Le Musée Jacquemart-André à Paris accueillera du 13 septembre 2013 au 20 janvier 2014 l’exposition « Désirs et voluptés à l’époque victorienne« . Le public pourra ainsi (re)découvrir les artistes célèbres de l’Angleterre de la reine Victoria au XIXe siècle, dont Sir Lawrence Alma-Tadema (1836-1912), Sir Frederic Leighton (1830-1896) ou encore Edward Burne-Jones (1833-1898) .
Tous célébraient le culte de la beauté. L’exposition sera ensuite présentée à Rome au Chiostro del Bramante du 15 février au 5 juin 2014, puis au Musée Thyssen-Bornemisza à Madrid du 23 juin au 5 octobre 2014 et au final au Leighton House Museum de Londres.
Le parcours se décline en 8 thématiques : désirs d’Antique, beautés classiques, muses et modèles, femmes fatales, héroïnes amoureuses, l’harmonie rêvée, la volupté du nu, le culte de la beauté.
Valeska
10 juillet 2013 @ 10:51
Que serions-nous sans la Beauté et ceux qui l’ont immortalisée?
Nous pouvons nous flatter,Mesdames,d’avoir été les muses de la Beauté incarnée au fil des siècles…Mais l’anatomie des Messieurs n’est bien sûr pas en reste! :)
Caroline
10 juillet 2013 @ 12:39
Valeska,y compris les femmes obèses,androgynes et anorexiques!loool!
Mélusine
10 juillet 2013 @ 17:22
En effet les peintres ont immortalisé sur leurs toiles toutes sortes de « beautés », selon leurs goûts, les commandes et les critères de leur temps.
Alors que Rembrandt peignait des dodues, à l’inverse et bien plus tard, le modèle préféré de Bernard Buffet était sa rachitique épouse Anabelle,
En revanche, à l’époque victorienne étaient considérées comme étant belles les femmes bien en chair, au teint de lys. La corpulente reine Victoria ne se souciait donc pas de son poids, mais elle détestait ses grosses mains larges. Les mains étant un atout de séduction, il arrivait parfois que celles qui en étaient fières parce qu’elles en avaient de longues et fines, en faisaient faire des moulages en plâtre.
Ce qui ne viendrait à l’idée de personne, aujourd’hui !
Valeska
11 juillet 2013 @ 10:40
Mais oui,Caroline-chérie!
Que l’on soit un boudin,un thon,ou un manche à balai,il y a du charme,de l’attrait et de la beauté en toutes choses et en toutes femmes!…La preuve,ne dit-on pas un bon boudin,un beau thon et…euh….un super manche à balai ?? :) :)
flabemont8
10 juillet 2013 @ 11:11
Mais c’est moi ça….en plus jeune, plus déshabillée, plus….bon, je rêve ….
Mélusine
10 juillet 2013 @ 16:51
De toute façon, chère Flabemont, vous êtes un chat beauté.
Bottée, en ce moment j’en doute, les températures actuelles incitant plutôt à l’effeuillage, comme la gracieuse de la photographie. Smile
flabemont8
10 juillet 2013 @ 20:47
Rrronn !!! Merci, Mélusine ! Oui, c’est plutôt un temps à se promener pieds nus…
Valeska
11 juillet 2013 @ 10:35
Dites-moi,chère Flabemont,avez-vous fini de vouloir échauffer l’imagination de ces messieurs qui vous lisent,hum??
Coquine! :)
flabemont8
11 juillet 2013 @ 19:59
Miaou ! On fait ce qu’on peut, ma Mie Valeska !!
Mélusine
10 juillet 2013 @ 12:20
Non seulement cet opulent hôtel particulier reconverti en musée, proche du parc Monceau, est un lieu magnifique, orné de très belles collections, mais ses expositions sont toujours intéressantes et une halte dans le salon de thé-restaurant permet de joindre la culture à la gourmandise. Un bon moment en perspective.
Attention, ce sont les derniers jours (jusqu’au 22) pour aller y admirer l’exposition « Eugène Boudin ».
Danielle
10 juillet 2013 @ 19:37
Un très beau musée à visiter.