Le 2 décembre prochain à 20h55, la RTBF diffusera un documentaire de Nicolas Delvaulx sur le parc des Virunga au Congo. Un documentaire dans lequel interviendront également la princesse Esmeralda de Belgique et le directeur du parc le prince Emmanuel de Merode.
C’est en 1925 que le parc des Virunga voit le jour. Il porte alors le nom de parc Albert en hommage au roi Albert I qui avec son épouse la reine Elisabeth, se mobilise auprès de riches mécènes américains pour créer le parc et parvenir à trouver des fonds pour son bon fonctionnement dans l’idée de la préservation des gorilles de la région.
D’une superficie de 790.000 hectares, ce parc qui est le plus ancien d’Afrique, abrite encore aujourd’hui des gorilles. A sa tête, le prince Emmanuel de Merode, un homme qui suscite internationalement une énorme admiration pour sa gestion et son courage.
La princesse Esmeralda de Belgique a découvert à la faveur de ce reportage le parc des Virunga où son père le roi Léopold III était venu en exploration. Via le Fonds Léopold III elle soutient le parc qui vit en grande partie grâce à la générosité du public.
« Parc Virunga » – 2 décembre 2016 – La Une – 20h55 par Nicolas Delvaulx
Pour en savoir plus sur le parc : https://virunga.org
daulard
28 novembre 2016 @ 07:12
Voilà un aristocrate qui force l’admiration, voué à une noble cause, souvent au péril de sa vie. On est loin de la barbare tribu royale danoise qui mène les jeunes enfants devant les animaux tués à la chasse et permet le massacre des dauphins dans les îles Féroé…
Muscate-Valeska de Lisabé
28 novembre 2016 @ 09:20
Je m’incline devant votre commentaire avec admiration,Daulard.
Merci,c’est dit et ça devait l’être.
Philibert
28 novembre 2016 @ 15:58
« au péril de sa vie » : on ne pourrait mieux dire. Le prince Emmanuel de Merode a échappé de peu à la mort par balles le 15 avril 2014 !
AnneLise
28 novembre 2016 @ 20:41
Je vous rejoins, ayant laissé un commentaire sur le même sujet de la chasse danoise et ayant évoqué les dauphins qui non seulement sont chassés mais sont également reclus dans des parcs d’attraction sensés les faire connaître au plus grand nombre…
Doucette
28 novembre 2016 @ 20:57
daulard, votre commentaire est d’une justesse et merci de l’avoir écrit, n’en déplaise à certains(es)
Eos
29 novembre 2016 @ 11:09
Daulard, vous avez parfaitement raison.
jo de st vic
28 novembre 2016 @ 08:58
un « veritable prince » qui effectivement merite admiration et respect…aprés une grave attaque, il n’a pas renoncé a sa mission malgré les menaces de multinationales qui aimeraient faire main basse sur cette region…avec l’aide de qq braconniers locaux..
Corsica
29 novembre 2016 @ 19:22
Tout à fait. Personnellement, j’ai une grande admiration pour ce prince qui, malgré l’attaque dont il a été victime, continue à œuvrer pour ces gorilles des montagnes dont la survie est menacée par des braconniers mais surtout par tous ces rapaces qui veulent que les richesses du sol et les arbres de cette immense réserve soient exploités.
clement
28 novembre 2016 @ 14:17
Tout à fait de votre avis Daulard !
Clémence
28 novembre 2016 @ 15:15
Emmanuel de Merode a épousé une paléontologue kényane d’origine britannique, fille et petite-fille de paléontologues renommés. Il est permis de penser que ses 2 filles suivront la tradition familiale.
AnneLise
28 novembre 2016 @ 20:43
Le Prince de Mérode mérite à plusieurs titres celui de Prince, tel qu’on l’entendait autrefois !
Ce qui ne retire rien à ceux qui n’appartenant pas à l’Aristocratie oeuvrent dans le même sens
Bien à vous
Mélusine
29 novembre 2016 @ 13:01
J’irais bien là-bas afin de lui apporter mon aide…
Hélas, mon petit chien Billy a peur des gorilles que ce prince protège. ;)
Muscate-Valeska de Lisabé
29 novembre 2016 @ 15:50
En plus,c’est beau,un homme dans la verdure! ;-))
AnneLise
29 novembre 2016 @ 17:06
Surtout quand l’homme en question est plutôt bien de sa personne !
Philibert
30 novembre 2016 @ 11:24
AnneLise et Valeska, ne rêvez pas trop : Emmanuel de Merode est marié depuis une douzaine d’années…
AnneLise
30 novembre 2016 @ 22:15
Et moi depuis un tantinet plus, mais cela ne m’empêche pas d’admirer la beauté quelle qu’elle soit !
daniel maigray
29 novembre 2016 @ 20:08
espérons que cette aventure pourra longtemps encore bénéficier de l’intérêt mondial pour la sauvegarde des espèces et …de la terre et…de ceux qui y cohabitent tant bien que mal!
Van den Eeckhout Alain
19 août 2018 @ 13:47
Un projet intégré permettant à chacun de trouver son espace. J’aime énormément la faune africaine que j’ai côtoyé durant ma carrière de coopérant belge tant en Tanzanie qu’au Zimbabwe. Parfois la priorité donnée aux touristes comme au Gorongoro et les conflits pour la terre avec empoisonnement aux limites des parcs des lycaons me rendait triste car très peu était fait pour permettre à chacun de vivre. Au Serengeti le passage des humains rendaient la transhumance difficile et les zones de ‘mise bas’ injoignable. Ayant travaillé 10 ans dans le cadre de la lutte contre la maladie du sommeil dans le Bandundu, Kasaï où tout animal sauvage était vu comme un repas potentiel , je sais qu’il n’est pas évident de faire comprendre qu’il est nécessaire de respecter la ‘terre qui vous nourrit’. Bravo pour une telle initiative