Quand on a sous la main sa mère, l’un des derniers témoins de toute une tranche d’histoire, Lady Pamela Hicks (90 ans), fille de lord et lady Mountbatten – qui vécut l’indépendance de l’Inde aux premières loges – on en profite. India Hicks joue les journalistes et réalise toute une série d’enregistrements de sa mère que l’on va pouvoir écouter sur les sites de téléchargement (et ce tout à fait gratuitement).
Le premier dialogue entre mère et fille sur les maharadjah, les stars de cinéma et les toreros semble un cocktail prometteur. Les bulles de champagne, les Mountbatten savent les faire pétiller ! (merci à Bertrand Meyer)
Bambou
10 août 2019 @ 08:15
La bouche grande ouverte, pour feindre la surprise…!!! La petite-fille de Louis Mountbatten profite bien de son illustre lignée me semble il pour se faire « connaître »….!
Mary
10 août 2019 @ 08:45
Bonne idée !
Hélène F
10 août 2019 @ 09:14
Voilà qui promet d’être plus intéressant que les « chroniques » de mode des princesses blogueuses !
Gatienne
10 août 2019 @ 10:03
On ressort maman et les maharadjahs de la naphtaline au moment où l’on s’offre une escapade au Maroc et un séjour au Royal Mansour: la lady a perdu quelques plumes dans la faillite de sa société mais n’a pas perdu pour autant son sens pratique !
Leonor
10 août 2019 @ 17:23
Oui, bon, pas la peine d’en faire tout un plat. Il est connu que Lord Mountbatten ne savait pas trop quoi faire de sa fille Pamela, qu’il considérait comme peu dégourdie . Il faut dire qu’à côté de son épouse, pour le coup plus que dégourdie, il ne devait pas être très facile de faire bonne figure en tant que fille.
Et puis :
» ‘I admired my mother, but I never liked her’ » Pamela Mountbatten – Hicks ( J’admirais ma mère, mais je ne l’ai jamais aimée)
Papa Lord n’a pas non plus été très content quand Pamela a épousé Hicks, un décorateur, mais a été bien content quand même qu’elle soit casée.
Alors, que va tenter de nous raconter India Hicks qui, visiblement, sait faire feu de tout bois ? Pas très sérieux, tout ça. Elle » joue » les journalistes, en effet. Mais sur des sujets comme l’indépendance de l’Inde, le jeu n’est pas de mise.
Jérôme
11 août 2019 @ 18:21
Rather funny actually … Spécialement quand lady P évoque les amants de sa mère (Bunny Phillips, père de Natalia, Duchess of Westminster -entre autres- ) et la maîtresse française de son père (peut-être ne rencontra-t-elle jamais ses amants). Une autre époque beaucoup plus tolérante – dans certains milieux – qu’aujourd’hui. Lord Mountbatten n’était peut-être pas fan de son gendre David Hicks à cause de leurs points communs !:)
Michele Lobre
10 août 2019 @ 19:59
Bonjour la nostalgie. Une époque bien révolue, quel couple magnifique et flamboyant que les parents de Lady Pamela. Ses entretiens doivent être passionnants : Lady Pamela a connu l’empire puis la décolonisation, tout un monde que les anglais croient avoir conservé avec le Commonwealth du moins certains. Couple romantique, histoire d’amour de sa mère avec Nerhu , fin tragique de son père et sa mère dernière impératrice des Indes avec tout le faste et les bijoux.Est ce que sa petite fille a hérité d’un bijou souvenir ?
Jérôme
11 août 2019 @ 18:23
La mère de lady Pamela ne fut pas la dernière impératrice des Indes, tout au plus la dernière vice-reine. The late Queen Mum would have killed you for this !:)
Karabakh
15 août 2019 @ 18:06
La dernière impératrice des Indes est… Elizabeth Bowes-Lyon (en tant qu’épouse de George VI du Royaume-Uni, le dernier empereur des Indes). Louis Mountbatten était vice-roi ; c’est déjà énorme.