e dimanche 15 novembre 2020 à 22h35, la chaine belge la Une diffusera le documentaire « L’héritage d’une reine, les passions d’Elizabeth« . Le Palais des Beaux-Arts, le Concours International Reine Elisabeth, la Chapelle Musicale ou encore la Fondation Médicale Reine Elisabeth : 50 ans après sa mort, la reine laisse un énorme héritage culturel, médical et archéologique.
Dans ce documentaire, Nicolas Delvaulx nous montrera comment cette femme d’apparence si fragile et menue, en réalité audacieuse et enthousiaste a réussi en deux décennies, à créer des institutions qui ont marqué l’histoire de notre pays, lui donnant une place prépondérante sur la scène internationale.
A l’aide de photos, de notes et de lettres inédites de la reine on découvrira combien Elisabeth était résolue, tenace et efficace. Investissant le plus souvent de sa cassette personnelle, faisant jouer toutes ses influences même les plus secrètes, allant à contre-courant du pouvoir politique et économique en place, elle ne lâchait jamais rien de ce qu’elle avait décidé d’entreprendre. (Merci à Beatie)
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Albane
9 novembre 2020 @ 02:52
Je considère les reines Elisabeth de Belgique et Ingrid de Danemark (article consacré à celle-ci hier), qui ont vécu presqu’aux mêmes époques, comme des piliers pour leur famille et la monarchie.
Jean Pierre
9 novembre 2020 @ 12:17
Je ne suis pas trop d’accord, aux pires moments le pilier fût les Regent Charles et sûrement pas Elisabeth qui préféra toujours Léopold.
ciboulette
10 novembre 2020 @ 18:46
Cette mère qui préférait ostensiblement l’un pour délaisser l’autre ( et sa fille aussi , sans doute ) ne m’a jamais inspiré de sympathie .
DEB
9 novembre 2020 @ 06:55
Ce sera certainement très intéressant.
Phil de Sarthe
9 novembre 2020 @ 07:57
Une Reine Artiste, comme souvent chez les Wittelsbach….Dommage de ne pas pouvoir capter! Peut être Arte l’achètera t elle un jour?
Pierre-Yves
9 novembre 2020 @ 10:50
Je l’apprécie, cette reine. Pour son esprit libre, aussi anticonformiste que possible, et qui malgré cela, n’a pas mis en danger l’institution monarchique. Elle n’avait pas peur de sortir des clous, mais n’a jamais fait dérailler la machine.
Charlotte (de Brie)
9 novembre 2020 @ 12:07
Cette reine née Wittelsbach avec tout ce que cela comporte de fantasmes réels ou non, a su, à mon sens, concilier le côté anti-conformiste des ducs en Bavière, l’amour de l’art jusqu’à la démesure chez Louis II, la curiosité et l’efficacité scientifique de son père, la passion des voyages de sa marraine et le sens du devoir hérité ou inné chez elle.
Elena1
10 novembre 2020 @ 12:35
Son intelligence était incomparable. Pas un de ses enfants, petits-enfants et suite ne l’égale.
Ouverte à tout, vraiment tout sans préjuger.
Nous sommes en manque de telles femmes.
Quant à la comparer à son fils, cela n’a pas, a mon avis, raison d’être ici.
Charlotte (de Brie)
10 novembre 2020 @ 13:35
Personnellement, je n’ai pas parlé de son fils ici !
Edwige
11 novembre 2020 @ 09:19
Intellectuellement c’est peut-être sa petite fille Esméralda qui en est la plus proche.
mimi
9 novembre 2020 @ 12:54
pas b elle du tout cette reine anticonformiste, » enfants, le dernier charles,fort bizarre, mais il a sauvé la belgique pendanrt la guerre, fâché avec sa famille,surtout son frere qui s’est permis de se marier avec ue allemande en pleine guerre, pas l avis du gouvernement et surtout le peuple
Edwigeq
10 novembre 2020 @ 13:10
Quelle allemande ? La fille d’un ministre belge ! Vous dites n’importe quoi.
Lunaforever
11 novembre 2020 @ 08:01
Liliane Baels était belge,pas allemande.
Edwige
11 novembre 2020 @ 09:15
Quelle allemande ? C’était la fille d’un ministre belge. Vous dites n’importe quoi en répétant les plus stupides ragots répandus au moment de la question royale !
COLETTE C.
9 novembre 2020 @ 14:23
Un fort caractère.
beji
9 novembre 2020 @ 16:08
Je ne reçois pas la chaîne,je le regrette car je suis interessée.
camille
10 novembre 2020 @ 08:13
le prince Charles a étè le pilier
Ludovina
10 novembre 2020 @ 10:26
En français, exceptionnellement.
Elisabeth était née duchesse en Bavière, titre conféré le 16/02/1799 à son arrière-arrière grand-père paternel Guillaume (1752-1837), fils de Jean, comte palatin de Birkenfeld à Gelnhausen (1698-1780).
Son père Charles-Théodore ( 1839-1909) était le 3ème fils et 5ème des 10 enfants de Max Joseph (1808-1888), duc en Bavière (fils unique de Pie Auguste 1786-1837) et de Ludovique, princesse de Bavière (1808-1892).
Ludovique, tante maternelle de l’impératrice Elisabeth d’Autriche, était la fille de Maximilien-Joseph (1756-1825), prince de Deux-Ponts, roi de Bavière en 1806.
Charlotte (de Brie)
10 novembre 2020 @ 12:33
Ludovique n’était elle pas plutôt la mère de l’impératrice Elisabeth ?
Ludovina
10 novembre 2020 @ 13:36
Exact Charlotte, j’ai écrit Ludovique, alors que je pensais Sophie, qui était à la fois la tante maternelle et la belle-mère de l’impératrice, honte à moi !
Charlotte (de Brie)
11 novembre 2020 @ 20:48
Aucune honte à avoir Ludovina, et je vous rassure j’apprécie beaucoup les précisions généalogiques que vous apportez.
Je ne sais pas de quelle coquille vous parlez mais si c’est pour Ludovique ce n’était pas mon intention, juste un doute du coup !
Ludovina
12 novembre 2020 @ 11:54
Charlotte, j’ai beaucoup de respect pour vous et je vous remercie de votre question justifiée et de votre commentaire.
Ludovina
10 novembre 2020 @ 17:44
Et voilà, certains de se gausser de cette coquille.
A l’attention de ciboulette : merci pour votre soutien, mais linguistiquement « écrivant », je ne suis pas une référence, n’est-ce-pas ?
Ces modestes recherches me passionnent et les méandres généalogiques génèrent parfois des erreurs, à un moment donné inévitables.
En conséquence, j’ai bien compris que la lecture de mes textes provoque, chez quelques-uns, de l’exaspération : pas la moindre reconnaissance sur les informations apportées.
Surprenant de n’avoir pas souligné sur le site N&R les rubriques qui présentent les personnes étrangères par leur prénom dans la langue de leur pays, suivi de leur titre et patronyme en français : pour ma part, cela ne m’a jamais choquée, et tant mieux, nous pouvons distinguer Mary et Marie, princesses de Danemark (second degré).
Grand-merci à ceux qui me témoignent de l’intérêt.