En hommage au cinéaste Bernard Bertolucci, France 5 diffusera le lundi 3 décembre 2018 à 20h50 le film « Le dernier empereur » qui fut récompensé de 9 Oscars. (merci à Anne)
En hommage au cinéaste Bernard Bertolucci, France 5 diffusera le lundi 3 décembre 2018 à 20h50 le film « Le dernier empereur » qui fut récompensé de 9 Oscars. (merci à Anne)
Baboula
28 novembre 2018 @ 09:40
Beaucoup de talent et beaucoup de relents .
monica
28 novembre 2018 @ 20:02
Magnifique film surtout pour les costumes et le décor mais un peu long
Corsica
28 novembre 2018 @ 20:22
Baboula, phrase lapidaire qui résume bien la situation. La scène de viol de Maria Schneider puisque d’après ses dires, c’est de cela qu’il s’agit, est d’un total mépris pour l’actrice (non avertie de sa sodomisation) et la très jeune femme qu’elle était et qui en ressortira psychologiquement détruite. Que le metteur en scène qui poussait ses acteurs au bout en ait eu l’idée, c’est une chose, mais cela aurait pu en rester là si Brando n’avait pas accepté de passer à l’acte. Ils sont tous les deux à mettre dans le même panier car la recherche effrénée du réalisme ne justifie en rien cette scène d’agression qui aurait pu tout aussi bien être tournée avec le consentement de l’actrice ou ne pas être tournée du tout.
ambre
29 novembre 2018 @ 11:23
Vous avez raison sur toute la ligne, Corsica, une fois de plus.
J’ai aimé nombre de films de Bertolucci, mais sa personnalité me dégoûte. Brando n’est pas mieux.
Corsica
29 novembre 2018 @ 13:23
Sodomisation, kasako? Il fallait lire bien évidement sodomie.
dadouna
29 novembre 2018 @ 18:55
Vous avez raison. C’est sans doute un grand cinéaste et çà s’arrête là pour moi…Je me fiche carrément de l’hommage..c’est la raison pour laquelle je ne regarderai pas le film. Sale bonhomme.
Gérard
30 novembre 2018 @ 16:50
Vous avez parfaitement raison et ce film fut très destructeur notamment pour l’actrice. Toutefois le viol est simulé mais il reste au moins un viol moral car la victime n’était est pas consentante.
Milena K
30 novembre 2018 @ 17:28
Merci de rappeler cette sordide anecdote et ses conséquences, Corsiça.
milou
28 novembre 2018 @ 09:41
Grand cinéaste mais réalisateur très controversé et avec raison pour la scène du viol dans le « Dernier tango à Paris »!
J’ai beaucoup aimé aussi « 1900 « et « Little Bouddha « « un thé au Sahara »!!!
ml
ml
Pierre-Yves
28 novembre 2018 @ 09:46
Ne l’ayant pas revu depuis sa sortie, j’en ai gardé le souvenir d’un beau film, soigné, ordonné et rutilant. Ca m »avait beaucoup plu à l’époque. Je ne sais pas si je l’apprécierais autant aujourd’hui car il va de soi qu’en trente ans, les goûts (lesmiens en tout cas) évoluent. Et puis il est à craindre que le film ne soit très amoindri par le format écran de télé.
Corsica
28 novembre 2018 @ 16:50
Pierre-Yves, je partage votre avis sur le format télé qui, à mon avis, ne rendra pas justice aux scènes à grand déploiement tournées dans la superbe Cité Interdite. Ce fut aussi le dernier film à pouvoir profiter d’un tournage dans ce lieu.
MIKA 🌸
28 novembre 2018 @ 09:52
Les hommages ne sont pas bienvenus… Beaucoup reprochent au cinéaste son machisme et le fait d’avoir cache la scène scabreuse du dernier tango à Paris a Maria Schneider, scène dont elle ne s’est jamais remise…
j21
28 novembre 2018 @ 13:21
Les hommages sont rendus au cinéaste, pas à l’homme. Pour moi c’est l’un des plus grand, cinéaste bien sûr. Tous ses films que j’ai vus sont des chef-d’œuvres, mais je n’ai pas vu le Dernier tango à Paris
Françoise2
28 novembre 2018 @ 09:58
je ne peux pas voir ce film magnifique et repenser à l’horreur du dernier tango et ce qu’il a fait subir à la jeune actrice Maria Schneider avec la complicité de Brando. La part d’ombres est trop importante pour que les hommages soient unanimes.
Menthe
28 novembre 2018 @ 10:47
Film magnifique à revoir avec plaisir.
Leonor
28 novembre 2018 @ 14:25
Dans les commentaires que je lis, là … on mélange tout.
Il s’agit du « Dernier Empereur », pas du » Dernier tango » .
On peut condamner une chose, sans en condamner d’autres.
Sinon, autant systématiquement et toujours, jeter le bébé avec l’eau du bain.
Ex : on jette tout Cioran, tout Céline, tout Luther, tout Calvin. Et puis Choderlos de Laclos, Wagner, Eisenstein, Lautréamont, Apollinaire, et tout et tout. Et les cathédrales avec parce qu’il y a eu l’Inquisition. Ben voyons.
La bien-pensance, ça va bien comme ça.
Auberi
30 novembre 2018 @ 10:41
Yep Leonor ! Bien balancé ;)
nozzari
28 novembre 2018 @ 16:01
Difficile d’oublier le dernier tango et ce qu’il a imposé à Maria Schneider;
Brigitte - Anne
28 novembre 2018 @ 21:08
Oui ce film est magnifique ! Ne parlons pas du dernier tango à Paris , monstrueux et je n’ai pas aimé non plus 1900 !
Jade
28 novembre 2018 @ 22:59
Un grand cinéaste mais un sale bonhomme. Tout comme Polanski.
Leonor
29 novembre 2018 @ 10:35
Excellent résumé. Et ce schéma est courant et plus que ça dans le monde artistique-culturel. Est et était. Pas général, mais courant. Je sais de quoi je parle. Heureusement ou malheureusement, je ne sais pas. Parce que dans ce monde-là, celui des artistes, on touche à la fois le ciel et l’enfer.
YOM
30 novembre 2018 @ 03:00
Je n’ai pas aimé le dernier tango à Paris,encore que je ne m’en souvienne pas beaucoup,par contre j’ai adoré le dernier empereur et je n’ai pas aimé 1900.
Mary
30 novembre 2018 @ 10:05
J’ai détesté 1900… Et n’ai pas vu les deux autres.