Jusqu’en juin 2012, la National Portrait Gallery de Londres expose un certain nombres de portraits qualifiés de « mystérieux ». Parmi eux, un portrait de 1570 signé Alexander Mc Call Smith et censé représenter depuis toujours Marie Stuart (1542 – 1587). Mais est-ce bien la reine d’Ecosse? Les experts sont partagés. (Copyright photo : DR – Merci à Bertrand Meyer)
shandila
7 décembre 2011 @ 07:00
Au premier regard, j’ai pensé à la reine Elisabeth I…S’il s’agit vraiment d’un portrait de Marie Stuart, je découvre une ressemblance entre les deux femmes.
A.Lin
7 décembre 2011 @ 09:57
Quand on voit d’autres portraits de la reine, on reconnait bien la finesse du nez, la forme de la bouche et des arcades sourcillières.
Maintenant, je ne suis pas experte ;)
http://www.google.fr/images?hl=fr&source=hp&q=marie+stuart&gbv=2&rlz=1W1AVSA_frFR448&oq=marie+stuart&aq=f&aqi=g10&aql=&gs_sm=e&gs_upl=3254l7901l0l9724l14l12l0l2l2l1l661l4637l0.1.2.1.0.6l10l0&oi=image_result_group&sa=X
Kalistéa
7 décembre 2011 @ 10:23
Moi aussi,Shandila,j’ai pensé des l’abord à Elizabeth Tudor jeune ,puis avant de lire le texte ,je me suis dit que ce pourrait ètre Marie Stuart…Ici,on penche plutot vers cette dernière.Les avis seront partagés.Les deux femmes étaient cousines et probablement plusieurs fois donc :Rien d’étonnant à se qu’elles se ressemblassent.
En tout cas: magnifique portrait,que je n’avais jamais vu!
Comme quoi ce site peut-ètre tres attractif parfois!
Kalistéa
7 décembre 2011 @ 10:30
rien d’étonnant à ce qu’elles se ressemblassent.Je trouve que ces corrections n’apportent rien d’intéressant pour le lecteur :il faudrait convenir que tout le monde est sujet à des fautes de frappe et il n’est nullement nécessaire de revenir sur un texte envoyé pour satisfaire l’amour propre de l’intervenant qui s’est trompé.
Caroline
7 décembre 2011 @ 12:05
J’ai du mal a comprendre que les experts soient partages pour reconnaitre la personne du tableau d’un peintre fort connu a son epoque! Ce dernier n’avait-il pas une liste personnelle sur ses oeuvres?
Mélusine
7 décembre 2011 @ 12:22
En tout une jolie dame au doux visage mélancolique et au regard rêveur.
lorraine
7 décembre 2011 @ 12:28
Pour moi aussi, il s’agit plutôt d’Elisabeth 1ère.
COLETTE C.
7 décembre 2011 @ 13:34
Il ferait bon de vivre à Londres en ce moment, avec toutes ces expositions. Merci Bertrand MEYER
marcs
7 décembre 2011 @ 14:18
Bonjour Régine,
Je crois que le texte n’est pas tout à fait correct et je viens de vérifier le site de la National Gallery pour être tout à fait sûr de ce que je vous raconte.
Ce portrait est celui d’une « unknown lady », donc d’une dame inconnue, qu’on croyait être Mary Queen of Scots. De plus, il est peint par un artiste inconnu.
Mais des écrivains connus, dont Alexander McCall Smith, ont imaginé, en regard de ces portraits, un passage de la vie de ces personnages inconnus.
Et je vous assure qu’Alexander McCall Smith, l’auteur écossais d’entre autres « The N°1 Ladies Detective Agency », est bien vivant car j’ai assisté à une conférence qu’il a donnée, début septembre dernier, à Darwin.
Bien à vous,
M
R-N
7 décembre 2011 @ 19:21
Ce sujet m’a rappelé l’article prévu qui sommeillait !
J’ai lu aussi aujourd’hui une partie du numéro intéressant d’Historia sur les Tudor – dans lequel Philippe Delorme signe un article – et on y voit plusieurs portaits d’Elisabeth.
Je pense aussi que celui-ci représente bien Elisabeth 1ere, et en tous cas non Marie Stuart.
kalistéa
7 décembre 2011 @ 20:05
Caroline, les « listes » se perdent.c’est tres souvent qu’on se trompe een attribuant en peinture…Par exemple vous avez un soi disant portrait de charles Bonaparte du peintre Girodet qui est régulièrement présenté dans différentes revues d’histoire comme tel…or on sait maintenant qu’il s’agit non pas d’un portrait du père de Napoléon mais d’un auto-portrait du peintre!
Caroline
7 décembre 2011 @ 21:41
Kalistea,bien merci pour vos explications! Pourtant,tout etait bien ‘range’ a la Cour d’Angleterre! Thank you!Good night!
aubert
9 décembre 2011 @ 16:11
L’avis des experts d’art selon que l’on vend ou que l’on achète est toujours étonnant…