Le Centre national du costume de scène accueillera du 26 janvier au 20 mai 2013 l’exposition « Costumer le pouvoir, opéra et cinéma ». En voici le descriptif. « Des dieux de l’Olympe aux souverains oints de Dieu, du sabre au goupillon, de la République aux dictatures… La nouvelle exposition présentée par le CNCS s’attachera à montrer comment la scène et le cinéma traitent de la représentation du pouvoir, de la simple évocation à la reconstitution fidèle de célèbres portraits de souverains.
De l’antiquité barbare au baroque déjanté contemporain… L’ exposition entraîne le visiteur dans les représentations du pouvoir, de la plus réaliste à la plus fantasmagorique, notamment au travers de personnages et d’époques qui ont marqué l’Histoire. Ainsi transporté de l’Antiquité barbare à l’époque actuelle, en passant par de grandes périodes historiques, le visiteur voyagera à travers le temps et les genres, en découvrant des mises en scène de Jeanne d’Arc, de Boris Godounov ou de Don Carlos, en rencontrant Vladimir Poutine, Louis XIV et bien d’autres… Environ 130 costumes de spectacles, de cinéma et d’opéra seront présentés, provenant des collections du CNCS, de la Bibliothèque nationale de France, de la Cinémathèque Française, de la Comédie-Française, du Musée Gaumont, de l’Opéra de Bordeaux, de l’Opéra de Lyon, de l’Opéra national de Paris, du Théâtre du Capitole à Toulouse…
Des costumes de cinéma, une première au CNCS ! Influencé par le théâtre historique, le cinéma à ses débuts abusa sans modération de couronnes et de sceptres, de perruques poudrées et de robes à panier. Apprécié du public, le film historique ne connut que peu d’éclipses, mais sa thématique évolua dans les années soixante, avec le téléfilm de Roberto Rossellini, La Prise de pouvoir par Louis XIV. Si le genre « cape et épée » et les figures mythiques du pouvoir, Jeanne d’Arc, Louis XIV, Marie- Antoinette ou Napoléon, n’ ont pas disparu des écrans, les cinéastes portent à présent un regard en profondeur sur les arcanes du pouvoir et sa représentation.
L’exposition invite à revivre les très riches heures du film historique de L’Assassinat du duc de Guise, tourné en 1908, Jeanne d’Arc de Luc Besson et Vatel de Roland Joffé, Marie Walewska revisitée par Greta Garbo et Hollywood, La Reine Margot de Patrice Chéreau et Les Adieux à la reine de Benoît Jacquot. Sans oublier nos ancêtres les Gaulois, Astérix et Obélix dans les films de Claude Zidi puis de Thomas Langmann et Frédéric Forestier.
Les représentations du pouvoir à l’opéra. L’opéra, haut lieu de pouvoir et du pouvoir, sera mis en valeur par des comparaisons de plusieurs productions d’oeuvres symboliques comme Le Couronnement de Poppée de Monteverdi, Don Carlos de Verdi ou Boris Godounov de Moussorgski. Certains spectacles seront présentés en miroir d’oeuvres cinématographiques. La cour vêtue de noir du monarque absolu d’Atys répondra au jeune Louis XIV de Vatel et à sa suite colorée. D’autres compléteront un tableau, celui des parodies du pouvoir, mêlant les genres avec des costumes du Balcon de Jean Genet pour le théâtre, de Salomé de Richard Strauss pour l’opéra et du Cinquième Elément pour le cinéma. Histoire et fantasy s’accorderont, comme dans la bande dessinée, pour que les costumes des opéras Le Roi d’Ys et Robert le Diable répondent à celui, légendaire, du film L’Atlantide. Mais il reviendra aux symboles d’ouvrir cet aperçu de scènes de pouvoir, de sexe et de sang, avec l’Or (La Toison d’or de Medea) et le Mal (les Anges noirs de Simon Boccanegra). Ces costumes, signés par Gérard Audier, Patrice Cauchetier, Bernard Daydé, Jacques Dupont, Pet Halmen, Anna Maria Heinreich, Iannis Kokkos, Florica Malureanu, Tomio Mohri, Daniel Ogier, Franca Squarciapino, Carlo Tommasi, José Varona, Jean-Pierre Vergier, Francesco Zito… proviennent en majorité de spectacles présentés ces dernières années dans de grandes maisons d’opéras en région, comme Bordeaux, Lyon et Toulouse. Réalisés dans leurs ateliers, ils témoignent de façon éclatante de l’excellence du travail accompli. Le CNCS est fier de pouvoir leur rendre ainsi hommage.
Les compléments de l’exposition. Le visiteur sera plongé dans l’univers du pouvoir avec de nombreuses photographies de scène et plateaux de tournage, de maquettes de costumes et de documents d’inspiration, ainsi que par des accessoires et attributs du pouvoir, tels que des bijoux, couronnes, armes et armures, trônes… Il retrouvera enfin des reproductions de portraits symboliques de la représentation du pouvoir (comme ceux de Louis XIV par Hyacinthe Rigaud, de François Ier par Clouet ou de Philippe II d’Espagne par Titien…) et des extraits de films, comme le couronnement d’Elisabeth II ou la campagne de Vladimir Poutine, diffusés en continu dans le parcours de l’exposition. (Merci à Sylvie-Laure – Source : centre national du costume de scène »
Exposition « Costumer le pouvoir. Opéra et cinéma » – Centre national du Costume de scène – Quartier Villars, Route de Montilly- 03000 Moulins
Sylvie-Laure
28 décembre 2012 @ 09:00
Régine, vous êtes vous aussi, d’une certaine manière, une « reine » de la scène, pour tout le travail réalisé par vous même et vos collaborateurs.
Avec un peu d’humour :) quel beau costume choisissez vous ?
Palatine
29 décembre 2012 @ 00:37
Régine avait ce soir-là réservé l’Opéra Garnier pour le grand bal costumé de N&R. Habillée en crinoline, et incarnant l’impératrice Eugénie, elle voulait célébrer les 4 ans de son site et incita les N&Ristes à faire preuve d’imagination. Comme maître de cérémonie , elle exigea la présence de Cosmo, avec culottes et bas de soie. Charles n’était pas libre mais il envoya plusieurs caisses de vin de Jurançon comme la fois précédente. Louise K ne voulut pas préparer de buffet parce que sa tenue de Louise de Lavallière était défraichie, et on n’eut que des chips à se mettre sous la dent, compliments of PDV, càd de Madame Colombe, plutôt pingre. Aramis se proposa comme hallebardier pour bien examiner les nouveaux venus, et Jul voulut de nouveau être mousquetaire pour filtrer les entrées. Marie du Bearn en reine Margot voulut danser le rigodon avec Frederic Gense, habillé en Figaro et parlant italien. Personne ne parvint à faire changer Palatine de déguisement : têtue et obstinée, elle remettrait sa tenue d’Eminence Grise ou rien du tout. On préféra la tenue d’ E.G. Actarus se déguisa en Valet de Coeur et Aubert se fit boucler les cheveux pour personnifier l’Aiglon. Il profita de l’absence d’Hubert pour faire un brin de cour aux dames mais évita les déesses, jugeant que cela le mènerait trop loin. Cosmo qui avait mal aux pieds, ses escarpins étant trop serrés, refusa de danser avec Alienor d’Aquitaine (Leonor). Faute de mieux, elle se résigna à danser le menuet avec Nemausus habillé en mignon de Henri III avec un joli justaucorps de satin vert. JAusten, qui a des lettres, était Lady Macbeth et menaçait d’asphyxier Ph. Gain d’Enquin, en Ali Baba, avec tous les parfums d’Arabie, s’il refusait de l’inviter à danser le tango. Valeska en Ophélie dansait toute seule, ses longs cheveux flottants et l’air égaré, à la recherche de Hamlet, càd Jean-Pierre. Jean Pierre tout aussi égaré qu’elle qui ne savait plus s’il était Pierre ou s’il était Jean, et que c’était bien ça la question. Erwan était déguisé en personnage de chanson de Théodore Botrel et jouait très agréablement du biniou.
Kalistea représentait la maréchale Lefèbvre, et asticotait les Belges de la soirée parce qu’ils n’avait pas apporté de bonbons. Rose2 dansait la Carmagnole avec Gustave habillé en Sans-culotte et ils mirent le feu, càd la révolution dans le bal. On dut menacer de les expulser. Stella, déguisée en Reine de la Nuit faisait des vocalises et les yeux doux à Chérubin, Vassili.
Arielle et Agnès en infantes de Velasquez dansaient gravement la pavane sous le regard sévère de HRC coiffée d’un hennin de chatelaine. Edward8, en chevalier de la Table ronde, cherchait des partenaire pour faire un bridge mais l’impératrice Eugénie le rappela à l’ordre. Les yeux clos et l’air langoureux, Danielle,càd Manon, dansait le slow avec le Masque de Fer dont on ne connut jamais la vraie identité. Michael, déguisé en Philippe Egalité, refusa de danser avec la duchesse de Berry, Mayg.
Le bal se termina à l’heure du laitier.
Régine
29 décembre 2012 @ 10:11
Superbe ! On s’y croirait !
Frédéric Gense
29 décembre 2012 @ 10:38
Bravo Palatine ! J’adore danser mais je n’ai pas souvent l’occasion de me déguiser ! Bonne année à vous et à tous vos amis !
Marie du Béarn
29 décembre 2012 @ 17:29
Bravo ma mie Palatine!
J’espère que vous vous seriez rasé cher Frédéric, que vous auriez apprécié ma poule au pot, mon Jurançon et bien sûr le rigodon! :)
Kalistéa
29 décembre 2012 @ 22:38
Mon cher Frederic, j’ai remarqué que vous ne m’avez pas invitée à danser.Est-ce que vous m’en voulez parceque j’ai dénoncé votre attitude quelque peu ultra romantique lors de la réception chez la duchesse d’Albe?(rubrique reine Sophie et Albe).
A vrai dire bien que la princesse Palatine m’ait conseillé le déguisement de la maréchale Lefebvre, je ne me sens pas très à l’aise en madame sans-gêne.J’aurais préféré être en imperatrice Marie-Louise.
Peut-être qu’ainsi comme sans aucun doute Cosmo, vous auriez aimé danser avec une archiduchesse et quelle archiduchesse! ?
TRès bonne soirée. K.
Arielle
29 décembre 2012 @ 13:38
Bravo, Palatine, mille bravos pour ce récit incroyablement vivant, extraordinaire d’imagination et de raffinement.
Louise.K
29 décembre 2012 @ 16:19
Palatine, voyons, je ne vais jamais au bal avec une robe défraîchie!!!! Et des chips!!!!Quelle horreur!!!!
Cela dit, vos talent d’écrivaine ne sont plus à démontrer et m’enchantent toujours. Mais qui peut bien se cacher derrière le pseudo de Palatine?
aubert
29 décembre 2012 @ 17:44
Je voulais faire l’aiglon mais ne suis qu’un corbeau donc j’informe le site que palatine est un pseudonyme.
Stella
1 janvier 2013 @ 23:36
Ah, chère Palatine…
Seriez-vous dotée du don de double vue?…
En effet, je dois vous confier que je n’ai pas ma pareille pour interprêter, à capella »
Mon truc en plumes »
Palatine
2 janvier 2013 @ 10:27
avec un pseudo comme le vôtre, vous ne pouviez être que la Reine de la Nuit. Je n’ai que le don de déduction.
Stella
3 janvier 2013 @ 12:17
Et je puis préciser que puisque Aubert est « le corbeau du site » mon truc en plumes, c’est lui!
(Cher Aubert, avez-vous reçu plus belle déclaration d’amour?…)
aubert
3 janvier 2013 @ 15:25
Chère Stella. Ce site est étourdissant. On ne sait où donner de la tête pour suivre les commentaires. Deux heures, pour arriver au vôtre. Sur mon arbre perché dois-je me glorifier voir me réjouir d’être votre truc en plumes. Autant de proximité est évidemment réjouissant (je n’ose écrire jouissif) mais n’étant pas un paon que sera mon plumage quand il vous aura servi de …couverture.
Les déclarations d’amour d’une étoile sont rares et, aujourd’hui, les étoiles se font de plus en plus rares autour de moi.
Stella
4 janvier 2013 @ 20:26
Je le regrette vivement, cher Aubert!
( Mais peut être la pensée de ce que leur rareté leur donne plus d’éclat encore peut elle vous consoler…)
Palatine
29 décembre 2012 @ 12:39
Cosmo, vient de m’envoyer un post comminatoire pour m’ordonner de censurer ce qui s’est passé à la fin du bal quand Michael-Philippe Egalité et Mayg sont montés, très remontés, dans la camionnette du laitier. Ils voulaient vider leur querelle.
Je vais réfléchir si je dois outrepasser les ordres de Cosmo. Car il y eut d’autres, disons, malentendus.
HRC
29 décembre 2012 @ 13:38
sévère…
je refuse le hénin, j’étais en Templier (ou Teutonique), bras croisés, adossé au pilier, sûr d’être le meilleur d’entre tous, et voué à mourir pour protéger des gens qui ne me valent pas.
on ne va pas s’arrêter à mi-chemin, quand même…!
HRC
29 décembre 2012 @ 17:54
d’ailleurs nous avons parlé Art de la Guerre » et « grandeur et servitudes militaires » avec le Maréchal Lefebvre, duc de Danzig, et, bien sûr Clausewitz;
mais souvenez-vous, Palatine, il m’a quitté pour faire sa cour à Aliénor, tandis que j’allais relever mon camarade Aramis, porté pâle.
Palatine
30 décembre 2012 @ 10:42
De tous temps, et à tous les âges, il est évident que les soirées dansantes ont été l’occasion de clashes sentimentaux, voire de déceptions, rappelez-vous vos premières boums. Personne n’a d’ailleurs voulu danser avec moi, et j’ai fait tapisserie. Un peu avant la fin du bal Aubert m’a tout de même aperçue et nous avons valsé au son du biniou d’Erwan.
erwan
30 décembre 2012 @ 16:43
La valse au biniou ancêtre de la valse musette…elle évite les tours à gauche et les tours à droite et permet à Aubert de faire du sur-place avec Palatine.
aubert
3 janvier 2013 @ 15:32
Vous voila bien osé cher Erwan de penser que Palatine et moi ne pouvons plus nous pencher à droite ou à gauche.
On voit votre rancoeur de n’avoir jamais été invité aux concours internationaux dans lesquels nous nous produisons.
…une petite invitation, si vous êtes sage et courtois peut-être envisagée…si Palatine y consent. En espérant que vous ne serez pas retenu par l’un des plus beaux princes d’Europe.
JAusten
30 décembre 2012 @ 21:39
Palatine, j’étais très en peine pour vous d’autant plus Phile et Asfogg dansaient ensemble pensant qu’il n’y avait pas assez de cavalières (la foule les cachaient) … Je n’ai pas pu les rappeler à leur devoir de cavaliers, tant le tango avait Ali Baba était très prenant.
caillou
29 décembre 2012 @ 15:23
ah les chroniques de la princesse palatine…les voilà revenues depuis l’au-delà pour notre plus grande joie!
Mais n’est-ce point, altesse, l’un de vos lointains descendants qui prend épouse aujourd’hui en cette belle ville de Nancy? nul doute que vous nous régaliez d’un commentaire? il est fort attendu, croyez le bien…
Palatine
29 décembre 2012 @ 16:33
vous avez sûrement remarqué chère Caillou, que je ne mêle pas des affaires contemporaines. C’est plus tranquille de s’occuper des personnages de l’Histoire. Si je raconte des horreurs sur l’un ou l’autre, ils ne viendront pas me chercher noise.
Cosmo
29 décembre 2012 @ 16:02
Chère Palatine,
Je ne voulais pas envenimer la Querelle. Philippe-Egalité/Michael et Madame de Berry/Mayg, en réalité, filaient à l’anglaise loin de ce bal déjanté dans lequel ils voyaient poindre la bacchanale finale. Et nous connaissons tous la vertu de l’un et de l’autre.
Monsieur Egalité et Madame Equipée fuyaient aussi le Mignon qui, dans la main droite tenant un couteau, tentait d’égorger l’un et de la main gauche, celle du coeur, caressait le fessier de l’autre.
Le laitier n’écoutant que son courage les conduisit grand train place de la Révolution où l’un perdit la tête et l’autre sa vertu.
Quelle nuit !
C’est cela, Chère Palatine, que je voulais éviter aux internautes de N&R, afin de ne pas leur faire de peine.
Mais pour le Mignon, tout finit bien car il vit le même soir sa fidélité doublement récompensée par la mort de l’objet de sa haine et la chute de l’objet de sa convoitise. Car en fait le Mignon n’était personne d’autre que le comte des Boules Lucquoises. Mais le Mignon comte des Boules n’en avait pas encore fini…Cosmo dut enlever escarpin, culottes et bas de soie pour lui échapper. Il court toujours et le Mignon des Boules n’est pas près de le rattraper.
Ouf !
Cosmo
HRC
30 décembre 2012 @ 11:02
fichu casque, je ne voyais que que ce qui était pile en face de moi ! je regrette néanmoins que personne n’ai reconnu LPJ en grand uniforme de duc de Wellington pour tromper son monde.
Cosmo
30 décembre 2012 @ 12:18
Chère HRC,
Il faut dire que choisir le duc de Wellington,notre seul vrai grand ennemi, est une provocation qui ne méritait aucune attention.
Lord Nelson eut au moins l’élégance de mourir après nous avoir défait à Trafalgar. Le duc de fer continua à nous narguer pendant des décennies…insupportable !
Enlevez votre casque pour contempler le spectacle désolant de la haute société historique qui se vautre dans le luxe d’un bal masqué…et quittez la croix pour mieux gambader au milieu de cette foule en folie. Je tiens un domino à votre disposition.
Cosmiquement vôtre
HRC
30 décembre 2012 @ 13:51
tant qu’à transgresser…. j’hésite quant à qui poursuivre de mes assiduités…. mais parfois je suis si bien dans la contemplation de moi-même ! je erre un peu dans la salle, déboussolé par votre proposition, HRC tire d’un côté, le Teutonique de l’autre… (que j’ai choisi finalement parce que le noir et blanc est plus élégant)
Cosmo
30 décembre 2012 @ 19:15
Ah le Teutonique qui tire…Quel dilemme ! Laissez la croix et entrez dans la valse ! Cosmo, bien qu’ayant perdu culotte et bas de soie, vous y invite. Ne vous refusez pas au plaisir de la bacchanale, chère HRC…nous pourrons aussi dire du mal de qui vous pouvez imaginer. Que serait un bal sans médisance ? Et après tout ce n’est pas le bal de la Croix Rouge avec révérences et baise-mains, mais le Bal de l’Opéra avec pince-fesses et baisers coquins…
Tous mes voeux pour 2013
Cosmo
HRC
31 décembre 2012 @ 12:52
hum… je n’ai pas la taille, les épaules et le regard bleu acier requis par le costume ! vous avez raison, où est le domino proposé ???
bon jeu à toutes et à tous !
Kalistéa
29 décembre 2012 @ 14:30
Bravo ,ma chère Palatine, mais il y a des incidents qui vous ont échappé.Ainsi quand vos hallebardiers et autre mousquetaire bénévole prétendirent m’interdire l’entrée du bal pour délit de « roture », mon cher Cosmo toujours bien au fait des titres m’annonça d’une voix éclatante: « madame la duchesse de Dantzig »! et ces malotrus durent bien me laisser passer .
Aussi ai-je lancé à Aramis un « çà te la coupe,mon fils: » dont il ne s’est pas encore remis!
Palatine
29 décembre 2012 @ 16:34
Aramis ne m’a rien dit. Il avait d’autres chats à fouetter, mais carré blanc.
HRC
30 décembre 2012 @ 11:23
il était choqué encore quand Hubert est arrivé en Léonidas, belle occasion pour lui de rencontrer Aubert avec qui il cousine… enfin c’est ce qu’il a dit avant de metre droit le cap sur les dames exaltées qui ont fait cercle.
Petit-Fils nous a confié qu’il n’avait pas l’intention de suivre toutes les consignes de gardiennage de Madame sa Grand-Mère, et qu’il ne répondait de rien. Lui était en duc de Nemours, et avait rendez-vous secret avec Anne-Cécile en Princesse de Clèves.
Palatine
30 décembre 2012 @ 13:27
J’aime bien votre Léonidas, car en Belgique l’ami d’Epaminondas a une connotation sucrée, c’est une marque de chocolats belges délicieux.
Et dans le temps, il y avait, m’a dit une amie belge , une marque de chocolat qui s’appelait « L’Aiglon ». Donc nos deux amis cousinent vraiment dans la confiserie et les douceurs. Vous avez de ces intuitions !
HRC
30 décembre 2012 @ 11:27
nous glosâmes sur vous, Palatine, qui avait pris son costume de Garde-Suisse pour une simple tenue de hallebardier.
heureusement il est arrivé un Axel de Fersen (mais qui en réalité ??) qui s’y connaissait, lui, en uniformes.
Sylvie-Laure
29 décembre 2012 @ 15:27
Palatine, magnifique soirée au Palais Garnier. Le spectacle était digne d’une « Grande Première ».
Merci, votre commentaire est « magique »
Bianca
29 décembre 2012 @ 16:17
Bien dommage qu’une partie de ces collections que j’avais pu voir à la Bibliothèque Nationale ait été transférée à Moulins…
Je recommande aux personnes proches de cette ville de visiter cette exposition qui doit être d’une grande richessse !
Nana
30 décembre 2012 @ 12:12
Chère Régine (nous portons le même prénom, c’est pourquoi j’ai pris ce pseudo), je vous remercie pour votre magnifique site, et vous présente mes voeux les plus chaleureux pour 2013. Je souhaite aussi une très bonne année à l’ensemble des internautes de ce site : à ceux qui aiment Létizia, Maxima, Charlène, Mathilde, Mary, Marie, etc…
A ceux qui n’aiment pas Létizia, Maxima, Charlène, Mathilde, Mary, Marie, etc…
Et enfin, très cher Hubert, je vous adresse mes meileurs voeux, en souhaitant surtout que votre santé soit meilleure, et que votre « clan » de déesses s’agrandisse ! Je vous embrasse.
de la part de Hubert
30 décembre 2012 @ 15:39
Chère Nana mon grand père vous remercie et vous embrasse aussi.
Il a beaucoup ri ce matin en découvrant cette page où chacun a fait preuve de tant d’esprit!
Palatine toujours brillante il vous dit « attention pas trop de bals sans moi mes déesses vont m’échapper » :)
HRC
30 décembre 2012 @ 18:32
bon, on danse, mais Actarus et Jul : non.
bizarre.
Cosmo
30 décembre 2012 @ 19:18
La douleur les tient à l’écart. Ils savent qu’à l’issue du bal, la Légitimité recevra un coup fatal.
Actarus
30 décembre 2012 @ 21:19
Excusez-moi mesdames si je passe mon tour pour le bal, mais mon père étant décédé hier, je ne pense pas qu’il serait bienséant de vous inviter à valser.
Palatine
31 décembre 2012 @ 12:33
toutes mes condoléances, Actarus. En cette fin d’année, Pierre-Yves a traversé la même épreuve. Je vous souhaite du courage à tous les deux.
Palatine
Mayg
31 décembre 2012 @ 13:00
Mes sincères condoléances Actarus.
HRC
31 décembre 2012 @ 13:11
très mal à l’aise, vraiment, et sincèrement désolée d’avoir été aussi malencontreuse.
en toute empathie.
Cosmo
31 décembre 2012 @ 14:16
Cher Actarus,
Quelle triste nouvelle !
Il n’y a pas grand chose à dire d’autre dans un tel moment que de vous exprimer mes sentiments de cordiale sympathie.
Cosmo
JAusten
31 décembre 2012 @ 18:46
Cher Actarus, je vous présente toutes condoléances.
Mary
6 janvier 2013 @ 00:12
Toutes mes condoléances Actarus.Je vous souhaite beaucoup de courage.
Kalistéa
31 décembre 2012 @ 15:49
Recevez l’expression de ma sincère sympathie cher Actarus. K.
Michèle
31 décembre 2012 @ 18:20
Cher Actarus
Très sincères condoléances et l’expression de ma plus profonde sympathie.
Une pensée particulière pour tous ceux et celles qui sont seuls, hospitalisés, malades ou dans la peine.
Michèle
Sylvie-Laure
31 décembre 2012 @ 18:47
Actarus, je partage votre peine, en ce dernier jour de 2012.
Vraiment, je vous transmets ma compassion qui vous est acquise tout simplement.
Je pense bien à vous, et à vos proches.
petit fils d'Hubert
1 janvier 2013 @ 19:19
Actarus, Hubert vous adresse une pensée émue.
Sylvie-Laure
2 janvier 2013 @ 15:06
Pour Hubert, remettez vous bien, (j’ai dû manquer une page où il était question de votre absence) . Quoiqu’il en soit, votre retour est souhaité, le plus tôt possible, en meilleure Santé, et merci à Petit Fils d’Hubert, de prendre la plume, ici pour donner de vos nouvelles. Léonor, et ses amies déesses attendent patiemment votre rétablissement.
PS j’avais dédié, cet article posté ici à Léonor, qui je pense sera ravie, de le lire. Je la sais intéréssée, par les Arts de la Mode, et tout ce qui s’y rapporte de prés ou de loin.
petit fils d'Hubert
4 janvier 2013 @ 22:05
Sylvie Laure
Je vous réponds avec retard car je ne suis près d’Hubert que le week-end.
Il vous remercie de votre pensée et vous présente ses meilleurs voeux.
aubert
3 janvier 2013 @ 15:39
Toute ma sympathie Actarus dans cette épreuve douloureuse .
Actarus
4 janvier 2013 @ 16:02
Un grand merci à toutes et à tous, et ma profonde sympathie pour Pierre-Yves.
Un merci spécial à Damien B.
N’ayez crainte, je serai bientôt de retour avec de nouvelles actaruses.