A la Maison des Amériques à Madrid, l’infante Elena d’Espagne a inauguré une exposition consacrée aux châles de Manille. Elle en a d’ailleurs prêté un. L’exposition se teint jusqu’au 25 octobre 2024.
A la Maison des Amériques à Madrid, l’infante Elena d’Espagne a inauguré une exposition consacrée aux châles de Manille. Elle en a d’ailleurs prêté un. L’exposition se teint jusqu’au 25 octobre 2024.
Nk
11 octobre 2024 @ 03:37
Ressemble a son ancestre maria luisa peinte par goya
Joelle Iemma
11 octobre 2024 @ 16:06
Pauvre Elena ! Quelle faute de goût. ET vous, à laquelle de vos ancêtres ressemblez-vous ? Une beauté forcément. Quelle vanité !
Menthe allo
12 octobre 2024 @ 18:26
Et rebelote ! 😞
Joelle Iemma
11 octobre 2024 @ 08:04
Quelle chance a l’Infante Elena de pouvoir admirer, étudier de telles merveilles. Elle porte souvent des châles et elle a raison. Cela remplace amplement un manteau ou un pull dans nos régions méditerranéennes.
Nicole C34
11 octobre 2024 @ 08:24
Certainement un très joli travail , celui-ci a l’air très grand .
Passiflore
11 octobre 2024 @ 09:23
Il paraît que le châle de Manille, fabriqué en soie, doit mesurer 145 cm avec 21 cm de treillis et 30 cm de frange et être suffisamment lourd pour ne pas se froisser pendant la danse, certains pesant jusqu’à 2 kgs. A l’origine, ils étaient faits en Chine et sont arrivés en Espagne par les routes commerciales des Philippines et du Mexique. Ils étaient achetés par les femmes espagnoles de haut rang mais l’industrie textile anglaise et la mode européenne ont modifié les modes et ces châles ont été portés par les couches sociales dites « inférieures » dont les femmes gitanes.
L’impératrice Eugénie portait des châles en soie de crêpe, dits « grenadine », car fabriqués près de Grenade, qui remplacèrent les lourds châles de cachemire de laine.
Anna 1
11 octobre 2024 @ 13:17
Merci pour cet éclairage, ce châle est de toute beauté
Joelle Iemma
11 octobre 2024 @ 15:37
J’ai acheté, il y a 20 ans, en Russie des châles en laine (146/146 cms), avec des franges en soie, très fleuris, de toutes les couleurs. Sur 7, il m’en reste toujours trois (j’ai offert les autres !). Ils ont été tissés à Sergueï Possad. Ce sont des merveilles, très chaudes, payées 20 euros chacune. Pour rien au monde, je ne m’en séparerai. Mon autre rêve : un châle de Manille mais ce n’est pas le même prix ! Merci beaucoup pour votre article si intéressant et érudit.
O
11 octobre 2024 @ 09:25
Grande classe de cette Infante
aubert
11 octobre 2024 @ 13:25
ll semble que la chose à lui reprocher c’est de s’être trompée de mari. C’est fréquent.
PS: j’oubliais, impardonnable sur N&R, apprécier la corrida.
Jo
11 octobre 2024 @ 13:58
Aubert, à l’issue de ce mariage elle a eu une magnifique fille qui s’embellit au fil du temps
Baboula
11 octobre 2024 @ 14:10
Embellissement pas toujours naturel.
Et le fils reste pas beau du tout .Deux jeunes sans de vrais intérêts.
G
13 octobre 2024 @ 14:36
Le fils n’est pas laid
Il est typé espagnol
Baboula
15 octobre 2024 @ 20:56
Typé espagnol …. vous dites n’importe quoi . Entre lui et tonton Felipe il y a autant de différences qu’entre tonton Felipe et toute la nation ibérique.
Danielle
11 octobre 2024 @ 11:17
Cette exposition doit être superbe, dommage qu’elle se tienne loin.
Catherine
11 octobre 2024 @ 22:32
Merveilleux. Elena portait souvent la mantilla.
Hervé J. VOLTO
17 octobre 2024 @ 13:41
Exemple de manuacture espagnole. Pour le reste on apprend des choses.