Dans son émission de rentrée « Des racines et des ailes » de ce mercredi 18 septembre 2013 à 20h45 sur France 3, Patrick de Carolis vous racontera l’extraordinaire épopée des ducs de Bourgogne. De Philippe Le Hardi à Charles le Téméraire, cette illustre famille a fait rayonner la Bourgogne sur une grande partie de l’Europe. Leur puissance était telle qu’ils ont fait vaciller le trône de France. L’émission aura pour cadre les Hospices de Beaune. (Merci à Anne P.)
Francine du Canada
17 septembre 2013 @ 06:57
Merci Régine et Anne P. pour cette photo; c’est un très bel endroit. Bonne journée, FdC
marielouise
17 septembre 2013 @ 07:53
Magnifique endroit,rempli d’histoire!
Emission toujours intéressante!
Caroline
17 septembre 2013 @ 11:24
Il faut que je révise ma leçon d’Histoire de France sur la Bourgogne d’antan!Mais,je me rappelle vaguement de Thierry la Fronde,a-t-il coopéré avec Charles le Téméraire?
COLETTE C.
17 septembre 2013 @ 11:43
Superbe photo, et merci pour l’info !
Mélusine
17 septembre 2013 @ 11:59
Ce lieu, où se déroulera l’excellente émission « des racines et des ailes » est un incontournable, lors d’une visite de la Bourgogne.
Comment ne pas être admiratif face à ce bâtiment à la magnifique toiture vernissée ressemblant à une tapisserie ! L’Hôtel Dieu (la photo) fait partie des Hospices de Beaune, institution charitable créée en 1443 par Nicolas Rollin, Chancellier du Duc de Bourgogne et son épouse Guigone de Salins.
Témoin de l’architecture civile du Moyen-Age, ses salles où furent soignés par les Soeurs de nombreux malades indigents, contiennent plusieurs centaines de meubles, objets et tapisseries de cette époque. Ainsi qu’une impressionnante collection de pots à pharmacie.
Le chef-d’oeuvre étant le polyptyque du Jugement Dernier de Roger van der Weyden.
(source : leur site)
Pierre-Yves
17 septembre 2013 @ 14:05
C’est aussi le lieu de quelques scène mémorables de La Grande Vadrouille, où Mary Marquet en mère supérieure ausculte avec autorité les parachutistes (Big Moustache et le fils de Michèle Morgan).
On a de la culture ou on n’en a pas ……
marianne
17 septembre 2013 @ 16:55
:)
HRC
17 septembre 2013 @ 21:31
« c’est une urgence »
même culture
tea for two ?
Mélusine
17 septembre 2013 @ 22:54
et la culture cinématographique, Pierre-Yves, n’est pas négligeable. J’ai vu plusieurs fois le film auquel vous faites allusion et il m’amuse à chaque fois.
Toutes les scènes en sont désopilantes, qu’il s’agisse de l’énergique religieuse auscultant le malade anglais « c’est le foie », au « tea for two » du Turkish Bath et au vaniteux bouillonnant Major Achbach malmené par le duo Bourvil-De Funès, le rire est permanent.
Voilà pourquoi, en nous menant jusqu’à la campagne bourguignonne et aux hospices de Beaune, cette grande vadrouille historico-burlesque n’est pas prête de nous lasser.
Francine du Canada
17 septembre 2013 @ 16:01
Merci Mélusine, votre commentaire est très intéressant! Bonne journée du Canada sous le soleil, FdC
Mélusine
17 septembre 2013 @ 23:00
Bonnes journées à vous également, chère Francine d’un Canada chanceux d’avoir du soleil et merci de votre gentillesse.
Gibbs
17 septembre 2013 @ 12:07
Très joli !
Un petit « coucou » et je penserai à vous.
Bises
Gibbs
Philippe
17 septembre 2013 @ 12:17
Ce sera probablement passionnant.
Reste que les ducs Valois de Bourgogne s’illustrèrent par leur traitrise à leur nation d’origine, ou du moins, si l’on considère la notion de nation comme un peu balbutiante à l’époque, par leur manque de respect à l’égard de l’oeuvre unificatrice de leurs ancêtres capétiens.
Les complots, les manigances, l’assassinat d’un fils de France, l’alliance avec les
rois anglais Plantagenêt contre leur propres cousins, l’occupation de Paris au profit desdits anglais, rien, mais rien !, ne leur aura semblé assez abject pour limiter
leur malveillance …
Et ce jusqu’à la fin, puisque Charles le téméraire aura marié sa fille à Maximilien de Habsbourg, plutôt que de voir son « empire » revenir à ses cousins Valois de France.
Offrant ainsi aux archiducs autrichiens la puissance financière dont ils avaient besoin pour continuer leur ascension. Ainsi que le prétexte politique (la prétention sur la partie française du duché) qui allait faire des Habsbourgs les pires ennemis de la France jusqu’au traité de Westphalie de 1648 !!!
D’ailleurs parlons-en, des Habsbourgs … Imagine-t-on une seconde un archiduc
autrichien portant les armes contre son chef de famille ??? Non …
On confie la régence de tel ou tel territoire à une soeur, à une tante, à un frère, ou bien l’on partage les héritages pour des raisons de bonne gestion, mais jamais on ne se fait la guerre entre Habsbougs ! Et surtout, on préfère toujours le mariage à la guerre : « Bella gerant alii, Tu felix Austria nube », « Les autres font la guerre, Toi heureuse Autriche tu te maries … ».
Les Valois de Bourgogne ont, eux aussi, pratiqué une politique de mariage qui les a considérablement enrichis, mais ils ont oublié qu’ils appartenaient à la dynastie capétienne. Sans leurs immonde traitrise, la France contemporaine aurait atteint depuis longtemps ses frontières naturelles et, pardon à nos amis belges !,
s’étendrait jusqu’au Rhin …
Alors oui, les hospices de Beaune, les belles églises des flandres et du Brabant,
les magnifiques gisants des ducs de Bourgogne et leurs superbes pleurants
d’albâtre, et tout le tralala …
… mais moi j’applaudis à l’assassinat de Jean sans Peur, j’applaudis encore
à la mort du Téméraire pendant le siège de Nancy, et j’applaudis encore plus au fait que son cadavre n’ait été découvert que quelques jours plus tard, à moitié dévoré par les bêtes sauvages …
Ils ont eu ce qu’ils méritaient.
aubert
17 septembre 2013 @ 14:31
Toujours un peu excessif, cher Philippe, mais dans le propos seulement.
Pour le fond vous avez raison.
HRC
17 septembre 2013 @ 21:46
Philippe revient à l’orléanisme par l’armagnac, c’est sûr.
HRC
17 septembre 2013 @ 14:46
eh bien Philippe !!
un bémol pour l’Alsace, qui ne fut pas dans les terres bourguignonnes
la Bourgogne était un apanage, fief donné à un cadet. Il y en avait eu d’autres avant mais sans ce problème.
Marie de Bourgogne
17 septembre 2013 @ 21:04
Si il n’y a eu d’autres apanages sans ce problème c’est peut être parce que il n’y a aucun élément décisif attestant que le duché de Bourgogne est un apanage masculin. Au contraire, à la mort du Téméraire, « la pratique des fiefs et des pairies de France n’était pas tellement constante qu’on ne pût citer beaucoup d’exemples de transmissions féminines » (Barante, Histoire des Ducs de Bourgogne de la Maison de Valois, s’appuyant sur ce point sur les travaux de Gollut et de Legrand). D’ailleurs l’acte d’apanage du duché de Bourgogne ne stipulait la réversion qu’en cas d’extinction de la race, sans faire mention de masculinité. La coutume de Bourgogne permettait aux filles d’hériter des fiefs. Et bien plus, si Jean II le Bon lui-même était entré en possession du duché de Bourgogne qu’il devait ensuite attribuer à son fils cadet (Philippe le Hardi), ce n’était pas par réversion à la couronne, mais c’était précisément comme héritier en ligne féminine de la maison capétienne de Bourgogne!
Certes, on a pu relever qu’en 1314, Philippe le Bel, et Charles V, en 1374, avaient déclaré que les apanages seraient à l’avenir restreints à la ligne masculine. Mais l’ordonnance de Philippe le Bel n’avait été appliquée par aucun des rois ses successeurs, et lorsque ces derniers entendaient qu’un apanage ne soit transmis que par les mâles, ils inséraient textuellement dans la donation cette clause restrictive. Clause délibérément omise dans l’acte de 1364 concernant la Bourgogne. Quant à l’ordonnance de 1374, elle ne disposait selon ses propres termes que pour l’avenir, et sans effet sur les apanages antérieurement attribués.
Enfin, en admettant même que le fief fût masculin, la maison de Bourgogne avait encore un héritier mâle : Philippe, comte de Nevers, petit-fils de Jean-sans-Peur. Louis XI n’y avait aucun droit, de quelque manière qu’on s’y prenne. Et Charles-Quint, s’il ne put faire prévaloir ses droits, n’en était pas moins le véritable héritier des ducs de Bourgogne, ce dont témoigne d’ailleurs le fait que l’Ordre de la Toison d’Or, attaché au duché, passa sans contestation, même des rois de France, à la maison d’Autriche.
Bonne soirée
HRC
17 septembre 2013 @ 21:36
merci, Marie !
« Harembourgis qui tint le Maine
mais où sont les dames d’antant? »
ailleurs aussi les femmes ont tenu des fiefs; merci Marie
Marie de Bourgogne
18 septembre 2013 @ 12:31
Ballade des dames du temps jadis
Dites-moi où, n’en quel pays,
Est Flora la belle Romaine,
Archipiades, ni Thaïs,
Qui fut sa cousine germaine,
Écho parlant quand bruit on mène
Dessus rivière ou sur étang,
Qui beauté eut trop plus qu’humaine
Mais où sont les neiges d’antan?
Où est la très sage Héloïs,
Pour qui fut châtré et puis moine
Pierre Abelard à Saint-Denis?
Pour son amour eut cette essoine.
Semblablement, où est la reine
Qui commanda que Buridan
Fut jeté en un sac en Seine?
Mais où sont les neiges d’antan?
La reine Blanche comme lis
Qui chantait à voix de sirène,
Berthe au grand pied, Bietris, Alis,
Haremburgis qui tint le Maine,
Et Jeanne la bonne Lorraine
Qu’Anglais brûlèrent à Rouen;
Où sont-ils, où, Vierge souveraine?
Mais où sont les neiges d’antan?
Prince, n’enquerrez de semaine
Où elles sont, ni de cet an,
Qu’à ce refrain ne vous remaine:
Mais où sont les neiges d’antan?
François Villon
Philippe
18 septembre 2013 @ 10:26
Merci Marie, pour votre réponse pleine d’enseignement.
J’avoue que j’avais oublié l’existence des comtes de Nevers…
Mais cela ne change rien à l’idée générale de mon propos. Le fait est
que des princes capétiens, pourtant issus récemment de la lignée royale,
et à qui ce fief avait été donné par Jean II, se sont crus autorisés à braver
l’autorité de ceux qu’ils auraient toujours dû considérer comme leurs chefs de famille …
Désolé mais, à mes yeux, et contrairement à vous je ne suis pas bourguignon, les Valois de Bourgogne
furent les pires princes des Lys
qu’ait jamais connu l’Histoire de
France.
Bonne journée à vous.
Marie de Bourgogne
18 septembre 2013 @ 17:57
« les Valois de Bourgogne furent les pires princes des Lys qu’ait jamais connu l’Histoire de France. »
Peut être Philippe. Mais, sincèrement, le futur louis XVIII ne fut il pas lui-même un misérable vis à vis de son frère Louis XVI ? Gaston d’Orléans ne fut il pas odieux de par sa conduite vis à vis de Louis XIII ? Et combien d’autres….
Les Ducs de Bourgogne furent ils vraiment les pires ? Qu’importe, ils ont été les PLUS (à mes yeux bien évidement) :-) .
Amicalement
Philippe
18 septembre 2013 @ 09:45
Bonjour HRC,
Je ne pensais bien sûr pas à l’Alsace, ni au duché de Lorraine, ni même au duché de
Bar …
lesquels néanmoins, un peu plus tard, finirent bien par tomber dans l’escarcelle des lys !
Bonne journée !
HRC
18 septembre 2013 @ 23:58
j’ai bien aimé votre post, en fait; J’oublie toujours qu’il faut être plus explicite sur un blog.
Juliette
17 septembre 2013 @ 16:07
Pas faux Philippe. Vous redonnez une dimension historique à l’évocation des ducs de Bourgogne.
marianne
17 septembre 2013 @ 17:13
» leur immonde traitrise » ….. comme si Louis XI était un exemple d’honnêteté et de franchise !
Quant à « tout le tralala » , j’ai admiré et aimé .
Et les mariages ? Ne sont-ce pas 2 rois de France successifs qui se sont mariés avec Anne pour posséder la Bretagne ? etc …
Philippe
18 septembre 2013 @ 10:18
Laquelle Anne de Bretagne était déjà une capétienne « pur beurre » !
Le rattachement de la Bretagne à la France était inéluctable. Et souhaitable. Cela déplait à certains bretons, mais c’est ainsi.
Bien à vous.
Marie de Bourgogne
18 septembre 2013 @ 12:46
« comme si Louis XI était un exemple d’honnêteté et de franchise ! »
« L’universelle aragne » (tel était le surnom de Louis XI). Cette expression fait référence au caractère et aux méthodes de Louis XI, qui a axé toutes les actions de son règne sur la ruse et sur un réseau étendu d’informateurs, au lieu de miser sur la force brute. C’est ainsi qu’il est venu à bout de la plupart de ses adversaires politiques.) .
Même si Louis XI a vaincu et a mis à bas la puissance de ma province je tiens, malgré tout, à rendre hommage à l’intelligence.
Cet homme était un surdoué. Il représente le triomphe de l’intelligence sur la force. Le roi Louis XI était un politique et le Duc Charles était un guerrier.
Le guerrier s’est emmêlé dans les fils de l’universelle aragne.
Je ne peux m’empêcher de comparer le destin du Duc Charles face à Louis XI au destin de Marc Antoine face à Octave (devenu l’empereur Auguste), toutes proportions gardées bien entendu.
Croyez bien, chère Marianne, qu’en tant que bourguignonne, cela me coute de le reconnaitre :-). Mais il vaut mieux voir la vérité en face.
Je terminerai ce post en vous remerciant d’avoir aimé « tout le tralala ». Je rajouterai à « tout ce tralala » l’admirable Puits de Moïse que j’ai eu le privilège de voir de près lors des journées du patrimoine. Une merveille.
Amicalement
HRC
18 septembre 2013 @ 15:18
oh oui !
je ne raterai pas l’émission ce soir, chère Marie
Marie de Bourgogne
17 septembre 2013 @ 18:19
« Les complots, les manigances, l’assassinat d’un fils de France »
Oui mais bon :-), le peuple de Paris se félicitait de la disparition du duc Louis d’Orléans (Orléans était alors synonyme d’impôts ).
On peut comprendre que l’assassinat de Jean sans peur poignardé sur ordre de son ennemi, le dauphin Charles (futur roi Charles VII de France) ait décidé Philippe le Bon, lors d’une rencontre du 25 décembre 1420, de maintenir l’alliance avec l’Angleterre contre les rois de France afin de venger le meurtre de son père.
Si quelqu’un tue votre papa, vous ne faite pas copain-copain avec lui.
Marie de Bourgogne
17 septembre 2013 @ 12:30
Je suis RAVIE (Ô combien). J’espère que l’on parleras également de MOI :-)
Blague à part, merci à Régine et à Anne de signaler cette émission qui parlera de l’histoire de ma (très belle) province.
sylviane
17 septembre 2013 @ 13:58
Merci Régine sans vous je serais passée a coté de cette superbe émission et je l’aurais fortement regretté
*gustave de montréal
17 septembre 2013 @ 14:15
Bien. Bien. Racines/Ailes est transmis sur TV5 Monde.
Gwendy
17 septembre 2013 @ 14:47
Super bâtiment, je l’ai vu alors qu’il avait un peu plu, la toiture est encore plus impressionnante et magnifique, les tuiles donnaient l’impression d’avoir été vernies, de toute beauté.
Juliette
17 septembre 2013 @ 15:58
Très intéressant. Je regarderai. J’adore l’architecture des hospices de Beaune. L’histoire des ducs de Bourgogne est passionnante. Un rendez-vous à ne pas manquer, c’est tellement rare des émissions culturelles à la télévision française de nos jours.
Marie de Bourgogne
17 septembre 2013 @ 18:46
Les Ducs de Bourgogne, Grands ducs d’Occident et Seigneurs des meilleurs vins de la Chrétienté. Ils étaient « Ducs par la grâce de Dieu » (privilège unique car normalement seul le Roi l’était par la grâce de Dieu) .
Les seuls que l’histoire de France appelle Grands Ducs.
Ils étaient riches, ils étaient puissants, ils étaient flamboyants.
Pour les bourguignons ils sont une Gloire. Ils sont quatre :
– Philippe le Hardi,
– Jean sans Peur,
– Philippe le Bon,
– Charles le téméraire.
Nous ne nous intéressons pas à ceux qu’il y a eu avant, et encore moins à ceux qui sont venus après.
HRC
17 septembre 2013 @ 21:44
j’allais l’écrire, chère Marie ! le vin, la plus rentable des exportations de l’époque, l’équivalent aujourd’hui ce sont les voitures allemandes et des machins video du Japon de sa grande époque.
mérité d’ailleurs, votre orgueil, et je resterai anonyme parce que je vis dans le sud-ouest, où cela ne se dit évidemment pas sauf si on veut corser la conversation au dîner.
Marie de Bourgogne
18 septembre 2013 @ 12:25
Merci HRC.
Très amicalement.
PS : bon, tout orgueil mis à part, les vins du Sud Ouest et du Bordelais ne sont pas mal non plus. Je le reconnais très volontiers (mais pas avec les vignerons :-) ) et j’en bois avec grand plaisir.
Danielle
18 septembre 2013 @ 20:20
HRC, vous avez de bons vins dans le Sud Ouest, et l’Armagnac…
HRC
19 septembre 2013 @ 00:08
l’armagnac était cité plus haut que « les Armagnacs » c’était le nom des partisans Orléans après la mort du prince.
Danielle
17 septembre 2013 @ 19:03
Merci à Anne et Régine.
Mon mari est né aux Hospices de Beaune et a vécu très longtemps à Savigny les Beaune où nous sommes allés début mai aux journées portes ouvertes des caveaux ; nous y allons environ tous les deux ans, puisque notre maison n’est qu’à 60 kms.
Le 3ème week end de novembre, se tient la vente des vins des Hospices de Beaune avec vente aux enchères et dont le bénéfice est reversé aux Hospices qui comprend le nouvel hôpital, je crois qu’une année que Mathilde était présente;
L’émission devrait certainement parler de Dijon, Vézelay, l’abbaye de la Pierre qui Vire (côté Morvan qui fait partie de la Bourgogne), Nevers et ses faïences réputées, l’abbaye de Fontenay, de certains châteaux, Saulieu et l’incontournable et feu Bernard Loiseau (nous sommes dans un village à proximité), sans compter toute la partie historique.
Bonne soirée à tous et à toutes.
Marie de Bourgogne
17 septembre 2013 @ 19:34
Petit avant goût pour ceux qui seraient intéressés par cette émission (si Régine le permet bien entendu) :
Des Racines et Des Ailes : En terre de Bourgogne – Les Ducs de Bourgogne (1) :
http://www.youtube.com/watch?v=qL02FmAf-zI&feature=youtu.be
Brigitte
17 septembre 2013 @ 20:57
si cela vous intéresse, vous pouvez voir de nombreuses photos des Hospices de Beaune sur mon blog ; le premier article – d’une série d’une dizaine – se trouve ici : http://de-moi-a-vous.over-blog.fr/article-les-hospices-de-beaune-visite-de-l-hotel-dieu-72377726.html
HRC
17 septembre 2013 @ 21:38
bonne idée !
Marie de Bourgogne
18 septembre 2013 @ 20:01
Merci beaucoup Brigitte.
flabemont8
17 septembre 2013 @ 23:37
Merci, merci infiniment pour tous ces rappels historiques, géographiques, gastronomiques, et cinématographiques bien présents encore dans ma mémoire et que je retrouverai avec plaisir !
Marie de Bourgogne
20 septembre 2013 @ 12:53
Un petit peu déçue par cette émission. Je l’avoue. J’ai été surprise que, pour le niveau histoire, l’accent ait été mis sur les Princes de Condé. Rien sur Marie de Bourgogne et rien non plus sur son plus prestigieux héritier : Charles Quint.
Bon, sincèrement, je n’ai rien contre les Princes de Condé mais, honnêtement, à part une rue (enfin plutôt une ruelle :-) ) et une crèche, rien dans Dijon ne porte le nom des Condé.
Enfin le nom PARIS a été prononcé plusieurs fois pour parler de Dijon. Je trouve que Paris est une ville magnifique mais lorsque je suis à Paris je ne vois pas Dijon et vice versa. et si il y a un documentaire sur Paris, je ne pense pas que le nom Dijon soit prononcé. Je me console en me disant que Dijon est apparu dans un album de Harry Potter et pas Paris :-)