Une trentaine de créations du sculpteur Hubert Le Gall sont exposées actuellement à la villa Kérylos de Beaulieu-sur-Mer et ceci jusqu’au 26 septembre 2021. (merci à Gatienne)
Une trentaine de créations du sculpteur Hubert Le Gall sont exposées actuellement à la villa Kérylos de Beaulieu-sur-Mer et ceci jusqu’au 26 septembre 2021. (merci à Gatienne)
Pascal
15 juin 2021 @ 05:27
Elles semblent très bien s’intégrer dans cette demeure qui est une véritable merveille.
miloumilou
15 juin 2021 @ 06:17
Décor splendide pour une expo de ce style!
Cosmo
15 juin 2021 @ 06:37
Pourquoi pas ? Mais d’une manière général ceux qui viennent visiter la Villa Kerylos y viennent pour le charme et la beauté du lieu et non pour un sculpteur dont il n’ont pas grand chose à faire.
Même problématique à Versailles qui abrite parfois des sculpteurs improbables. Quand on est dans la Galerie des glaces, ce n’est pas pour y voir un escarpin géant.
Esquiline
15 juin 2021 @ 12:33
La seule exposition que j’aie vue et qui apportait un plus dans un site qui par sa beauté se suffit à lui-même est celle de Mitoraj à Pompei.
J’aurais voulu qu’elles y demeurent en permanence.
Marnie
16 juin 2021 @ 12:45
Entièrement d’accord avec vous Esquiline, j’ai vu aussi cette expo et j’avais découvert auparavant cet artiste à Agrigente où la présence d’une de ses réalisations est également très appréciable.
Ciboulette
16 juin 2021 @ 18:26
Cosmo , je ne suis pas près d’oublier le hideux homard de Koons le bien nommé . . .
DEB
15 juin 2021 @ 06:57
Je trouve qu’elles s’intègrent bien dans le décor
JAusten
15 juin 2021 @ 11:53
J’allais écrire la même chose que vous.
Moi j’aime bien, même ça manque un chouïa de châleur que peut apporter le tissu ou les fibres (ici pas de coussins, ni tapis ni rideaux apparemment)
Marnie
15 juin 2021 @ 07:47
ça y est, la villa Kérylos (appartenant à L’Institut de France, gérée par le Centre des Monuments Nationaux) se met aussi à cette mode que je trouve déplorable d’introduire des oeuvres contemporaines dans des sites anciens. Même si les oeuvres aperçues ici semblent correspondre à « l’esprit » de la Grèce antique, elles n’ont rien à faire à cet endroit, conçu comme une oeuvre totale jusque dans le moindre détail, et dont elles viennent parasiter la perception. Les sites anciens (comme Versailles, une abbaye médiévale…) sont visités pour leur intérêt intrinsèque, parce qu’ils sont les vestiges d’un monde disparu, personnellement je n’ai pas envie d’y retrouver « les beautés » de l’époque actuelle. Ils se suffisent à eux-mêmes et n’ont pas à devenir les piédestaux d’artistes contemporains qui viennent le plus souvent gâcher la visite en introduisant des éléments qui n’ont rien à voir, par la forme et par l’esprit, au lieu dans lequel on les installe.
Marnie
15 juin 2021 @ 07:48
« avec le lieu ».
Menthe
15 juin 2021 @ 09:39
Intéressant !
Gatienne
15 juin 2021 @ 10:07
On aime ou pas, mais les créations de ce sculpteur bousculent avec humour nos convictions en matière de mobiliers ou d’objets de décoration (leur utilité qui est leur fonction première.)
En tout cas, ses œuvres originales qui revisitent de façon iconoclaste la mythologie grecque trouvent leur place en ce lieu magique qu’est la villa Kérylos.
Pour en savoir plus:
https://www.connaissancedesarts.com/arts-expositions/le-design-dhubert-le-gall-35-nuances-de-grecs-11138206/
PATRICIA
16 juin 2021 @ 09:28
Merci Gatienne, j’adore le vase « Le supplice des danaïdes »
Ciboulette
15 juin 2021 @ 10:49
Merci , Gatienne , mais cela me donne plutôt des cauchemars !
Gauthier
15 juin 2021 @ 11:11
Théodore Reinach, qui a suivi de si près le chantier et supervisé le moindre détail de sa chère villa Kérylos, aurait certainement une opinion fort peu louangeuse des oeuvres exposées!
Gatienne
15 juin 2021 @ 11:44
Vous ne pouvez parler à sa place. Théodore Reinach a suffisamment subi les effets de l’intolérance pour prêter (de là-haut) un regard bienveillant sur ces œuvres…
Gauthier
16 juin 2021 @ 13:42
Oh vous savez Gatienne, ici beaucoup de commentateurs connaissent tout des pensées du prince ou d’une princesse simplement en contemplant sa photo, je pourrais donc me le permettre…. mais ce n’est pas du tout mon propos.
Je me base plus sûrement sur les traces des échanges entre Théodore Reinach et Emmanuel Pontremoli, et sur la passion hellénique de Théodore Reinach, qui voulait reconstituer jusque dans les moindres détails une habitation de la Grèce antique.
Les campagnes de presse violentes et les moqueries des chansonniers que Théodore Reinach et ses deux frères endurèrent n’ont rien à voir avec mon propos non plus!
framboiz07
15 juin 2021 @ 14:13
Mais,Gauthier ,il faut renouveler les spectateurs , faire de l’argent après le covid … On pouvait voir pire !
Nine
15 juin 2021 @ 20:32
Oui , tout ce qui n ‘était pas grec , était CACHÉ…. ! Notamment le piano pour la villa Kerylos.
miloumilou
15 juin 2021 @ 12:09
Mélange des genres, mélange des styles… toujours très intéressant!
Caroline
15 juin 2021 @ 23:14
La commode noire et le ‘ canapé ‘ en noir me plaisent beaucoup.
C’ est une réussite de présenter l’ art moderne avec l’ ancienneté de cette salle !
PATRICIA
16 juin 2021 @ 09:27
Quel magnifique écrin pour des oeuvres d’art mises en valeur par le décalage de style.
Ciboulette
16 juin 2021 @ 18:27
Cosmo , je ne suis pas près d’oublier le hideux homard de Koons le bien nommé . . .