce diadème est magnifique !
Cosmo
24 juillet 2020 @ 07:11
Qui peut acheter un diadème aujourd’hui ? Et pour quoi faire ? Princesses et reines en ont déjà. Quant aux autres, pour quelle occasion ?
aubert
24 juillet 2020 @ 13:31
Mais moi cher Cosmo !
Je propose à Charlotte et Ciboulette de me joindre à elles.
Avec un(e) quatrième nous serions en quartier comme les nobles d’ancien régime. Et, le portant, lors de la rédaction de nos commentaires, ceux-ci s’en trouveraient noblement valorisés.
ciboulette
24 juillet 2020 @ 15:22
Why not ?
Charlotte (de Brie)
24 juillet 2020 @ 16:07
Voilà, nous nous partagerons le diadème à durée égale et le porterons comme vous le suggérez en lisant et commentant les articles proposés par Régine.
Bon ce qui est un peu embêtant est que nous ne pourrons participer que trois mois par an…
ciboulette
25 juillet 2020 @ 14:09
Oui , mais nous pourrons prendre des photos , nous les envoyer les uns aux autres , à Régine , qui en fera un article , à notre famille qui sera enfin sûre que nous ne délirons pas , et même à la presse nationale !
Robespierre
24 juillet 2020 @ 16:13
Simenon racontait qu’il avait rencontré en Amérique une femme très riche (je crois qu’elle lui louait une proprieté) dans l’Ouest du pays. Elle ne voulait pas qu’une autre quelle fasse le menage et elle astiquait sa maison elle-même, mais avec aux bras, aux doigts et au cou, de somptueux bijoux, des émeraudes, des diamants…
Robespierre
25 juillet 2020 @ 09:47
… autre qu’ELLE, pardon
Cosmo
24 juillet 2020 @ 22:23
Chic, cela tombe à pic. J’en ai un petit lot à céder, hérité de ma tante, la princesse de Thüroül-Mahpoöl, née princesse Minchieta de Zoccola di Trastevere ( extraction pont et ficale). Comme ella été tondue en 1945, pour cause de collaboration très, voir trop, allongée, les diadèmes ne lui ont plus servi. Alors, elle nous les a donnés. Je vous fais un prix d’ami mais vous devez savoir que notre prince-comte de Haute-Voltige est aussi sur les rangs. Vous pourrez ainsi vous les partager avec les copines, Charlotte et Ciboulette, et nous doter de commentaires couronnés.
aubert
25 juillet 2020 @ 12:53
Vous me posez cher Cosmo un cas de conscience. Votre tante, dont je ne doute pas,malgré son nom, que le coeur était français, avait la regrettable habitude de le distinguer de son c.. comme l’aurait dit une actrice célèbre. Cela me gêne un peu de porter ses bijoux au cas extrême où un officier allemand passerait par là. Prendrait-il cela pour une invitation ou une provocation ?
Par contre les acquérir au nez et à la barbe du comte d’un pays ami de celui dont les hommes préféraient nos femmes allongées ne me déplairait pas.
Laissez-moi le temps de la réflexion et de la consultation de mes partenaires afin, qu’en toute transparence et après concertation, je puisse vous répondre: » ça roule ma poule, l’affaire est faite ».
Cosmo
26 juillet 2020 @ 17:43
Je comprends, cher Aubert, votre cas de conscience. Mais rassurez-vous, porter un diadème n’oblige pas à se laisser séduire par le premier officier allemand qui passe. Oui, ma pauvre tante, italienne de naissance, avait épousé un français des marches de l’Est. Elle pensait être l’instrument d’un rapprochement historique.
N’attendez pas trop pour vous décider avec vos partenaires. C’est à contre-cœur que je le laisserais à d’autres mais bon, business is business. J’aimerais que nous puissions dire ensemble » l’affaire est dans le sac ».
ciboulette
25 juillet 2020 @ 14:11
Photos à l’appui !
Cosmo
26 juillet 2020 @ 17:45
Impossible, chère Ciboulette, ce sont des bijoux de famille que l’on n’expose pas aussi facilement. Prudence et pudeur s’imposent. Ma tante, la princesse de Thüroül-Mahpoöl, l’avait oublié. Vous connaissez le résultat.
Comme au poker, il faut payer pour voir…
Gérard
24 juillet 2020 @ 18:13
Maintenant les diadème sont achetés pour être maintenus dans des coffres et revendus un jour avec une plus-value.
Hervé J. VOLTO
24 juillet 2020 @ 22:15
Eexagération et parti-pris : peut-être, cher Aubert, je suis Royaliste et j’assume. Mais au-delà de tout, perte des repaires moraux, délocalisations, chônage, précarité, insécurité, lois liberticides et fiscalité confiscatoires : en ce début de XXI° siècle, ce n’est plus du tout la faute à Marie-Antoinette…
Cordialement
aubert
25 juillet 2020 @ 13:06
Aujourd’hui ce n’est pas exagération et parti-pris mais illusions et erreurs historiques.
Cela ne peut étonner quand on a lu le galimatias de votre propre site.
Il vous reste l’Espérance.
Anne-Charlotte
25 juillet 2020 @ 19:57
Zu