Le prince Charles-Philippe d’Orléans, duc d’Anjou et son épouse la duchesse Diane de Cadaval ont accordé un long entretien au magazine “O Globo”. La duchesse de Cadaval évoque le palais familial d’Evora. Ce n’est qu’en 1990 que son défunt père prit la décision d’y installer la famille. Avant cela, Diane avait vécu en Suisse, à New York, à Paris et à Londres. C’est son oncle le comte Brandolini d’Adda qui avait évoqué cette perspective avec son père.
Depuis, la duchesse de Cadaval secondée par son époux, sa mère et sa soeur Alexandra, se démène pour mettre en valeur ce patrimoine historique avec l’organisation d’expositions ou encore du festival des musiques sacrées à Evora.
La duchesse évoque son mariage avec des réjouissances qui durèrent 3 jours en 2008 avec le prince Charles-Philippe d’Orléans, le tout avec 45 degrés.
Le couple a fait connaissance lors d’un voyage entre Paris et Londres où Diane travaillait alors pour Christie’s. On apprend que le duc d’Anjou travaille à présent pour la Fondation du Prince Albert II de Monaco.
Le duc et la duchesse se partagent entre leur résidence d’Estoril et le palais Cadaval. Ils ont pour rappel une fille la princesse Isabelle âgée de 8 ans, filleule du roi Felipe VI d’Espagne.
En 2011, lors de la visite du prince de Galles, ce dernier demanda au prince Charles-Philippe ce qu’on Orléans faisait au Portugal. Le prince ne sut que répondre.
La duchesse Diane qui affiche toujours un magnifique sourire, est déjà l’auteure de biographies historiques sur les reines de Portugal. Elle prépare un nouvel ouvrage.
La vie aux côtés du prince Charles-Philippe ne semble pas des plus “paisibles” comme le confie la duchesse Diane qui l’a accompagné au Rwanda, en Ethiopie, Cambodge, Tchernobyl ou encore en Côte d’Ivoire où ils avaient échappé à un attentat. Visiblement à chaque voyage, des incidents sont au programme comme lors de la visite d’un temple au Cambodge qui fut frappé quelques instants plus tard par la chute d’un arbre. (merci à Alberto)
jul
25 août 2018 @ 06:33
Là je vais défendre Charles Philippe d’Orléans, bien que son usage de ce titre me déplaise (sans parler de l’incroyable usage des armes de la seconde ligne, de France à la bordure de gueules, seul blason encore porté par beaucoup de Bourbons qui ne sont pas Infants d’Espagne, mais passons).
« En 2011, lors de la visite du prince de Galles, ce dernier demanda au prince Charles-Philippe ce qu’un Orléans faisait au Portugal. Le prince ne sut que répondre. »
Incroyable et désolant : tout simplement
« Ce que François d’Orléans, Louis de Bourbon, Gaston d’Orléans et Auguste de Saxe-Cobourg-Gotha faisaient au Brésil,
ou Antoine d’Orléans, Ferdinand de Bavière en Espagne, Félix de Bourbon au Luxembourg »
« Ce que jadis le duc de Teck faisait au Royaume-Uni »
ou encore mieux :
« La même chose qu’un prince de Grèce et de Danemark au Royaume-Uni »
Régine
25 août 2018 @ 07:42
L’entretien est en langue portugaise. Ma traduction ne reflète dès lors probablement pas ce moment où le prince de Galles pose cette question de manière ironique et le prince ne répond que par un rire…
Charles
25 août 2018 @ 09:38
Merci Regine, c’est plus compréhensible ainsi.
monica
1 septembre 2018 @ 06:45
Whaou qu ils ont changé.. Ils de sont bien enbourgeoisé depuis leur mariage 😁😁
Gérard
25 août 2018 @ 13:04
Il aurait effectivement pu dire, mais un sourire suffisait, que l’amour l’y avait conduit comme le duc d’Édimbourg mais ça n’aurait pas été tout à fait juste pour le duc d’Édimbourg qui était déjà dans la marine britannique avant ses fiançailles.
Rappelons aussi que le duc de Bragance vient de la maison capétienne de Bourgogne.
Karabakh
2 septembre 2018 @ 01:11
Je ne pense pas que Charles-Philippe ait la finesse d’esprit du duc d’Édimbourg ou de Charles de Galles. Les réparties en sont des preuves flagrantes.
jul
25 août 2018 @ 17:59
Ah Régine, je vois de quelle ironie vous parlez ;) Et il doit s’agir de cela si le princ d’Orléans n’a pas su quoi répondre !
Alberto
25 août 2018 @ 08:48
C était une plaisanterie entre lointan cousins. (Charles a connu la feu comtesse de Paris). Charles Philippe racconte cette histoire avec bonhomie. Charles de Gales ne voulait pas du tout être insultant.
Pascal
25 août 2018 @ 09:33
Jul
J’admire sincèrement votre science de l’héraldique !
Je ne m’y suis jamais essayé car je n’en ai guère l’usage et de toute façon un je ne sais quoi me laisse penser que je n’y aurais pas été à l’aise mais j’en aime beaucoup le vocabulaire , je dirais même le « jargon » , sans nuance péjorative , car toute discipline de l’esprit à son « jargon » qui souvent décourage les moins motivés.
Mais la science de l’héraldique est elle toute de cohérence ou possède t’elle aussi ses chausse-trape et ses faux amis ?
jul
26 août 2018 @ 16:02
Ah Pascal, je n’ai que des bases mais merci pour votre message.
A mon sens, ce n’est pas une science, mais un Art, une forme de langage avec je dirais plutôt un vocabulaire, une grammaire, une syntaxe et des déclinaisons lol
Vous posez une bonne question à laquelle je vais réfléchir et à laquelle je n’entrevois pour le moment pas d’exemples en dehors de l’occurrence plus ou moins fréquentes de figures qui peuvent prêter à confusion entre plusieurs maisons ou cités…
PataClems
27 août 2018 @ 11:47
L’héraldique est une science, auxiliaire (et même grande alliée de l’histoire), comme l’est aussi la généalogie. Une science peut revêtir un caractère artistique, ce n’est pas antinomique. 😉
Pascal
28 août 2018 @ 15:02
En effet !
J’ai employé le mot science dans le sens de connaissance , savoir .
La plupart des disciplines qui se targuent d’être des « sciences » n’en sont pas (l’économie au tout premier chef) au sens que l’on appelle parfois « science dure » , la physique étant l’exemple le plus classique de la science dure.
Kardaillac
28 août 2018 @ 16:12
L’héraldique est d’abord un code féodal :)
Karabakh
2 septembre 2018 @ 01:12
Mathématiquement parlant, l’art des codes est une science cher monsieur.
Mary
25 août 2018 @ 09:55
Votre dernière phrase eût été superbement bien envoyée Jul !!!
Bravo !
Gérard
26 août 2018 @ 11:08
Jul en octroyant aux Bourbons d’Espagne le droit à l’écu d’Anjou Louis XIV ne leur en a pas réservé l’usage d’autant qu’allant régner en Espagne ils étaient par définition à l’étranger et qu’il ne pouvait donc y avoir de confusion.
jul
27 août 2018 @ 12:08
Gérard,
Louis XIV n’allait pas s’opposer à quelquechose qui ne s’était jamais fait.
Les armes avec la brisure du Fils de France est toujours portée par ses enfants. Point besoin de « réservation » puisque c’était réservé. Cela n’a jamais été autrement quand des Capétiens sont devenus rois de Navarre, à Naples et de Sicile par exemple. Ils restaient « d’Anjou » ou « d’Evreux » et conservaient les armes du Fils de France, auteur de leur branche ou rameau, éventuellement écartelées avec celles de leurs Etats.
La branche aînée, la seconde branche et la branche cadette des Bourbons ne forment qu’une Maison, celle de France, de la même manière que jusqu’à la mort de Charles II, Infants et Infantes d’Espagne sont d’Autriche.
d’ailleurs vous parlez « d’octroyant aux Bourbons d’Espagne (…) l’écu »
1. Louis XIV n’a pas « octroyé l’écu » mentionné aux « Bourbons d’Espagne » mais à Philippe duc d’Anjou, en espérant qu’il formerait un jour une seconde ligne.
2. Philippe V et ses successeur l’ont placé au coeur de l’écartelé des royaumes espagnols sans que Louis XIV, Louis XV, Louis XVI, Louis XVIII, Charles X ne soient appelés à donner leur avis. Tant cela allait de soi ! De même, en contraste avec la magnificence de l’Escorial, les monarques ont réduit à leur plus simples expressions leurs tombeaux et ceux des Infants : un seul nom de baptême en inscription et le seul blason qui disaient qui ils sont : les trois fleurs de lys d’or.
Ce sont des usages qui ne nécessitent pas d' »octroi » ni de « réservation » n’en déplaisent aux codificateurs intempestifs. Mais des usages qui en disent long.
Gérard
29 août 2018 @ 00:11
Comme vous le savez Jul ce qui est essentiel en héraldique c’est qu’il n’y ait pas de confusion possible et Louis XIV savait qu’il n’y en aurait pas entre ses descendants français et ses descendants espagnols puisque précisément les Espagnols ne relevaient pas de l’héraldique française et que d’autre part l’écu d’Anjou serait placé au cœur des armes d’Espagne.
C’est dans ces conditions que Ponchartrain, secrétaire d’État, à la demande du roi chargea Charles d’Hozier, lors conseiller du roi, généalogiste de sa maison, garde de l’Armorial général de France de définir les armoiries du nouveau souverain le 21 novembre 1700. D’Hozier donna son avis dont Ponchartrain le remercia le 8 décembre disant que le roi avait fait mettre « la brisure d’Anjou sur l’écusson du roi d’Espagne » et qu’il avait fait faire trois écussons différents « pour donner à choisir au Conseil d’Espagne ».
jul
29 août 2018 @ 16:59
Soyez remercié Gérard pour vos compléments qui m’enchantent.
Les blasons des princes français établis en Espagne comme Philippe V relèvent bien (pour l’écusson central) de l’héraldique française. La bordure simple est celle de cette branche.
Voilà pourquoi Louis XV et Louis XVI se sont gardé de la redonner, ainsi que le nom d’Anjou à au comte de Provence (quoique titulaire du duché d’Anjou), afin d’éviter toute confusion entre les branches de la Maison de France, dite de Bourbon.
Sarjou
25 août 2018 @ 07:44
Y’en a combien des « Duc d’Anjou »??? Luis Alfonso de Borbon il a aussi une Carte de visite avec ce titre…
Charles
25 août 2018 @ 10:04
Il existe un seul Duc d’Anjou, il s’agit du Prince Charles-Philippe d’Orléans, Petit-Fils de France.
Néanmoins Don Luis Alfonso de Borbon y Martinez-Bordiu, fils de la Duchesse de Franco, s’est autoproclamé Duc d’Anjou après avoir porté successivement les titres irréguliers de Duc de Touraine, Dauphin de France puis Duc de Bourbon !
Au décès de sa mère, Don Luis Alfonso de Borbon y Martinez-Bordiu deviendra Duc de Franco, un titre qui tient particulièrement à coeur à l’arriere-petit-fils du Dictateur Franco.
jul
26 août 2018 @ 16:19
Bonjour Sarjou
Il existe deux ducs d’Anjou.
Le premier, le prince Louis de Bourbon a pris ce nom pour signifier sa position d’aîné des Bourbons, comme l’avaient fait avant lui ses prédécesseurs le prince Alphonse et l’Infant Jacques. Il avait porté du vivant de son père les titres d’attente de duc de Touraine puis (au décès de son frère), celui de duc de Bourbon.
Tout à fait, il portera un jour le titre de duc de Franco.
Charles, vous ne m’avez toujours pas répondu sur votre opinion concernant le rôle du Général Franco dans le rétablissement de la paix civile en Espagne, de la protection de la religion chrétienne et de la propriété privée, dans l’accueil et la protection de la famille d’Orléans (le comte et la comtesse de Paris et leurs enfants ont reçu la permission de Franco de s’établir en Espagne, la petite Chantal y est née et leurs enfants y ont eu une enfance heureuse), dans le développement industriel et touristique, dans la restauration de la royauté et de la démocratie.
Etes-vous du même avis des gens raisonnables comme le roi d’Espagne, le roi d’Italie, le roi de Bulgarie, le roi de Grèce, le Général Eisenhower, le Général de Gaulle, le comte et la comtesse de Paris et j’en suis sûr, Jean d’Orléans, au sujet du dictateur qui a fait du mal mais aussi du bien?
Etes-vous de l’avis de la gauche espagnole actuelle qui pense que le nom de Franco est indigne ?
Je n’ose le croire, car vous donneriez une image fausse de votre prétendant.
Enfin Sarjou, le second duc d’Anjou est celui reconnu par les orléaniste : Charles Philippe d’Orléans. Henri d’Orléans, qui avait pourtant perdu son procès contre Alphonse puis Louis de Bourbon, pour leur faire interdire de porter ce nom, l’a donné à Charles Philippe d’Orléans.
Il a hélas reproduit cela avec le titre de comte de Dreux, ce qui m’a encore navré. Alors que son fils Jean s’était établi dans ce domaine, il n’a pas trouvé mieux que de choisir ce titre pour François d’Orléans. Pourtant la famille d’Orléans ne manque pas de noms plusieurs beaux duchés, marquisats et comtés qui sont attachés à leur histoire… , que ne leur contestent nullement les légitimistes.
On a l’impression que les deux fils de Michel d’Orléans servent à Henri d’Orléans à envoyer des piques, à régler ses comptes. C’est dommage.
Gérard
29 août 2018 @ 00:21
On rappellera que le résultat du le résultat du procès lancé par Henri d’Orléans et relayé par deux de ses cousins de Sicile et de Parme est que d’une manière paradoxale comme le notait l’excellent procureur général Alzuyeta le titre de duc d’Anjou et les autres titres royaux ne pouvaient être protégés en raison de leur caractère royal et ne pouvaient bénéficier par conséquent de la protection légale des titres de noblesse français. Par conséquent il était tout à fait loisible à Henri d’Orléans de conférer lui-même ce titre de duc d’Anjou.
Marie-E
26 août 2018 @ 19:29
Je ne connaissais pas ce lien familial, merci pour cette information Charles. Je serais curieuse de connaitre l’union qui l’a créé.
Bien à vous.
Alberto
27 août 2018 @ 17:01
La femme du duc de Nemours, fils de Louis Philippe, était cousine germaine de la reine Victoria. L autre duc d Anjou est descendant de Victoria.
Charlotte AL
25 août 2018 @ 11:37
Ah ! Sarjou, c’est que l’Anjou est un pays de vignoble varié !
Il y a l’Anjou rouge, le rosé, le blanc, l’Anjou moelleux, l’Anjou liquoreux, l’Anjou effervescent.!
Alors deux ducs ne sont pas de trop pour « honorer » cette belle région !
Mary
26 août 2018 @ 14:53
Vu comme ça … Bravo Charlotte !
:-))
Carolus
27 août 2018 @ 05:26
Ah ah Charlotte, je cherchais une réponse dans ce sens, mais je vois que vous maîtrisez mieux que moi le sujet ! 😋
Quelqu'un
25 août 2018 @ 18:36
Un vrai : Charles-Philippe d’Orléans.
Les autres sont des faux : Luis Alfonso de Borbón, Henri Naundorff…
Mayg
26 août 2018 @ 13:09
Le seul du d’Anjou est Louis de Bourbon.N’en déplaise aux Orléanistes.
Gérard
29 août 2018 @ 00:24
Non Mayg pas aux yeux de la loi.
Philippe Gain d'Enquin
29 août 2018 @ 11:44
Ce qui em… au-delà des Pyrénées…
PataClems
27 août 2018 @ 12:13
Légalement, il n’y en a aucun.
L’un s’est autoproclamé, les deux autres ont été titrés par le chef de famille mais aucun ne porte ce titre légalement, c’est-à-dire et comme en dispose la loi française, comme un accessoire de son nom de famille. Bien sûr, aucun n’a tenté d’enregistrer cela auprès du service du sceau (Ministère de la Justice), sachant bien qu’il essuierait un refus puisque, dans les trois cas, ce titre n’est plus authentique et régulier – pour le rester, il aurait non seulement dû se transmettre sans interruptions mais également se transmettre en conformité avec les ancienne règles de dévolution des titres. Le père d’un des trois était parvenu à obtenir une reconnaissance mais celle-ci fut révoquée, justement parce que le titre ne répondait pas aux conditions de régularité. Les trois messieurs portent donc un titre inexistant en l’état actuel du droit.
Vous noterez qu’on donne de l’Orléans à Charles-Philippe, contrairement à ses cousins que l’on nomme « de France ». C’est bien son nom, donc aucun souci. C’est juste la démonstration du peu de sérieux des appellations données ici et là ; si ses cousins pouvaient prétendre à se faire appeler « de France », pourquoi Charles-Philippe qui est issu de la même souche familiale que ses cousins, en ligne agnatique et tout à fait légitime , ne pourrait-il pas user lui aussi de ce nom, en vertu des grands principes énoncés par les hérauts du roy ? La réponse coule de source et prouve le ridicule de toutes ces titulatures, prise de noms, etc.
Gérard
29 août 2018 @ 00:29
En raison de la séparation des pouvoirs, le pouvoir judiciaire ne peut statuer sur les titres royaux et leur assurer la protection légale. Le pouvoir des juges n’est pas celui de désigner le roi.
Il en serait autrement par exemple si l’on s’en prenait aux titres héréditaires de la maison d’Orléans.
Karabakh
2 septembre 2018 @ 01:17
Votre réponse démontre vos limites, pour ne pas parler de lacunes. Le Sceau de France est parfaitement compétent sur les titres, même en République. C’est dans la loi.
Arielle
25 août 2018 @ 08:46
Ce couple est extraordinairement sympathique.
kalistéa
25 août 2018 @ 09:10
cher Sarjou, comme on nous l’a expliqué sur une précédente page, quand en France pays républicain, une famille possède un titre « régulier » et en hérite , celui qui veut faire valoir son titre demande un enregistrement par le garde des sceaux.Le comte de Paris , chef de la maison de France ayant donné à son neveu Charles Philipped’Orléans le titre de duc d’Anjou appartenant à sa famille , il doit normalement avoir été enregistré .S’il l’a été le seul duc d’Anjou au monde , c’est lui! Il n’y a pas à sortir de là .
PataClems
27 août 2018 @ 12:15
L’enregistrement sera refusé car :
1/ le titre n’est pas transmis selon les règles en vigueur dans l’Ancien Régime ;
2/ la transmission du titre a été interrompue.
Tout cela n’est que du flan.
berton
25 août 2018 @ 09:16
Alors on part pour 150 com !!!!
Sigismond
25 août 2018 @ 10:55
L’agitation maladive des orléanolâtres est à son comble, à l’image de la déconfiture de leur cause hypercadette. Leur faux devin fulmine calomnie sur calomnie, comme à son habitude, et prédictions foireuses – qui sont sa marque de fabrique depuis le quadricentenaire du 14 mai 2010, où il avait commencé sa carrière de Mme Irma low cost.
Le pauvre Puigmoltó est mis à toutes les sauces par ces éboueurs de l’histoire, qui n’ont en plus toujours pas compris (il faut dire qu’ils ne sont pas très futés en droit dynastique !) qu’Isabelle II n’aurait jamais pu transmettre ses droits à un bâtard : seuls les enfants de la reine ET de son époux (quel qu’il fût, mais il se trouve que c’était un Bourbon, et que sa branche est devenu l’aînée en 1936) pouvaient succéder au trône, car la loi de succession, même non salique, n’admettait pas les bâtards. C’est bien pour cela que les mensonges orléanistes sur Puigmoltó sont une insulte pour Juan Carlos et Felipe, qui se voient ravalés par ces calomnies orléanolâtres au rang de branche bâtarde et donc illégitime !
Gérard
26 août 2018 @ 11:12
Dans votre propos sibyllin Sigismond vous rappelez justement que la reine d’Espagne ne pouvait transmettre le trône espagnol qu’à un enfant légitime qu’elle pouvait avoir. Mais le problème n’est pas résolu pour autant d’un point de vue biologique même si juridiquement il l’est, puisque selon la loi commune le mariage fait présumer la paternité de l’enfant sauf démonstration du contraire.
Sigismond
28 août 2018 @ 11:08
Désolé, je voulais poster ce commentaire sur l’article Bourbon, ce qui rend mon propos sibyllin, effectivement. Je réagissais à l’avalanche de calomnies et fausses prédictions postées par un orléanolâtre, qui ne cesse depuis huit ans sur ce blog de dénigrer la branche aînée des Bourbons. Et lors du quadricentenaire de 2010, il calomniait déjà les Bauffremont, dont il prédisait qu’ils allaient tourner casaque !
Gérard
29 août 2018 @ 00:32
Et c’est que maintenant cette maison ducale est plus proche familialement du duc d’Angoulême que de la branche espagnole dont elle descend cependant.
Mayg
26 août 2018 @ 13:11
Bien dit Sigismond.
Cosmo
26 août 2018 @ 16:28
Quelle tirade, Sigismond ! Toujours aussi farceur.
Officiellement, les enfants d’Isabelle II sont de son mari – pater is est… – donc elle a transmis ses droits à son fils légitime. Mais cette fiction ne trompait personne. La reine était bonne fille car, contrairement aux usages qui voulaient que ce soit le mari qui offrit un cadeau à sa femme, lors d’une naissance, elle faisait, parait-il, toujours parvenir une belle somme d’argent à François d’Assise. Et le roi consort avait la délicatesse de dire « Vous féliciterez Sa Majesté mon épouse d’être tombée enceinte et d’avoir heureusement accouché. »
Les Orléans n’ont rien à voir là-dedans. Pourquoi ne pas vous en prendre à vos amis carlistes, prêts à tout pour défendre leur primogéniture ?
jul
27 août 2018 @ 12:10
« parait-il »
Tout est dit.
Charles
27 août 2018 @ 15:48
Sigismond,
L’étoile du faux Duc d’Anjou ne brille plus beaucoup aujourd’hui même parmi la dernière poignée de fidèles plus ou moins désabusés par l’homme.
Si Don Luis Alfonso de Borbon y Martinez-Bordiu ne s’est jamais impliqué pour la cause pseudo-légitimiste, son étoile a encore pâlit auprès de ses fidèles depuis les soupçons de blanchiment financier auquel il participerait avec la complicité de sa belle-famille les Vargas, son absence en France aux dernières cérémonies à la sauce Luisalfonsiste, son peu d’empressement à venir se montrer malgré les remontrances répétées de la famille Bauffremont, son nouvel engagement auprès des franquistes, sa nomination en tant que président de la Fondation Francisco Franco étant le coup de grâce pour beaucoup sans parler de sa présence avec son épouse et ses enfants Dona Eugenia, Don Luis et Don Alfonso de Borbon y Vargas au rassemblement franquiste avec saluts nazis et hymne de la phalange à la clé sans parler de sa volonté à tout pris d’hériter un jour du titre, pourtant si peu glorieux, de Duc de Franco. Dernier fait d’importance, Don Luis Alfonso et Dona Margarita de Borbon se sont passés de leur « secrétariat » français pour annoncer l’espoir d’une quatrième naissance, c’est cet élément qui a provoqué la colère du noyau légitimiste d’autant qu’une photo montrait les trois enfants avec chacun leur prénom réel c’est à dire Eugenia, Luis et Alfonso et non Marie-Eugénie, Louis et Alphonse comme la presse légitimiste les présente toujours en France. Et ce n’est certainement pas le second communiqué des légitimistes qui a arrangé les choses compte tenu du contenu grotesque de ce dernier qui situe en autre le mois de février au printemps. Aujourd’hui Don Luis Alfonso s’éloigne à grand pas du monde loufoque des légitimistes pour rejoindre les franquistes et l’extrême droite espagnole. Don Luis Alfonso a même catégoriquement refusé un déplacement proposé par son entourage français.
Même le très légitimiste baron Pinoteau est sorti de sa réserve pour faire part de son interrogation quant à la présence du faux Prince, de son épouse et de ses trois enfants au rassemblement franquiste alors qu’il vient seul à Paris quelques heures pour célébrer l’anniversaire d’une statue. Un membre éminent de l’Institut de la Maison de Bourbon s’est même confié, sous couvert d’anonymat, à un journal.
La belle histoire légitimiste a du plomb dans l’aile d’autant que les autres Bourbons européens et même les Brésiliens soutiennent le véritable Chef de la Maison de France : le Comte de Paris.
Mayg
28 août 2018 @ 15:04
Ça y est ? Vous avez fini. A croire que l’existence même de Louis de Bourbon, vous empêche de dormir le soir…
Charles
29 août 2018 @ 12:06
Pourquoi voudriez-vous que la déconfiture du mouvement pseudo légitimiste m’empêcherait de dormir?
Cosmo
29 août 2018 @ 14:54
Comme Henri d’Orléans cause des cauchemars à vos amis. Conclusion : une bonne tasse de tilleul pour tout le monde.
Cosmo
Geoffroy
29 août 2018 @ 21:27
Don Luis s’est fait acclamé roi d’Espagne par ses partisans franquistes ! En vertu du traité d’Utrecht il ne saurait prétendre à la fois au trône d’Espagne et au trône de France. Louis XV le savait bien, qui a toujours reconnu le duc d’Orléans comme premier prince du sang.
jul
31 août 2018 @ 12:24
Geoffroy
Le premier prince du sang est comme vous l’indiquez, le prince du sang venant en premier dans l’ordre. Le premier dans l’ordre des …Altesses sérénissime. Ce n’est donc pas à comprendre comme la première place dans l’ordre de succession, loin de là.
Ce n’est pas le mot « premier » qui est important ici pour comprendre le sens mais « prince du sang » qui désignent les princes qui ne sont ni Fils, Petit-Fils de France, Infants d’Espagne, Princes des Deux-Siciles et de Parme.
Mais vous imaginez bien que les Fils de France, et princes de la branche d’Anjou qui n’étaient pas rois mais Infants d’Espagne, Princes des Deux-Siciles et ceux Parme, étaient habilités à succéder avant les princes du sang.
Sigismond
1 septembre 2018 @ 11:52
Merci infiniment Jul, vous avez expliqué à la perfection cette nuance à laquelle les gros sabots orléanistes ne comprennent rien, ou feignent de ne rien comprendre !
jul
4 septembre 2018 @ 19:04
Sigismond ;)
beji
25 août 2018 @ 12:18
Alors lui est-il le vrai ou le faux duc d’Anjou ? Toujours est-il qu’il a fait un beau mariage
et qu’il donne l’impression de vivre aux crochets de son épouse.
PataClems
27 août 2018 @ 12:17
Faux comme tous les autres.
Alberto
25 août 2018 @ 12:33
Mon idée de l enfer c est l Alentejo. J ai même signé une pétition pour liberer José Sócrates, l ancien premier ministre en prison à Évora, en avril 2015 car, même si je ne le supporte pas, je prévoyais la chaleur qui vennait…
Robespierre
25 août 2018 @ 12:46
Il travaille donc pour la Fondation du Prince Albert. Ca doit être tuant, surtout que la fondation est à Monaco et lui au Portugal. C’est une soi-disant activité qui donne le change, pour qu’on ne s’attarde pas trop sur le fait que ce monsieur n’exerce aucune profession. Sauf peut-être vendre des tickets d’entrée devant le château.
Ca me fait penser à Andrea Casiraghi qui a dit en long et en large dans PDV, qu’il s’occupait d’une oeuvre de charité.
Alberto
26 août 2018 @ 13:02
Aucune profession? Même si je n apprecie pas Charles Philippe (et j ai mes raisons qui ne sont pas de la connaissnce publique) il faut dire qu aller à Chernobyl n est pas très agréable.
Muscate-Valeska de Lisabé
25 août 2018 @ 13:33
Un couple qui va en…s’épanouissant. J’espère que pour leur amour, il en va tout autant.
Diane,sûrement maîtresse femme,n’est sans doute pas de toute douceur, mais néanmoins, je l’ai toujours trouvée attirante et intéressante. Peut être parce qu’elle est très souriante, cela lui donne une physionomie plaisante.
septentrion
25 août 2018 @ 13:43
Ils ont beaucoup changé depuis leur mariage. c’est vrai la duchesse de Cadaval affiche toujours un merveilleux sourire. Le prince a de très beaux yeux bleus mais j’ai l’impression qu’il est moins sympathique que ses soeurs et son frère. Est-ce qu’il dirige toujours sa société « Institutions et Entreprises » tout en travaillant à présent pour la Fondation du Prince Albert II de Monaco? Il avait déjà beaucoup de liens au moins professionnels avec Monaco avant son mariage. Apparemment il a l’âme voyageuse ou aventurière.
Robespierre
26 août 2018 @ 11:55
Beaucoup de gens aiment voyager, mais beaucoup n’en ont pas les moyens. Il a un trait commun avec son homonyme Anjou, il a une épouse riche.
clement
25 août 2018 @ 17:14
Il n’y avait pas grand’chose à répondre …. l’humour britannique est spécial !!!
will34
25 août 2018 @ 17:28
Voici un prince très Orléans physiquement, comme ses cousins Robert, comte de La Marche, et Axel de Sambucy de Sorgue…. J’en oublie certainement, mais c’est un charisme et peut-être aussi une éducation qui manquent à la branche ainée…. C’est dommage…. Les yeux bleus sont un peu la marque de fabrique des Bourbon-Orléans, liés à des mariages fréquents entre cousins germains………
Naucratis
27 août 2018 @ 11:31
Allez dire que les yeux bleus sont la marque de fabrique des Orléans (et non pas Bourbons-Orléans, nom qui n’existe pas et que la justice française a rejeté) à Jean et Philomène dont les enfants ont de beaux yeux bien marron…
kalistéa
28 août 2018 @ 17:52
Quelle était la couleur des yeux du général Franco , cher Naucratis?
Gérard
29 août 2018 @ 00:36
Ils sont cependant des Bourbons et des Capétiens évidemment. La justice française le rappelle d’ailleurs.
Naucratis
30 août 2018 @ 10:52
Ils sont Orléans, ils ne sont pas Bourbon-Orléans. C’est tout.
Geoffroy
29 août 2018 @ 21:33
La justice dit ce qu’elle veut, l’histoire a ses règles : les Orléans sont des Bourbons…sinon les Bourbons ne sont pas des Capétiens… Il est donc tout a fait correct de dire les Bourbons-Orleans comme on dit les valois-orleans…même si ce n’est pas un nom de famille mais un lignage.
Bambou
25 août 2018 @ 17:29
J’aimerai beaucoup voir une photo de leur petite fille Isabelle, qui a déjà 8 ans.
Luz
25 août 2018 @ 19:00
Luis-Alfonso de Bourbon s’est approprié le titre de duc d’Anjou que portait son ancêtre le roi Philippe V d’Espagne avant de renoncer à ses droits aux trône de France pour lui et ses descendants en acceptant le trône d’Espagne. Comme j’ai déjà eu l’occasion de le rappeler, il n’est pas parti avec son titre qui est resté dans la famille de France et attribué plusieurs fois ensuite. Le Comte de Chambord, n’a jamais utilisé ce titre pour ses cousins espagnols et explicitement reconnu comme héritier son cousin Bourbon-Orléans. Le petits-fils du Comte de Paris a reçu ce titre de l’héritier du trône. Il a donc plus de légitimité à le porter que Luis Alfonso de Borbon y Martinez Bordiu.
PataClems
27 août 2018 @ 12:36
Il n’a aucune légitimité puisque la création de titres ne répond plus à aucune loi française. Les lettres patentes créant et conférant des titres ont été abolies en même temps que la noblesse elle-même. Henri d’Orléans, tout prétendant au trône soit-il, ne pouvait donc légitimement lui conférer ce titre – si rien n’empêche le chef de famille de distinguer son neveu au sein de sa gens, rien ne permet au dit neveu de se présenter publiquement sous le titre concerné.
Pour utiliser publiquement ce titre, comme accessoire du nom (et exclusivement comme tel), il faudrait que Charles-Philippe d’Orléans en ait hérité de son père, l’ayant-lui même hérité du sien et ainsi de suite depuis la création légale du titre. Comme ce n’est pas le cas, toujours aucun droit à l’usage public et donc aucune légitimité.
Gérard
29 août 2018 @ 00:40
La noblesse a été rétablie sous l’Empire et confirmée par la première Restauration et n’a plus été abolie par la suite.
Karabakh
2 septembre 2018 @ 01:23
Elle est abolie de fait par l’article 2 de la constitution française. 🙄
Kardaillac
28 août 2018 @ 16:39
Qu’importe ce qui s’est dit à Frohsdorf (ça n’a abouti à rien) mais la dévolution que vous citez « explicitement » n’a laissé, à ma connaissance, aucune autre trace que les dires du parti d’Orléans revenant de mission.
De toute manière les D’Orléans ont été éjectés des obsèques par la comtesse de Chambord qui en a donné la conduite aux Carlistes d’Espagne. A noter qu’un envoyé de Philippe d’Orléans a tenté à plusieurs reprises avant les funérailles d’obtenir la renonciation écrite de Jean III de Bourbon au trône de France, ce qui nous signale e creux que les droits d’Orléans était quand même peu sûrs.
Pour le reste, ce serait quand même rassurant de savoir les princes actifs dans de grandes entreprises qui réussissent avant que de les convoquer au fonctionnement d’une monarchie.
Sauf Eudes, ils vivent d’expédients. Charles-Philippe s’est essayé au « trading » (un monde spécial) mais il s’est mal associé et a laissé tomber après avoir risqué la prison (il a été acquitté des charges). Depuis lors il fait le duc consort de Cadaval, ce qui n’est pas un métier.
Dans sa personne, c’est un homme de poids, très sympathique et ouvert.
Cosmo
29 août 2018 @ 14:57
Kardaillac,
Si vous faites allusion à l’affaire Bellomayre, vous vous trompez. Le très légitimiste Michel de Bellomayre n’a jamais été l’envoyé des Orléans qu’il ne connaissait pas. Il fut en revanche très proche de don Carlos.
Comme quoi les légendes ont la vie longue, répétées faussement sans cesse.
Cosmo
Olivier d'Abington
26 août 2018 @ 01:08
Il faudra qu’on m’explique comment le prince s’investit en même temps dans le patrimoine de sa femme (ce qui est tout à son honneur, peu d’hommes de ce rang acceptent de faire les choses dans ce sens là!!) ET à la Fondation Prince de Monaco (qui n’est pas non plus tout à fait la porte à côté)…
Encore un problème de « cumul des mandats »?? Car il semblerait que chaque activité représente en soi un travail à temps plein!
Et, d’expérience, je sais que c’est impossible de mener 2 temps pleins en même temps!
Gérard
26 août 2018 @ 11:15
On peut supposer qu’il est entouré de moyens modernes de communication.
kalistéa
28 août 2018 @ 09:56
Gérard , parfois vous me faites mourir de rire …
Karabakh
2 septembre 2018 @ 01:27
Moi, ce n’est pas « parfois » qu’il me fait mourir de rire, c’est à chaque mot et même chaque syllabe. Pêcher et faire rire à ce point par méconnaissance et même par méprise, c’est sans prix !
kalistéa
3 septembre 2018 @ 09:57
Gérard a un esprit sain et logique de même que Cosmo , Pierre-Yves et Robespierre : Tout le monde ne peut pa s’en glorifier!
Karabakh
4 septembre 2018 @ 13:30
Vous m’ôtez les mots de la bouche, bien que je n’ai pas osé en raison de votre genre féminin (au moins apparent). Honnêtement, il vaut lire cela que d’être aveugle. :)
Karabakh
4 septembre 2018 @ 13:30
* il vaut mieux lire (etc)
Robespierre
26 août 2018 @ 11:54
qui vous parle de temps plein, cher Olivier ? 5 heures par mois à la Fondation et 5 heures par semaine dans le patrimoine de Madame, c’est jouable. Cet homme ne s’est jamais tué à la tâche.
Mayg
27 août 2018 @ 13:39
Lol
Anne-Cécile
27 août 2018 @ 01:40
Le très gentil Albert et le Roi d’Espagne Juan Carlos savent ou ont su recourir aux services, que l’on imagine hautement qualifiés, de différents membres de familles royales déchues dont les Orléans.
Ils ont même trouvé des jobs à certains.
L’Aga Khan pourvoit quant il le peut en revenus les enfants de ses amis via sa fondation.
De plus de tout siècle, des princes ont servi de pigeons voyageurs pour porter des missives entre gouvernements royaux ou non, ou des messages alternatifs.
Pensez aux frères de Zita ( ce qui n’a pas porté chance à cette dernière).
Il est peut-être d’usage aujourd’hui qu’on les rémunère.
Il est vrai que pour certains on a quelques doutes sur et leurs qualifications, qui leur permettent d’émarger à plus de 20 000 euros par mois pour certains, et leurs horaires de bureau.
Sur Charles-Philippe d’Orléans, je n’en sais rien. A ma connaissance il n’y a pas de représentation de la Fondation au Portugal, peut-être n’a t-il que des missions.
En plus il doit gérer son ordre et les « charités « afférentes.
PataClems
27 août 2018 @ 12:39
La mission des princes de Bourbon-Parme auprès du gouvernement français et l’emploi de Charles-Philippe d’Orléans au sein de la fondation du prince Albert II d’une part, au service du patrimoine de son épouse d’autre part, ne sont pas du tout comparables.
Gérard
29 août 2018 @ 00:43
En effet non plus que les missions confiées aux Orléans par le gouvernement français.
Marie-Francoise
26 août 2018 @ 05:58
Je reconnais bien là l’humour sarcastique du prince Charles, qui sait aussi beaucoup se moquer de lui même ! Une forme d.humour pratiqué par peu de gens car il dénote une réelle subtilité d’esprit ce qui ne m’étonne pas de sa part !
Naucratis
27 août 2018 @ 11:33
Vous avez raison, mais tout le monde ne comprend pas la subtilité hélas (la preuve juste en-dessous)…
kalistéa
29 août 2018 @ 10:59
Une « subtilité d’esprit » comparable sans doute à celle de notre ami Naucratis qui ne manque jamais une occasion de nous en donner un échantillon ,Marie-Françoise!
kalistéa
26 août 2018 @ 18:37
On comprend que le duc d’Anjou ait été interloqué par la sottise du prince de Galles qui n’en est pas , à une près d’ailleurs ; il aurait du lui répondre qu’il faisait au Portugal ce que le duc d’Edimbourg , prince de Grèce et de Danemark faisait en Angleterre: Il accompagnait sa femme !
Brigitte et Christian
26 août 2018 @ 18:54
bonjour à tous,
Merci à Alberto pour cet entretien qui nous donne des nouvelles de cette branche de la descendance de Madame installé au Portugal, pour y être heureux si on regarde la photo qui illustre l’article. Il nous semble avoir lu un roman écrit par le prince et que devrions avoir dans notre bibliothèque . Nous ne le retrouvons plus depuis notre déménagement !!
Amitiés de Dracénie sous le soleil
Alberto
27 août 2018 @ 11:30
Pas un romsn. Mais um livre sur la royauté exilée à l Estoril.
Brigitte et Christian
28 août 2018 @ 15:07
bonjour à tous
Oui Alberto, « Rois en exil » , « Quand les cours d’Europe trouvaient refuge au Portugal » éditions Point de Vue, nous l’avons dans notre bibliothèque, une mine de renseignements.
Amitiés de Dracénie sous le soleil
PataClems
27 août 2018 @ 12:42
Autant que « la descendance de Madame », c’est aussi la descendance de Monsieur, non seulement de feu Henri d’Orléans que de son aïeul Philippe, frère du roi Louis XIV. Pour constituer une descendance, il faut être deux.
Brigitte et Christian
28 août 2018 @ 15:12
bonjour à tous,
Bien vu PataClems, mais il est de tradition pour ceux qui l’ont connue de dire « Descendance de Madame », Mais cela ne retire rien au Comte de Paris qui est aussi le père de cette descendance.
Amitiés de Dracénie sous le soleil
Alberto
27 août 2018 @ 16:55
Amitiés!
Thierry Lyon
28 août 2018 @ 15:46
Merci à Charles pour la pertinence et l’exactitude de son propos. Luis Alfonso de Borbon y Martinez Bordiù est un aristocrate espagnol, ainé des Bourbons.
Charles Philippe d’Orléans, Duc d’Anjou, est un prince de la Maison de France et il forme d’ailleurs un couple attachant avec la Duchesse de Cadaval.
Charles
29 août 2018 @ 12:21
Pas un membre du Gotha ne donne le titre de Duc d’Anjou à Don Luis Alfonso de Borbon y Martinez-Bordiu.
Seuls quelques royalistes folkloriques nomment ainsi le fils du Duc de Cadix et de la Duchesse de Franco alors que son ancêtre a rendu le titre à la couronne de France il y a plus de 300 ans ! Ne me demandez pas la raison car il n’y a rien de logique chez eux, il semble que les loufoques partisans du prétendant dissident évoquent un lambel ou un régicide pour motiver leur soutien à Don Luis Alfonso. Tout cela n’est vraiment pas sérieux
jul
31 août 2018 @ 12:34
Le Gotha n’a pas d’importance Charles.
Je m’étonne qu’un patriote et qu’un chrétien recherche l’onction des cours et publications étrangères pour déterminer qui est l’héritier des rois de France.
De plus l’ignorance que vous affichez pour défendre votre thèse est risible ou inquiétante.
Vous savez très bien que les princes issus de Philippe de France, duc d’Orléans brisent les armes de France d’un lambel, et vous savez que l’un d’eux Louis Philippe Joseph d’Orléans a été régicide, en votant la mort du roi Louis XVI.
Vous essayez de faire croire que ce sont les seules raisons des Légitimistes. Mais vous oubliez l’histoire : le roi de France a toujours été l’aîné des Capétiens. Heureusement des Français s’en sont souvenus à l’époque de Charles VII ou d’Henri IV et n’ont pas fait intervenir des inventions et innovations pour les disqualifier.
Mathieu
14 février 2023 @ 15:12
Jul,
Vous oubliez que ce sont les aînés parmi les français, comme Hugues Capet qui a pris le trône à la place de l’aîné des carolingiens, ou encore Philippe VI qui a renié le trône d’Aragon pour régner sur la France. Les Bourbon d’Espagne ne régneront jamais sur la France, car ils sont étrangers, et en plus leur lignée a subi plusieurs problèmes de paternité dont même les carlistes assumaient.
Conclusion : les Orléans sont les vrais rois de France.