Du 5 juin au 30 août 2020, la Cité du Vin à Bordeaux accueillera l’exposition « Boire avec les dieux » qui s’attachera à révéler les liens étroits établis par la civilisation gréco-romaine entre le vin, les dieux et les hommes.
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Pascal🍄
21 avril 2020 @ 08:19
Régine a je pense oublié d’ajouter : » dédié à Lady de Seine » à la fin de l’article.
Pascal🍄
21 avril 2020 @ 08:21
PS : ce bâtiment est vraiment moche , serait-ce le goût de M Juppė ?
Nuage Pâle
21 avril 2020 @ 10:43
« En rondeurs et courbes pour évoquer un élément liquide «
Anouk Legendre, Nicolas Desmaziéres ,architectes français.
Leonor
21 avril 2020 @ 12:26
Oui, ben, en fait de geste architectural (*) , ça ressemble à un étron géant.
(*) novlangue des cabinets d’archi branchés. Dire » archi » et surtout pas » architecture », vous seriez ipso facto catalogué comme ringard.
PATRICIA
21 avril 2020 @ 15:32
Cela doit évoquer un verre, je crois
Faculté
21 avril 2020 @ 17:14
Non non il est vraiment beau, la forme représente le mouvement du vin dans un verre
Alinéas
21 avril 2020 @ 12:10
C’est une expo qui mérite d’être visitée.. Dire que j’habite à quelques kilomètres delà ; il faudra que je prenne le tram !
Leonor
21 avril 2020 @ 12:37
C’est en Géorgie qu’on trouve les premières traces de vin . Trouvaille archéologique dans une poterie, si je me souviens bien.
Hé hé, au fait le père Noé,… échoué dans sa barcasse sur le Mont Ararat… . Ca doit être parce qu’il avait vu trop d’eau qu’il est ensuite devenu un soulard de premièr). L’Ararat est tout près de l’actuelle Géorgie . Ceci expliquant cela.
Et le Noah, ça existe toujours. Confidentiellement. Mais il paraît que c’est un cépage américain. Zut alors. Moi qui croyais que le Noah, c’était biblique .
Nuage Pâle
21 avril 2020 @ 16:22
J’ai bu du « champagne « géorgien, sur place , 55 ans plus tard mon estomac s’en souvient encore . Alors ~ 2000 ans avant je n’ose imaginer le vin de Noé .m
Pascal🍄
22 avril 2020 @ 14:05
Les officiers du Tsar Nicolas II se plaignaient déjà que lors des « petites » réceptions le souverain faisait servir ce vin là plutôt que du champagne français, ce que vous dites semble indiquer qu’il ne s’est pas amélioré.
Anne-Cécile
24 avril 2020 @ 11:38
Je plussoie le vin géorgien et le mousseux « champanskoi » sont des tord-boyaux.
Néanmoins il existe quelques bons vins « sladkye » et « souroïye » en Géorgie tout à fait agréables.
J’aime aussi l’Inkerman portvein (Crimée) et un vin russe qui détourne l’appellation de Tokay et dont j’ai oublié l’exploitant. En apéritif, un succès garanti y compris auprès des membres bourguignons de ma famille.
Robespierre
21 avril 2020 @ 15:25
Comme Pascal, j’ai pensé à Lady de Seine, même si elle n’est pas une déesse et que vu son état, je la soupçonne de boire de la piquette.
Faculté
22 avril 2020 @ 13:45
Hahaha!