Cliquez ici pour prendre connaissance d’un article de Christophe Vachaudez sur la prochaine vente par Sotheby’s des joyaux appartenant à la famille de Bourbon-Parme et pour certains hérités de la reine Marie-Antoinette. (Copyright photo : Sotheby’s)
Cliquez ici pour prendre connaissance d’un article de Christophe Vachaudez sur la prochaine vente par Sotheby’s des joyaux appartenant à la famille de Bourbon-Parme et pour certains hérités de la reine Marie-Antoinette. (Copyright photo : Sotheby’s)
jul
28 septembre 2018 @ 06:31
Bravo et merci à M. Vachaudez pour cette présentation éblouissante d’objets ayant appartenu au comte de Marnes (Louis XIX), à son épouse, au duc de Berry, passé dans la succession des ducs de Parme jusqu’à l’Infante Alice et aujourd’hui ses filles les duchesses de Salerne et de Syracuse. Cela passionnera les légitimistes français.
Puisse le duc d’Anjou recevoir rapidement communication de cet article et de cette vente.
Vieillebranche
28 septembre 2018 @ 06:40
Extraordinaire!!!!
Menthe
28 septembre 2018 @ 06:44
Quelles pièces magnifiques ! J’aime particulièrement la fleur au diamant jaune central.
Opaline
28 septembre 2018 @ 07:00
Allez Camilla, on casse la tirelire! :-)
Padraig
28 septembre 2018 @ 23:27
Je pense Opaline que vous confondez les Bourbon Parme et les Bourbons deux Siciles…
Gérard
29 septembre 2018 @ 13:08
C’est bijoux sont passés par mariage des Bourbon-Parme au Bourbon-Siciles.
miel
29 septembre 2018 @ 15:15
Ce n’est pas Camilla qui casse la tirelire, mais le fils d’Anne d’Orléans, Pedro de Bourbon deux Siciles duc de noto
Gérard
1 octobre 2018 @ 13:25
Ou ses tantes.
Severina
28 septembre 2018 @ 07:17
Le mot dispersion évoque quelque chose de triste et la fin de l’histoire d’une famille. Rationnellement l’on peut comprendre que conserver ce trésor peut ne plus correspondre aux besoins et aux expectatives des membres de la famille, mais la famille, avec ses traditions et se sens de la continuité de son histoire, existera encore?
HRC
28 septembre 2018 @ 08:32
Mazette…
Pierre-Yves
28 septembre 2018 @ 09:02
D’un point de vue patrimonial, on peut se désoler que cette somptueuse collection de joyaux historiques soit dispersée. Mais d’un point de vue pratique, on peut trouver des justifications à cela:
D’abord parce que les occasions de les porter ne sont pas légion.
Ensuite parce que c’est un apport d’argent bien commode, et autrement plus utile, si on veut acheter un appartement à ses enfants ou faire de gros travaux dans sa maison de campagne.
Enfin parce que de tels bijoux ne correspondent peut-être plus au mode de vie et au goût des descendantes de cette famille qui pourraient les porter aujourd’hui.
Muscate-Valeska de Lisabé
28 septembre 2018 @ 20:06
La voix de la sagesse…ces pièces splendides feront des heureuses.
CatherineA
29 septembre 2018 @ 06:53
Pierre Yves, vous avez résumé exactement le fond de ma pensé, n’en déplaise aux esprits chagrins , c’est facile d’évoquer un soi disant gachis où , comme on peut lire certains commentaires sur des articles concernant telle vente de château.
Nous ne pouvons pas juger , ce doit être un crève coeur pour ces familles qui doivent se séparer de collections où de demeures qui coûtent très cher , tout le monde n’a pas la fibre entrepreuneriale, je suis bien soulagée personellement de n’avoir pas hérité du fardeau de la « maison de famille »
Passer tous ses week-end, ses vacances au château, trembler après chaque coup de vent en songeant à sa vieille toiture , découvrir à chaque printemps les ravages de l’hiver , tenir cette charge à bout de bras et culpabiliser à l’idée de transmettre tout ça à ses propres enfants, qui aspirent eux mêmes à un autre choix de vie .
Ne jugeons pas ceux qui ont décidé de ne pas sacrifier leur existence à tenter l’impossible .
Leonor
29 septembre 2018 @ 14:03
Les Pinçon-Charlot ont écrit un excellent bouquin sur ce sujet. Sans compter l’ineffable Jean d ‘ Ormesson.
kalistéa
28 septembre 2018 @ 09:06
Quels Bourbon-Parme, il y en a tellement ?
Antoine
28 septembre 2018 @ 09:16
L’article de M. Vachaudez est très intéressant et parfaitement illustré. Il est passionnant de suivre ces splendides bijoux à la trace. Merci ! Certaines têtes couronnées, comme les autres, doivent consentir des sacrifices pour assurer leurs vieux jours. Il est vrai que la gestion de patrimoine n’est pas toujours leur fort.
Lionel
28 septembre 2018 @ 12:57
Le problème se pose plutôt pour les têtes qui ne sont plus couronnées que pour celles qui le sont.
Danielle
28 septembre 2018 @ 09:33
De très beaux bijoux ; espérons que quelques monarchies et musées s’en porteront acquéreurs.
Brigitte et Christian
28 septembre 2018 @ 09:53
bonjour à tous
Article très instructif et passionnant sur ces bijoux et la généalogie de leur succession. Espérons que la République achètera quelques bijoux de la Reine Marie Antoinette, bien qu’elle l’ait guillotiner sans raisons valables. Cela reste un trésor national .
Amitiés de Dracénie sous le soleil
framboiz 07
28 septembre 2018 @ 10:00
Bijoux français, qui partiront hélas !Mais les Bourbon -Parme sont Parme,plus que Bourbon et surtout Genève -Sotheby !
Cosmo
28 septembre 2018 @ 10:34
Ces joyaux sont époustouflants de beauté et d’histoire.
Qui vend ? La descendance de l’infant Charles de Bourbon des Deux-Siciles ou la descendance de ses soeurs, les princesses Thérèse et Inès ?
Les joyaux de Marie-Antoinette ne devraient-ils pas être achetés par la France ? Cela compenserait la dispersion des bijoux de la couronne au XIXème siècle.
Gatienne
28 septembre 2018 @ 12:43
Pensez-vous vraiment que si la République se portait acquéreur de tels joyaux, l’effet produit sur une grande majorité de français, dont certains peinent à joindre les deux bouts (je pense notamment aux retraités déjà bien ponctionnés) serait désastreux pour un gouvernement à la peine, actuellement ?
Gérard
29 septembre 2018 @ 13:11
Le peuple français est toujours content quand l’État investit dans le patrimoine historique, on l’a vu récemment mais aussi pour ce trésor venu de François Ier.
Gatienne
30 septembre 2018 @ 09:53
La pierre, oui, les pierres, plus douteux…
Jean Pierre
28 septembre 2018 @ 10:43
Article dans lequel on se perd un peu.
J’en retiens que Marie Thérèse trouve refuge chez son oncle Joseph II, lequel était mort depuis cinq ans lorsqu’elle arrive à Vienne en 1795. J’en retiens aussi qu’Alice la précédente duchesse de Calabre ne partageait pas son écrin avec sa bru.
Charles
28 septembre 2018 @ 11:55
L’Infante Alice a privilégié son petit-fils le Prince Pedro, actuel Duc de Calabre.
Mary
29 septembre 2018 @ 16:07
Privilégié comment , s’il ne peut même pas conserver un diadème pour son épouse ?
Même s’il a hérité d’une collection de bijoux ,il est vrai qu’étant le père d’une collection d’enfants,il vend l’une pour nourrir l’autre !
Régine
29 septembre 2018 @ 10:13
de la part d’Alberto : Sa bru n’a pas été rès gentille avec elle non plus. J’ai bien connu la princesse Marie Christine à la fin de sa vie à Vienne. Elle se souvenait de beaucoup de choses mais pas des chasses à Chambord. Un salut amical à Christophe Vachaudez
Laure-Marie Sabre
28 septembre 2018 @ 11:26
Il semble que cette collection ait une valeur inouïe : le nombre et la qualité exceptionnelle des pièces laisse présager une vente particulièrement fructueuse. Mais la princesse Alice ne sort pas grandie de l’affaire : son indifférence à l’histoire familiale, son incapacité à transmettre autre chose que des biens matériels à ses enfants et la mise à l’écart brutale de sa bru donnent à voir une personnalité aride et assez méprisable.
olivier Kell
28 septembre 2018 @ 11:59
Oui car en ignorant sa bru Elle a aussi et ainsi ignoré ses 5 petits enfants descendants de son fils.
Gérard
29 septembre 2018 @ 13:14
Qu’est-ce que c’est que cette histoire de mise à l’écart de sa bru la princesse Anne ?
miel
29 septembre 2018 @ 15:19
Anne d’Orléans la bru n’a pas toujours été tendre avec elle, et elle n’avait rien d’une personne aride et méprisable
Robespierre
28 septembre 2018 @ 11:34
Qui peut aujourd’hui s’offrir des bijoux pareils ? des milliardaires texans ou des princes du Golfe. Ou des Russes. Alors ce serait bien qu’un musée français se porte acquereur de quelques pièces historiques, surtout si cela vient de Marie-Antoinette
Leonor
29 septembre 2018 @ 14:08
Non, non, Robespierre. Oui, ces objets sont de toute beauté , et ont servi à la splendeur des rois, ce qui leur donne un petit arôme historique. Mais ce ne sont pas des bijoux de la Couronne. Je trouve que les musées français ont vraiment des choses plus intéressantes à acheter, avec les pauvres sous qu’ils ont.
kalistéa
2 octobre 2018 @ 11:04
Je suis de votre avis Léonor .
Claude Patricia
28 septembre 2018 @ 11:46
Une page se tourne, et si les musées pouvaient les acheter. L Histoire continue…le gros diadème est splendide en tout cas. Est ce que la reine d Espagne ne serait pas tentée? Nous resterions entre Bourbon. Bon à titre personnel, j ai oublié l Euromillion. Et pas de coffre fort…
Tianti
29 septembre 2018 @ 18:50
Les Luxembourg – qui sont aussi Bourbon-Parme – ont certainement les moyens financiers d’acquérir quelques unes de ces merveilles. Cela permettrait de garder une partie de ce patrimoine dans la Maison de Bourbon-Parme. Le duc de Calabre doit également avoir les moyens de récupérer certaines de ces pièces qui proviennent de sa famille. Parmi les familles régnantes il y a les Liechtenstein qui ont les moyens de d’acquérir ces bijoux.
Claude Patricia
30 septembre 2018 @ 09:42
Oui tout à fait.
Françoise
28 septembre 2018 @ 11:53
On ne peut faire la fête et des investissements imbéciles , donc on vend encore et encore jusqu’à la dernière épingle .ils sont indignes d’avoir eut de telles merveilles.
Gérard St-Louis
28 septembre 2018 @ 12:37
De belles broches à rajouter dans l’écrin de la reine Elizabeth…
Neoclassique
28 septembre 2018 @ 12:57
Cette vente des collections Bourbon Parme fait suite à la grande vente organisée par Sotheby s à Londres en 2010 sous le titre Noblesse Obligé et dans laquelle les princes de Parme de la branche ainee avaient déjà vendu près de 200 lots de tableaux, argenterie, porcelaines et autres souvenirs historiques.
Il est désolant que nombre de ces bijoux familiaux patrimoniaux n’ aient pas été légués à l actuel duc de Parme, chef de maison qui se trouve aujourd hui même à Parme pour la cère moni d attribution de l ordre Constantinen. Mais helas, les relations conflictuelles entre le prince Élie et ses demi frères les princes Sixte et Xavier à propos de l attribution de Chambord ne se sont jamais apaisées entre l aîné et les cadets
Marie1
28 septembre 2018 @ 14:40
Article très intéressant, superbes bijoux.
Espérons que la France se porte acquéreur de quelques pièces.
Gérard
28 septembre 2018 @ 16:59
Le feu duc de Calabre et ses sœurs n’ont pas été connus pour faire la fête ou des investissements imbéciles.
jul
29 septembre 2018 @ 11:49
Exactement Gérard. Vous avez dit ce qu’il fallait dire.
nozzari
28 septembre 2018 @ 17:03
Les pierres sont une chose, la monture en est une autre. Autant je trouve impressionnant un bijou qui est toujours sous sa forme d’origine, autant ça me laisse froid si les pierres ont été remontées. On peut souhaiter voir au Louvre un bijou de Marie-Antoinette ou de la duchesse d’Angoulême mais ça perd tout intérêt si les pierres d’un ordre du Saint Esprit ont été utilisées pour créer un diadème. C’est cependant inévitable avec les changements de mode.
Sheiley
28 septembre 2018 @ 18:14
En fait ce sont les filles de la Prince Alice qui sont vendeuses et du côté de sa sœur à Vienne qui sont ses héritiers -vendeurs ?
miel
29 septembre 2018 @ 15:21
La sœur de la princesse d’Alice est décédée célibataire, et sans enfant
Daniel D
28 septembre 2018 @ 18:17
Mais alors, il n’y a pas que les Orléans, qui dispersent leurs trésors familial!…
JAY
29 septembre 2018 @ 00:02
Encore des aristocrates qui n’ont jamais travaillé! Pas un bel exemple de vendre ces bijoux pour garder son train de vie ! La princesse Anne d’orleans n’était pas du tout apprécié voir pire de sa belle famille au point de la priver du port des bijoux de famille …..
Gérard
29 septembre 2018 @ 13:20
Sortons des clichés, en général le travail permet de vivre mais n’enrichit pas, ensuite cette famille exploite depuis longtemps des terres agricoles, c’est tout de même un travail de gestion.
Ensuite n’y a-t-il pas eu un partage équitable entre les trois enfants de l’infant Alphonse et de l’infante Alice ?
Quant aux diadèmes qui en porte encore ?
Pascal
29 septembre 2018 @ 10:15
Sans être vraiment connaisseur je perçois que ces bijoux sont d’une finesse exceptionnelle et d’un intérêt historique non moins remarquable.
J’espère qu’ils ne seront pas démontés!
Au passage , s’ils témoignent du goût de la reine on ne peut que rester sceptique devant l’hypothèse selon laquelle elle aurait souhaité porter la monumentale parure créée par Boehmer et Bossange et qui eut le funeste destin que l’on sait.
Gérard
29 septembre 2018 @ 13:22
Je suppose que c’est bijoux valent aussi pour leur provenance historique qui vaut peut-être autant que les pierres. On ne doit pas avoir intérêt à les démonter. Surtout s’ils sont achetés par un investisseur.
josaintvic
29 septembre 2018 @ 17:57
si j’ai bien suivi yo
Corsica
29 septembre 2018 @ 18:05
Je ne serai pas gourmande et me contenterai du magnifique saphir ornant l’une des broches :):). C’est difficile de juger les décisions prises par la famille mais si ces magnifiques bijoux devaient rester dans des coffres, je trouve préférable qu’ils soient à nouveau portés par d’autres femmes qu’ils rendront belles et heureuses. La roue de la vie a tourné et l’on n’y peut rien.
beji
29 septembre 2018 @ 20:19
Si comme l’écrit Charles la princesse Alice a privilégié le prince Pedro,elle a fait comme avait fait la mère de Rainier avec Grace en donnant ses bijoux à Caroline pour que Grace ne les porte pas.
Françoise
30 septembre 2018 @ 05:02
Coucou Gérard les investissements ont été stupides et dangereux puisque ils sont obligés de vendre , poursuivis par les huissiers, on peut être dépensier sans que cela, grâce aux relations, soit relaté dans les journaux » people »
Gérard
1 octobre 2018 @ 13:38
Je ne suis pas dans le secret des huissiers lesquels ne poursuivent pas que des débiteurs imprudents ou stupides, nul n’est à l’abri d’un revers de fortune. Néanmoins en présence de trois branches d’héritiers la vente est souvent la solution surtout pour des joyaux qu’on ne porte plus.
Gérard
2 octobre 2018 @ 11:27
Nul n’est à l’abri des revers de fortune et ceci ne me regarde pas. De plus je ne lis pas la presse people.
JOst vic
30 septembre 2018 @ 09:21
si j’ ai bien compris l’article très complet de C Vachaudez, ces joyaux appartiennent donc a Alice de Bourbon Parme…elle a fait le choix de léguer ces pièces à ses filles et à son petit fils…il ne s’agit agit pas de joyaux de la famille Bourbon Sicile…..d ailleurs je crois que l infante Alice a choisi d être inhumee en Autriche plutôt qu’à l’ escurial
Brigitte et Christian
30 septembre 2018 @ 11:20
bonjour à tous
Nous ne sommes pas choqué par la vente de ces bijoux, le cout de la vie augmente pour tout le monde . Alors il faut faire des sacrifices . Ce qui importe pour nous ce serait l’achat de quelques pièces par un musée français, s’il en a les moyens, Ou si pas de moyens , ce musée peut lancer une souscription pour acheter la plus belle pièce . Maintenant une vente en Suisse ne favorise pas un acheteur français même si c’est un musée, pas de possibilité de préemption .
Quand à l’héritage une personne peut favoriser un héritier avec sa quotité disponible, variable selon le nombre d’héritiers.
amitiés de Dracénie sous le soleil
Francois
30 septembre 2018 @ 13:16
La décadence des familles a un côté toujours dramatique
Cela fait songer à la fin de » Au plaisir de Dieu »
On vend on vend
La grandeur des familles fait la grandeur d’un Pays
Hervé J. VOLTO
28 octobre 2018 @ 12:35
Si ce sont les Bourbons-Siciles, petits-enfants de la Princesse ALICE DE BOURBON-PARME, fille du prince Elie, qui mettent envente les bijoux de leur-grand-mère, il serait tout à fait INJUSTE de parler de décadance des Bourbons-Parme, qui quand à eux descendent du prince François-Xavier, DEMI FRERE du Prince Elie, ET N’ONT RIEN A VOIR DANS CETTE VENTE.
Oui, nous sommes tous choquès par la vente de ses bijoux et il faut espérer en l’intervention de Stephane Bern…