Du 5 octobre au 11 décembre 2020, la Maison de la Francité à Bruxelles présente l’exposition de photographies d’Eric Ostermann « Bruxelles en confinement« . Vous y découvrirez la capitale du royaume de Belgique bien déserte avec des lieux emblématiques comme la Grand Place, la place des Palais, la place royale,…
More
Bambou
3 octobre 2020 @ 05:34
Très bonne idée que ces photos.
Pour ma part, je dois reconnaître que j’ai aimé cette période de confinement, où le temps semblait s’être arrêté pendant deux mois… la faune, la flore avaient commencé à reprendre leurs droits sur l’homme.
Pierre-Yves
3 octobre 2020 @ 08:51
Je ne dirais pas que je l’ai aimée, cette période. J’ai trouvé étrange, et parfois beau, le silence des rues qui permettait d’entendre le chant des oiseaux, et le vide qui changeait l’impression visuelle et libérait les perspectives. Je me disais souvent, quand on y était, pour me remonter le moral, que c’était une expérience intéressante.
Mais c’était aussi une période où on ne pouvait mettre le nez dehors qu’une heure par jour, et autour de chez soi. Er ça, c’était franchement lourd et pénible. C’est surtout cela qui me reste: cette impossibilité de bouger, ces deux mois de quasi enfermement.
HRC
3 octobre 2020 @ 11:36
En ville, dans un quartier pourvu de jardins, les chats étaient les rois. Hautains ou sympas. Mais sans mon jardin à moi, je n’aurais pas tenu sans enrager !
Benoite
3 octobre 2020 @ 07:36
Le diaporama nous transporte dans la belle ville de Bruxelles, désertée. Des espaces vides, des rideaux de magasins fermés, pas de vie, plus de voitures (juste 3 en file garées) et une isolée. Rien : plus de communication citadine. Ni gens, ni bêtes, hormis le pigeon qui vaque à la construction d’un nid, et des chiens.. L’exposition doit être intéressante, et surtout éducative. Toutes les capitales ont mémorisé leur désertification citadine, que l’on pensait provisoire.
Menthe
3 octobre 2020 @ 09:49
Quand Bruxelles ne bruxellait plus… 🌾
ciboulette
3 octobre 2020 @ 16:34
C’est vraiment tout bizarre , comme les rues dépeuplées de Paris ou d’Italie .
Excellentes photos qui nous rappellent une » drôle d’époque » . . .heureusement , les fleurs poussaient , les arbres fleurissaient , les animaux revenaient vers la ville . Maintenant , il faut toujours faire attention , les jours sont plus courts .
cerodo
3 octobre 2020 @ 08:01
« Francité » : c’est du belge ?
Jean Pierre
3 octobre 2020 @ 10:01
Que cette rue de la Régence vous semble longue quand il pleut !
Guizmo
3 octobre 2020 @ 11:05
Pendant le confinement, toutes les villes étaient désertes , pour certaines d’habitude très animées ces daporama sont impressionnants
Pastelin
3 octobre 2020 @ 15:10
J’ai fait la même chose pour ma ville…. Une série de photos pour me/le souvenir. J’avais pensé au titre suivant » C… , au temps du confinement « .
Juliette d
4 octobre 2020 @ 03:47
Je ne suis allée ã Bruxelles qu’une seule fois mais le souvenir que j’en garde est tellement plus joyeux que ce qu’on voit sur ces photos.
DEB
4 octobre 2020 @ 07:19
Il a bien fait d’utiliser le noir et blanc.
Cosmo
4 octobre 2020 @ 17:06
Surréaliste !