Produit par les Etats-Unis dans le contexte de guerre, ce reportage visait à dévoiler aux yeux des citoyens américains l’essence de la monarchie britannique sous le règne de George VI, ainsi que la résilience et les traditions profondément enracinées du peuple britannique face à l’adversité.
La vidéo présente les richesses d’une monarchie ancienne, marquée par des siècles de traditions. George VI, le souverain de l’époque, est présenté non seulement comme un monarque, mais comme un symbole vivant de stabilité et de continuité, guidant son peuple à travers les épreuves de la Seconde Guerre mondiale. On peut également apercevoir son épouse et leurs deux filles, Elizabeth et Margareth.
Le film montre des extraits du couronnement du roi George VI en 1937.
L’accent est mis sur les cérémonies traditionnelles, les institutions séculaires, et l’interaction entre la monarchie et le peuple britannique, dépeignant une nation unie dans son respect et son admiration pour sa famille royale.
Au-delà de la splendeur des palais et des cérémonies officielles, ce film touche le cœur de la résistance britannique face à la menace nazie.
Il dépeint avec émotion les efforts déployés par les Anglais pour maintenir leur mode de vie, leur détermination à ne pas céder face aux bombardements et aux attaques, illustrant ainsi l’indomptable esprit du Blitz.
Les récits de courage, de solidarité, et d’endurance sous le feu ennemi sont un témoignage poignant de la lutte acharnée pour la liberté et la souveraineté.
S’abonner à la chaîne Youtube Dynasties TV : https://www.youtube.com/@dynastiestv
Irene
14 mars 2024 @ 07:04
Après Elisabeth, c’est une institution finie. Elle ne peut pas être la monarchie de “copia/incolla”. Du sérieux….
Lili3
14 mars 2024 @ 12:59
?
Universelle relooBalbkée
16 mars 2024 @ 04:31
C’est votre souhait Irène. La Monarchie britannique n’est en rien une institution finie.
Philibert
17 mars 2024 @ 23:58
Et par quoi voulez-vous remplacer la monarchie britannique ?
La Grande-Bretagne est un royaume depuis plus de mille ans (à part le bref intermède de Cromwell) et elle est une part du lien qui unit ses quatre composantes.
Un président anglais ne sera pas accepté par les Écossais et difficilement par les Nord-Irlandais. Et puis les Britanniques aiment la pompe royale…
JAusten
14 mars 2024 @ 07:18
Pourquoi « ‘l’Angleterre vue par les Américains »?
Philibert
14 mars 2024 @ 08:25
Je soupçonne que ce film a été récemment colorisé, comme le montre la deuxième image, où la couleur violette est surreprésentée, ce qui est fréquent dans les films anciens colorisés par ordinateur..
Caroline
14 mars 2024 @ 22:18
Philibert,
J’ ai déjà remarqué que ce film est colorié. Pour les prochaines générations, il devait être en noir et blanc pour qu’ on sache qu’ il n’ existait pas la photographie en couleurs, ni les films et ni les photos dans les journaux.
Elisabeth-Louise
14 mars 2024 @ 08:45
Un grand merci pour le lien ! je me suis abonnée et je vais regarder avec grand plaisir, notamment ce 3ème document !
Je lis beaucoup de romans anglais relatant cette période, tous fondés sur des documents authentiques, et bouleversants, même si parfois écrits avec humour….
J’ignore si en France, les gens sont conscients de l’âpreté de cette période en Angleterre….
Ici, en France, je trouve que nous n’avons pas l’équivalent en littérature de ces romans tantôt tragiques, tantôt pittoresque et amusants;
Bien sûr, en tant que pays occupé, le climat psychologique a été totalement différent; le seul exemple se présentant à mon esprit est de Frédérique Hébrard ( récemment décédée, et fille d’André Chamson) » La chambre de Goethe » dans lequel elle évoque la dissimulation des oeuvres d’art en province pour éviter leur saisie par l’occupant;
Une saga dans ces romans anglais est représentative de ce genre = Tamara Mc Kinley » La pension du bord de mer » https://www.babelio.com/serie/La-pension-du-bord-de-mer/44767
Leonor
14 mars 2024 @ 11:26
Si vous voulez vous amuser, passer un bon moment sans prétention littéraire, lisez » La bicyclette bleue » etc de Régine Desforges.
Une fois qu’on le prend en main, on ne le lâche plus. Bon, ce n’est pas du Tolstoï, hein ….
C’est même carrément une copie ( le terme exact m’échappe) de » Gone with the wind ».
Mais bon, hein, on ne peut pas tout le temps naviguer dans les éthers intello-littéraires !
Zulma
14 mars 2024 @ 12:20
Je n’ai jamais compris pourquoi l’auteur n’a pas été ennuyée pour cause de plagiat. Et de mauvais plagiat en plus 🙃
Robespierre
15 mars 2024 @ 14:27
On l’a ennuyée, mais les héritiers de Margaret Mitchell ont été déboutés.
Kalistéa
17 mars 2024 @ 16:48
Tout à fait de votre avis chère Zulma !
Elisabeth-Louise
14 mars 2024 @ 12:29
Merci Léonor ! Je vais, oui, regarder cela…
Laure
14 mars 2024 @ 16:55
Quelle référence !
Menthe allo
14 mars 2024 @ 18:59
Le terme est contrefaçon. j’ai souvenir d’un procès à ce sujet et suis étonnée que vous n’ayez pas cherché sur tonton google.
Pour la Bicyclette bleue, Régine Deforges est accusée de contrefaçon par les ayants droit du roman Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell. S’ensuit une saga judiciaire : le tribunal de grande instance de Paris considère le 6 décembre 1989 qu’il y a effectivement contrefaçon, mais Régine Deforges fait appel et la cour d’appel de Paris lui donne raison le 21 novembre 1990. L’affaire est portée devant la cour de cassation, qui le 4 février 1992 casse le jugement de la cour d’appel de Paris et renvoie le procès devant la cour d’appel de Versailles, qui déclare le 15 décembre 1993 qu’il n’y a pas contrefaçon1.
Régine Deforges admet que la trame d’Autant en emporte le vent constitue effectivement la base de son roman de manière volontaire, évoquant à ce titre une sorte de « pari » entre elle et son éditeur, Jean-Pierre Ramsay.
cordialement.
Auberi
15 mars 2024 @ 14:40
J’ai lu en diagonale ce roman de RD il y a quelque temps pour avoir une opinion sur le dit plagiat et en effet c’est incontestable ! Scandaleux copié-collé sur Autant en emporte le vent. Mme Desforges avait un très bon conseil, pas très reluisant de la part d’une soi-disant écrivaine
Lili3
18 mars 2024 @ 15:33
Deforges
Pascale
14 mars 2024 @ 12:45
Les Britanniques ont connu des moments difficiles même après la guerre. Si je peux me permettre de raconter une anecdote personnelle sans qu’on me saute dessus 😉 , ma mère a été lectrice de français dans un lycée de Londres de 1947 à 1948. En France, le commerce revenait à la normale. Au Royaume Uni, il y avait encore des tickets de rationnement pour les produits alimentaires, même basiques, et tout le reste. Ma mère était pensionnaire dans la famille d’une élève, où elle était chouchoutée avec du thé apporté au lit le matin. Mes grands-parents envoyaient régulièrement des colis alimentaires à la famille anglaise. principalement des conserves et des kilos de sucre pour le thé, car même le sucre était encore soumis à des restrictions au RU. Cela faisait les délices de la famille accueillante. Par contre, la proposition d’envoyer du camembert n’a pas suscité d’enthousiasme ! ! !
C’est à la même époque que la reine Elizabeth s’est mariée. Elle avait fait confectionner sa robe de mariée avec un grand nombre de tickets de rationnement pour le tissu reçus de tout le pays, alors que le RU est connu pour son industrie textile florissante avant puis peu à peu après la guerre. Je ne suis pas économiste mais il me semble que le RU a eu bien plus de mal à se remettre de la guerre. Quand je suis moi-même allée en Angleterre chaque année à partir de 1969 (= investiture du prince de Galles), la nourriture était encore assez mauvaise dans la classe moyenne avec 2 salaires. Chez les ouvriers, le dîner se composait souvent de pain de mie avec quelques ranches de tomates et de concombre. Jusque dans les années 70, il était courant d’acheter les fruits à l’unité.
jual
14 mars 2024 @ 16:46
Il y a aussi la Saga des Cazalet d’Elizabeth Jane Howard. C’est l’histoire d’une famille bourgeoise anglaise pendant les années de guerre. Il y a beaucoup de personnages, car le Patriarche a trois fils et une fille et pas mal de petits-enfants, auxquels s’ajoutent les amant(e)s, les amis et d’autres membres de la famille. Tout ce monde fait entendre sa voix, à tour de rôle.
Sinon, il y a aussi Rosamund Pilcher avec « Coming home » (Retour en Cornouailles) qui suit une jeune fille de 1935 à 1945, en quelque sorte adoptée par une famille aristocrate de Cornouailles.
Et sur la 2ème GM en France vous avez, entre autres, « Elle s’appelait Sarah » de Tatiana de Rosnay, « Le secret » de Philippe Grimbert, « La suite française » d’Irène Némirovsky ou « Toute la lumière que nous ne pouvons voir » d’Anthony Doerr.
Elisabeth-Louise
15 mars 2024 @ 15:30
Merci Jual ! j’ai lu la saga Cazalet, et bien sûr, tout Rosamunde Pilcher…
Concernant les oeuvres françaises, je ciblais uniquement des oeuvres faisant preuve de légèreté, d’humour; nous avons, oui, des livres évoquant cette période, mais sans ce ton particulier fait d’humour cotoyant la tragédie qui caractérise ce qui a été écrit en Angleterre;
Un titre notamment a reçu un très bon accueil » Le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates »
Livre de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows, que je recommande vivement !
Kalistéa
17 mars 2024 @ 16:55
Un très bon film a été tiré de ce livre plein d’humour chère Elisabeth-Louise . Je l’ai vu au moins trois fois : super !
Jean Pierre
14 mars 2024 @ 10:30
Après le renvoi de Kennedy les liens entre la famille royale britannique et les USA (et inversement) se resserrèrent tout naturellement.
Robespierre
15 mars 2024 @ 14:32
Quel mauvais ambassadeur c’était. Bête à pleurer. Mais ce bref intermède dans les ambassade fit que pour le restant de ses jours on s’adressa à lui comme « Mister Ambassador ». A propos d’ambassadeur, dans le temps, l’ ambassadeur d’Irlande aux USA, qui était bien en cour chez les parents Kennedy, disait avec dégoût il n’y avait pas un seul livre chez eux. Ils ne lisaient jamais.
Auberi
14 mars 2024 @ 14:03
Déclin bien amorcé de cette famille royale avec le décès d’Elizabeth II. Je pensais qu’il irait moins vite mais en deux ans avec la puissance phénoménale des réseaux sociaux c’est impossible pour cette monarchie qui se veut rester farouchement séculaire mais qui va être balayée bien plus rapidement que prévu. Vivre caché de nos jours n’est plus possible. Leurs bulles de sécurité ne sont plus gérables comme auparavant et leurs éducations plus assez strictes.
Je ne vois pas comment les héritiers de Lilibeth vont pouvoir tenir et leurs engagements et leurs vies privées. Gérer les fake News qui deviennent fontaines au quotidien, la haute technologie numérique qui est maintenant proposée, donnent le tournis. It’s over… 👋👋
camille
15 mars 2024 @ 08:14
impossible de me connecter sur leurs ‘ news letters » frustrant, je tombe sur » histoires royales »
et hier une erreur je suppose dans la partie consacree au Danemark, la reine Margarete n ‘es pas née princesse heritiere a mon avis
mais belle emissions
Patrick JACQUES
15 mars 2024 @ 13:30
Beaucoup d’efforts dans ce film américain destiné aux américains, pour dire que finalement le Royaume-Uni est bien une société démocratique et parfaitement égalitaire et qu’ils ont raison de se battre à ses côtés. Quant à la présentation de la situation indienne. Enfin bref, la cause justifiait certains arrangements avec la réalité.