A l’occasion de son 75ème anniversaire, le roi d’Espagne a accordé un entretien au journaliste Jesus Hermida. Le souverain passe en revue les grands moments qui ont marqué sa vie. Lorsquon lui demande comment il aimerait que l’on se souvienne un jour de lui, le roi Juan Carlos répond qu’en fait il n’aime pas trop parler de lui-même mais que pour être sincère, il aimerait que l’on se souvienne de lui comme le roi qui a uni tous les Espagnols et qui a réussi à restaurer la démocratie et la monarchie. Le roi ne tarit pas d’éloges à un autre moment sur son fils le prince des Asturies qui est selon lui l’héritier le mieux préparé de l’histoire d’Espagne. Cliquez ici pour voir la video. (Copyright photo : Hola)
Valeska
6 janvier 2013 @ 09:10
Pauvre Juan Carlos,tout bouffi…mon mari est médecin et me dit que cela donne à penser qu’après son intervention,il est soumis à un traitement sous corticoïdes…
Marie du Béarn
6 janvier 2013 @ 12:00
Sur Sud Ouest ce dimanche, pardon pour le hors sujet:
http://www.sudouest.fr/2013/01/06/cette-enquete-a-ete-completement-baclee-926232-4778.php
http://www.sudouest.fr/2013/01/06/cette-enquete-a-ete-completement-baclee-926232-4778.php
Bon dimanche à tous!
Marie du Béarn
6 janvier 2013 @ 12:02
Un autre lien sur SO
http://www.sudouest.fr/2013/01/06/-926294-4583.php
COLETTE C.
6 janvier 2013 @ 19:06
Oh la la! Je ne sais pas ce qu’a le Roi, mais il est certainement très malade !
Si Régine le permet, voir sur « newmyroyals ».
erwan
7 janvier 2013 @ 01:11
Il sera difficile aux historiens de trouver un meilleur roi d’Espagne que Juan-Carlos(cf le très bon commentaire d’Aubert dans un article précédent).
Son fils semble bien préparé et aussi bien accompagné que son père (quoiqu’en dise la belle et délicieuse Kalistéa).
Il ne faut pas oublier en effet la reine Sofia née et préparée pour effectuer le job d reine consort, une Joséphine-Charlotte à la méditérranéenne. C’est troublant.
Si les politiques pris dans le bouillon ou le brouillon économique ont tout à craindre de l’avis du peuple, l’avenir de la monarchie semble assuré en Espagne.
Il reste à convaincre une jeunesse qui souffre. Elle a d’autres soucis à affronter qu’honorer la mémoire de ses parents juan carlistes.
Seule la monarchie peut permettre à ces générations d’éviter le pire, l’affrontement. C’est ce qui se dessinne.
Le duc de Palma, dernière victime à venir et à expier, endossera ses responsabilités et paiera ses fautes si elles sont avérées.
La Famille royale enfin recentrée sur ses membres essentiels, et non sur ceux qui interessent les lecteurs toujours innocents, toujours les mêmes, de la presse illustrée, retrouvera sa popularité sans avoir renoncé à l’unité du royaume.
Un grand roi quand son peuple n’a jamais rien ignoré de ses défauts (contrairement aux lecteurs, toujours les mêmes, de la presse illustrée).
Sa popularité reste basse mais enviable, au-dessus de 50%, mais ceux qui détestent les chasseurs ont eu le grand tort de transformer en gibier un homme intelligent et généreux.
C’était l’homme de la situation. C’est l’homme de la situation.
Aristophane
10 janvier 2013 @ 01:39
Certes le fait que Juan Carlos s’adonnait à l’exercice de la chasse a sérieusement terni son image mais la grande majorité des Espagnols se souviendront de lui comme d’un grand roi et surtout comme celui qui a restauré la démocratie dans son pays.
Jérôme Jouneaux
7 janvier 2013 @ 12:27
Le roi semble vraiment en mauvaise santé.
JAY
7 janvier 2013 @ 18:46
OUI SAUF QUE LES – DE 25 ANS ne lui sont pas favorables du tout (il n ont pas connu les années 70/80) et se sont eux qui sont les plus visés par le chomage et se sont eux qui manifestent egalement!
Le courant avec cette frange de la population (qui vote aussi !) est rompu donc il est temps d’abdiquer!
Clémentine 1
8 janvier 2013 @ 11:06
je vois que je ne suis pas la seule à subir l’outrage du temps.
chaton
8 janvier 2013 @ 18:36
je ne l’aurai pas reconnu , il est bien ici en photo
Philibert
8 janvier 2013 @ 18:45
Les deux réponses données n’ont absolument rien de surprenant.
J’imagine aussi que cette interview était très préparée et très consensuelle et qu’il n’a, à aucun moment, été question de chasse en Afrique, par exemple.
C’est la loi du genre, en fait. Et le contraire aurait été impensable…