Le musée de l’Armée à Paris présentera prochainement l’exposition « Napoléon n’est plus ». A cette occasion, cliquez ici pour découvrir une étude sur les masques mortuaires de l’empereur.
Le musée de l’Armée à Paris présentera prochainement l’exposition « Napoléon n’est plus ». A cette occasion, cliquez ici pour découvrir une étude sur les masques mortuaires de l’empereur.
Mary
11 février 2021 @ 06:58
Fantômas !!!
Bambou
11 février 2021 @ 07:05
Quel dommage que la photographie ait été découverte si tard…
J’aurais tellement aimé voir les visages exactes de Napoleon 1er ou de Louis XIV……..
Elsi
11 février 2021 @ 19:12
Je crois qu´il est preferable de garder ses illusions ….
Muscate-Valeska de Lisabé
11 février 2021 @ 19:55
Moi aussi.
Surtout de Richelieu,en fait.
Oh oui…vraiment !
Caroline
11 février 2021 @ 08:12
Etonnant et mystérieux à la lecture de cette étude ! C’ est bizarre de voir ces masques mortuaires en noir, non en blanc comme d’ habitude!
Rose
11 février 2021 @ 09:44
J’aime ces mystères !!! On attendra le 31 mars pour savoir ce qu’ouvre la petite clé et où se trouve le vrai masque:)
COLETTE C.
11 février 2021 @ 10:53
J’en ai vu un au Musée Masséna à Nice
ciboulette
11 février 2021 @ 17:12
C’est curieux , on dirait que le masque tout à droite parait plus apaisé que les autres . . .
Philppe Gain d'Enquin
11 février 2021 @ 13:29
Un nouvel opus pour la collection du Masque ?
Cosmo
11 février 2021 @ 21:40
J’oserais dire…morbide.
Kalistéa
12 février 2021 @ 11:12
Je profite , avec l’accord de Régine, de cette page récente sur Napoléon , pour continuer mes quelques notes sur les compagnons Corses de l’Empereur à Sainte Hélène . Après le docteur Antomarchi, le « maitre d’hôtel » Cipriano qui mourut subitement et fut enterré dans l’île , voici évoqué le destin des deux prêtres corses qui à la demande de Napoléon , arrivèrent à Sainte Hélène et dont le plus jeune , l’abbé Vignali , recueillit la confession de l’Empereur et lui administra l’extrême onction .Il officia aux cérémonies des obsèques , assista à la mise en bière , accompagna le cortège funèbre avec une certaine pompe militaire accordée par Hudson Lowe , bénit la tombe , enfin il fut présent à tout .Napoléon lui confessa- t- il vraiment ses péchés? se repentit-t-il de certaines actions qui lui causaient des remords?çà , on ne le saura jamais : son compatriote emporta le secret dans sa tombe .Celle-ci ne l’attendit d’ailleurs pas longtemps .A son retours en Europe , il retourna en Corse ,se fixa dans sa maison paternelle dans le hameau de Vignale (haute corse) où , au bout de quelques années , il fut abattu d’une balle en plein front un soir qu’il fermait ses volets ,sa lampe derrière lui , par un tireur qui resta inconnu … quant au mobile du crime, plusieurs hypothèses ont été avancées mais cela reste mystérieux .
Ghislaine LPB
12 février 2021 @ 13:16
je n’ai jamais compris cette pratique . C’est une horreur .Un manque de respect total envers la personne décédée a qui on vole une dernière image .
C’est barbare .
Philppe Gain d'Enquin
12 février 2021 @ 18:43
Enfin une bonne idée de Mako-Moulage…
rler du corse et du latin naturellement!)
12 février 2021 @ 18:44
Les aumoniers de sainte Hélène (suite et fin).
Après Waterloo, le départ de Napoléon fut organisé de façon assez précipitée.Les généraux Bertrand et Montholon ne pensèrent pas à s’encombrer d’un aumônier: Ils étaient jeunes et avaient été bercés par les idées anti religieuses de la révolution. Cependant ils étaient aussi jeunes mariés et leurs épouses qui étaient plus pieuses souffrirent à Ste Hélène de ne trouver ni religion catholique ni prêtres. elles eurent des enfants et il fallu avoir recours à des pasteurs Anglais anglicans pour les baptiser. Napoléon savait être gai et taquin même dans les circonstances de cet exil ,aussi il les assura- t-il que leurs enfants seraient naturellement protestants avec ce baptême …En outre lorsque le fidèle Cipriano mourut sans les consolations de sa religion et fut enterré avec les prières d’un pasteur , Napoléon comprit que lui-mê pourrait rester assez longtemps dans l’île pour y décéder et qu’il fallait entreprendre des démarches pour obtenir qu’un aumônier le rejoigne. Il s’adressa naturellement à son oncle le cardinal Fesh , qui choisit un compatriote Corse qui avait déjà à l’île d’Elbe, été l’aumônier de madame mère . Napoléon se souviendra d’avoir déjà rencontré à Elbe effectivement, l’abbé Buonavita . Celui -ci était vieux: Il avait 17 ans de plus que Napoléon et était diminué. Il était de Pietralba (haute corse), village proche à vol d’oiseau, de celui de l’abbé Vignali . Dans cette région régnait l’influence de l’évèque Sébastiani on cle du général du même nom que Louis-Philippe dont il était l’ami fit maréchal .ce vieux prêtre (on dira même « cacochyme ) avait beaucoup voyagé. Il avait été en Espagne avec le roi Joseph , puis au Mexique . Il parlait couramment l’espagnol, comme le français et l’italien , sans pa
Kalistéarler du corse et du latin naturellement!)
12 février 2021 @ 19:50
sans parler du corse et du latin naturellement .
Kalistéarler du corse et du latin naturellement!)
13 février 2021 @ 11:14
veuillez m’excuser tous pour ces anomalies certainement dues à une fausse manoeuvre . je ne sais pas comment rétablir l’ordre et la moitié de mon texte a disparu .