Le prince de Monaco a inauguré l’exposition « Albert Ier insolite » qui a été imaginée et conçue par le Comité de commémoration Albert Ier – 2022, les Archives du Palais et l’Institut audiovisuel de Monaco, elle se tient à la Galerie des Pêcheurs jusqu’au 10 novembre 2021.
Les vingt-huit photographies qui ont été choisies pour ouvrir les commémorations du centenaire de la disparition du prince Albert Ier (1848-1922) visent à interroger les thématiques familières de son activité – à la fois savant, souverain, humaniste –, tout en explorant des pistes moins empruntées, pour montrer des facettes intimes et singulières, au plus près du vécu et de la vérité de son parcours.
Le regard du spectateur rencontre une mémoire qui se dévoile dans les gros plans comme dans les scènes collectives, les instants volés comme les instants posés, invitant à identifier Albert Ier sur ses territoires favoris – Monaco, France, Norvège, Portugal –, comme dans les autres lieux de sa géographie personnelle.
L’espace de la Galerie se prête à ce dispositif qui appelle à approfondir ce que nous pensons déjà connaître du prince Albert Ier, à apprécier aussi l’originalité et la rareté des reproductions exposées, issues d’autochromes, de plaques de verre ou de tirages albuminés. (Source et © Photos : Axel Bastello / Palais princier)
louise
6 octobre 2021 @ 08:03
il est sur tous les fronts ;
Maria gauthier
6 octobre 2021 @ 09:22
Dommage que je sois loin de monaco
limaya
6 octobre 2021 @ 10:15
Que d’activités en ts genres depuis quelque temps . Gare au burn out ! !
luigi
6 octobre 2021 @ 10:46
Albert est partout, jamais vu autant d’articles concernant son emploi du temps…
Caroline
6 octobre 2021 @ 10:57
C’ était Albert 1er de Monaco, le ‘prince savant ‘ et le ‘ prince naviguateur ‘ !
Anna H
6 octobre 2021 @ 12:25
« le prince navigateur »
Beque
7 octobre 2021 @ 08:14
Albert 1er était le fils d’Antoinette de Mérode et de Charles III, prince de Monaco.
Marié en premières noces, le 21 septembre 1869, avec Mary Douglas-Hamilton (mariage annulé en Cour de Rome, le 3 janvier 1880), divorcés le 28 juillet 1880, dont Louis. Remarié, le 30 octobre 1889, avec Alice Heine (un de ses témoins était Victor Massena, prince d’Essling).
En 1865, il commence sa formation d’officier dans la marine impériale française, puis entre dans la Marine royale d’Espagne où il sera, successivement, lieutenant de vaisseau, capitaine de frégate, capitaine de vaisseau. Il fondera l’Institut océanographique de Paris, le 14 avril 1906, dont le grand amphithéâtre est décoré de fresques avec la mer pour thème, et créera le Musée océanographique de Monaco.
En plus d’être prince de Monaco, il était Grand d’Espagne, Membre de l’Institut de France (associé étranger de l’Académie des Sciences et correspondant, Membre associé étranger de l’Académie de médecine), Chevalier de plusieurs Ordres, Commandeur de la Légion d’Honneur, Grand’croix de l’Ordre (tunisien) du Nichan-Iftikhar et Médaille d’Or de la Société de Géographie.
Beque
7 octobre 2021 @ 10:26
Mon côté « Sherlock Holmes » me fait découvrir que le père de la princesse Alice était le cousin germain du poète Heinrich Heine.
Baboula
6 octobre 2021 @ 11:59
La princesse Charlène se propose pour être conciliatrice dans les conflits successoraux du Zoulouland . D’aucuns pourraient trouver cette attitude un peu colonialiste.
Danielle
6 octobre 2021 @ 12:23
Espérons que ses enfants feront une petite visite à cette exposition car apprendre à connaître ses aînés est toujours intéressant.
giha
6 octobre 2021 @ 12:55
il me fatigue !!!!!!!!!
A quand une bonne nouvelle de Monaco ?????
framboiz07
7 octobre 2021 @ 07:00
Dommage, ça dure trop peu , il faudrait faire un livret de cette exposition ! C’est un personnage intéressant !