Au Grand Palais à Paris du 26 septembre 2018 au 21 janvier 2019, exposition « Eblouissante Venise. Venise, les arts et l’Europe au 18ème siècle ».(Pour Danielle)
Leonor, je suis sensible à votre dernière phrase, j’avais commencé à répondre dans ce sens, mais je n’ai pas encore terminé pour cause de petit fils à la maison…
Leonor, je suis sensible à votre dernière phrase, j’ai commencé à y répondre, mais je n’ai pas eu le temps de terminer (petit-fils de 3 ans à la maison) ?
Je n’ai pas dit mon dernier mot ? sur le sujet.
Bien à vous.
Carole
Merci beaucoup pour cette attention Régine.
Encore une exposition à visiter, mon agenda commence à bien se remplir, mon hiver, avec d’autres activités, sera bien occupé.
Il y en a également une au Petit Palais sur les « hollandais à Londres », celle ci sera pour septembre, et aussi celle au musée Y. S. LAURENT
A mes deux amies de ce site avec qui je partage cette passion « que de bons moments à passer, et aussi de bons restaurants à découvrir »…
Que dire sur Venise
un peu d’original par exemple.
La bataille dite du Morbihan ou comment les Gwened (vénètes) habitants de la région de notre Vannes actuelles et vaillants marins de commerce et de guerre, entre autres, en -56 avant J.C. ont fait face aux non-moins vaillants romains venus envahir la région hautement lucrative .
Une grande bataille eu lieu , on ne la situe pas exactement mais on pense qu’elle a eu lieu au large de la presqu’île de Rhuys (Golfe du Morbihan – 56)
Par malchance , la marée, le vent étaient contre les gwened et leurs bateaux plus lourds donc moins maniables furent un handicap .
Ce fut une pile , un désastre .
Les romains firent des prisonniers , femmes, enfants et jeunes hommes qu’ils emmenèrent à Rome comme esclaves.
Las pour eux ils étaient Gwened donc bretons même s’ils étaient une exception et ils le sont toujours . Leurs forts caractères commencèrent à indisposer les romains qui les expédèrent manu militari dans les marais putrides du fond de la botte , dans ces terres inhospitalières qui deviendront la Vénétie .
A suivre …
Ils survé. curent et fondèrent les bases de ce qui deviendrait un jour la Vénétie avec pour ville-phare Venise .
La cérémonie du Doge s’unissant à la lagune par le jet de l’anneau d’or , on le leur doit ,ils pratiquaient ainsi dans leur province d’origine , qui deviendrait la Bretagne.
Le commerce florissant de cette partie de l’Italie on le leur doit , les Venètes étant des marchands avisés . La maîtrise de la mer (on peut encore la constater dans la maestria des marins de la lagune) on la leur doit .
L’élégance, la fierté (que l’on retrouve encore à Vannes) ont fait qu’ils n’ont pas sombré, faisant finalement l’admiration de leurs bourreaux qui baissèrent leurs armes devant leur courage .
Le blond vénitien c’est tout simplement nos tignasses rousses se déclinant dans toutes les teintes du couchant . Les belles vénitiennes essaient par tous les moyens de le conserver ou de l’appliquer à leurs cheveux bruns , en hommage à leurs ancêtres sans arriver toutefois à des résultats heureux.
Alors , si un jour les vents n’avaient pas été contraires, si la marée n’avait pas été contre eux qui sait si la Sérénissime aurait vu le jour .
Leonor
2 août 2018 @ 10:25
Que dire encore sur Venise ?
Venise, il faut la vivre .
Carolus
3 août 2018 @ 09:13
Leonor, je suis sensible à votre dernière phrase, j’avais commencé à répondre dans ce sens, mais je n’ai pas encore terminé pour cause de petit fils à la maison…
Mais je n’ai pas dit mon dernier mot ! ?
Carolus
3 août 2018 @ 09:20
Leonor, je suis sensible à votre dernière phrase, j’ai commencé à y répondre, mais je n’ai pas eu le temps de terminer (petit-fils de 3 ans à la maison) ?
Je n’ai pas dit mon dernier mot ? sur le sujet.
Bien à vous.
Carole
Danielle
2 août 2018 @ 15:01
Merci beaucoup pour cette attention Régine.
Encore une exposition à visiter, mon agenda commence à bien se remplir, mon hiver, avec d’autres activités, sera bien occupé.
Il y en a également une au Petit Palais sur les « hollandais à Londres », celle ci sera pour septembre, et aussi celle au musée Y. S. LAURENT
A mes deux amies de ce site avec qui je partage cette passion « que de bons moments à passer, et aussi de bons restaurants à découvrir »…
Ghislaine-Perrynn
5 août 2018 @ 15:30
Que dire sur Venise
un peu d’original par exemple.
La bataille dite du Morbihan ou comment les Gwened (vénètes) habitants de la région de notre Vannes actuelles et vaillants marins de commerce et de guerre, entre autres, en -56 avant J.C. ont fait face aux non-moins vaillants romains venus envahir la région hautement lucrative .
Une grande bataille eu lieu , on ne la situe pas exactement mais on pense qu’elle a eu lieu au large de la presqu’île de Rhuys (Golfe du Morbihan – 56)
Par malchance , la marée, le vent étaient contre les gwened et leurs bateaux plus lourds donc moins maniables furent un handicap .
Ce fut une pile , un désastre .
Les romains firent des prisonniers , femmes, enfants et jeunes hommes qu’ils emmenèrent à Rome comme esclaves.
Las pour eux ils étaient Gwened donc bretons même s’ils étaient une exception et ils le sont toujours . Leurs forts caractères commencèrent à indisposer les romains qui les expédèrent manu militari dans les marais putrides du fond de la botte , dans ces terres inhospitalières qui deviendront la Vénétie .
A suivre …
Ghislaine-Perrynn
6 août 2018 @ 07:13
Ils survé. curent et fondèrent les bases de ce qui deviendrait un jour la Vénétie avec pour ville-phare Venise .
La cérémonie du Doge s’unissant à la lagune par le jet de l’anneau d’or , on le leur doit ,ils pratiquaient ainsi dans leur province d’origine , qui deviendrait la Bretagne.
Le commerce florissant de cette partie de l’Italie on le leur doit , les Venètes étant des marchands avisés . La maîtrise de la mer (on peut encore la constater dans la maestria des marins de la lagune) on la leur doit .
L’élégance, la fierté (que l’on retrouve encore à Vannes) ont fait qu’ils n’ont pas sombré, faisant finalement l’admiration de leurs bourreaux qui baissèrent leurs armes devant leur courage .
Le blond vénitien c’est tout simplement nos tignasses rousses se déclinant dans toutes les teintes du couchant . Les belles vénitiennes essaient par tous les moyens de le conserver ou de l’appliquer à leurs cheveux bruns , en hommage à leurs ancêtres sans arriver toutefois à des résultats heureux.
Alors , si un jour les vents n’avaient pas été contraires, si la marée n’avait pas été contre eux qui sait si la Sérénissime aurait vu le jour .