La brute que je suis est totalement insensible à ces arts-là, pourtant réels. ..ce qui compte étant ce qu’on met dans ma gamelle…brave bête,va…on ne se refait pas. ^^ ;-))!
On sera deux, Muscate !
Bon, oui, je trouve tout ça très joli, j’ai même plein de machins qui, finalement, ne font surtout qu’encombrer mes placards, mais comme vous, à choisir, je préfère le contenu au contenant
Et puis, franchement, les belles tables comme ça, c’est tout droit issu des moeurs de la bourgeoisie du XIXe siècle. Avec des bonnes payées des clopinettes, et qui couchaient sur un grabat dans la souillarde.
Mais bon … c’est très bien que ça existe, du moment qu’on ne réduit plus les employés de maison en esclavage : ça donne du boulot à des artisans, et ça booste les exportations françaises.
J’ai enfin la télévision et j’ai pu regarder cette émission en replay. Il en ressort un immense respect pour ces objets et pour les centaines artisans qualifiés, qui avec tant d’heures de travail, les produisent. Du grand art !
Merci Framboiz de nous rappeler cette émission qui, si elle de la même qualité que celle de la semaine dernière sur « Les Trésors de l’Art Sacré » sera une vraie gourmandise.
Je suis allée voir l’exposition à Champs sur Marne, la vaisselle de Catherine II, magnifique d’autant que les assiettes étaient vides…
« Les trésors des arts de la table » ne sont-ils pas ces belles nappes damassées et chiffrées, ces serviettes de table aussi grandes que des draps de bain, ces fourchettes à escargot à manches de corne et autres reliques, que beaucoup d’entre-nous conservons précieusement dans nos armoires à défaut de les sortir régulièrement ?
A propos de belles nappes damassées :
Ces choses-là sont magnifiquement belles, mais terribles à repasser. Même mon pressing habituel se gratte la tête quand je les lui apporte .
Il existait autrefois par chez moi un petit magasin, avec des repasseuses spécialisées pour ces merveilles. Je ne sais pas comment elles faisaient.
Un truc cependant : ne jamais les plier avant de les entreposer. jamais.
Les enrouler sur un rouleau de carton, avant de les envelopper dans du papier de soie, puis du papier-kraft. Jamais de plastique.
Ah, et puis, si on peut, les laver à la campagne ! Et ne jamais essorer-machine, jamais. Le lin déteste l’essorage, ça casse les fibres, et ça fixe les plis ( les plis indésirables).. Etendre trempé : le poids de l’eau est tel que le séchage n’imprime aps de plis non plus.
Bon, je me fais l’effet, là, d’une encyclopédie d’arts ménagers, alors que c’est tout, sauf mon truc. Mais je suis flemmarde, et quand il existe un bon truc qui peut m’épargner de la peine, je l’utilise ! ;-)
Chère Leonor
Vous pouvez mettre vos nappes et serviettes damassées
en machine
Impérativement à 90 degrés
Il faut étendre la nappe bien droite
Bien tirer pour qu’il n’y ait pas un plis
Repasser encore humide à fer chaud
Vous faites les contours d’abord le milieu apres
Bien sûr un petit coup de fer une fous sur la table pour
le jour où vous vous en servez
Les pressings normeaux abîment les nappes damassées
C’est une catastrophe
Et les machines puissantes à repasser les achèvent
Si votre nappe est tres tachée après un repas
Pas de sel sur le vin
Mettre un sachet de Blanco
Utiliser une lessive liquide à base de savon
Pas de poudre
Croyez moi vous serez réconciliée avec ces belles nappes
Qui ne sont jolies que non tachées et bien repassées
Laver à 90 est impératif
Si vous voyez que votre nappe est bonne pour la repasser
Et que vous n’avez pas le temps
Il faut la rouler et la repasser plus tard
Autrement si vous êtes très courageuse
Je fais personnellement ainsi
Et j’y ai converti des amis tre flemmards
Vous faites bouillir la nappe avec des copeaux de savon
Un peu de Blanco
Dans une grosse cocote minute sans couvercle
Les tâches etc partent très vite
Vous rincez en machine
Pas d’essorage
Le linge est souple et sent très bon
JAMAIS d’eau de javel
Je lave mes nappes en machine à 60, avec un essorage léger.
Aucune difficulté par la suite pour le repassage.
Pas besoin de cocote, de Bianco ou autres …
Franchement madame, si vous n’aimez pas ce documentaire sur le savoir-faire, abstenez vous de vos commentaires navrants . Restez dans vos gamelles et taisez-vous! C’est très instructif et si vous n’aimez pas, n’en dégoûtez pas les autres.
François, merci et encore merci.
Jenen sais pas d’où vous tenez cette compétence de blanchisseur accompli, mais bravo.
Je suis tout à fait d’accord que l’écrasement , dans les bien nommés pressings sont une insulte à ces merveilles.
Je retiens vos techniques, en particulier le » faire bouillir dans une cocotte, ce qui finalement revient aux ancestrales lessiveuses. Vais utiliser mon baquet à stérilisation, comme faisait … ma mère.
Je me souviens encore du bâton à touiller, pâle et presque mou à force d’avoir servi.
Dans ma » maison des prés », j’ai des ponnes. Des PONNES. Les baquets anciens de l’Ouest, dans lesquels on faisait , justement, bouillir le linge deux fois par an. Et glouglouter la pâtée des cochons entretemps ! Vais m’en servir aussi. Je sens que cher-et-tendre va lever les yeux au ciel…
cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ponne
Pour les taches, ça va. J’ai répertorié les trucs. Jamais de sel, en effet., car c’est un puissant fixateur de couleurs. J’ai trouvé un jour, et expérimenté une méthode pour ôter les taches de rouille, qu’on peut trouver sur du linge ancien brocanté. Impeccable.
Dire que se prélassent, quelque part dans les placards, des mètres et des mètres de tissu damassé ancien absolument neuf, non coupé, destiné à faire des nappes et des serviettes, ces serviettes immenses d’autrefois… C’est magnifique, mais je n’aurai jamais le courage de m’attaquer à la coupe et aux ourlets !
Si vous avez d’autres trucs, François, je suis preneur. Merci encore.
Chère Leonor
Je tiens cela d’avoir entendu ma grand mère raconter les lessives
Il y a toujours à la campagne le lavoir et l’endroit où l’on faisait bouillir
Ma grand mère n’utilisait plus les nappes damassées car comme beaucoup
de personnes elle avait succombé aux nappes faciles à laver et surtout
repasser
Mais elle faisait bouillir souvent de petites choses serviettes à thé mouchoirs….
C’est donc seul,que j’ai décidé de faire à l’ancienne
Devant la facilité et surtout le résultat
Blancheur souplesse etc je ne ferais plus autrement
D’autant que le plus dur est de rincer
Comme il y a des machines c’est pardait
Et des fers extraordinaires pourquoi ne pas profiter de l’ancien en se
servant des outils de maintenant
les tâches de rouille partent tres bien avec rubigine
Les traces qui sont la conséquence d’etre restés enfermés dans des pieces
humides partent au bout de plusieurs lavages
La simplicité est très souvent le meilleur moyen
Pour le repassage étant donné que le fer doit être sur lin ou un peu avant
il faut bien sûr veiller à ce que l’endroit où l’on repasse soit très propre
pas brûlé un peu marron comme le sont souvent les planches ou vieilles couvertures
Sinon la chaleur forte jointe à l’humidité fait des tâches
Tout cela paraît fastidieux mais ne l’est vraiment pas
Et puis comme plus personne ne le fait cela vaut la peine
N’hésitez pas à ressortir des nappes de dix huit couverts etc
Mais celles de Douze sont souvent courantes et les dessins absolument
beaux et imaginatifs
Quant aux chiffres en fonction des époques…….
En revanche l’amidonnage je ne le fais pas
Mais autrefois on amidonnait ces immenses nappes et les serviettes
Il fait aussi être de son temps !!’
Bien à vous
Merci encore Framboiz 07 j’aurais manqué cet épisode sans vous .
Je me suis régalée , quel talent dans divers domaines et quelle chance que d’être française .
On atteignait des sommets !
Oui absolument ravie .
Arts de la table, indissociables d’un certains art de vivre, dans notre Périgord gourmand et gourmet, où le plaisir de recevoir et de faire d’un repas un moment d’exception et de convivialité est sans prix. L’émission sera suivie, c’est sûr.
Superbe reportage qui nous éclaire sur l’excellence des mains qui façonnent ces créations dont certaines sont de véritables œuvres d’art.
L’expertise et le goût de la belle ouvrage des artisans sont sublimés par les arts de la table hauts de gamme.
Les prix sont prohibitifs mais justifiés par la durée indispensable pour les réaliser avec soin, minutie et précaution.
Ma belle-mère nous a légué des verres « Tommy », certains manquent à l’appel, car pour moi il est important de s’en servir.
Merci Framboiz, ça m’intéresse, je vais le regarder en replay.
Je suis très sensible à ce genre de choses, que je pratique au quotidien, y compris quand je suis seule.
Monsieur s’en sert comme excuse pour ne jamais dresser la table, afin d’éviter les erreurs, n’est-ce pas…
Documentaire très agréable à suivre.
Les couteaux Renaissance transformés, « terminés » par une plume de paon stylisée de toute beauté. Une princesse du Moyen-Orient qui a bon goût à mon avis.
Ghislaine, la rue de Paradis que j’ai souvent arpentée était une merveille ! maintenant il faut aller ailleurs…
Belle et intéressante émission hier soir.
Elle n’a plus de lustre du tout !
Elle a été envahie par les start up pendant un temps car proche du « noeud » internet de la gare de l’Est et maintenant il ne reste que les façades…et la Cristallerie de Paris.
Sylvie-Laure
4 janvier 2018 @ 07:48
Merci Régine, de cette nouvelle. On va être quelques unes à visionner l’émission.
l'Alsacienne
4 janvier 2018 @ 08:53
Merci pour cette information. Voilà une soirée agréable et ludique en perspective.
Muscate-Valeska de Lisabé
4 janvier 2018 @ 09:25
La brute que je suis est totalement insensible à ces arts-là, pourtant réels. ..ce qui compte étant ce qu’on met dans ma gamelle…brave bête,va…on ne se refait pas. ^^ ;-))!
Leonor
4 janvier 2018 @ 22:01
On sera deux, Muscate !
Bon, oui, je trouve tout ça très joli, j’ai même plein de machins qui, finalement, ne font surtout qu’encombrer mes placards, mais comme vous, à choisir, je préfère le contenu au contenant
Et puis, franchement, les belles tables comme ça, c’est tout droit issu des moeurs de la bourgeoisie du XIXe siècle. Avec des bonnes payées des clopinettes, et qui couchaient sur un grabat dans la souillarde.
Mais bon … c’est très bien que ça existe, du moment qu’on ne réduit plus les employés de maison en esclavage : ça donne du boulot à des artisans, et ça booste les exportations françaises.
Carole 007
5 janvier 2018 @ 10:32
Brave Muscate, vous me faites bien rire avec votre « brave bête » ! ??
Muscate-Valeska de Lisabé
5 janvier 2018 @ 18:09
Chères Carole et Léo,je vis avec tellement d’animaux que je leur ressemble plus qu’aux gens…Entre bêtes, on se comprend! ;-))
Jean Pierre
4 janvier 2018 @ 09:54
Dommage que Cosmo n’ait pas la télévision, il aurait apprécié.
Cosmo
6 janvier 2018 @ 11:51
Jean Pierre,
J’ai enfin la télévision et j’ai pu regarder cette émission en replay. Il en ressort un immense respect pour ces objets et pour les centaines artisans qualifiés, qui avec tant d’heures de travail, les produisent. Du grand art !
Cordialement
Cosmo
Ghislaine-Perrynn
4 janvier 2018 @ 10:00
Merci pour cette information qui m’avait échappée , je regarderai surement ce documentaire . Je suis sensible à la tradition des arts de la table .
Danielle.
4 janvier 2018 @ 11:20
Merci Framboiz, je note pour ce soir.
AnneLise
4 janvier 2018 @ 12:03
Merci Framboiz de nous rappeler cette émission qui, si elle de la même qualité que celle de la semaine dernière sur « Les Trésors de l’Art Sacré » sera une vraie gourmandise.
Je suis allée voir l’exposition à Champs sur Marne, la vaisselle de Catherine II, magnifique d’autant que les assiettes étaient vides…
AnneLise
4 janvier 2018 @ 12:19
Oups ! « si elle EST de même qualité » !
Philippe Gain d'Enquin
4 janvier 2018 @ 12:05
Nous y livrera t’on seulement la vraie recette du Framboiz « ier » ??? La question méritait d’être posée, ce me semble…
framboiz 07
5 janvier 2018 @ 13:26
Philippe , avec Vous, sourire assuré ! Merci !
Gatienne
4 janvier 2018 @ 13:14
« Les trésors des arts de la table » ne sont-ils pas ces belles nappes damassées et chiffrées, ces serviettes de table aussi grandes que des draps de bain, ces fourchettes à escargot à manches de corne et autres reliques, que beaucoup d’entre-nous conservons précieusement dans nos armoires à défaut de les sortir régulièrement ?
bianca
5 janvier 2018 @ 10:51
Bien de votre avis Gatienne, que de précieux souvenirs !!! Meilleurs vœux…
Leonor
5 janvier 2018 @ 10:54
A propos de belles nappes damassées :
Ces choses-là sont magnifiquement belles, mais terribles à repasser. Même mon pressing habituel se gratte la tête quand je les lui apporte .
Il existait autrefois par chez moi un petit magasin, avec des repasseuses spécialisées pour ces merveilles. Je ne sais pas comment elles faisaient.
Un truc cependant : ne jamais les plier avant de les entreposer. jamais.
Les enrouler sur un rouleau de carton, avant de les envelopper dans du papier de soie, puis du papier-kraft. Jamais de plastique.
Ah, et puis, si on peut, les laver à la campagne ! Et ne jamais essorer-machine, jamais. Le lin déteste l’essorage, ça casse les fibres, et ça fixe les plis ( les plis indésirables).. Etendre trempé : le poids de l’eau est tel que le séchage n’imprime aps de plis non plus.
Bon, je me fais l’effet, là, d’une encyclopédie d’arts ménagers, alors que c’est tout, sauf mon truc. Mais je suis flemmarde, et quand il existe un bon truc qui peut m’épargner de la peine, je l’utilise ! ;-)
Francois
5 janvier 2018 @ 12:57
Chère Leonor
Vous pouvez mettre vos nappes et serviettes damassées
en machine
Impérativement à 90 degrés
Il faut étendre la nappe bien droite
Bien tirer pour qu’il n’y ait pas un plis
Repasser encore humide à fer chaud
Vous faites les contours d’abord le milieu apres
Bien sûr un petit coup de fer une fous sur la table pour
le jour où vous vous en servez
Les pressings normeaux abîment les nappes damassées
C’est une catastrophe
Et les machines puissantes à repasser les achèvent
Si votre nappe est tres tachée après un repas
Pas de sel sur le vin
Mettre un sachet de Blanco
Utiliser une lessive liquide à base de savon
Pas de poudre
Croyez moi vous serez réconciliée avec ces belles nappes
Qui ne sont jolies que non tachées et bien repassées
Francois
5 janvier 2018 @ 13:03
Laver à 90 est impératif
Si vous voyez que votre nappe est bonne pour la repasser
Et que vous n’avez pas le temps
Il faut la rouler et la repasser plus tard
Autrement si vous êtes très courageuse
Je fais personnellement ainsi
Et j’y ai converti des amis tre flemmards
Vous faites bouillir la nappe avec des copeaux de savon
Un peu de Blanco
Dans une grosse cocote minute sans couvercle
Les tâches etc partent très vite
Vous rincez en machine
Pas d’essorage
Le linge est souple et sent très bon
JAMAIS d’eau de javel
Baia
5 janvier 2018 @ 16:45
Je lave mes nappes en machine à 60, avec un essorage léger.
Aucune difficulté par la suite pour le repassage.
Pas besoin de cocote, de Bianco ou autres …
Francois
5 janvier 2018 @ 19:10
Vos nappes en pur fil ou damassée ???
Anciennes
Alors sans une tâche
AnneLise
7 janvier 2018 @ 21:23
Votre adresse postale, s’il vous plait, je vous fais un envoi !
Francois
8 janvier 2018 @ 23:24
Ce serait avec plaisir croyez moi
Muscate-Valeska de Lisabé
5 janvier 2018 @ 18:14
…Et vive la toile cirée! ;-))
Richard
22 décembre 2018 @ 03:05
Franchement madame, si vous n’aimez pas ce documentaire sur le savoir-faire, abstenez vous de vos commentaires navrants . Restez dans vos gamelles et taisez-vous! C’est très instructif et si vous n’aimez pas, n’en dégoûtez pas les autres.
Leonor
7 janvier 2018 @ 21:09
François, merci et encore merci.
Jenen sais pas d’où vous tenez cette compétence de blanchisseur accompli, mais bravo.
Je suis tout à fait d’accord que l’écrasement , dans les bien nommés pressings sont une insulte à ces merveilles.
Je retiens vos techniques, en particulier le » faire bouillir dans une cocotte, ce qui finalement revient aux ancestrales lessiveuses. Vais utiliser mon baquet à stérilisation, comme faisait … ma mère.
Je me souviens encore du bâton à touiller, pâle et presque mou à force d’avoir servi.
Dans ma » maison des prés », j’ai des ponnes. Des PONNES. Les baquets anciens de l’Ouest, dans lesquels on faisait , justement, bouillir le linge deux fois par an. Et glouglouter la pâtée des cochons entretemps ! Vais m’en servir aussi. Je sens que cher-et-tendre va lever les yeux au ciel…
cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ponne
Pour les taches, ça va. J’ai répertorié les trucs. Jamais de sel, en effet., car c’est un puissant fixateur de couleurs. J’ai trouvé un jour, et expérimenté une méthode pour ôter les taches de rouille, qu’on peut trouver sur du linge ancien brocanté. Impeccable.
Dire que se prélassent, quelque part dans les placards, des mètres et des mètres de tissu damassé ancien absolument neuf, non coupé, destiné à faire des nappes et des serviettes, ces serviettes immenses d’autrefois… C’est magnifique, mais je n’aurai jamais le courage de m’attaquer à la coupe et aux ourlets !
Si vous avez d’autres trucs, François, je suis preneur. Merci encore.
Francois
8 janvier 2018 @ 14:27
Chère Leonor
Je tiens cela d’avoir entendu ma grand mère raconter les lessives
Il y a toujours à la campagne le lavoir et l’endroit où l’on faisait bouillir
Ma grand mère n’utilisait plus les nappes damassées car comme beaucoup
de personnes elle avait succombé aux nappes faciles à laver et surtout
repasser
Mais elle faisait bouillir souvent de petites choses serviettes à thé mouchoirs….
C’est donc seul,que j’ai décidé de faire à l’ancienne
Devant la facilité et surtout le résultat
Blancheur souplesse etc je ne ferais plus autrement
D’autant que le plus dur est de rincer
Comme il y a des machines c’est pardait
Et des fers extraordinaires pourquoi ne pas profiter de l’ancien en se
servant des outils de maintenant
les tâches de rouille partent tres bien avec rubigine
Les traces qui sont la conséquence d’etre restés enfermés dans des pieces
humides partent au bout de plusieurs lavages
La simplicité est très souvent le meilleur moyen
Pour le repassage étant donné que le fer doit être sur lin ou un peu avant
il faut bien sûr veiller à ce que l’endroit où l’on repasse soit très propre
pas brûlé un peu marron comme le sont souvent les planches ou vieilles couvertures
Sinon la chaleur forte jointe à l’humidité fait des tâches
Tout cela paraît fastidieux mais ne l’est vraiment pas
Et puis comme plus personne ne le fait cela vaut la peine
N’hésitez pas à ressortir des nappes de dix huit couverts etc
Mais celles de Douze sont souvent courantes et les dessins absolument
beaux et imaginatifs
Quant aux chiffres en fonction des époques…….
En revanche l’amidonnage je ne le fais pas
Mais autrefois on amidonnait ces immenses nappes et les serviettes
Il fait aussi être de son temps !!’
Bien à vous
Gibbs ??
4 janvier 2018 @ 16:16
Le restaurant de l’hôtel Meurice, un des plus beaux hôtel et restaurant…
framboiz 07
4 janvier 2018 @ 16:37
J’espère, amies et amis , que vous serez ravis …
Demain , Grace Kelly, sur la 3 , dans Le crime était presque parfait d’Hitchcock , à 13h 55 …
Ghislaine-Perrynn
5 janvier 2018 @ 13:37
Merci encore Framboiz 07 j’aurais manqué cet épisode sans vous .
Je me suis régalée , quel talent dans divers domaines et quelle chance que d’être française .
On atteignait des sommets !
Oui absolument ravie .
Anna Claudia
4 janvier 2018 @ 18:34
Arts de la table, indissociables d’un certains art de vivre, dans notre Périgord gourmand et gourmet, où le plaisir de recevoir et de faire d’un repas un moment d’exception et de convivialité est sans prix. L’émission sera suivie, c’est sûr.
racyma
4 janvier 2018 @ 20:25
j avais prevu de regarder cette emission
JAusten
4 janvier 2018 @ 21:15
j’aime les belles tables … et cela fait quelques temps que je ne suis pas allée dans un restau qui présente des tables aussi jolies.
berton
4 janvier 2018 @ 22:24
Eh bien c’était un régal. Quelle maîtrise de tous ces artisans. Fabuleux !!
Ludovina
5 janvier 2018 @ 08:52
Superbe reportage qui nous éclaire sur l’excellence des mains qui façonnent ces créations dont certaines sont de véritables œuvres d’art.
L’expertise et le goût de la belle ouvrage des artisans sont sublimés par les arts de la table hauts de gamme.
Les prix sont prohibitifs mais justifiés par la durée indispensable pour les réaliser avec soin, minutie et précaution.
Ma belle-mère nous a légué des verres « Tommy », certains manquent à l’appel, car pour moi il est important de s’en servir.
Carole 007
5 janvier 2018 @ 10:44
Merci Framboiz, ça m’intéresse, je vais le regarder en replay.
Je suis très sensible à ce genre de choses, que je pratique au quotidien, y compris quand je suis seule.
Monsieur s’en sert comme excuse pour ne jamais dresser la table, afin d’éviter les erreurs, n’est-ce pas…
septentrion
5 janvier 2018 @ 12:01
Documentaire très agréable à suivre.
Les couteaux Renaissance transformés, « terminés » par une plume de paon stylisée de toute beauté. Une princesse du Moyen-Orient qui a bon goût à mon avis.
septentrion
5 janvier 2018 @ 12:03
il s’agissait surtout de la fourchette à l’écran.
Ghislaine-Perrynn
5 janvier 2018 @ 13:39
Fourchette a trois dents d’ailleurs .
Ah que je regrette la Rue de Paradis et le Faubourg St Antoine !
Danielle.
5 janvier 2018 @ 17:34
Ghislaine, la rue de Paradis que j’ai souvent arpentée était une merveille ! maintenant il faut aller ailleurs…
Belle et intéressante émission hier soir.
Ghislaine-Perrynn
6 janvier 2018 @ 19:35
Danielle , voulez vous dire qu’elle n’a plus le lustre d’auparavant ?
Quel dommage .
AnneLise
7 janvier 2018 @ 21:29
Elle n’a plus de lustre du tout !
Elle a été envahie par les start up pendant un temps car proche du « noeud » internet de la gare de l’Est et maintenant il ne reste que les façades…et la Cristallerie de Paris.
Silvîa
31 mars 2018 @ 10:23
Super documentaire.
Bon samedi a tous