Le Conseil d’Etat néerlandais s’est réuni hier une audience à huis-clos suite à l’appel du prince Carlos de Bourbon-Parme, duc de Parme. En 2015, son fils naturel Carlos Hugo Klynstra avait demandé devant les tribunaux néerlandais d’être inscrit au registre de filiation du Haut conseil de la Noblesse et d’être appelé Son Altesse Royale le Prince Carlos Hugo de Bourbon-Parme.
Le ministre de la Justice avait autorisé le jeune homme né en 1997 à porter le nom et titre de « Bourbon-Parme » mais le duc de Parme a alors interjeté appel devant le tribunal de Première Instance qui a jugé cet appel infondé.
L’affaire a à présent été portée devant le Conseil d’Etat. Une décision est attendue dans les six semaines.
Le duc de Parme, fils du défunt prince Carlos Hugo de Bourbon-Parme et de la princesse Irène des Pays-Bas, ne conteste pas la paternité du jeune homme mais ne souhaite pas avoir de lien avec lui, estimant que sa mère Brigitte (amie d’enfance) a pris seule la décision d’avoir un enfant en 1997.
Le duc de Parme marié à Annemarie Gualtérie van Weezel, est père de trois autres enfants. (Merci à Veronique et Milena K)
milou
16 janvier 2018 @ 07:18
Odieux personnage, ce père qui reconnait mais ne veut avoir aucun lien avec ce fils…qui n’y est pour rien!
Sa femme est ravissante…je lui souhaite d’être heureuse tout de même avec ce triste sir!
Difficile sort pour ces enfants naturels …de tous milieux, bien sûr, mais ici je pense à Jazmin, Alexandre, Delphine et beaucoup d’autres qui restent dans l’ombre d’illustres familles!
ml
Milenà K
16 janvier 2018 @ 12:39
Jazin et Alexa dre sont reconnus surtout ,à mon avis,parce que Albert n a pas vraiment eu le choix mais ils sont complètement absent de la vie publique de leur père. Pour ce qui est de la vie privée,eux seuls le savent.Mais Albert ne sort pas grandi de tout ça.
Et dans le cas de Carlos de Bourbon Parme,il s agit d un comportement encore plus minable.
Milenà K
16 janvier 2018 @ 12:44
Jazmin Alexandre
Marie1
16 janvier 2018 @ 23:38
Même si nous sommes hors sujet, car ici cet article concerne le duc de Parme et non le Prince Albert.
Concernant la reconnaissance d’Alexandre, à l’époque il avait été écrit que la Prince Albert avait reconnu son fils peu de temps après sa naissance par acte devant notaire (une fois les tests de paternité réalisés). Pour Jazmin la reconnaissance a été beaucoup plus tardive…Le Prince ne voulait pas rendre public ces reconnaissances de paternité du vivant de son père.
De ce fait Alexandre et Jazmin ont les mêmes droits patrimoniaux etc… que Gabriella et Jacques sauf que suivant la constitution de Monaco ils ne sont pas dynastes…Ils font partie de la vie privée du Prince et non de la vie publique…mais est-ce réellement un problème ? Ils sont beaucoup plus tranquilles aucune obligation, uniquement des avantages…Sinon les relations avec leur père doivent être les mêmes que tous les enfants de parents séparés. Exemple Jazmin était présente au baptême des jumeaux.
Rafael et Camille sont également des enfants nés hors mariage, et non dynastes…
Marie1
17 janvier 2018 @ 10:45
En complément article de l’express concernant la reconnaissance d’Alexandre, un peu long mais instructif, en autre sur la reconnaissance par acte notarié.
https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/pourquoi-albert-de-monaco-choisit-la-verite_485291.html
Muscate-Valeska de Lisabé
17 janvier 2018 @ 11:56
Merci pour les détails, Marie1.
Mayg
17 janvier 2018 @ 16:32
Merci pour le lien Marie1.
Milena K
17 janvier 2018 @ 20:16
Lien fort intéressant en effet,merci.
Mais dans le cas d’Albert,la liaison était de notoriété publique.En tout cas,avec la mère d’Alexandre.
milou
17 janvier 2018 @ 13:50
Pour Raphaël ? fils de la petite fille de Rainier et qui n’est aucunement dynaste ainsi que pour Camille…je ne vois pas le lien…avec Jasmin et Alexandre , enfants de prince régnant, Marie1???
C’est ce que je voulais souligner… que ces enfants qui auraient pu régner ne le feront jamais car nés hors mariage…cela doit être bien étrange pour eux !
ml
Marie1
18 janvier 2018 @ 08:46
Milou : En référence à votre commentaire « Difficile sort pour ces enfants naturels …de tous milieux »
mariejeanne
18 janvier 2018 @ 00:14
Et puis les mères (de Jasmine) et d’Alexandre ne savent pas toujours se contrôler…Ne pas croire ce que disent ces dernières, Albert s’occupe de TOUS ces enfants
Oui Albert est le seul régnant honnête dans toutes ses « affaires. »
milou
18 janvier 2018 @ 14:20
J’en suis sûr mariejeanne…Albert est la bonté même mais cela n’enlève rien au fait que Jazmin et Alexandre n’ont aucun titre et c’est là toute l’injustice, je trouve !
ml
Gibbs ??
17 janvier 2018 @ 12:20
Albert de Monaco pourvoit à leurs besoins et a des contacts avec eux…
Rosellilas
16 janvier 2018 @ 12:49
Son épouse actuelle grandirait en accueillant cet enfant au sein de la famille. Car elle aussi, en accompagnant son mari devant le Conseil d’Etat néerlandais, protège son fils pour le titre et tous ses enfants pour l’héritage.
J’espère qu’ils perdront en appel car cet enfant a, quand même était conçu dans un acte d’amour et pas par un viol commis par un inconnu.
Trianon
16 janvier 2018 @ 16:00
la situation est telle que je ne pense pas que qui que ce soit ici, sur N&R, puisse se permettre de donner des conseils et dire que untelle sortirait grandie en faisant ceci ou cela.
Franchement.
milou
17 janvier 2018 @ 13:51
Elle pourrait avoir un peu de « bonne et intelligente » influence sur son époux, tout de même!
ml
Jacqueline
16 janvier 2018 @ 18:00
Cette femme n’est responsable de rien et subit. Ce n’est pas à elle de montrer l’exemple mais à son cher et tendre mari. Par ailleurs, l’enfant en question est fort grand et a déjà une mère.
Ladybird
18 janvier 2018 @ 18:17
Absolument d’accord avec vous Roselilas! Vraiment écoeurante l’attitude de cet homme! Aucune noblesse de coeur!
Margaux ?
16 janvier 2018 @ 19:10
Il est possible de rester dans l’ombre d’une illustre famille, et bien le vivre. Naturellement, au fil des générations, les choses se fixent et c’est toujours plus facile pour les générations qui viennent après les deux premières, même si la notion de « bâtard de » perdure le temps que la lignée se perpétue. Bref. Je veux dire par là qu’être illégitime d’une famille de renom, n’est pas une tare et qu’en gérant bien le truc, des deux côtés, c’est jouable humainement, tant d’un point-de-vue psy, que social et même financier.
Dans les exemples que vous citez, tous ne le vivent pas forcément mal.
Au fond, s’il est vrai que Parme s’y prend comme un manche (excusez ce terme), parce que ce n’est jamais très sain de rejeter son enfant, rien ne lui fait obligation d’entretenir un rapport avec ce fils et sa mère. Inversement, ce jeune homme attend peut-être des choses qui semblent excessives, en regard de sa position, du contexte, etc. Puis, que savons-nous de la position de la mère dans cette petite histoire ? Apparemment, c’est plus autour d’elle que les tensions se cristallisent. Elle a peut-être des projets troubles, dont nous n’avons pas connaissance. Nul ne sait vraiment.
Je l’ai exprimé plus loin, je pense que dans cette histoire, tout un chacun gagnerait à reculer un peu de ses petites positions pour mieux écouter l’autre et trouver la solution la plus respectable pour tout le monde, présent et à venir.
Muscate-Valeska de Lisabé
17 janvier 2018 @ 11:58
Un commentaire parfait et intelligent auquel j’adhère totalement. Merci Margaux,rien à ajouter.
Baboula
17 janvier 2018 @ 20:01
La belle girouette ! Le vent a tourné !
Muscate-Valeska de Lisabé
18 janvier 2018 @ 19:20
Oui!…sans rire,on a une méga-tempête, ici…de quoi vous tourner la tête! ;-))
Ladybird
18 janvier 2018 @ 19:00
Je partage votre sentiment Milou quant à cet individu!
Philippe Gain d'Enquin
16 janvier 2018 @ 08:05
Triste « sire »…
milou
16 janvier 2018 @ 13:12
Oui…PGdE…sire…!
Comme le dit Rosellilas son épouse si elle est intelligente et bienveillante devrait le faire changer d’avis…
ml
Muscate-Valeska de Lisabé
17 janvier 2018 @ 12:03
Non Milou…ce n’est pas à nouvelle épouse de porter le passif des frasques de son mari.Ce n’est déjà pas la joie pour une belle-mère avec les enfants légitimes d’un premier lit,alors là. ..vous savez mieux que quiconque qu’on ne vit pas aux pays de bisounours,chère Milou.Le monde ne sera jamais tout beau tout gentil.
milou
18 janvier 2018 @ 14:51
Non Muscate pas de porter mais de faire comprendre à son époux que cet enfant a ldroit à son amour aussi…si j’aaime mon époux j’aime ses autres enfants…Ce n’ est que mon vécu !?
ml
ml
Muscate-Valeska de Lisabé
19 janvier 2018 @ 17:43
Si l’époux lui-même ne se sent pas concerné,je crois sincèrement que l’épouse doit calquer son attitude sur celle de son mari…c’est mon vécu aussi.
Parfois, les grands enfants sont très décevants pour leurs parents.
Actarus
16 janvier 2018 @ 08:20
Quand on sait que c’est la justice néerlandaise qui a autorisé Naundorff à se faire appeler « de Bourbon », S.A.R. le duc de Parme peut s’attendre à tout. ;-)
Robespierre
16 janvier 2018 @ 11:24
Dans le mille Actarus ! J’ai bien ri !
Philippe Gain d'Enquin
17 janvier 2018 @ 17:51
Le fait est qu’on s’en paie une tranche…
aubert
16 janvier 2018 @ 12:52
A tout ?
A ce que ce rejeton porte le nom Bourbon-Parme, pourquoi pas, mais le prédicat Altesse Royale ce serait excessif. Je prends le risque d’écrire: un enfant naturel ne peut succéder à un trône et être altesse royale. Sauf à Monaco bien sûr, grâce à la république et sérénissime…seulement !
Je précise pour celles et ceux qui voudront m’asticoter qu’il s’agit là d’une position de principe appuyée sur l’essence même de la royauté. Etant républicain et vivant au XXI° siècle je trouve la réclamation du demandeur aussi archaïque que le prédicat en question d’autant plus qu’aujourd’hui aux pays-Bas les connaisseurs du duché de Parme ne doivent pas se bousculer sur les digues.
Gibbs ??
17 janvier 2018 @ 12:23
C’est le même principe pour Monaco.
Les enfants nés hors mariage ne sont pas dynastes mêmes si reconnus.
Ami des Bataves
17 janvier 2018 @ 12:26
Sans vouloir blâmer le moins du monde un jeune homme qui veut porter le nom de son père biologique, je pense quand même que le gros héritage de la famille d’Orange n’est pas lui, archaique, mais sonnant et trébuchant. Irène a hérité d’une très grosse fortune de sa mère et Juliana a parait-il légué de l’argent directement à ses petits-enfants. Mais loin de moi l’idée de dire que le jeune Hugo a tort. Il a autant droit que les trois autres enfants de son père à sa part d’héritage, que le droit néerlandais est prêt à lui accorder.
Margaux ?
16 janvier 2018 @ 19:11
Bien vu, quoique la parenté ne fait pas particulièrement débat ici. ?
Cosmo
16 janvier 2018 @ 08:24
Position étrange du duc de Parme. Il ne conteste pas la paternité mais au prétexte que c’est la mère qui a choisi d’avoir cet enfant, il ne veut ni s’en occuper, ni lui donner son nom. Il est tout de même né de ses oeuvres. En clair, il avait une maîtresse avec laquelle il ne voulait pas d’enfant. Et en bon catholique le duc de Parme ne devrait pouvoir s’abriter derrière une contraception interdite par l’Eglise.
Philippe Gain d'Enquin
16 janvier 2018 @ 10:47
En bon hypocrite …
Muscate-Valeska de Lisabé
16 janvier 2018 @ 14:25
Oui PGE.OUI.
bernadette
16 janvier 2018 @ 11:09
Mais on se doute aussi de la raison pour laquelle la femme voulait cet enfant !
Et elle n’ est pas la seule ! C’est affreux, mais dans certains cas les enfants sont des
« moyens » pour obtenir finances…. Ici les torts sont des deux côtés….Ces enfants sont bien à plaindre, le jour où ils découvriront ça !
Garance
16 janvier 2018 @ 12:15
oui, ce sont surtout les enfants qui sont à plaindre, cependant que sait-on des « raisons pour laquelle la femme voulait cet enfant » ? Sommes-nous au courant des circonstances de cette conception pour juger ?
Gibbs ??
16 janvier 2018 @ 12:37
En accord Garance.
Jacqueline
16 janvier 2018 @ 18:02
Effectivement Garance. On ne sait rien. Cette femme peut très bien avoir été abusée par les fausses promesses de son amant ou être une manipulatrice de première. Les femmes n’ont pas le monopole de la ruse, ni les hommes de la stupidité.
Margaux ?
16 janvier 2018 @ 19:13
Je suis d’accord, après le jeune est maintenant majeur, donc si elle cherche le confort financier actuellement, elle s’y prend un peu tard.
Milena K
17 janvier 2018 @ 20:18
Très juste!
Stéphane G.
16 janvier 2018 @ 13:19
j’ai vu la photo du jeune homme le portrait craché de sa grand mère paternelle, et il est dit que la jeune femme Brigitte était la compagne au long cours du prince pendant de longues années…ce n’est pas l’histoire d’un soir
Robespierre
17 janvier 2018 @ 12:27
Vous avez tout à fait raison.
Alexander
16 janvier 2018 @ 14:10
Je partage aussi votre avis bien que je trouve regrettable, que la relation filiale entre le père et le fils en pâtisse et engendre cette ridicule et honteuse bataille.
Entre la loi néerlandaise, qui reconnaît à la famille royale légitime, le droit de réclamer le titre de leur famille et l’accord conclu par Ms. Klyntra et le Prince, stipulant que l’enfant à naître serait reconnu par son géniteur mais, que l’enfant ne pourra recevoir, aucun titre de noblesse du père ou tout autre titre, on est en plein cas de conscience de la mère et de droit du fils.
Pour ma part toutefois, quelque soit les intentions de Ms.Klynstra, le droit c’est le droit malheureusement pour le Prince; la prochaine fois il(ils)veillera(ont) à bien protéger le « kiki ».
Trianon
16 janvier 2018 @ 16:02
de votre avis Bernadette
Kalistéa
17 janvier 2018 @ 10:44
Bernadette , je suis de votre avis .Mais une fois né , tout devrait changer , c’est un être humain qui est parmi nous , et la vie est un beau cadeau .de même pour un homme un fils devrait être un beau cadeau même si , au départ il ne le désirait pas .
Muscate-Valeska de Lisabé
17 janvier 2018 @ 17:03
Bien sûr,Kalistea ..ou pas, quoi^^.
Robespierre
16 janvier 2018 @ 11:26
Oui mon cher Cosmo, c’est tout à fait ça.
Cosmo
16 janvier 2018 @ 12:31
Dear Rob,
Il est amusant de voir que le duché de Parme est entré dans la famille Farnese par bâtardise. L’ancêtre du duc actuel, Pier-Luigi Farnese, était le fils du pape Paul III. Et comme chacun sait qu’un pape n’est pas marié…
On n’est pas dérangé de descendre d’au moins deux bâtards, outre Pier-Luigi, il y a Lucrèce Borgia, encore un autre enfant de pape, mais reconnaître son fils illégitime semble impossible.
Triste individu que ce duc.
Amicalement
Cosmo
Robespierre
16 janvier 2018 @ 13:47
Dear Cosmo, you made my day ! je suis mort de rire.
Muscate-Valeska de Lisabé
17 janvier 2018 @ 17:05
Rob,si vous ne me faisiez pas des infidélités avec Baboula, j’aurais pu vous réanimer fissa! ;-))
Margaux ?
16 janvier 2018 @ 19:14
Le
Margaux ?
16 janvier 2018 @ 20:06
Les bâtards ecclésiaux sont les plus nombreux, donc je pense que ça ne le défrise pas plus que ça. Ça n’excuse rien mais ce n’est pas non plus la position la moins confortable.
Cosmo
17 janvier 2018 @ 12:30
Il est certain que la légitimation des bâtards ecclésiaux est plus difficile.
Rien ne doit défriser le duc de Parme, au vu de sa calvitie naissante et de son air béat.
Bernadette
17 janvier 2018 @ 15:27
La République a aussi ses bâtards!
Muscate-Valeska de Lisabé
17 janvier 2018 @ 17:06
Les bâtards,ça n’existe pas.Sauf en boulangerie. ..et même là, le mot n’est pas joli.^^
Clément II
18 janvier 2018 @ 02:41
Muscate, c’est le terme historique. Ainsi Antoine, fils de Philippe III de Bourgogne fut-il désigné comme « Bâtard de Bourgogne » (1421-1452), puis « Grand Bâtard de Bourgogne » (après 1452). Cela n’avait rien de péjoratif à l’époque, c’était même très honorable et les concernés ne perdaient rien des égards liés à leur rang, fut-il né d’une illégitimité.
Aujourd’hui, le terme est péjoratif et désigne tantôt un enfant né de parents non mariés (signification originale), tantôt un enfant né de parents inconnus (ou d’un parent inconnu), parfois un enfant né de parents du même sang. C’est un vaste fourre-tout et en effet, il est préférable de ne plus utiliser ce terme galvaudé.
Concernant les bâtards ecclésiaux, il est vrai que leur légitimation est complexe et difficile, toutefois la plupart a bénéficié d’un statut qui remplaçait largement toutes les légitimations. Lorsque l’état-civil et la reconnaissance des enfants n’existaient pas sur le papier, cette « reconnaissance de fait » a permis à pas mal de gamins devenus des adultes, d’asseoir une position solide et exercer une large influence dans les milieux auxquels ils s’apparentaient.
Muscate-Valeska de Lisabé
18 janvier 2018 @ 19:23
Peut être,cher Clément, merci de vos explications historiques, mais ce mot est odieux et ne devrait plus être employé.
Kalistéa
17 janvier 2018 @ 10:46
intéressant ce que vous nous dites cher Cosmo .Les Bourbon-Parme naviguent dans ces eaux-là depuis longtemps déjà .
Zorro
16 janvier 2018 @ 12:40
Déjà, le prince n’est pas un « bon catholique » comme vous dites, dès lors qu’il a eu une « maîtresse » avec laquelle il entretenait des relations sexuelles hors mariage. L’Eglise catholique prône la sexualité procréative dans le cadre du mariage. En effet, si un couple n’est pas prêt à se marier, il n’est pas prêt non plus à accueillir un enfant si celui-ci devait venir.
Par ailleurs, la « contraception » n’est pas « interdite » par l’Eglise. L’Eglise est opposée à certains moyens dits « contraceptifs », qui ont un caractère abortif (ex : le stérilet qui n’empêche pas l’ovulation et a pour effet de rendre l’utérus inhospitalier et empêche la nidation). Les produits hormonaux (ex.: pilule) n’empêchent jamais l’ovulation à 100% de sorte qu’un ovule malgré tout fécondé serait avorté car la pilule a aussi pour effet de rendre l’utérus inhospitalier.
En revanche, l’Eglise propose à ceux qui vivent en couple une méthode de régulation des naissance basée sur l’observation du cycle de la femme (appelée « méthode naturelle de régulation »).
Ceci étant clarifié. Pour ma part, je penche plutôt sur une explication génétique : son grand-père Bernhard von Lippe-Bisterfield, un « bon » prince protestant, président fondateur du Bilderberg (fréquentant ainsi tous les bon « democrates » de la planète) était « père » d’enfants naturels qu’il n’avait pas reconnu.
milou
16 janvier 2018 @ 13:16
L’Eglise est si loin des réalités…Zorro ou alors c’est votre mauvaise compréhension…comment peut-on dire que ces moyens libérateurs que sont le stérilet et la pilule sont déjà abortifs???????????
ml
milou
16 janvier 2018 @ 13:18
…et combien d’enfants au Vatican…et combien d’enfants de prêtres et heureusement pour ces hommes…ceci n’est aucunement une question de gènes mais de réalités humaines et naturelles, Zorro!
ml
Bernadette
17 janvier 2018 @ 15:28
Les Présidents aussi ne l’oublions pas !
Muscate-Valeska de Lisabé
17 janvier 2018 @ 17:08
Tous les hommes sont candidats à cette situation-là. Les corps de métiers n’ont rien à y voir…c’est une histoire de corps,et basta.Il suffit d’une fois. ..
Aramis
16 janvier 2018 @ 14:58
Je ne crois pas que la pilule soit interdite par l’Eglise au motif que vous invoquez.
Sauf erreur de ma part, ce n’est pas ce que dit humante vitae. Vous vous y rapporterez et nous direz où vous y voyez ce que vous dites.
Ceci dit, cet interdit est rarement respecté même par les catholiques au moins en Occident.
Le synode de l’annee Prochaine apportera peut être de nouvelles lumières, évolution souhaitée par certains, abhorrée par d’autres ….
La position decl’Eglise catholique et je dis bien catholique sur ce sujet ( le patriarche Bartolomee de Constantinople avait ds un livre des positions plus ouvertes : on ne rentre pas ds la chambre des époux) a causé des éloignements en masse de la part de fidèles …
Mayg
16 janvier 2018 @ 13:06
La religion catholique a bon dos…
marie francois
16 janvier 2018 @ 19:18
Cher Cosmos
Il n’est pas plus duc de Parme que vous n’etes duc de Cosmo !
Il est simplement le cousin du roi des Pays Bas.
Gérard
17 janvier 2018 @ 18:36
Il est l’héritier des ducs de Parme.
Bambou
16 janvier 2018 @ 08:26
Encore un prince qui « assume » sa paternité, mais ne veut surtout pas en entendre parler…
Mayg
16 janvier 2018 @ 13:08
Assumer c’est beaucoup dire…
Muscate-Valeska de Lisabé
17 janvier 2018 @ 17:10
Il ne peut guère nier,puisque c’est la vérité,mais c’est tout.
Leonor
16 janvier 2018 @ 09:04
Il a déjà été discuté de ce cas et de ce type de cas sur N&R.
La vox populi allait et ira sans doute encore vers une condamnation du mâle, accusé de vouloir jouir sans entrave et donc sans prise de responsabilité, selon cette opinion.
Il est possible, voire probable que cette cour de justice invoquée dans ce cas précis aille dans le même sens, en vertu (?) d’une éthique d’avant les moyens contraceptifs en accès libre.
J’ai déjà exprimé mon opinion, qui va en sens contraire.
Oui, les mâles doivent prendre leurs responsabilités, mais els femmes aussi.
Quand les mâles jouissaient sans vouloir tenir compte du » risque » pour la femme, oui, ils étaient coupables s’ils ne prenaient pas leurs responsabilités.
Les temps ont changé : la contraception existe et n’est plus illégale.
Toute femme , donc, peut s’en servir. Si elle ne le fait pas, elle est responsable de son in-action.
Or donc, quand on décide seule de faire un enfant, on assume seule.
Quand on se sert d’un homme pour assouvir son désir d’enfant, sans le consentement de cet homme, voire en le trompant sur ce point, on est seule responsable.
Les hommes n’ont pas à être instrumentalisés, pas plus que les femmes n’avaient à l’être.
Alors, et l’enfant, dira-t-on ?
Eh bien oui, l’enfant, comme d’habitude, est la victime.
Mais ici, en semblable cas, la victime de la mère d’abord. Qui a fait passer son souhait, son désir, sa volonté, avant le souci de l’enfant à naître.
Et cet enfant devenu adulte, ici, comment peut-il seulement penser être reconnu de force ?
On sait depuis la nuit des temps , par les coutumes des différents peuples, que la paternité , même biologique, est d’abord une adhésion mentale, psychique, et volontaire. C’est logique : le mâle ne porte pas l’enfant. C’est dans sa psyché qu’il le reconnaîtra, une fois né. . Ou non.
Personne ne récuse le drame de ne pas être reconnu.
Mais ici, les torts sont plus que largement partagés
Kaloutine
16 janvier 2018 @ 11:00
Leonor, je suis de votre avis. Je pense en effet que chacun doit savoir prendre ses responsabilités (les messieurs comme les dames) et ce jeune homme a raison de faire reconnaître sa filiation.
monica
16 janvier 2018 @ 12:15
Leonor vous avez tout à fait raison
Margaux ?
16 janvier 2018 @ 20:12
Merci Léo. ?
Kalistéa
17 janvier 2018 @ 10:56
Chère Léonor votre exposé est logique et clair . Vous avez raison naturellement s’il est avéré qu’une femme instrumentalise son ami pour le rendre père malgré lui .
cependant , comme je le disais plus haut les choses se transforment une fois l’être humain né .Il a le droit d’avoir un père comme les autres et ce père existe .Les lois de nos jours ont également changé et je ne suis pas sûre du tout que cet enfant soit rebouté jusqu’à la fin . On verra .
Leonor
18 janvier 2018 @ 19:14
Oui.
Même problème théorique, éthique et juridique dans les cas de GPA à l’étranger, avec , ensuite, demande d’inscription à l’Etat-Civil français : l’enfant, qu’en fait-on ? Maintenant qu’il est fait, comme ci ou comme ça.
Oui, chaque être humain a droit à la reconnaissance de lui-même, de son être, de son ascendance, etc, a droit à un nom , à une identité, à une nationalité.
MAIS, c’est AUSSI jouer sur cette pitié pour l’enfant afin de faire contraindre en justice, ici , le père non volontaire à se reconnaître père quand même avec tous les effets induits; dans le cas des GPA à l’étranger, afin de forcer un pays à » reconnaître » l’enfant , même si la GPA elle-même y est interdite. Ce en contournant la loi.
Autrement dit, il s ‘agit de chantages.
Or, pour moi, les décisions de justice n’ont pas à tenir compte de chantages, et la création de nouvelles lois sur ces bases encore moins.
Marnie
16 janvier 2018 @ 11:46
Certes Leonor, je vous suis dans votre raisonnement et suis plutôt d’accord avec vous. Mais en l’occurrence, si ce monsieur ne voulait pas avoir d’enfant avec cette dame, soit il fallait qu’il prenne à son compte la contraception en mettant un préservatif, soit il fallait qu’il s’abstienne si la dame n’acceptait pas le préservatif ou si ses convictions religieuses à lui étaient contre la contraception.
Pour moi, ici les 2 parents sont responsables et l’enfant en pâtit.
Marnie
16 janvier 2018 @ 11:51
Après, n’ayant pas tous les éléments, je me suis peut-être un peu avancée sur ma dernière phrase. Si « elle lui a fait un enfant dans le dos », elle est en grande partie responsable de la situation. ça pause la question de la contraception masculine : si la contraception ne reposait pas aujourd’hui quasi entièrement sur les femmes (d’où évidemment une question de confiance dans le couple), si les hommes s’en préoccupaient un peu plus, ils ne seraient sans doute pas « victimes » de ce genre de situation. Mais bien sûr, pour moi, la vraie « victime » ici, même s’il y a gagné la vie, est l’enfant.
Muscate-Valeska de Lisabé
16 janvier 2018 @ 14:30
Oui…deux « coupables » et un innocent.
C’est bien compliqué.
Je ne sais pas.
Les trois places sont bien inconfortables.
Pas d’avis tranché pour moi…c’est au cas par cas…je ne connais pas les détails de celui-là.
Lucile M.
16 janvier 2018 @ 20:57
Je vous suis absolument dans votre prudente remarque, le point faible des hommes « c’est l’enfant que l’on peut leur faire dans le dos » … C’est donc à eux en attendant une contraception masculine idéale d’avoir recours à ce qui existe. Duc de Parme ou pas, nul n’est à l’abri parce que la partenaire à un instant T estimera pour X ou X raison que c’est le père idéal … Sans prêter aucunement à la jeune femme de vénales pensées il doit être doux et revalorisant d’avoir un enfant dont le père est issu d’une lignée prestigieuse.
Muscate-Valeska de Lisabé
17 janvier 2018 @ 12:05
Ça se défend et ça se discute.
Leonor
18 janvier 2018 @ 19:16
Oi, Marnie, Muscate, Lucile, bien d’accord, avec toutes les nuances que vous y mettez.
Kalistéa
20 janvier 2018 @ 20:19
Lucile M , je vous suis totalement dans votre raisonnement .
Dans le cas présent en outre ce n’est pas la mère qui réclame quoi que ce soit c’est le fils qui , devenu adulte dit avoir droit à une reconnaissance (et de ce fait comme vous le dites réclame qu’on partage avec lui les avantages qu’il y a à faire partie d’une famille for riche et prestigieuse )
milou
16 janvier 2018 @ 13:20
De votre avis Marnie…pourquoi la responsabilité serait uniquement du côté de la femme…certes le mensonge est plus facile mais l’homme connaît certaines des conséquences de l’accouplement, aussi!,-)))
ml
Leonor
18 janvier 2018 @ 19:21
Oui, c’est sûr. L’un des problèmes, c’est que notre civilisation du » tout jouir » veut méconnaître ces conséquences.
La même civilisation prône aussi le » j’ai droit à tout », que ce soit pour les hommes ou pour les femmes ».
La pub l’a bien compris, cet air du temps :
https://www.youtube.com/watch?v=Acg4tt-PDdM
L’enfant potentiel,la » conséquence », dans tout ça, on ne lui demande pas son avis. Il se débrouillera avec ce qui lui arrive …
Garance
16 janvier 2018 @ 12:18
Leonor, je suis d’accord avec vous dans l’ensemble, cependant, chaque cas est différent et peut être abordé avec nuances.
mariejeanne
16 janvier 2018 @ 14:40
Aux Pays Bas, il est dit que la mère n’a jamais demandé de compensation financière qu’elle lui avait dit qu’elle voulait « faire un enfant toute seule »…et il ne se protège pas… seul l’enfant majeur tient à faire valoir ses droits.
Bien sûr que chaque cas est un cas particulier alors toutes ces dames qui veulent généraliser sont dans l’erreur. La preuve que l’on ne sait jamais tout…
Cosmo
16 janvier 2018 @ 12:21
Chère Leonor,
En l’occurrence ce n’est pas la mère qui intente un procès. Elle a voulu cet enfant, elle l’a eu et elle l’a élevé jusqu’à l’âge adulte, avec ou sans aide du père.
Mais à l’âge adulte l’enfant a décidé d’être reconnu par son père. Nous ne connaissons pas ses raisons. Un besoin de reconnaissance par son géniteur, un besoin de reconnaissance sociale avec un titre ronflant, un besoin de reconnaissance économique avec un héritage à la clé ?
Le duc de Parme se serait honoré à reconnaître l’enfant officiellement et à lui donner son nom, par simple respect d’une filiation à laquelle il n’est pas étranger.
J’ai comme l’impression qu’il n’y a pas grand chose à attendre du duc de Parme dans aucun domaine.
Il respire la bofitude heureuse et insouciante.
Amicalement
Cosmo
Lucie1
16 janvier 2018 @ 12:36
Je suis tout à fait d’accord avec vous Léonor;
Que dire d’une femme qui vit en couple pendant quelques années, prend la pilule, et refuse tout préservatif car ils sont sains et qui impose ‘ un enfant’ en bernant son partenaire car elle a été prise d’un désir de maternité/ C’est ce qui est arrivé à mon cousin qui a reconnu l’enfant mais en se mariant pas avec sa mère.
.
Lucile M.
16 janvier 2018 @ 21:04
Votre exemple est assez significatif de ce qui se passe habituellement si le projet d’enfant n’est pas porté par les deux partenaires … la loi rien que la loi. Le désir d’enfant est complexe chez la femme et encore plus chez un homme qui n’aura jamais les sensations et les sentiments que donne la grossesse en dehors du désir commun de cet enfant.
Leonor
18 janvier 2018 @ 19:32
Je suis bien d’accord aussi, ami Cosmo, que » le duc de Parme se serait grandi …etc » comme vous le dites si bien. C’est vrai.
Mais, toujours pareil : les temps ont changé, et par nos temps où la maîtrise de la fécondité est passée aux femmes, où les relations sexuelles sont pensées (?) comme anodines, simples jeux à jouissance sans plus , je comprends qu’un homme se sente floué , joué, si on lui extorque /impose une paternité qui ne faisait pas partie de la règle du jeu.
Lucie 1, oui, vous citez un cas de » paternité forcée ». J’en connais un aussi, tout proche. Et toute la France connaît l’épisode » qui est le père de l’enfant de Rachida Dati ? »
LucileM, bien d’accord avec vous aussi.
Milenà K
16 janvier 2018 @ 12:51
Je crois que dans ce genre d affaire,les personnes exterieures au problème ne sisposent jamais de tous les éléments. Que la mère ait voulu piéger le père personne n en sait rien.En tous cas ,ce geniteur qui reconnat quil a un fls mais qui n en veut pas dans sa vie es assez minable.
AnneLise
16 janvier 2018 @ 14:07
En accord, avec vous Leonor sur la responsabilité partagée dans la conception de ce garçon et de bien d’autres d’ailleurs.
Je crains que nous ne soyons entrés dans une phase de culpabilisation à outrance de la gent masculine après avoir, excès inverse, vilipendé les femmes les considérant soit de petite vertu soit manipulatrices et quelque fois des deux.
Que le jeune homme demande devenu adulte à être reconnu pas son père biologique, ne me gêne pas vraiment, qu’il soit reconnu comme « Bourbon-Parme » ne me semble pas illogique non plus, là où j’ai des doutes c’est sur le prédicat revendiqué : « Son Altesse Royale , le Prince Carlos Hugo de Bourbon-Parme »
D’ailleurs qui lui a donné le prénom de son grand-père et dans quel but avoué ou non ?
Je ne doute pas qu’il ait souffert d’être le fils de… tout en ne l’étant pas, que le père soit Prince ou pas, qu’à l’âge adulte il veuille être reconnu, même sachant que son père ne souhaite pas le connaître, ce qui ne doit pas être simple à vivre, mais vraiment ce qui me chiffonne c’est cette revendication d’Altesse Royale.
Esquiline
16 janvier 2018 @ 14:09
Chercher la femme …
Depuis Eve l’homme devrait savoir qu’elle est responsable de tous les maux de l’humanité!
La femme, elle, de la plus vertueuse à la plus fourbe, en est bien consciente.
Et c’est sans indulgence que la première juge l’autre, si les hommes voulaient eux aussi se donner la peine de comprendre!
Mary
16 janvier 2018 @ 14:55
Léonor,
Je trouve votre analyse très juste.
La médecine devrait aussi inventer ( ils en sont sûrement capables ) une contraception médicamenteuse pour les hommes.
Ceci dit , que le jeune homme réclame le nom , passe encore , mais pas le titre . Le duc de Parme n’a pas envie qu’on conteste l’aînesse de son fils légitime.
Trianon
16 janvier 2018 @ 16:04
absolument de votre avis Leonor.
c’est un moyen trop « facile » de pieger un homme.
mais c’est imparable..hélas
an
16 janvier 2018 @ 16:36
Je trouve que vous avez une vision très froide des relations humaines. Ce n’est pas un contrat. Il y a des sentiments, de l’amour. On ne connaît pas les particularités de cette relation
Ca vous inspire quoi un homme qui a une relation assez longue avec une femme sans avoir l’intention d’officialiser d’une manière ou d’une autre?
En plus, même de nos jours les gynécologues dissent que la seule méthode de contra-conception sure (à 100%) est l’abstinence. Alors, pour une relation d’une plus longue durée il faut s’attendre à des accidents.
pinto
16 janvier 2018 @ 23:40
Tout a fait d’accord avec vous
Olivier d'Abington
17 janvier 2018 @ 01:10
Chère Leonor,
La prise de la pilule ne garantit absolument pas à 100% que la femme ne tombera pas enceinte!
Beaucoup de femmes tombent enceinte malgré une prise de pilule régulière!
Trop facile de rejeter une fois de plus la responsabilité sur la femme!
La seule contraception vraiment efficace si on ne veut pas du tout d’enfant: le préservatif!
AnneLise
17 janvier 2018 @ 12:23
Et encore ! parfois il arrive de petits accidents !
Ghislaine-Perrine
17 janvier 2018 @ 18:06
J’ai lu plus haut un intervenant qui affirmait que la seule contraception valable était le préservatif . Je n’en suis pas si certaine ayant été dans un laboratoire de mesure tridimensionnelle qui était chargé de mesurer la porosité des latex employés.
Par ailleurs, tout le monde ne peut pas utiliser ce moyen de contraception pour allergie au latex.
Mary
18 janvier 2018 @ 16:50
Prise de pilule régulière et enceintes ? Oh les petites menteuses !!!
La pilule est sûre à 99, 99 % ,non ?
Leonor
18 janvier 2018 @ 19:35
Olivier, oui, enfin, la pilule, c’est quand même pas mal ! Une fabuleuse invention !
YOM
17 janvier 2018 @ 02:48
Leonor,quand un homme ne veut pas se faire pieger par une femme eh bien il doit se mettre des capotes a chaque rapport ce n’est pas compliqué,il me semble que le sujet est sensible pour vous,Léonor;quand nous avons des fils il faut absolument qu’ils mettent des capotes,ça protege du sida et des enfants non désirés e les filles ne pourront plus les pieger comme vous dites.
Leonor
18 janvier 2018 @ 22:59
Mais oui, cent fois oui, et je l’ai dit ailleurs, que ‘j’avais dûment chapitré mes fistons à ce sujet. Lesquels, soit dit entre parenthèses, ne sont pas des coureurs et sont tous devenus des hommes loyaux. N’empêche .Tout en leur inculquant les notions d’honnêteté et de responsabilité, il importait de les mettre en garde sur les nouvelles moeurs de pas mal de dames et demoiselles ( eh oui, dans mes fonctions successives, j’en avais vu à l’oeuvre)..
Donc, honnêteté , oui, mais naïveté, non.
YOM
20 janvier 2018 @ 03:09
Leonor,vous avez raison;honnêteté,oui,naiveté,non mais je crois qu’un homme qui se fait piéger par une fille est un balôt,je ne donne pas raison aux filles qui font ce genre de choses.
framboise
17 janvier 2018 @ 11:18
Excellente explication à laquelle j’adhère totalement ; on n’instrumentalise pas un homme en lui « collant » un enfant. C’est malhonnête.
Claude-Patricia
16 janvier 2018 @ 09:07
Eh bien…
Olivier d'Abington
16 janvier 2018 @ 09:07
Quand on ne veut pas avoir d’enfant, on prend ses précautions!
Y en a marre de ces mecs qui pleurent une fois qu’ils ont mis la demoiselle enceinte, comme s’ils n’y étaient « pour rien »…
Et bien si, monsieur, vous ne vous êtes pas protégé, donc, oui, ce jeune homme est votre fils!
Sa mère n’a pas « décidé seule »…
bernadette
16 janvier 2018 @ 11:13
Torts partagés : la femme devait prendre aussi ses précautions.. pourquoi ne l’a t elle pas fait à votre avis ? Encore un enfant « utilisé » à des fins financières… pas très joli joli… Aucun amour là dedans….
Marnie
16 janvier 2018 @ 11:55
Sans juger de ce cas, je pense qu’une femme peut vouloir faire un enfant toute seule pour d’autres raisons que financières. Il y a des femmes pour qui devenir mère est l’objectif d’une vie, la seule condition à leur épanouissement, et prêtes à utiliser tous les moyens pour y parvenir. Pour d’autres ça peut être un moyen pour « garder » un homme passionnément aimé mais qui ne semble pas autant répondre aux sentiments. Bref, je pense qu’en la matière plusieurs explications sont possibles.
milou
17 janvier 2018 @ 14:19
Je partage votre excellent com, Marnie…il n’y pas que des raisons financières à vouloir un enfant…!
ml
Jacqueline
16 janvier 2018 @ 18:08
Vous ne connaissez strictement rien des mobiles de la mère qui n’intervient pas ici et qui manifestement n’a jamais rien demandé. Le procès est intenté par le fils qui est majeur et qui, si j’ai bien compris, approche la trentaine.
Mister M
16 janvier 2018 @ 19:36
Qu’en savez vous ? Vous étiez sous les draps avec le couple pour savoir s’il y avait amour ou non ? Et pourquoi la femme devrait toujours être celle qui prend ses protections ? Quand on est prince ou roi, ou héritier d’une couronne quelconque, on doit savoir prendre ses protections quand on batifole à droite et à gauche, c’est élémentaire !
Olivier d'Abington
17 janvier 2018 @ 01:08
Chère Bernadette,
Contrairement au « mythe » trop répandu, la prise de la pilule ne garanti ABSOLUMENT PAS qu’il n’y aura pas d’enfant à la clé!
Même une femme qui prend régulièrement la pilule peut parfaitement tomber enceinte!
Si on ne veut pas d’enfant, la seule solution, c’est le préservatif!
Baboula
17 janvier 2018 @ 20:12
Les préservatifs ont aussi des défaillances .Alors pilule + préservatif + méthode Ogino + abstinence et ça devrait être plus sûr .
AnneLise
18 janvier 2018 @ 13:37
Je crois que le plus sûr, c’est l’abstinence :
Pas de prescription médicale (la pilule)
Pas de dépense (le préservatif)
Pas de calcul (la méthode Ogino)
Elle est pas belle la vie ?
Muscate-Valeska de Lisabé
18 janvier 2018 @ 19:27
Vasectomie et hystérectomie, et on en parle plus! ;-))
milou
18 janvier 2018 @ 14:56
Non Olivier d’A …la pilule est le moyen le plus sûr, c’ est certain…à 99,99/100 certes …
ml
Garance
16 janvier 2018 @ 12:20
là aussi, Vu sous cet angle je suis aussi d’accord avec vous, Olivier. j’ai fait la même remarque à Leonor qui pense différemment. Ce n’est pas simple car chaque histoire est différente.
Gibbs ??
16 janvier 2018 @ 12:40
Merci Olivier.
milou
16 janvier 2018 @ 13:21
Très juste Olivier d’A!
ml
Bertrand de Rimouski ( Canada )
16 janvier 2018 @ 15:12
Olivier…oui elle peut avoir pris la décision seule ; et ce n’est pas un cas isolé ! J’ai un amis qui croyait sa copine quand elle lui disait prendre les moyens pour qu’elle n’ait pas d’enfant car il voulait terminer l’université pour ensuite travailler et fonder une famille. Résultat il n’avait plus confiance en elle , il rompit mais il fut obligé de laisser l’université pour subvenir au besoin de son enfant car son ex ne travaillait pas. Il a travaillé 6 ans dans une station service avant de pouvoir reprendre ses cours ! Dans son cas c’est sa confiance envers sa copine qui a été le problème ! Donc dans le cas qui nous conçerne aujourd’hui nous ne connaissons pas l’histoire et donc difficile d’en juger…
Bertrand de Rimouski ( Canada )
16 janvier 2018 @ 15:18
Ceci dit j’ai oublié de mentionner qu’effectivement sont devoir est de subvenir à son enfant mais ceci ne veut pas dire qu’un titre de noblesse est obligatoirement rattaché à cette reconnaissance …
Charles
16 janvier 2018 @ 09:15
Comportement indigne de ce Prince de Bourbon-Parme.
Il faut être deux pour avoir un enfant, le Prince l’a t’il oublié?
Quant à dire que la jeune femme a pris seule la décision d’être mère, c’est culotté et déplacé.
Antoine
16 janvier 2018 @ 13:09
Il a bien fallu qu’ils soient déculottés pour donner matière à commentaires…
Ghighi
17 janvier 2018 @ 19:48
Haha!!!
Kalistéa
17 janvier 2018 @ 23:26
Très amusant cher Antoine .
milou
16 janvier 2018 @ 13:22
Heureuse de lire votre excellent commentaire, Charles!
ml
Libellule
16 janvier 2018 @ 15:04
Cher Charles ,
Je suis entièrement d’accord avec votre vous .
Le peu de jugeote de ce prince lors de cette relation est manifeste.
Très déçue par ce prince …
Libellule,
Anne
16 janvier 2018 @ 17:06
Tout à fait d accord avec Olivier . Si le duc de parme ne voulait pas d enfant il n’avait qu a prendre ses précautions ! Trop facile d utiliser madame pour son petit plaisir … et de s’en débarrasser ensuite avec le bébé !
Anne
16 janvier 2018 @ 17:06
Et tout aussi d accord avec Charles !
Actarus
16 janvier 2018 @ 17:27
Cher Charles,
désolé de laisser mon côté diplomate reprendre le dessus, mais si le prince avait alors forcé sa maîtresse à avorter, qu’aurions-nous dit ? Dans les deux cas, la position n’est pas confortable mais il me semble que c’est la moins pire qui a été choisie.
Muscate-Valeska de Lisabé
17 janvier 2018 @ 17:11
M’Ami,ça dépend pour qui ^^.
Valerie R.
17 janvier 2018 @ 17:24
Merci de votre commentaire, Charles. Une fois n est pas coutume, je suis d’accord avec vous. Et quoi que je pense de Jean d’Orléans, je suis certaine qu’en pareil cas son attitude aurait été très différente.
Leonor
18 janvier 2018 @ 23:11
Charles,je suis parfaitement culottée, et tous mes esprits sont à leur place.
» Quant à dire que la jeune femme a pris seule la décision d’être mère, » , ce serait « déplacé » ?
Visiblement, le prince n’a pas pris part à la décision en question.
A l’action, sans doute puisqu’il en convient.
Mais à la décision, à l’évidence, non.
Raisonnement simplement logique.
framboiz 07
19 janvier 2018 @ 03:32
Méfiez- vous, Charles, si vous laissez passez un mot, comme culotté , tout le monde va vous « sauter dessus « (pardon !) …comme aux grosses Têtes !
Claudia
16 janvier 2018 @ 09:23
Que ces situations sont donc compliquées….
Garance
16 janvier 2018 @ 12:24
oui, Claudia, merci pour votre sens de la mesure.
Esquiline
16 janvier 2018 @ 09:25
En lisant la presse j’ai cru comprendre qu’Hugo Klynstra avait gagné sa bataille juridique.
D’après le « Corriere » il sera désormais Son Altesse Royale le Prince Carlo Hugo Roderik Sybren de Bourbon-Parme.
Ce titre lui sera reconnu formellement par le Conseil d’Etat dans les semaines à venir.
teddy
16 janvier 2018 @ 11:32
En tant que prince dans La noblesse néerlandaise
teddy
16 janvier 2018 @ 11:32
Non comme prince héritier de parme
Mayg
16 janvier 2018 @ 13:12
Prince héritier de Parme ? Ces parents n’étant pas mariés, il ne peut être prince héritier.
Margaux ?
16 janvier 2018 @ 20:18
Il est né hors mariage, de fait il n’a donc aucun droit sur la succession, si l’on s’en tient aux dernières règles en vigueur dans le duché de Parme. Après, la monarchie n’est plus, donc il pourra se réclamer de ce qu’il veut, sans impact sur qui ou quoi que ce soit.
Pierre-Yves
16 janvier 2018 @ 09:50
Si le jeune homme veut vraiment créer des liens avec son père, il y a de quoi être heurté par le refus obstiné de celui-ci de répondre à cette demande. Car même si’il estme avoir été berné par la mère, le jeune Carlos, lui, n’y est pour rien.
Mais si le jeune homme cherche uniquement à se prévaloir d’une espèce de reconnaissance symbolisée par un titre et un prédicat, les réserves de son père peuvent davantage se concevoir.
Quoi qu’il en soit, d’une façon plus générale, si un fils, même non désiré, vous tombe dessus, il y a, je crois, de la grandeur à tenter de l’assumer, ce que le duc de Parme n’est pas disposé à faire.
Jacqueline
16 janvier 2018 @ 18:10
Je partage votre avis Pierre-Yves. Le cœur n’a pas l’air très large chez ce duc.
Milena K
17 janvier 2018 @ 20:22
Absolument,PY.
Gibbs ??
16 janvier 2018 @ 10:06
Tiens ! Quelle curieuse réponse… qui je l’espère passera à la trappe.
Les hommes (pas tous) sont d’un courage à nul autre pareil.
Cet enfant est son fils : comment peut-on se comporter de la sorte ?
J’aurais honte d’avoir un tel père.
Roxane
16 janvier 2018 @ 10:07
Comme on dit un peu vulgairement, « elle lui a fait un enfant dans le dos »… Mais elle ne l’a pas fait seule, tout de même ;-) Le prince n’était pas obligé d’avoir des rapports sexuels avec cette dame. Il devait savoir que le risque zéro n’existe pas, c’est la nature. En attendant, l’enfant est là, et il n’y peut rien. Et Carlos est son père.
Quant à savoir quelle forme de légitimation est la plus appropriée, je ne me prononce pas. Mais l’argument invoqué par le prince me choque.
Entre parenthèses, je n’aime pas l’expression « faire » un enfant ». On ne « fait » pas un enfant, l’enfant n’est pas un objet. On accueille un enfant, qui arrive dans un foyer, d’une manière qui reste quand même un grand mystère de la Vie.
Coriante
16 janvier 2018 @ 10:40
Comportement lamentable de ce Bourbon-Parme
Eric
16 janvier 2018 @ 10:42
Le comportement du duc de Parme est écoeurant
Kalistéa
16 janvier 2018 @ 10:47
Tout à fait de votre avis , Roxane .Je déteste ces princes qu’on voit souvent ostentatoirement aux pieds des autels , mais se comportent dans la vie en dehors des conseils et règles de leur religion .Il s’agit tout simplement d’être honnète , rien de plus !
Eric
16 janvier 2018 @ 10:58
Moi aussi surtout depuis qu’il est allé présenté son fils officiel dans des églises en Italie et en Espagne avec en prime un béret carliste !
Ridicule !
Ami des Bataves
16 janvier 2018 @ 11:42
Moi si j’étais un habitant de Parme, j’irais lui jeter des tomates, la prochaine fois qu’il viendra parader . Ou un os de jambon… de Parme. Les Italiens ont la fibre paternelle et maternelle.
Je me suis renseigné, et il parait que le souverain virtuel de Parme estime que ce n’est pas dans les traditions de son illustre famille de donner son nom aux bâtards, même s’il n’ose prononcer ce mot. A qui pense-t-il ? Le droit de cuissage a-t-il été pratiqué pendant des siècles ? Ou bien pense-t-il à son aïeul, le prince allemand mari de Wilhelmina qui a semé des bâtards dans la campagne environnant sa résidence ? Le monsieur se trompe de siècle, car les Néerlandais ne rigolent pas avec ces subtilités. Il se peut que là où le bât blesse c’est le bel héritage d’Irène qu’il faudra partager avec le nouveau venu dans la famille. Mais ces choses triviales, voire sordides, on n’en parle pas. Le jeune homme va pouvoir être inscrit dans le grand Livre de la Noblesse néerlandaises, sous le titre de prince de Bourbon-Parme.
Cosmo
16 janvier 2018 @ 13:41
Ami des Bataves,
Regardez mon pot à Robespierre dans lequel j’évoque la bâtardise à l’origine des Farnese à Parme.
Cordialement
Cosmo
Ami des Bataves
16 janvier 2018 @ 13:50
Euh, je tempère peut-être mes propos, que celui qui n’a jamais péché jette la première tomate….
Gérard
17 janvier 2018 @ 22:21
Ou une orange ou des violettes…
Mary
18 janvier 2018 @ 17:04
Ou un morceau de parmesan…
En France , Amélie de Bourbon-Parme ,fille illégitime du prince Michel ,porte le nom de son père,mais pas son titre et ne semble pas avoir de contacts affectueux avec lui : il n’était pas à son mariage.
teddy
16 janvier 2018 @ 21:04
la reine wilhelmine ne pouvait plus avoir d autre enfants
la reine louise des belges de santé fragile ne pouvait plus avoir de vie conjugale(tuberculose) le roi leopold Ier avait pris une compagne aspasie.pour l’autre reine des pays bas ,juliana son mari à eu deux filles illegitimes.
teddy
16 janvier 2018 @ 21:08
c’est arcadie claret pas aspasie je confond avec la femme morganatique (aspasie manos) d’un roi de grèce dont la fille etait la princesse alexandra reine de yougoslavie
JAusten
17 janvier 2018 @ 10:43
ça fera deux Carlos de Bourbon-Parme ayant le même père.
Gibbs ??
16 janvier 2018 @ 12:41
Tellement vrai Kalistéa.
milou
16 janvier 2018 @ 13:26
De votre avis, entièrement Kalistéa…ce monsieur dégage trop de dévoteries pour être honnête…!
ml
bernadette
16 janvier 2018 @ 11:05
Jasmin et ALexandre sont reconnus… mais en effet ça ne fait pas tout !
bernadette
16 janvier 2018 @ 11:15
Ce commentaire était en réponse à Milou…
teddy
16 janvier 2018 @ 11:33
Ils ne sont pas dynaste
Margaux ?
16 janvier 2018 @ 20:21
Je pense que ça ne les ennuie pas plus que ça.
Claude
16 janvier 2018 @ 11:13
Oh, shocking!
Oscar
16 janvier 2018 @ 11:21
Tous ces princes sont sidérants, de Monaco à la Hollande, un enfant naturel par ci, un enfant naturel par là, de la première venue à l’amie d’enfance… bref, je pose une question : Et le préservatif dans tout ça? Ils n’en utilisent jzmzi
Gibbs ??
16 janvier 2018 @ 12:43
N’oubliez pas la Belgique et Delphine Boël.
Merci
Margaux ?
16 janvier 2018 @ 20:23
Les tests de paternité n’ont jamais été publiés, du coup tout reste très subjectif quoique discutable dans un sens comme dans un autre. ?
Jean Pierre
16 janvier 2018 @ 13:47
Son grand-père le prince Bernhard avait déjà donné l’exemple. Dans une interview à la fin de sa vie il disait : j’ai six filles….
Marie de Cessy
16 janvier 2018 @ 15:16
Il faut croire que non…
Marie de Cessy
17 janvier 2018 @ 11:47
Non mais je rêve : le gars qui dit « Oui je suis père, mais je ne veux rien savoir »
Ben non ça ne se passe pas comme ça, quand on décide de faire l’amour sans protection on engage sa responsabilité et oui il peut y’avoir une grossesse au bout voulue ou non.
C’est trop facile de tout faire reposer sur le dos des femmes. Ça me gonfle tous ces hommes qui fuient leurs responsabilités. Tu ne veux pas de gosse ? Eh bien tu mets une capote !
D’autant que là ce qui est encore plus violent, c’est que ce jeune homme est rejeté par son père et de l’autre côté celui ci exhibe a du et à dia le fils désiré et voulu avec sa femme donc son héritier « légitime ». Et il ne faut pas se leurrer, sa femme l’accompagne car elle craint pour l’héritage de ses enfants à elle.
Voilà donc j’espère que cette histoire va rapidement se régler et que les choses vont s’apaiser.
Olivier Kell
16 janvier 2018 @ 11:35
Facile de reporter tous les torts sur le Monsieur
Nul n’ignore combien d’enfants sont nés à cause du choix égoiste, souvent intéressé de leur mère , censée utiliser des contraceptifs mais …..
Je ne cherche pas particulièrement à défendre cet homme en particulier mais juste à nuancer car bon nombre d’hommes sont obligés de contribuer à l’éducation d’enfants qu’il n’ont pas souhaité et nés parce que le « père » a fait confiance à sa compagne.
Il y a comme par hasard souvent beaucoup d’argent en jeu ; Certaines de ces mères doivent tout de même avoir beaucoup de difficulté à l’expliquer à leurs enfants et une fois de plus c’est L’Enfant qui trinque. .
Marnie
16 janvier 2018 @ 12:06
Comme je l’ai dit plus haut, si ces messieurs étaient un peu plus responsables et ne laissaient pas à leur partenaire féminine la seule responsabilité de la contraception, ils ne seraient pas les jouets d’une confiance qui peut être mal placée. Donc, messieurs, faites comme nous, soyez libres de vous préserver de la paternité et faites ce qu’il faut de votre côté !
Je précise que je trouve dommage et condamnable que des femmes ne jouent pas le jeu de la confiance en « faisant un enfant dans le dos » à un homme. Personnellement je trouve bien plus épanouissant de vivre une relation de confiance où personne n’a à craindre que l’irréparable n’arrive s’il n’est pas voulu.
Gibbs ??
16 janvier 2018 @ 12:44
En accord Marnie.
Gatienne
16 janvier 2018 @ 12:21
L’enfant « trinque » tout autant de la supposée vénalité de la mère que du dérobement assumé du père !
Dans cette histoire, il est, de toute façon, bien difficile d’établir une hiérarchie des responsabilités dans la mesure où nous ne connaissons que le volet juridique de l’affaire et rien de privé, hormis le fait que deux adultes consentants ont eu des relations sexuelles qui ont abouti à une naissance !
Milenà K
16 janvier 2018 @ 12:57
C est exactement ça, Gatienne!
Gibbs ??
16 janvier 2018 @ 12:43
Olivier Kell,
Les hommes sont-ils naïfs à ce point ?
Olivier Kell
16 janvier 2018 @ 13:17
Gibbs
Naïveté/confiance ? ou cela commence-t-il , ou cela s’arrête-t-il ?
En l’occurrence dans le cas présent les deux parents étaient amis d’enfance ….encore plus complexe
Gibbs ??
17 janvier 2018 @ 12:31
Je partage votre réponse Olivier Kell.
Mary
18 janvier 2018 @ 17:07
Ils croient ce qui les arrange…
Mayg
16 janvier 2018 @ 13:19
C’est pas faux ce que vous dites Olivier Kell. Et loin de moi l’idée de défendre la mère, qui a eu un comportement égoïste. Mais après, un enfant est né de leur relation, et ce n’est pas rien.
Jacqueline
16 janvier 2018 @ 18:12
Il y a des hommes stupides et des femmes rusées mais l’inverse se trouve aussi.
Bernadette
17 janvier 2018 @ 15:33
C »est juste Jacqueline ! Tout est dit !
Olivier d'Abington
17 janvier 2018 @ 14:16
Cher Olivier Krell,
Désolé, mais contre les enfants il n’y a qu’une seule solution 100% efficace: le préservatif!
Même en prenant la pilule régulièrement, ou avec un stérilet, une femme peut de toute façon tomber enceinte!
Ce n’est pas une histoire de « confiance », c’est un fait médical!
En 2010: 3 femmes sur 4 qui ont avorté suivaient un traitement contraceptif.
aubert
16 janvier 2018 @ 11:44
Voila deux générations que certains princes de Bourbon-Parme se couvrent de ridicule dans la vie publique comme dans la vie privée.
Coriante
16 janvier 2018 @ 12:42
C’est bien vrai surtout avec les histoires de carlistes de gauche pour les uns et de carliste de droite pour les autres.
Ghislaine-Perrine
16 janvier 2018 @ 13:47
Ouf Coriante , je ne vous conseille pas de tenir de tels propos de l’autre côté des Pyrénées , dans le MonteJura ou la Vallée de Baztan .
Les Carlistes ne plaisantent pas .
JAusten
16 janvier 2018 @ 11:54
histoire compliquée comme toujours quand il y a des enfants au centre de débats, qui n’ont pas demandé à venir mais qui demandent d’être au moins reconnus comme entité existante et vivante.
jane
16 janvier 2018 @ 11:57
Comportement qui est tout sauf princier ! Lamentable, donner le titre au fils et le retirer au père !
Ellen
16 janvier 2018 @ 12:13
Quand on ne veut pas se retrouver père contre son gré, il existe des moyens. Ne pas utiliser ces moyens c’est prendre un risque. Le prince Albert de Monaco l’ a bien compris et a eu le courage d’assumer, mais tous les hommes ne sont pas courageux.
Jean Pierre
16 janvier 2018 @ 13:28
Surtout que son cousin vendait des préservatifs.
Gérard
17 janvier 2018 @ 22:23
Pas à l’époque…
particule
16 janvier 2018 @ 12:18
En rétro j’ai une admiration sans borne pour Louis XIV. Ce roi mythique reconnaissait ses bâtards, les titrait et leur donnait une gouvernante, laquelle est devenue par la suite son épouse morganatique. Qui dit mieux ?
Licorne
17 janvier 2018 @ 11:22
« L’âge d’or » des « bâtards », c’est le XV ème siècle, au point que des historiens ont inventé le mot « bâtardocratie » pour désigner ce phénomène social particulier. Le duc de Bourgogne Philippe « le bon » fait figure de champion dans ce domaine, de 15 à 20 bâtards connus..
Tout ce petit monde grandissait avec les enfants issus de l’union légitime. Les grands seigneurs qui faisaient leurs testaments avant de partir à la guerre, n’oubliaient jamais leurs enfants illégitimes en les dotant, prévoyant qu’ils soient « tenus et nourris » en leurs hôtels par « ma bien aimée compaigne » (voilà pour l’épouse légitime)^^ jusqu’à ce qu’ils soient en âge d’être mis en « état de l’église », ou bien de mariage, recevant alors une somme d’argent pour « leur armement et leur chevalerie ». Ils ne parlaient pas de « bâtards » mais disaient « mes donnés et nourris mâles »..
Par un édit, le roi Henri IV a voulu mettre fin à certains abus dans ce domaine, et ainsi, « n’étaient plus considérés comme nobles les enfants illégitimes de nobles ». « Le bon roi Henri » ne s’est cependant pas privé comme on le sait d’avoir des enfants hors mariage..quant au « Roi-Soleil »…
Robespierre
17 janvier 2018 @ 11:49
J’ai lu que Henri IV faisait élever ses batards avec les enfants nés de son union avec Marie de Medicis dans son palais.
Licorne
17 janvier 2018 @ 18:00
Oui c’est vrai. L’édit en question visait les « hobereaux », pas le roi ! ^^
Et certes pas pour des raisons morales, mais fiscales!
Kalistéa
17 janvier 2018 @ 23:31
C’est vrai Roby ,mais c’était une autre époque et d’ailleurs ça ne se savait guère because pas de médias indiscrets!
Mayg
17 janvier 2018 @ 17:45
Louis XIV n’a reconnu que les enfants illégitimes qu’ils a eu avec la marquise de la Vallière, et la marquise de Montespan. Et à ma connaissance, il a eu d’autres enfants avec d’autres femmes, qu’il n’a pas reconnu.
Anna Claudia
16 janvier 2018 @ 12:39
Si Carlos Hugo Klinstra obtient gain de cause, le duc de Parme reviendra peut-être à la longue sur son comportement peu glorieux à son égard, en dépit du fait qu’il air probablement été floué dans cette histoire. Un enfant né à la fin des années 90, dans un milieu évolué, peut difficilement être considéré comme le fruit d’un accident. Mais que savons-nous des relations réelles entre ses deux parents ?
Gatienne
16 janvier 2018 @ 13:42
Difficile de revenir en arrière quand tout est passé par la voie juridique jusqu’ à épuisement des recours ! Pour l’instant l’aménité n’est pas à l’ordre du jour, c’est le moins qu’on puisse dire !
Gibbs ??
16 janvier 2018 @ 12:45
Lorsque je pense à toutes ces femmes qui ne savent, ne peuvent avoir d’enfants…
Marie1
17 janvier 2018 @ 00:02
Oui la vie n’est pas toujours bien faite
Mayg
16 janvier 2018 @ 13:02
Si je comprends bien,il en veut à son amie d’enfance d’avoir eu cet enfant, mais c’est l’enfant qu’il puni. Quand on ne veut pas d’enfant avec une personne, soit à s’abstient de toute relation charnelle, soit on se protège. Et enfin, l’enfant n’a rien à voir avec la décision de sa mère !
jo st vic
16 janvier 2018 @ 13:15
J’avais lu il y a qq années que la princesse Iréne s’occupait de ce petit fils…quel age a t il exactement ? être reconnu ne semble pas suffire (comme Jasmine et Alexandre) il demande un titre…Particule Charles Quint et Don Juan d’Autriche…ou le « Grand Batard de Bourgogne » fils de Philippe III le Bon…
Rominet09
16 janvier 2018 @ 13:31
Il ne faut jamais oublier qu’aucun moyen de contraception n’est fiable à 100% !
Amelie
16 janvier 2018 @ 13:45
Je vois plusieurs fois évoquer le enfants naturels de l’ancêtre Louis XIV: ils avaient certes des titres de noblesse, avaient de bonnes places et étaient mariés à des princes (dont le futur régent) mais à aucun moment, ils n’étaient mis à égalité avec le dauphin et ils ne pouvaient succéder en cas de mort de ce dernier.
Ghislaine-Perrine
16 janvier 2018 @ 13:50
Merci Gibbs il y a un équilibre dans la nature , celles là souvent n’en aiment que plus le maximum d’enfants sans se focaliser sur sa propre progéniture .
Michèle Lobre
16 janvier 2018 @ 13:52
Pourquoi Albert n’a pas épouse la mère de son fils Alexandre , il aurait eu un héritier simplement ? 1) ce n’est pas parce qu’elle est roturière 2 ) parce qu’elle est noire eh bien c’est honteux , il a épouse une roturière (c’est courant chez les Grimaldi) afriquaine et blanche et a eu ses jumeaux par fiv. Tout cela en dit long sur ce triste sire, pas mieux que le duc de Parme ou l’ex roi Albert de Belgique !
Bernadette
17 janvier 2018 @ 15:37
Parce que avoir un enfant par fiv
(comment le savez vous ?) justifie le qualificatif de « triste sire » ???
Gérard
17 janvier 2018 @ 22:26
Aujourd’hui on ne se marie plus par obligation et et c’est tant mieux.
Mary
18 janvier 2018 @ 17:11
Elle était divorcée deux fois et il ne l’aimait pas à ce point !
Vitabel
16 janvier 2018 @ 13:55
Si vraiment ce monsieur ne voulait pas d’enfant avec cette femme , soit il se protégeait ou s’abstenait d’avoir des relations sexuelles avec elle, là il se trouve qu’il est le père, catholique ou pas, prince ou pas il assume c’est tout, non mais il faudrait voir pour pas exagérer…comme Albert et d’autres qui reconnaissent leurs enfants du bout des lèvres et ne veulent pas qu’ils portent leur nom ou leur titre, c’est vraiment pas joli joli.
paola
16 janvier 2018 @ 14:17
on a des relations sexuelles comme on irait acheter le journal!!!
il ne faut pas oublier le duc d Aoste qui en a eu 2!!!!
Jacqueline
16 janvier 2018 @ 14:28
Extrêmement surprise par les commentaires surtout dans un forum N&R. Ce jeune est un enfant naturel qui de ce fait appartient à la famille de sa mère. S’il espère avoir une légitimité par cet acte. Il se trompe. Il n’est pas né dans le mariage et de ce fait ne sera jamais légitime. Reconnaissance ; attribution d’un titre ou d’un nom n’y changeront rien. Il est un enfant naturel. La responsabilité commence par l’acceptation de son histoire personnelle. Sa mère a fait le choix de faire un enfant naturel si la légitimité était une de ses valeurs , elle l’aurait fait dans le cadre d’un mariage.
De plus est , le mariage est une institution qui doit être protégé. Un enfant naturel n’est pas un enfant légitime.
Jacqueline
17 janvier 2018 @ 19:32
Moui. Ce n’est pas qu’une histoire de statut marital des parents au moment de la conception.
Lucile M.
18 janvier 2018 @ 09:30
Accepter son histoire est effectivement la seule chose qui vous permet de prendre de la distance et de vivre. En revanche hors la déclinaison aristocratique de l’enfant naturel dont je n’ai absolument pas la maîtrise je me permets de vous faire remarquer qu’en droit français, c’est le seul que je connaisse suffisamment les droits héréditaires de l’enfant naturel sont strictement égaux à ceux de l’enfant légitime. Auparavant il n’avait un droit ouvert qu’à concurrence de la moitié de ce qu’il aurait eu s’il avait été légitime. Comme un enfant naturel peut être déclaré par le père ou la mère alors qu’ils sont engagés dans les liens du mariage je vous laisse à penser le suspens d’une ouverture de succession chez un notaire.
Charles
16 janvier 2018 @ 14:34
Ce qui est indigne c’est que le Duc de Parme dise qu’il ne veut pas avoir de lien avec son fils.
Son fils n’est responsable de rien, il n’a pas le droit d’être ainsi rejeté par son père.
Quant à balader son fils légitime dans toutes les églises de Parme et de Plaisance c’est effectivement malvenu et déplacé dans sa situation.
Je connais des Princes qui voient leur enfant naturel et qui s’en occupent dignement pour le bien de tous.
Ce Duc de Parme manque terriblement d’hunanité, son égoïsme et son manque de valeurs chrétiennes sont révoltants pour ne pas employer un terme plus fort.
Robespierre
17 janvier 2018 @ 11:58
Il arrive, Charles, que nous soyons tout à fait d’accord.
Je me suis un peu renseigné, et le Carlos était tout à fait d’accord de faire cet enfant à une dame avec qui il entrenait une relation qui parait-il dura encore un temps après la naissance. Il accepta de lui faire un enfant, qu’elle désirait plus que tout, tout en l’avertissant qu’il ne s’en occuperait pas et ne lui donnerait pas son nom. Ce n’était pas très classe, mais c’était clair dès le début. La dame voulait faire un enfant toute seule, et elle avait 38 ans. Elle l’a élevé seule, n’a jamais demandé un sou au géniteur. Mais tous les deux n’avaient pas prévu que l’enfant un jour voudrait s’appeler comme son père et etre reconnu. Vu la législation néerlandaise, il jouait sur du velours. Carlos de BP rouspère que « ce n’est pas de jeu », ce n’est pas ce qui était prévu à l’origine, mais c’est ainsi et les lois en vigueur aux Pays-Bas donnent raison à Hugo Kleynstra. Ce que je trouve antipathique, c est que cet homme qui prend ses grands air de duc régnant sur un royaume fantôme, a l’air de dire qu’il y a des enfants de première classe et d’autres de classe touriste, ou low cost. Il se pavane avec ses enfants légitimes, et intente un procès pour qu’un autre enfant ne soit pas reconnu, en invoquant stupidement et lâchement des arrangements antérieurs.
Cosmo
18 janvier 2018 @ 10:24
Excellent résumé, dear Rob ! CHdBP ne sort pas grandi de tout cela.
Amitiés
Cosmo
Roxane
17 janvier 2018 @ 12:29
Tout à fait d’accord avec vous.
Milena K
17 janvier 2018 @ 20:28
Pour une fois,en accord avec votre commentaire,Charles..un bémol ,toutefois concernant votre allusion à la mère du jeune homme..il me semble hasardeux de spéculer sur ses intentions par rapport à sa grossesse d’alors.
Margaux ?
16 janvier 2018 @ 14:35
Je vois que certains commentateurs, conformes à eux-mêmes, en font des tonnes, n’hésitant pas à injurier le prince. J’imagine leur degré de connaissance du « problème », si tant est qu’il y ait un souci réel – moi je ne vois pas, mais je ne connais pas non plus l’histoire en détail.
Si je résume, le jeune homme à obtenu de porter le nom « Bourbon-Parme », le titre de prince et le prédicat d’altesse royale ; son père ne lui dénie pas ces nom, titre et prédicat mais il refuse d’avoir des contacts avec son fils, eu égard au fait que la mère a fait seule le choix de garder l’enfant. Où est donc l’embrouille ? Notre brave « duc de Parme » est libre de ne pas vouloir entrer en contact avec son fils, sans pour autant que cela n’empêche au concerné de se faire appeler comme il le souhaite. Parme n’est plus une monarchie, alors cela n’emporte rien, d’autant que rien ne s’oppose au statut princier sans les droits dynastiques. Quant à ce garçon, sûrement très sympathique, il faut qu’il se fasse une raison et accepte les nom, titre et prédicat, puis admette le souhait de son père en mettant son mouchoir sur ses rêves dynastiques ou assimilés.
Dans ces affaires-là, il faut que chacun reste souple et consente à quelques sacrifices sur ses envies, pour ne faire primer que l’essentiel. C’est sûrement simpliste mais souvent, les solutions les plus simples sont les meilleures.
Robespierre
17 janvier 2018 @ 12:00
Non, Margaux, Carlos de BP ne veut pas que son fils illegitime porte son nom, et il est allé en justice pour éviter ça. Ne pas avoir de contact, est un autre problème.
Olivier d'Abington
17 janvier 2018 @ 14:20
Chère Margaux,
Vous n’avez pas tout suivi visiblement!
Le prince refuse au jeune homme de porter son nom!
D’où le passage devant le juge, afin d’empêcher qu’il ne s’appelle de Bourbon-Parme
milou
17 janvier 2018 @ 17:20
Je suis totalement de votre avis sur ce sujet,Charles, totalement…ce père qui ne veut pas avoir de contact avec son fils car son ex-compagne lui aurait fait cet enfant sans son consentement …et même si…cet enfant ne mérite pas un tel traitement !!!
J’ ai un cas semblable chez un ami de mes fils…mais celui-ci est père à part entière !
ml
mariejeanne
18 janvier 2018 @ 00:40
Il faut suivre…pour tenter de comprendre !
Pascale (37)
16 janvier 2018 @ 14:53
et il se dit catholique !!!!!
COLETTE C.
16 janvier 2018 @ 14:55
Il est clair qu’il veut donner le titre uniquement au fils qu’il a eu avec son épouse.
Danielle.
16 janvier 2018 @ 15:13
On prône la contraception sur tous les toits et le duc de Parme s’est cru au dessus de tout cela ??
Opale
16 janvier 2018 @ 15:31
Merci Gibbs. Ça m’écoeure. Personnellement nous n’y arrivont pas à avoir un enfant et lorsqu’on voit le comportement de certains. Ça nous fait vomir….
Nemausus
16 janvier 2018 @ 16:23
Si Carlos Hugo Klynstra s’était contenté de faire reconnaître sa filiation naturelle (et non légitime, rappelons le) et de demander seulement à porter le nom de Bourbon (comme l’ont obtenu les enfants naturels d’Alphonse XIII d’Espagne sans prétendre à être des infants d’Espagne !), voire de Bourbon-Parme, mais sans le titre princier et le prédicat d’AR réservés aux princes nés en légitime mariage et donc dynastes, il n’y aurait pas eu toute cette procédure certainement de la part du duc de Parme.
Mais Carlos Hugo Klynstra a voulu aussi faire valoir des droits à un titre princier comme un dynaste alors que selon la loi dynastique de Parme, seuls les enfants légitimes et reconnus dynastes ont droit à cette appellation et ce titre. Carlos Hugo Klynstra a t-il l’idée un jour de contester les droits légitimes du duc de Parme à lui succéder dans ses titres ? veut-il un jour prétendre être le chef de maison de la maison royale de Parme ?
Cela peut choquer certains ici, un peu trop loin des réalités juridiques, mais la loi n’est pas modifiable au gré des caprices de certains. La transmission de titres même nobiliaires obéit à des règles juridiques y compris aux Pays-Bas.
A vouloir trop et surtout ce auquel il n’a aucun droit légitime, Carlos Hugo Klynstra pourrait perdre l’essentiel (enfin si le nom de Bourbon est réellement l’essentiel pour lui)….même si le conseil d’état néerlandais n’est pas tenu de prendre en compte les lois dynastiques parmesanes….
Néanmoins, comme l’a bien rappelé Actarus, les Pays-Bas ont transformé un Naundorff en Bourbon et ses descendants continuent de s’affubler de titres princiers même si le Gotha les ignore totalement et qu’ils font plutôt sourire… J’imagine que le conseil d’état pourrait reconnaître le nom de Bourbon ou Bourbon-Parme à Carlos Hugo Klynstra pour tenir compte de la filiation biologique mais je ne vois pas sur quel point de droit le conseil d’état pourrait se baser pour attribuer aussi le titre princier et le prédicat d’AR à Carlos Hugo Klynstra qui n’est pas né en légitime mariage.
Le duc de Parme aurait été inspiré peut être d’attribuer un titre « compensatoire » à son fils naturel pour le dissuader de vouloir passer pour un prince dynaste, comme l’ont souvent fait d’autres souverains à leur progéniture naturelle….
Mais au final, tout ceci n’est-il pas seulement une affaire d’argent de la part de Carlos Hugo Klynstra ou de sa mère et du duc de Parme ?
Margaux ?
17 janvier 2018 @ 15:53
Merci Nemausus !
Mary
18 janvier 2018 @ 17:18
Les Naundorff devraient s’appeler de Bouffon et non de Bourbon ,depuis que l’analyse ADN est passée par là…
berton
16 janvier 2018 @ 16:29
Pas très glorieux pour aucun des trois protagonistes de cette histoire, j’entends le père, la mère de ce garçon et la femme du père. Tout cela est assez minable !
Brigitte - Anne
16 janvier 2018 @ 16:36
Sordide ! Responsabilité partagée entre le père et la mère . Un chose m’étonne , pourquoi ce jeune Carlos se manifeste seulement maintenant pour avoir une reconnaissance en paternité ? Ceci dit c’est légitime et naturelle mais de là à se faire appeler » Altesse Royale » …. Cela m’interpelle sur les raisons profondes de la demande .
Teresa 2424
16 janvier 2018 @ 17:18
Omitieron al rey Juan Carlos… etc…. Felipe VI hoy no sería rey……
Teresa 2424
16 janvier 2018 @ 17:21
Hay mujeres muy hábiles….. y si es por la herencia un fideicomiso lo soluciona
l'Alsacienne
16 janvier 2018 @ 18:02
Nous ne savons rien des relations qui existaient entre Madame Klinstra et le prince.
Leur fils commun veut être reconnu pour sa filiation et aussi pour sa part d’héritage.
S’il s’agissait d’un géniteur ordinaire, le zèle ne serait sans doute pas le même.
Peut-être y a-t-il également un zeste de vengeance dans cette demande de reconnaissance de paternité.
Roxane
17 janvier 2018 @ 12:40
On n’en sait rien. Je connais des enfants naturels de « géniteurs ordinaires » comme vous dites, qui remuent ciel et terre pour obtenir la reconnaissance à laquelle ils aspirent.
clement
16 janvier 2018 @ 18:46
Les Bourbon-Parme ,famille de grands catholiques ……bravo !
Mary
18 janvier 2018 @ 17:20
De grands cathodiques ces temps -ci…
marianne
16 janvier 2018 @ 18:54
J’ ai lu plusieurs fois la formule « faire un enfant dans le dos » .
Je pense que cette expression est d’ une malhonnêteté rare , car si l’ homme ne prend pas ses « précautions » c’ est qu’ il accepte l’ éventualité d’ une grossesse chez sa partenaire !
Il est irresponsable et indigne de dire ensuite « je ne voulais pas de cet enfant » !
Cette expression est aussi révélatrice d’ un machisme toujours présent : la femme prédatrice du pauvre mâle victime ….
Jean Pierre
17 janvier 2018 @ 13:24
Des siècles de culpabilité depuis Ève….vous avez bien vu les choses.
Olivier d'Abington
17 janvier 2018 @ 14:22
Merci chère Marianne!
C’est exactement ça!
Machisme, une fois encore, qui refuse de se reconnaître tel!
.limaya
17 janvier 2018 @ 18:59
Bravo et merci pour votre com Marianne rien à ajouter , on retrouve une fois de plus le machisme ds toute sa splendeur qui dure ,perdure et pour longtemps encore….
Leonor
18 janvier 2018 @ 23:28
Vous rêvez.
Je suis si machiste que j »ai prévenu mes fils contre les agissements des prédatrices. Car, des prédatrices, j’en ai vu à l’oeuvre, et comment. Vu.
Sans compter la meilleure : un jeune homme d’une famille proche, en poste au Mexique, qui a été rapatrié dare-dare en France par le consul ; dépouillé de tout, y compris de son passeport, avec pour tout bagage les vêtements qu’il avait sur le dos.
Histoire sordide. Une prédatrice, de la plus belle espèce, s’était fait faire un enfant – oui, ici le mot » faire » est le seul adapté – en sabotant délibérément les préservatifs. Eh oui. Histoire vraie.
Désolée. Mais en ce bas monde, mieux vaut ne pas être naïf. Les bons sentiments ne suffisent pas.
ciboulette
16 janvier 2018 @ 19:34
Les princes ne sont plus ce qu’ils étaient ( ou ce que l’on croyait qu’ils étaient ) ! Ma pauvre Régine , que pouvez-vous faire face à ce duc de Parme d’un caractère bien bas , ou au duc de Castro dont la femme ( la bimbo du Gotha ) a tenté de faire déshériter sa sœur …sans oublier l’ex roi des Belges , Albert , qui ne veut pas entendre parler d’une fille qu’il a beaucoup côtoyée , pourtant , dans son enfance ( à elle ) .
Hadrien-Marie
17 janvier 2018 @ 15:14
« Ma pauvre Régine » ???
beji
16 janvier 2018 @ 19:55
Le duc s’est peut-être fait faire un enfant dans le dos
Il y a des femmes qui veulent « faire un enfant toute seule »,ce qui expliquerait qu’il
reconnaît la paternité puisqu’il avait une liaison avec la mère de l’enfant mais ne veut pas assumer le rôle de père.
mimi
16 janvier 2018 @ 20:53
Pathétique…..
Gérard
16 janvier 2018 @ 21:28
Pour intéressante qu’elle soit du point de vue psychologique l’argumentation du prince ne me paraît pas juridiquement fondée et ne devrait pas l’emporter devant le Conseil d’État. Dans la plupart des systèmes juridiques aujourd’hui tous les enfants quelles que soient leurs origines ont des droits égaux sous réserve de certaines tolérances pour en favoriser un ou un autre du point de vue patrimonial. Le Conseil d’État en ce qui concerne les titres néerlandais ne fait plus aujourd’hui de distinction entre ceux qui sont transmis après mariage et ceux qui sont transmis par filiation sans mariage. Or ce que nous dit le prince c’est que cet enfant, il ne l’a pas voulu, ceci n’a pas d’importance en l’espèce, on pourrait dire que dans certains couples mariés tel ou tel enfant n’a pas été vraiment voulu quel que soit l’amour qu’on peut lui donner par la suite, ceci cependant est sans influence sur les droits de cet enfant.
Quant au droit dynastique parmesan il n’est pas susceptible d’être examiné par le Conseil d’État néerlandais.
Jean Pierre
17 janvier 2018 @ 13:22
C’est la jurisprudence Picasso qui visiblement s’appliq Désormais dans toute l’Europe.
Merci Gérard de remettre les pendules à l’heure. D’un point de vue juridique on n’a que peu à tirer des états d’ame des uns et des autres. Force doit rester à la loi. Encore heureux que les juges ne prennent pas en compte les motivations des plaignants ou des mis en cause sur ce genre d’affaire.
Après libre à chacun de penser ce qu’il veut de la situation, du duc de Parme et de son fils aîné.
Marie JFB
16 janvier 2018 @ 22:36
Indépendamment des circonstances de la conception de cet enfant, je pense qu’il est en droit de vouloir être reconnu par son père. Après, est-ce qu’obtenir cette reconnaissance par la force judiciaire lui fera du bien d’un point de vue psychologique, sachant que son père ne veut aucune relation avec lui (dommage mais c’est son droit) ? A voir…
Le prénom du jeune homme penche malheureusement pour une grossesse intéressé de la mère, bien que cela puisse ne pas être le cas. Je ne pense pas que « Carlos Hugo » soit très usité aux Pays-Bas, qu’importe la langue. Sans parler du fait que je considère de mauvais goût pour l’enfant que de le baptiser d’après un membre de la branche familiale qui ne souhaite maintenir aucun lien avec lui. Au final, son jeune demi-frère n’a-t-il pas le même prénom que lui ?
Ce que je trouve très intéressant par contre, c’est le fait que la justice néerlandaise ne l’a pas seulement autorisé à porté le patronyme des Bourbon-Parme mais également le titre de prince qui va avec. Pour moi, il a pas droit au titre car né hors mariage. J’aimerais connaître les motivations légales pour l’octroi du titre. Finalement, oubliez ma toute première question : c’est reconnaissance forcée ne pourra faire que du bien au jeune homme. Après tout, il récupère un titre de noblesse et certaines personnes/certains cercles y sont très sensibles.
Est-ce que cela aura un impact sur l’héritage (patrimoine) du Duc de Parme le moment venu ? Le droit néerlandais permet-il de déshériter totalement un enfant ou est-ce comme en France, ils ont une part réservataire ?
En tout cas, cette histoire renouvelle mon intérêt pour les règles de transmission du titre de « prince de Bourbon-Parme » qui se retrouvent, si on considère toutes les branches, régit par 3 droits différents (néerlandais, luxembourgeois, italien/législation du temps du temps de la monarchie à Parme).
Marie1
16 janvier 2018 @ 22:49
Très compliqué comme situation, c’est surtout triste pour l’enfant, mais que savons nous de la situation exacte et des relations entre les parents ?
Maintenant que désire réellement Carlos Hugo Klynstra, une reconnaissance pour établir des liens avec son père, ou uniquement une reconnaissance vis à vis de la société, avoir un titre etc…
Erato
17 janvier 2018 @ 08:41
L’attitude du pére est égoiste, celle du fils opportuniste.
Laissons l’amour, la psychocologie de couple et la génétique en dehors de tout ceci: c’est une simple histoire d’argent et de quelques priviléges nobiliaires, qui, soit dit en passant, de nos jours n’existent que pour ceux qui veulent bien y croire!
JAY
17 janvier 2018 @ 09:18
A croire que même au 20eme et 21eme siècle c est monnaie courante chez les « royaux ».
Albert de Monaco, Le Prince de Savoie AOSTE, le Roi Albert des Belges, le prince Bernhard des Pays Bas, ….
Charles
17 janvier 2018 @ 11:40
Et bien d’autres !
Bernadette
17 janvier 2018 @ 15:47
Oui Charles….en France on a eu aussi Mazarine !
Mary
18 janvier 2018 @ 17:24
Ne m’en reparlez pas de celle – ci ,luxueusement prise en charge et protégée avec nos impôts !
noelie bourbon
17 janvier 2018 @ 10:19
les enfants sont toujours des victimes dans ce cas,,la science ont realiser des prouesses pour que les femmes ne puissent enfanter,,MAIS la science ne va pas bien loin,les hommes ont tous les droits et les femmes NON.? pourquoi n y a t il pas de pillule ou autre ,,,,,,?,pour que les hommes evitent d etre pere, s il ne le souhaite pas;? il y en a bien 1 mais definitive ,,,,on prefere laisser le fardeau,les ennuis et toute la responsabilite a la femme sans que les hommes levent le petits doigt,,c est a croire que encore comme toujours la femme est l esclave des hommes et n a pas droit au chapitre,,! elle peut l eviter oui ,mais dans certains cas NON;, l injustice faite aux femmes,,,! C EST toujours la meme chose;;,les hommes dabort;;?
Ontheroadagain
17 janvier 2018 @ 10:57
Je rejoins vos avis pour la plupart :
– Le Prince est catholique mais incohérent avec les préceptes de la religion puisqu’il a eu un enfant hors du Sacrement du Mariage et n’accepte que de reconnaître sa paternité, pas de s’occuper davantage de ce fils inattendu (le fréquenter, le recueillir, l’aider…), ce qui n’est pas très chrétien faut avouer…
– En même temps, oui, les conséquences d’un rapport sexuel hors mariage et surtout par rapport à son statut de Prince et Duc de B-P, se gèrent à 2 : il y a la contraception féminine ET la contraception masculine. Soit il a pensé, de bonne foi mais à tort, qu’elle prenait la pilule ou autre chose, soit elle le lui a fait croire dans un 1er temps…
– Ensuite, cet enfant et là et il n’y peut rien, mais maintenant qu’il est adulte et qu’on lui a expliqué QUI était son père biologique, alors que les circonstances de sa naissance et cette filiation ne lui permettent peut-être pas d’être dynaste selon les lois et/ou chartes du Duché de B-P et du Royaume des Pays-Bas, il se met soudain à revendiquer un titre…
– Et la mère du garçon ? Soit elle s’est fait mettre enceinte volontairement par le Prince-Duc en lui mentant sur une éventuelle contraception d’abord, ou que la contraception, si réellement utilisée, a échoué (ça arrive aussi). Mais dans tout les cas, une fois l’enfant né ou quand il a grandi, elle a mis le père devant le fait accompli, dans le but de toucher une grosse somme d’argent et faire parler d’elle et de son fils ? Le Prince-Duc ne désirait sans doute pas cet enfant et ne s’y attendait pas, certes, mais cet enfant est bel et bien là, c’est son fils, il faudra bien qu’il fasse quelque chose, que ça lui plaise ou non !
– Et comment le Roi, son cousin, va-t-il gérer cette affaire s’il a son mot à dire ? Qu’en sera-t-il aussi vis-à-vis de son épouse Annemarie et de leurs 3 enfants (même si d’après ce que j’ai lu, elle aurait choisi son camp) ?
On ne saura jamais vraiment car il y a une part d’intimité dans laquelle on ne doit pas s’immiscer…
Roxane
17 janvier 2018 @ 12:45
Quel « camp » Annemarie aurait-elle choisi ?
Bernadette
17 janvier 2018 @ 15:44
En ce qui concerne le Roi, rien à craindre de ce côté là….les Hollandais ont la réputation d’être très larges d’esprit !Mais peut être lui aura t il dit ce qu’il pense en privé !
Les histoires de famille se règlent en famille et non sur la place publique !
Cosmo
17 janvier 2018 @ 21:18
La duchesse de Parme connaissait la situation avant de se marier et la mère de l’enfant ne l’a certainement pas eu pour de l’argent car elle a assumé seule.$
Vous avez raison. Quoiqu’il en soit, il devra assumer. A mon avis, le roi se moque de la situation qui ne le concerne que de très loin. Un prince de plus ou de moins dans la famille ne change pas grand chose.
Cosmo
Ami des Bataves
18 janvier 2018 @ 11:36
A mon avis, le roi des Pays-Bas qui est un homme bien doit rigoler dans sa barbe et se dire « bien fait pour ta pomme » ou comme dirait Gerard « pour ton orange ».
mimi
17 janvier 2018 @ 15:46
Son cousin, le Roi, accepte le fait que cet enfant soit « titré ». Ce qui est tout à fait légitime. Ce garçon n’a rien demandé et l’attitude de son père n’est pas très chrétienne.
Anny
17 janvier 2018 @ 17:54
Attitude déplorable du duc de Parme qui enlève tout crédit à ses revendications dynastiques, heureusement que la reine Beatrix a trouvé un emploi de convenance à ce neveu aussi peu fin qu’interessant.
berton
17 janvier 2018 @ 21:02
Si un homme ne veut pas se retrouver avec un « enfant dans le dos », quelle horrible expression, les préservatifs ne sont pas uniquement pour le peuple….
jo st vic
17 janvier 2018 @ 21:11
Absolument Bernadette…mais Mazarine se baladait avec son pére en Egypte et ailleurs….c’était plutot Danielle qui qui encaissait stoiquement
Mary
18 janvier 2018 @ 17:27
Et nous , on » décaissait » notre argent pour que ce vieux satrape et sa fille se gobergent !!!
Arielle
17 janvier 2018 @ 21:35
Drôle de personnage que ce duc de Parme.
Yannick
18 janvier 2018 @ 03:45
Je ne vois pas l’intérêt pour l’enfant de revendiquer dès ses 18 ans (!) un titre et un nom alors qu’il a déjà celui de sa mère, ce n’est pas non plus comme s’il était né sous X et qu’il était en quête de son identité. A moins que ça ne soit par pur opportunisme pour bénéficier de l’effet carte de visite.
Je comprends que le prince ne veuille pas que cet enfant qu’il n’a pas désiré ait le même nom et le même titre que les enfants qu’il a voulu, élevé et chéri.
Cosmo
18 janvier 2018 @ 10:30
Voilà qui est expéditif !
Robespierre
18 janvier 2018 @ 11:43
Les enfants qu’il a voulus, élevés et chéris auront quant même à partager le gâteau de l’héritage de Juliana avec leur demi-frère né en dehors du mariage Quant au nom, sincerement, même moi qui ne suis pas snob, je préfèrerais porter un nom historique (après tout j’aime l’Histoire) que m’appeler Petitmachin. Si j’en ai la possibilité, et le jeune Hugo a cette possibilité, et même légitimité selon la loi néerlandaise.
Donc pour vous ce jeune homme doit rester dans son coin, se couvrir la tête de cendres et répéter « je n’ai droit à rien, et je ne suis rien « .