Mardi 16 mai 2017 à 20h55, sur France 2, l’émission « Secrets d’Histoire » présentera « Si les murs de l’Elysée pouvaient parler… ». Pour rappel, le Palais de l’Elysée fut initialement un cadeau du roi Louis XV à Madame de Pompadour.
En regardant l’investiture d’Emmanuel Macron, ce matin, je m’exclame encore et encore sur cette exceptionnelle, majestueuse et si merveilleuse ville qu’est Paris!
Je regarde avec mon aînée et elle m’a dit « moi aussi, quand je serais grande j’habiterai à Paris dans un chateau » ;-) c’est vrai que c’est une ville superbe à voir. J’ai détesté y habiter mais je ne me lasse pas de la regarder!
Paris…je n’ai jamais aimé, comme je n’aime aucune ville.
Mais l’Élysée,ses vieux murs,son passé,son histoire et ses jardins, sont une belle et bonne maison pour notre Petit Prince…;-))
Comme un joyau dans son écrin.
arff le Prince, « jupitérien » comme il se définit, s’emmêle un peu les pinceaux tout de même -Il était moins une minute que nous n’ayons pas de Premier Ministre
Ne soyez pas plus royaliste que le Roi.
Je suis contente,Ghislaine, d’être encore en désaccord avec vous sur ce point-là.
J’aurais été fort marrie du contraire^^ ;-)).
J’ai bien aimé voir ces pauvres journalistes des chaînes d’info continue essayer désespérément de meubler l’attente. Le clou du spectacle étant l’annonce qui a duré… 10 secondes. C’était assez réjouissant ;-)
Oui, marielouise, au-delà de mes convictions politiques, cette cérémonie fut grandiose et belle ! Ce fut avant tout un bel hommage au protocole hérité de nos rois !
Je partage votre émerveillement Marie Louise !
J’étais moi aussi devant ma télévision pour ne pas manquer ça.
Emmanuel Macron semble bien inspiré d’histoire et désireux de renouer avec une certaine grandeur, ce dont nous ne pouvons nous passer.
Mais au delà des belles images, il faudra des efforts importants pour que beaucoup de Français, ne voient pas les centres-villes des métropoles continuer à s’enrichir démesurément et leurs petites villes mourir.
je regarde aussi l’investiture et suis déçu de la tenue de Brigitte Macron. Valerie Pecresse et NKM et même Laurence Auzière sont plus élégantes que notre first lady. Mais on dirait que celle-ci est « mariée » à Vuitton, vu les faveurs obtenues pendant la campagne.
Comme je partage votre commentaire marielouise et celui de Robespierre.
Le pire ayant été, lors de la visite à la mairie de Paris, où Madame Macron était assise avec la robe qui etait remontée à mi-cuisse…
Pour le reste, bien que notre nouveau président n’ait pas été mon choix, j’aurais préféré F. Fillon, il ne me déplaît pas finalement pour l’instant.
J’aime son énergie et sa capacité à endosser le rôle.
Son épouse, à part son look particulier, avait une attitude tout à fait convenable et semble être une bonne personne.
Elle a des jambes splendides.Une silhouette au top.Moi j’ai bien aimé cet ensemble.
Juste les cils un peu trop chargés, mais ça lui faisait de beaux yeux,dans son petit visage au nez court de chatte persanne…elle me plaît,cette Dame.Tactile et chaleureuse comme son mari.J’ai cette manie de toucher pour communiquer aussi.Je trouve cette approche amicale et fraternelle. ..on en a besoin,de cette chaleur humaine,surtout à ce niveau.
En effet, trop charbonneux + faux cils, visibles quand elle baisse les paupières, = too much !
Veste too much aussi !
Fera-t-elle mieux la prochaine fois, j’en doute, c’est son style.
Comme la trés élégante Claude Pompidou était mariée à Pierre Cardin .Les maisons de couture prêtent et elles savent qu’il y aura des retombées fructueuses pour elles .Si le physique de la Dame s’y prête c’est tant mieux pour tout le monde .
Je ne suis pas de votre avis, cher Robespierre. Personnellement j’ai trouvé Brigitte Macron très élégante et surtout très branchée dans un tailleur à la coupe, certes originale, mais surtout inventive. Ceci étant dit, j’espère qu’en tant que première dame, l’épouse du Président de la République puisera dans les collections de tous les couturiers Français !
« Mariée » avec Vuitton et pour cause c’est lui qui lui fournira toute sa garde robe…
Pour ma part, je trouve que son ensemble lui allait bien cependant 3 cm de plus à la jupe et il y aurait eu plus d’allure ! décidément Bibi aura du mal à rallonger ses tenues…elle croit que c’est une preuve de jeunesse…mais non pourtant !
Cette tenue a été dessinée spécialement pour madame Macron par Nicolas Ghesquiere, directeur artistique de Vuitton depuis 2013.
En fait, d’après les images de madame Macron, qui fleurissent un peu partout sans qu’on les cherche, cette veste est inspirée d’un modèle sans marque qu’elle portait en 2015, avec ce double boutonnage et ces épaulettes à bouton qui ne ressemblent pas à grand chose, et qui semble être un style qu’elle affectionne…
Donc, modèle selon le choix de la cliente et non du désigner.
Cette veste trop large et ses jambes toutes fines ne lui faisaient pas une jolie silhouette. Cependant, j’ai aimé son attitude et la façon qu’elle avait d’être la première surprise de ce que cet homme lui faisait vivre!
Hier matin, dans les journaux anglais, il y avait de très belles photos de ces deux là et j’étais heureuse que la France présente ce visage au monde.
Comme marielouise j’ai suivi, ce matin ,l’investiture de Monsieur Macron, et je me dis que heureusement que la République dispose de l’héritage , bâtiments et mobilier de l’ancien régime, pour déployer ses fastes!
En réalité, c’est l’inverse: c’est la marquise de Pompadour qui le légua au souverain Louis XV: ci-joint un extrait de historique du Palais figurant sur le site le L’Elysée:
« Entre la Grande Rue du faubourg saint-Honoré, simple chaussée menant au village du Roule, et le Grand Cours (Champs-Elysées), le neveu par alliance d’André Le Nôtre, l’architecte Armand-Claude Mollet, possédait un terrain qu’il vendit en 1718 à Henri-Louis de la Tour d’Auvergne, comte d’Evreux.
Le contrat de vente prévoyait qu’Armand-Claude Mollet serait chargé d’y construire un hôtel, destiné à la résidence du comte d’Evreux.
L’architecte, à la demande du comte, éleva l’hôtel entre cour (côté rue) et jardin (côté Champs Elysées), formant le point de départ du plan d’urbanisme du faubourg Saint-Honoré. Dès 1742, Pignol de la Force évoquait déjà ce quartier, qu’il considérait comme l’un des plus beaux de Paris.
Edifié et décoré entre 1718 et 1722, l’Hôtel fut aménagé selon les principes d’architecture en vogue à l’époque. Il reste l’un des meilleurs exemples du modèle classique : un vestibule d’entrée situé dans l’axe de la Cour d’Honneur et des Jardins, un corps de logis double en profondeur, un Grand Appartement ou Appartement de Parade partagé en son milieu par un Grand Salon ouvert sur le jardin.
Par ailleurs, le bâtiment comprenait un corps central à trois degrés, et deux ailes en simple rez-de-chaussée : un Appartement des Bains à droite et un Petit Appartement (appartements privés) à gauche.
Une vaste cour arrondie s’ouvrait par un portail monumental à quatre colonnes ioniques, encadré par des murs aveugles surmontés d’une balustrade. Majestueuse, la Cour d’Honneur répondait au prestige que le comte d’Evreux souhaitait conférer à sa demeure. Elle était bordée de deux murs avec arcades en « défoncé » dissimulant les communs (écuries, cuisine, bûcher, remises….).
Un jardin à la française, avec son allée centrale dans l’axe de l’hôtel, ses parterres de broderies et ses allées de marronniers bordées de charmilles, complétaient plaisamment l’hôtel.
Cette ordonnance des lieux permettra toutes les adaptations souhaitées par les propriétaires successifs. D’importantes modifications seront réalisées selon la destination de l’édifice : hôtel particulier, demeure princière ou palais présidentiel, et au gré du goût des occupants et des modes.
Le décor des salons de réception, bien que modifié au cours des siècles, a conservé l’essentiel de son aspect d’origine. Ainsi, les boiseries du Grand Salon (Salon des Ambassadeurs) sculptées par Michel Lange d’après Hardouin-Mansard, les décors de la Seconde Antichambre (Salon des Aides de Camp), de la Chambre de Parade (Salon Pompadour) et du Salon des Portraits sont encore, pour la plus grande partie, d’origine et les transformations ultérieures n’en ont pas altéré le caractère.
A sa mort en 1753, le comte d’Evreux laissera un hôtel admiré de tous ses contemporains, y compris de Blondel qui appréciait « la plus belle maison de plaisance des environs de Paris ».
Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour, soucieuse d’acquérir une demeure parisienne, l’acheta. Lassurance, son architecte favori, fut chargé de modifier l’ordonnance de la Chambre de Parade et d’aménager le premier étage. Le jardin fut remanié par l’introduction de portiques, de charmilles, de cascades, d’un labyrinthe et d’une grotte dorée. A sa mort, la marquise légua la résidence à Louis XV.
D’abord mis à la disposition des Ambassadeurs extraordinaires séjournant à Paris, l’hôtel fut destiné, par décision royale du 14 août 1765, à la présentation des tableaux des Ports de France commandés par Louis XV à Joseph Vernet pour « les personnes curieuses et les amateurs de beaux arts ».
Transformé provisoirement en Garde-Meuble de la Couronne en 1768, jusqu’à l’achèvement des bâtiments de Gabriel sur la Place Louis XV, l’hôtel d’Evreux fut vendu en 1773 au financier Nicolas Beaujon.
Propriétaire de l’hôtel jusqu’en août 1786, date à laquelle il le céda à Louis XVI sous réserve d’usufruit, Nicolas Beaujon modifia profondément la résidence. C’est notamment l’architecte Etienne-Louis Boullée qui fut chargé de ces transformations.
(préambule rectifié): En réalité, c’est l’inverse: c’est la marquise de Pompadour qui le légua au souverain Louis XV: ci-joint un extrait de l’historique du Palais figurant sur le site officiel de l’Elysée:
Le 8 juillet 2015, le nouveau président de la république, alors pas encore candidat, déclarait :
« Dans la politique française, cet absent est la figure du roi, dont je pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort. La Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif : le roi n’est plus là ! On a essayé ensuite de réinvestir ce vide, d’y placer d’autres figures : ce sont les moments napoléonien et gaulliste, notamment. Le reste du temps, la démocratie française ne remplit pas l’espace. On le voit bien avec l’interrogation permanente sur la figure présidentielle, qui vaut depuis le départ du général de Gaulle. Après lui, la normalisation de la figure présidentielle a réinstallé un siège vide au coeur de la vie politique. Pourtant, ce qu’on attend du président de la République, c’est qu’il occupe cette fonction. Tout s’est construit sur ce malentendu. »
Lors de son discours, le soir de l’élection, il a fait référence à l’Ancien Régime, inscrivant d’entrée son quinquennat dans la tradition d’une France millénaire, une France qui se souvient de ses racines. Et seules ses racines lui permettent de se tourner avec confiance vers l’avenir.
Il semble être allé aussi à Saint-Denis, et à Orléans pour Jeanne.
Et moi j’écris en attenant de savoir qui va être nommé au poste occupé en son temps par le Cardinal de Richelieu et plus récemment le maire de Bordeaux…. c’est fait.
Ses propos sur la colonisation dénotent pourtant une approche historique opposée à celle qui sous-tend le discours que vous citez, Cosmo.
Faut-il s’en étonner? Je crains pour ma part que les revirements au gré du vent ne soient relativement nombreux dans les 5 années à venir. J’espère encore me tromper, dans les quelques semaines qui viennent, mais nous verrons. Les tailleurs de Brigitte nous occuperont peut-être plus que la politique du président, qui sait?
Quoi qu’il en soit, j’ai beaucoup ri en entendant le cher Fabius sortir de son rôle et citer Chateaubriand en saluant un « homme de son temps »! Dans sa bouche, cela dénotait un certain sens de l’humour, voire de l’auto-dérision auquel nous n’étions guère habitués jusqu’ici.
Le paradoxe de la colonisation est qu’elle fut développée par la gauche, même si Louis-Philippe et Napoléon III en avait été les initiateurs. La droite à l’époque était totalement opposée. Quelques décennies plus tard, moins d’un siècle, la droite est devenue l’avocate de la colonisation et la gauche le pourfendeur.
Je ne m’engagerai pas dans le débat. Je voulais simplement souligner le paradoxe.
J’espère que nous aurions mieux à faire que de nous occuper de la mode à l’Elysée car le défi à relever est grand et pas tous les acteurs de la vie publique ne sont prêts à le relever.
Excusez moi Gibbs, mais vous avez largement contribué à la tribune qu’est devenu le premier post sur Mme Macron. Vous nous avez aussi bien donné votre avis sur l’état de la France (« à genoux ») que sur ce que vous inspire le Président (« imbu de lui meme »). Vous avez beau jeu, maintenant, de demander aux autres de se taire. Si Régine ne voit pas d’objection à ce que nous puissions discuter sur ce sujet, il ne vous reste qu’à passer ces articles.
Je prends acte de vos excellents conseils dont je ferai uniquement ce qui me semble bien car je n’ai nul besoin d’un « ventriloque » pour parodier une personnalité bien connue pour m’exprimer ni dans le cas présent d’un écrivain public…
Je réussi fort bien à le faire seule.
J’y ai toujours excellé.
Avec beaucoup d’autres, je peux me targuer de poster avec politesse des textes réfléchis et me semble-t-il bien rédigés qui plus est sans faute d’orthographe.
Belge, vivant en France, je prends aussi régulièrement la permission de décrypter certaines appellations et de fournir certaines informations supplémentaires et je pense « au Noble Centre » récemment dont personne ne s’est posé la question de ce dont il s’agit alors qu’il y a une relation avec l’Histoire de la Belgique.
Bref, je dis aussi ce que je pense et je n’apprécie pas toutes les personnalités présentées. Mais qui peut prétendre plaire à tous ?
Vanitas !
Chère Sarita, si je dois être censurée, seule Régine le fera car je suis sur son site et je m’inclinerai même si certaines idioties sont validées.
J’ajouterai juste que jusqu’à présent, je n’ai reçu aucun reproche de Régine lorsque je fournis des informations supplémentaires et que je la remercie pour son ouverture d’esprit.
Une fois de plus, Régine seule est maître à bord sur son site.
Gibbs,vous êtes légèrement de mauvaise foi,cette fois…Sarita a raison, vous commentez le sujet abondamment,à tort et à travers,et ensuite,dans votre post du 15 Mai à 13h,vous demandez aux autres de se taire,arguant que « trop c’est trop »…ce n’est pas très juste,ni très cohérent. Et ce malgré votre excellence auto-reconnue dans le domaine de l’expression…^^
Gibbs-Dominique ?
19 mai 2017 @
08:50
Muscate,
Je n’ai pas « demandé aux autres de se taire ».
De quel droit ferais-je cela ?
J’estime que nous ne sommes pas sur un site présidentiel et que l’épouse d’un président quelle qu’est soit ne représente qu’elle-même.
Point.
Sarita
18 mai 2017 @
12:08
Gibbs, vous ne m’avez pas compris. Commentez, dites ce que vous pensez et cela sur tous les sujets! Moi ça me plaît, ça rend le site vivant :-) Pourquoi donc, vous qui prônez la liberté d’expression, demander aux autres de se taire? Comme vous le dites, seule Régine est maître à bord. Bonne journée :-)
L’Incohérence ne sera décidément jamais cohérente. ..^^
Laissons tomber,Sarita…;-)))
Dorothée
20 mai 2017 @
21:12
Il vaut mieux se taire car quelquefois lesdites personnes ont des problèmes personnels qui les font réagir comme cela…
Le virtuel ne connait pas la triste réalité de certain(e)s
Anna Claudia
15 mai 2017 @
13:33
Merci Marie-Louise, votre commentaire nous fait plaisir. Ce palais, depuis sa création en a vu de toutes les couleurs, et généralement les épouses des présidents ont détesté y vivre. À l »exception de madame Chirac qui s’y est beaucoup investie; Il est à noter, qu’après une fille de biscuitier (Yvonne de Gaulle,) nous voyons arriver cette fois une fille de confiseur. Souhaitons à ce palais d’être aimé par sa nouvelle locataire.
J’ai fait plusieurs aller-retour en Allemagne chez des amis , pendant ces journées.
C’est, comme toujours, très intéressant de suivre notre actualité interne avec de la distance, et surtout avec une vue extérieure; de surcroît auprès de gens intéressés et au fait des choses.
est-ce qu’ils commencent à se demander si il n’ont pas de l’autre côté du Rhin la version moderne, blond-yeux bleus, d’une sorte de Napoléon comme nous en avons le brevet ?
marielouise
14 mai 2017 @ 08:18
En regardant l’investiture d’Emmanuel Macron, ce matin, je m’exclame encore et encore sur cette exceptionnelle, majestueuse et si merveilleuse ville qu’est Paris!
ml
Sarita
14 mai 2017 @ 09:59
Je regarde avec mon aînée et elle m’a dit « moi aussi, quand je serais grande j’habiterai à Paris dans un chateau » ;-) c’est vrai que c’est une ville superbe à voir. J’ai détesté y habiter mais je ne me lasse pas de la regarder!
Muscate-Valeska de Lisabé
14 mai 2017 @ 12:59
Paris…je n’ai jamais aimé, comme je n’aime aucune ville.
Mais l’Élysée,ses vieux murs,son passé,son histoire et ses jardins, sont une belle et bonne maison pour notre Petit Prince…;-))
Comme un joyau dans son écrin.
Ghislaine-Perrynn
15 mai 2017 @ 14:47
arff le Prince, « jupitérien » comme il se définit, s’emmêle un peu les pinceaux tout de même -Il était moins une minute que nous n’ayons pas de Premier Ministre
Muscate-Valeska de Lisabé
16 mai 2017 @ 14:00
Ne soyez pas plus royaliste que le Roi.
Je suis contente,Ghislaine, d’être encore en désaccord avec vous sur ce point-là.
J’aurais été fort marrie du contraire^^ ;-)).
Sarita
16 mai 2017 @ 15:35
J’ai bien aimé voir ces pauvres journalistes des chaînes d’info continue essayer désespérément de meubler l’attente. Le clou du spectacle étant l’annonce qui a duré… 10 secondes. C’était assez réjouissant ;-)
Leonor
16 mai 2017 @ 09:13
J’aime Paris , beaucoup, beaucoup, … pendant quatre jours. Dose maximale.
Baboula
14 mai 2017 @ 13:56
Les membres du Comité Olympique sont à Paris,on devrait leur montrer les vues aériennes de la plus photogénique ville du monde .
Albane
14 mai 2017 @ 14:02
Oui, marielouise, au-delà de mes convictions politiques, cette cérémonie fut grandiose et belle ! Ce fut avant tout un bel hommage au protocole hérité de nos rois !
jul
14 mai 2017 @ 19:03
Je partage votre émerveillement Marie Louise !
J’étais moi aussi devant ma télévision pour ne pas manquer ça.
Emmanuel Macron semble bien inspiré d’histoire et désireux de renouer avec une certaine grandeur, ce dont nous ne pouvons nous passer.
Mais au delà des belles images, il faudra des efforts importants pour que beaucoup de Français, ne voient pas les centres-villes des métropoles continuer à s’enrichir démesurément et leurs petites villes mourir.
Caroline
14 mai 2017 @ 22:47
Marie-Louise,
Merci pour votre admiration envers Paris, la Ville Lumière!
Merci pour cette information à la télévision !
Esquiline
15 mai 2017 @ 12:06
Ville Eternelle a une signification historique, mais Ville Lumière, qu’elle est l’origine de ce slogan publicitaire?
Gibbs-Dominique ?
14 mai 2017 @ 08:20
murS !
Robespierre
14 mai 2017 @ 09:55
je regarde aussi l’investiture et suis déçu de la tenue de Brigitte Macron. Valerie Pecresse et NKM et même Laurence Auzière sont plus élégantes que notre first lady. Mais on dirait que celle-ci est « mariée » à Vuitton, vu les faveurs obtenues pendant la campagne.
marielouise
15 mai 2017 @ 12:06
Oui Robespierre…il faudra qu’elle affine ses goûts…Vuitton est vraiment désormais peu représentatif de l’élégance française !!!
Robe un peu trop courte malgré une belle silhouette et je n’ai pas du tout aimé la veste !!!
À suivre !
ml
Carole 007
16 mai 2017 @ 12:24
Comme je partage votre commentaire marielouise et celui de Robespierre.
Le pire ayant été, lors de la visite à la mairie de Paris, où Madame Macron était assise avec la robe qui etait remontée à mi-cuisse…
Pour le reste, bien que notre nouveau président n’ait pas été mon choix, j’aurais préféré F. Fillon, il ne me déplaît pas finalement pour l’instant.
J’aime son énergie et sa capacité à endosser le rôle.
Son épouse, à part son look particulier, avait une attitude tout à fait convenable et semble être une bonne personne.
Muscate-Valeska de Lisabé
16 mai 2017 @ 14:05
Elle a des jambes splendides.Une silhouette au top.Moi j’ai bien aimé cet ensemble.
Juste les cils un peu trop chargés, mais ça lui faisait de beaux yeux,dans son petit visage au nez court de chatte persanne…elle me plaît,cette Dame.Tactile et chaleureuse comme son mari.J’ai cette manie de toucher pour communiquer aussi.Je trouve cette approche amicale et fraternelle. ..on en a besoin,de cette chaleur humaine,surtout à ce niveau.
Robespierre
17 mai 2017 @ 11:52
Finalement, des gens authentiquement chaleureux, il n’y en a pas beaucoup. Donc quand on en rencontre, faut les apprécier.
Gibbs-Dominique ?
15 mai 2017 @ 12:51
Robespierre,
Il en sera ainsi durant tout le quinquennat.
Ghislaine-Perrynn
15 mai 2017 @ 14:49
idem – jupe trop courte , veste décalée l’engonçant – Yeux trop charbonneux sinon le chignon lui sied mieux que ses cheveux mangeant son visage .
Carole 007
16 mai 2017 @ 13:26
En effet, trop charbonneux + faux cils, visibles quand elle baisse les paupières, = too much !
Veste too much aussi !
Fera-t-elle mieux la prochaine fois, j’en doute, c’est son style.
Baboula
15 mai 2017 @ 14:57
Comme la trés élégante Claude Pompidou était mariée à Pierre Cardin .Les maisons de couture prêtent et elles savent qu’il y aura des retombées fructueuses pour elles .Si le physique de la Dame s’y prête c’est tant mieux pour tout le monde .
Mister M
15 mai 2017 @ 17:26
Je ne suis pas de votre avis, cher Robespierre. Personnellement j’ai trouvé Brigitte Macron très élégante et surtout très branchée dans un tailleur à la coupe, certes originale, mais surtout inventive. Ceci étant dit, j’espère qu’en tant que première dame, l’épouse du Président de la République puisera dans les collections de tous les couturiers Français !
Muscate-Valeska de Lisabé
16 mai 2017 @ 14:07
Avec vous Mister M…tout comme vous dites.
Une tenue originale, fraîche et branchée, sans l’être trop…et quelle belle paire de gambettes!
;-))
Dorothée
15 mai 2017 @ 20:17
« Mariée » avec Vuitton et pour cause c’est lui qui lui fournira toute sa garde robe…
Pour ma part, je trouve que son ensemble lui allait bien cependant 3 cm de plus à la jupe et il y aurait eu plus d’allure ! décidément Bibi aura du mal à rallonger ses tenues…elle croit que c’est une preuve de jeunesse…mais non pourtant !
Carole 007
16 mai 2017 @ 12:26
Bien d’accord avec vous Dorothée.
Carole 007
16 mai 2017 @ 12:43
Cette tenue a été dessinée spécialement pour madame Macron par Nicolas Ghesquiere, directeur artistique de Vuitton depuis 2013.
En fait, d’après les images de madame Macron, qui fleurissent un peu partout sans qu’on les cherche, cette veste est inspirée d’un modèle sans marque qu’elle portait en 2015, avec ce double boutonnage et ces épaulettes à bouton qui ne ressemblent pas à grand chose, et qui semble être un style qu’elle affectionne…
Donc, modèle selon le choix de la cliente et non du désigner.
Sarita
16 mai 2017 @ 15:41
Cette veste trop large et ses jambes toutes fines ne lui faisaient pas une jolie silhouette. Cependant, j’ai aimé son attitude et la façon qu’elle avait d’être la première surprise de ce que cet homme lui faisait vivre!
Hier matin, dans les journaux anglais, il y avait de très belles photos de ces deux là et j’étais heureuse que la France présente ce visage au monde.
Erato
14 mai 2017 @ 12:36
Comme marielouise j’ai suivi, ce matin ,l’investiture de Monsieur Macron, et je me dis que heureusement que la République dispose de l’héritage , bâtiments et mobilier de l’ancien régime, pour déployer ses fastes!
Gibbs-Dominique ?
15 mai 2017 @ 12:51
Excellent Erato !
adriana
14 mai 2017 @ 13:39
documentaire également ce soir mais sur l’investiture des presidents.
Danielle
14 mai 2017 @ 13:59
Une rediffusion mais toujours très intéressante à revoir.
Mister M
14 mai 2017 @ 14:19
En réalité, c’est l’inverse: c’est la marquise de Pompadour qui le légua au souverain Louis XV: ci-joint un extrait de historique du Palais figurant sur le site le L’Elysée:
« Entre la Grande Rue du faubourg saint-Honoré, simple chaussée menant au village du Roule, et le Grand Cours (Champs-Elysées), le neveu par alliance d’André Le Nôtre, l’architecte Armand-Claude Mollet, possédait un terrain qu’il vendit en 1718 à Henri-Louis de la Tour d’Auvergne, comte d’Evreux.
Le contrat de vente prévoyait qu’Armand-Claude Mollet serait chargé d’y construire un hôtel, destiné à la résidence du comte d’Evreux.
L’architecte, à la demande du comte, éleva l’hôtel entre cour (côté rue) et jardin (côté Champs Elysées), formant le point de départ du plan d’urbanisme du faubourg Saint-Honoré. Dès 1742, Pignol de la Force évoquait déjà ce quartier, qu’il considérait comme l’un des plus beaux de Paris.
Edifié et décoré entre 1718 et 1722, l’Hôtel fut aménagé selon les principes d’architecture en vogue à l’époque. Il reste l’un des meilleurs exemples du modèle classique : un vestibule d’entrée situé dans l’axe de la Cour d’Honneur et des Jardins, un corps de logis double en profondeur, un Grand Appartement ou Appartement de Parade partagé en son milieu par un Grand Salon ouvert sur le jardin.
Par ailleurs, le bâtiment comprenait un corps central à trois degrés, et deux ailes en simple rez-de-chaussée : un Appartement des Bains à droite et un Petit Appartement (appartements privés) à gauche.
Une vaste cour arrondie s’ouvrait par un portail monumental à quatre colonnes ioniques, encadré par des murs aveugles surmontés d’une balustrade. Majestueuse, la Cour d’Honneur répondait au prestige que le comte d’Evreux souhaitait conférer à sa demeure. Elle était bordée de deux murs avec arcades en « défoncé » dissimulant les communs (écuries, cuisine, bûcher, remises….).
Un jardin à la française, avec son allée centrale dans l’axe de l’hôtel, ses parterres de broderies et ses allées de marronniers bordées de charmilles, complétaient plaisamment l’hôtel.
Cette ordonnance des lieux permettra toutes les adaptations souhaitées par les propriétaires successifs. D’importantes modifications seront réalisées selon la destination de l’édifice : hôtel particulier, demeure princière ou palais présidentiel, et au gré du goût des occupants et des modes.
Le décor des salons de réception, bien que modifié au cours des siècles, a conservé l’essentiel de son aspect d’origine. Ainsi, les boiseries du Grand Salon (Salon des Ambassadeurs) sculptées par Michel Lange d’après Hardouin-Mansard, les décors de la Seconde Antichambre (Salon des Aides de Camp), de la Chambre de Parade (Salon Pompadour) et du Salon des Portraits sont encore, pour la plus grande partie, d’origine et les transformations ultérieures n’en ont pas altéré le caractère.
A sa mort en 1753, le comte d’Evreux laissera un hôtel admiré de tous ses contemporains, y compris de Blondel qui appréciait « la plus belle maison de plaisance des environs de Paris ».
Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour, soucieuse d’acquérir une demeure parisienne, l’acheta. Lassurance, son architecte favori, fut chargé de modifier l’ordonnance de la Chambre de Parade et d’aménager le premier étage. Le jardin fut remanié par l’introduction de portiques, de charmilles, de cascades, d’un labyrinthe et d’une grotte dorée. A sa mort, la marquise légua la résidence à Louis XV.
D’abord mis à la disposition des Ambassadeurs extraordinaires séjournant à Paris, l’hôtel fut destiné, par décision royale du 14 août 1765, à la présentation des tableaux des Ports de France commandés par Louis XV à Joseph Vernet pour « les personnes curieuses et les amateurs de beaux arts ».
Transformé provisoirement en Garde-Meuble de la Couronne en 1768, jusqu’à l’achèvement des bâtiments de Gabriel sur la Place Louis XV, l’hôtel d’Evreux fut vendu en 1773 au financier Nicolas Beaujon.
Propriétaire de l’hôtel jusqu’en août 1786, date à laquelle il le céda à Louis XVI sous réserve d’usufruit, Nicolas Beaujon modifia profondément la résidence. C’est notamment l’architecte Etienne-Louis Boullée qui fut chargé de ces transformations.
Gibbs-Dominique ?
15 mai 2017 @ 12:56
Mister M,
Régine a raison !
Voici Wiki :
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=5&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwj8gpq76_HTAhWCvxoKHVnaBk8QFgg8MAQ&url=https%3A%2F%2Ffr.wikipedia.org%2Fwiki%2FPalais_de_l%2527%25C3%2589lys%25C3%25A9e&usg=AFQjCNEV4skbTUtsRw2hhg8tg2CVC-xZaQ
Mister M
14 mai 2017 @ 14:21
(préambule rectifié): En réalité, c’est l’inverse: c’est la marquise de Pompadour qui le légua au souverain Louis XV: ci-joint un extrait de l’historique du Palais figurant sur le site officiel de l’Elysée:
JAusten
14 mai 2017 @ 18:22
personnellement, je préfère qu’ils continuent de se taire
Cosmo
14 mai 2017 @ 20:21
Le 8 juillet 2015, le nouveau président de la république, alors pas encore candidat, déclarait :
« Dans la politique française, cet absent est la figure du roi, dont je pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort. La Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif : le roi n’est plus là ! On a essayé ensuite de réinvestir ce vide, d’y placer d’autres figures : ce sont les moments napoléonien et gaulliste, notamment. Le reste du temps, la démocratie française ne remplit pas l’espace. On le voit bien avec l’interrogation permanente sur la figure présidentielle, qui vaut depuis le départ du général de Gaulle. Après lui, la normalisation de la figure présidentielle a réinstallé un siège vide au coeur de la vie politique. Pourtant, ce qu’on attend du président de la République, c’est qu’il occupe cette fonction. Tout s’est construit sur ce malentendu. »
Lors de son discours, le soir de l’élection, il a fait référence à l’Ancien Régime, inscrivant d’entrée son quinquennat dans la tradition d’une France millénaire, une France qui se souvient de ses racines. Et seules ses racines lui permettent de se tourner avec confiance vers l’avenir.
Jean Pierre
15 mai 2017 @ 12:43
Merci Cosmo….
Je croyais que Guizot était arrivé hier au pouvoir en France et voilà que vous me faites penser à Louis Napoléon Bonaparte.
HRC
15 mai 2017 @ 14:03
Il semble être allé aussi à Saint-Denis, et à Orléans pour Jeanne.
Et moi j’écris en attenant de savoir qui va être nommé au poste occupé en son temps par le Cardinal de Richelieu et plus récemment le maire de Bordeaux…. c’est fait.
Gauthier
15 mai 2017 @ 16:16
Ses propos sur la colonisation dénotent pourtant une approche historique opposée à celle qui sous-tend le discours que vous citez, Cosmo.
Faut-il s’en étonner? Je crains pour ma part que les revirements au gré du vent ne soient relativement nombreux dans les 5 années à venir. J’espère encore me tromper, dans les quelques semaines qui viennent, mais nous verrons. Les tailleurs de Brigitte nous occuperont peut-être plus que la politique du président, qui sait?
Quoi qu’il en soit, j’ai beaucoup ri en entendant le cher Fabius sortir de son rôle et citer Chateaubriand en saluant un « homme de son temps »! Dans sa bouche, cela dénotait un certain sens de l’humour, voire de l’auto-dérision auquel nous n’étions guère habitués jusqu’ici.
Cosmo
19 mai 2017 @ 09:41
Bonjour Gauthier,
Pardonnez-moi de réagir avec retard!
Le paradoxe de la colonisation est qu’elle fut développée par la gauche, même si Louis-Philippe et Napoléon III en avait été les initiateurs. La droite à l’époque était totalement opposée. Quelques décennies plus tard, moins d’un siècle, la droite est devenue l’avocate de la colonisation et la gauche le pourfendeur.
Je ne m’engagerai pas dans le débat. Je voulais simplement souligner le paradoxe.
J’espère que nous aurions mieux à faire que de nous occuper de la mode à l’Elysée car le défi à relever est grand et pas tous les acteurs de la vie publique ne sont prêts à le relever.
Nous verrons bien
Cordialement
Cosmo
Alinéas
15 mai 2017 @ 07:30
Vivement cette émission qui va revenir sur le passé de ce superbe édifice qu’est le Palais de l’Elysée sans parler de son jardin.!!!
Carole 007
16 mai 2017 @ 12:28
C’est ce soir si j’ai bien suivi.
Gibbs-Dominique ?
15 mai 2017 @ 13:00
Si ce sujet pouvait ne pas servir de seconde tribune au président et ou au couple présidentiel : ce n’est pas le lieu.
Il n’y a plus de roi en France et celle-ci est une république.
Régine est le censeur du site mais trop c’est trop.
Il y a d’autres endroits pour ce genre de sujet.
Sarita
16 mai 2017 @ 15:58
Excusez moi Gibbs, mais vous avez largement contribué à la tribune qu’est devenu le premier post sur Mme Macron. Vous nous avez aussi bien donné votre avis sur l’état de la France (« à genoux ») que sur ce que vous inspire le Président (« imbu de lui meme »). Vous avez beau jeu, maintenant, de demander aux autres de se taire. Si Régine ne voit pas d’objection à ce que nous puissions discuter sur ce sujet, il ne vous reste qu’à passer ces articles.
Muscate-Valeska de Lisabé
17 mai 2017 @ 13:57
Gibbs saura toujours nous épater! ;-)))
Milena K
19 mai 2017 @ 02:00
!Gibbs n est pas à une conteadiction près et c est d autant plus dommage que ses posts sont parfois intéressants et pleins de sensibilité.
Gibbs-Dominique ?
17 mai 2017 @ 15:06
Sarita,
Je prends acte de vos excellents conseils dont je ferai uniquement ce qui me semble bien car je n’ai nul besoin d’un « ventriloque » pour parodier une personnalité bien connue pour m’exprimer ni dans le cas présent d’un écrivain public…
Je réussi fort bien à le faire seule.
J’y ai toujours excellé.
Avec beaucoup d’autres, je peux me targuer de poster avec politesse des textes réfléchis et me semble-t-il bien rédigés qui plus est sans faute d’orthographe.
Belge, vivant en France, je prends aussi régulièrement la permission de décrypter certaines appellations et de fournir certaines informations supplémentaires et je pense « au Noble Centre » récemment dont personne ne s’est posé la question de ce dont il s’agit alors qu’il y a une relation avec l’Histoire de la Belgique.
Bref, je dis aussi ce que je pense et je n’apprécie pas toutes les personnalités présentées. Mais qui peut prétendre plaire à tous ?
Vanitas !
Chère Sarita, si je dois être censurée, seule Régine le fera car je suis sur son site et je m’inclinerai même si certaines idioties sont validées.
Bien à vous,
Gibbs
Gibbs-Dominique ?
17 mai 2017 @ 15:10
J’ajouterai juste que jusqu’à présent, je n’ai reçu aucun reproche de Régine lorsque je fournis des informations supplémentaires et que je la remercie pour son ouverture d’esprit.
Une fois de plus, Régine seule est maître à bord sur son site.
Muscate-Valeska de Lisabé
18 mai 2017 @ 13:43
Gibbs,vous êtes légèrement de mauvaise foi,cette fois…Sarita a raison, vous commentez le sujet abondamment,à tort et à travers,et ensuite,dans votre post du 15 Mai à 13h,vous demandez aux autres de se taire,arguant que « trop c’est trop »…ce n’est pas très juste,ni très cohérent. Et ce malgré votre excellence auto-reconnue dans le domaine de l’expression…^^
Gibbs-Dominique ?
19 mai 2017 @ 08:50
Muscate,
Je n’ai pas « demandé aux autres de se taire ».
De quel droit ferais-je cela ?
J’estime que nous ne sommes pas sur un site présidentiel et que l’épouse d’un président quelle qu’est soit ne représente qu’elle-même.
Point.
Sarita
18 mai 2017 @ 12:08
Gibbs, vous ne m’avez pas compris. Commentez, dites ce que vous pensez et cela sur tous les sujets! Moi ça me plaît, ça rend le site vivant :-) Pourquoi donc, vous qui prônez la liberté d’expression, demander aux autres de se taire? Comme vous le dites, seule Régine est maître à bord. Bonne journée :-)
Gibbs-Dominique ?
19 mai 2017 @ 08:51
Sarita,
Même réponse qu’à Muscate.
Jamais je ne m’accorderai le droit de « demander aux autres de se taire ».
Nous sommes en démocratie.
Bon WE : -)
Muscate-Valeska de Lisabé
19 mai 2017 @ 19:22
L’Incohérence ne sera décidément jamais cohérente. ..^^
Laissons tomber,Sarita…;-)))
Dorothée
20 mai 2017 @ 21:12
Il vaut mieux se taire car quelquefois lesdites personnes ont des problèmes personnels qui les font réagir comme cela…
Le virtuel ne connait pas la triste réalité de certain(e)s
Anna Claudia
15 mai 2017 @ 13:33
Merci Marie-Louise, votre commentaire nous fait plaisir. Ce palais, depuis sa création en a vu de toutes les couleurs, et généralement les épouses des présidents ont détesté y vivre. À l »exception de madame Chirac qui s’y est beaucoup investie; Il est à noter, qu’après une fille de biscuitier (Yvonne de Gaulle,) nous voyons arriver cette fois une fille de confiseur. Souhaitons à ce palais d’être aimé par sa nouvelle locataire.
Leonor
16 mai 2017 @ 09:20
J’ai fait plusieurs aller-retour en Allemagne chez des amis , pendant ces journées.
C’est, comme toujours, très intéressant de suivre notre actualité interne avec de la distance, et surtout avec une vue extérieure; de surcroît auprès de gens intéressés et au fait des choses.
HRC
16 mai 2017 @ 19:28
est-ce qu’ils commencent à se demander si il n’ont pas de l’autre côté du Rhin la version moderne, blond-yeux bleus, d’une sorte de Napoléon comme nous en avons le brevet ?
val
16 mai 2017 @ 16:57
Je préfère même pas savoir mon Dieu :)