Au Lincoln Center de New York, la styliste Diane de Fürstenberg a participé à la 7ème édition du “Women In The World Summit Opening Night” (Copyright photo : getty images)
Certes elle a bien vieilli physiquement mais elle reste une redoutable femme d’affaire qui a très bien su s’entourer ! Son mari de façade est d ailleurs richissime et prospère.
Pas vraiment fan de ses collections mais il faut reconnaitre des prix abordables. Ah oui, elle avait été désignée en 2014 par Forbes la 68eme ’femme la plus puissante de l’univers de la mode’, mais bon, il y en avait 67 devant elle… dont l’indétronable Angela Merkel, depuis 10 ans en top position
DVF for ever !
Je me souviens aussi quand elle avait ouvert sa boutique dans le Meat Packing, tout etait horriblement cher mais chaque fringue sentait l’air du temps. Celui de la fin du siècle dernier. Cela relança sa carrière qui etait un peu à l’arrêt.
C’est une femme bien, elle a réussi, survécu à la pire des horreurs, et qui redistribue à travers diverses fondations l’argent qu’elle gagne.
Encore une » grande dame « , marchande de pattes, mariée deux fois, qui conserve le nom de son 1° mari car il ne s’appelait pas Martin.
Que fait-elle sur N&R ?
Puis-je me permettre de dire que je n’ aime pas ses créations ( la wrap-dress) . Pas tant le modèle mais les motifs des tissus qui me rappellent les années 70 .J’ ai vu récemment au Printemps à P aris un » corner » qui lui était réservé , j’ ai vite passé mon chemin .
A propos de ce corner, ou celui des Galeries Lafayettes, je ne sais plus, j’avais été surprise de voir, il y a quelques années, que les vêtements étaient fabriqués en Chine…
Oui, DVF porte ses 70 ans mais en revanche « the iconic wrap around dress » qu’elle a créée il y a 50 ans et qui continue d’habiller les femmes d’une certaine société n’a pas pris une ride. « Chic du matin au soir » et très pratique surtout pour les femmes d’affaires, cette robe est un incontournable de la garde-robe américaine.
Destin hors du commun de cette belge, fait d’intelligence et de travail qui aujourd’hui est devenue avec son mari Barry Diller un poids très lourd du mécénat new-yorkais. Notamment, dans le domaine urbain, la naissance de la « High Line » le long de l’Hudson à Manhattan.
Mon commentaire a été supprimé, pourquoi ? Je ne pense pas avoir été incorrecte. Je posais simplement la question de l’identité de « Madame » Furstenberg qui me fait penser au personnage joué par Michel Galabru dans « La cage aux folles ».
JAY
7 avril 2016 @ 08:08
Certes elle a bien vieilli physiquement mais elle reste une redoutable femme d’affaire qui a très bien su s’entourer ! Son mari de façade est d ailleurs richissime et prospère.
Auberi
7 avril 2016 @ 08:42
Pas vraiment fan de ses collections mais il faut reconnaitre des prix abordables. Ah oui, elle avait été désignée en 2014 par Forbes la 68eme ’femme la plus puissante de l’univers de la mode’, mais bon, il y en avait 67 devant elle… dont l’indétronable Angela Merkel, depuis 10 ans en top position
Dominique-Gibbs
7 avril 2016 @ 12:31
Auberi,
En 2015, elle était classée 75ème ! LOL
Jean Pierre
7 avril 2016 @ 08:47
DVF for ever !
Je me souviens aussi quand elle avait ouvert sa boutique dans le Meat Packing, tout etait horriblement cher mais chaque fringue sentait l’air du temps. Celui de la fin du siècle dernier. Cela relança sa carrière qui etait un peu à l’arrêt.
C’est une femme bien, elle a réussi, survécu à la pire des horreurs, et qui redistribue à travers diverses fondations l’argent qu’elle gagne.
Gauthier
8 avril 2016 @ 09:20
De quelle horreur voulez-vous parler Jean Pierre?
Jean Pierre
8 avril 2016 @ 11:52
La Shoah.
aubert
7 avril 2016 @ 09:41
Encore une » grande dame « , marchande de pattes, mariée deux fois, qui conserve le nom de son 1° mari car il ne s’appelait pas Martin.
Que fait-elle sur N&R ?
JAY
7 avril 2016 @ 22:44
Elle concerve son nom car c’est sa marque commerciale. C est un argument utilisé par les avocats lors des divorces.
Dominique-Gibbs
7 avril 2016 @ 12:31
Née Diane HALFIN à Bruxelles.
ghighi
7 avril 2016 @ 13:35
Puis-je me permettre de dire que je n’ aime pas ses créations ( la wrap-dress) . Pas tant le modèle mais les motifs des tissus qui me rappellent les années 70 .J’ ai vu récemment au Printemps à P aris un » corner » qui lui était réservé , j’ ai vite passé mon chemin .
Carole 007
7 avril 2016 @ 20:33
A propos de ce corner, ou celui des Galeries Lafayettes, je ne sais plus, j’avais été surprise de voir, il y a quelques années, que les vêtements étaient fabriqués en Chine…
Carole 007
8 avril 2016 @ 19:33
oups, Lafayette
Muscate
7 avril 2016 @ 14:13
Toujours une belle femme,très féline.
Francine du Canada
7 avril 2016 @ 23:15
J’aime aussi son p’tit côté félin! FdC
warwick
7 avril 2016 @ 15:28
Oui, DVF porte ses 70 ans mais en revanche « the iconic wrap around dress » qu’elle a créée il y a 50 ans et qui continue d’habiller les femmes d’une certaine société n’a pas pris une ride. « Chic du matin au soir » et très pratique surtout pour les femmes d’affaires, cette robe est un incontournable de la garde-robe américaine.
Destin hors du commun de cette belge, fait d’intelligence et de travail qui aujourd’hui est devenue avec son mari Barry Diller un poids très lourd du mécénat new-yorkais. Notamment, dans le domaine urbain, la naissance de la « High Line » le long de l’Hudson à Manhattan.
Nana
8 avril 2016 @ 09:01
Mon commentaire a été supprimé, pourquoi ? Je ne pense pas avoir été incorrecte. Je posais simplement la question de l’identité de « Madame » Furstenberg qui me fait penser au personnage joué par Michel Galabru dans « La cage aux folles ».
LAUS'ANNE
9 avril 2016 @ 14:23
Nana … comparer Mme de Fürstenberg à un personnage de la cage aux folles…euh, euh…!!! un peu incorrect non ?